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Smartphones
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(14/01/2011 14:32:02)
Le BlackBerry Enterprise Server en mode cloud arrive chez RIM
S'ils ont montré à quoi ressemblerait la nouvelle architecture de BES dans le cloud, ceux-ci ont donné peu de détails sur la manière dont ils envisageaient son déploiement. « Le lancement de cette version dépendra des partenaires, par exemple des opérateurs de télécommunications pour l'hébergement du service BES, à moins qu'il ne soit hébergé par RIM lui-même, » a déclaré Pete Devenyi, vice-président de la plate-forme communications chez RIM. « Pour l'instant, nous ne sommes pas encore en mesure de dire comment celui-ci sera mis en place, » a t-il ajouté.
Selon les analystes présents à la conférence, un service cloud permettrait à l'offre BES de s'adresser à un éventail plus large d'entreprises, car certaines ne sont pas intéressées par l'achat de serveur physique. « Les petites entreprises pourraient investir dans un BES hébergé dans un cloud. Même les grandes entreprises pourront délocaliser une partie de leur infrastructure dans le cloud, » a encore déclaré Pete Devenyi lors d'un entretien.
Une unification des services dans le nuage
L'architecture créée par RIM pour installer BlackBerry Enterprise Server dans le cloud permet d'unifier la BlackBerry Messaging Interface avec les différents logiciels, mais aussi la base de données de BES. « L'interface permettra également à des éditeurs de tierce partie de proposer des options à l'intérieur de BES, » a ajouté Pete Devenyi. Considéré comme le fer de lance de la messagerie sécurisée au niveau mondial, BlackBerry Enterprise Server est largement utilisé par les entreprises financières mais aussi par toutes celles qui ont besoin de protections en matière de cryptage et de sécurité. Pour recevoir des emails et autres messages, les smartphones BlackBerry communiquent en permanence avec le serveur BlackBerry Enterprise Server situé dans le datacenter de leur entreprise. Selon RIM, il existe actuellement plus de 250 000 serveurs BES actifs dans le monde.
Annuels Intel : Résultats records en 2010 et optimisme pour 2011
Intel a déclaré un bénéfice net de 3,4 milliards de dollars pour le trimestre fiscal clos le 25 décembre 2010, en hausse de 48% par rapport au même trimestre en 2009. Le bénéfice par action est de 0,59 dollars, supérieur aux 0,53 $ prévus par les analystes interrogés par Thomson Reuters. En termes de revenus, le dernier trimestre a affiché 11,5 milliards de dollars, une augmentation de 8% par rapport au même trimestre l'an dernier. Les analystes avaient prévu des recettes à 11,37 milliards de dollars.
On note que l'activité Data Center d'Intel a enregistré 2,5 milliards de dollars de recettes pour le dernier trimestre, comparativement au 2 milliards de dollars du quatrième trimestre 2009. Le Data Center Group propose des produits pour les serveurs et les systèmes de stockage. « La croissance sur le marché des entreprises a été forte, en particulier sur le segment des serveurs, en raison d'une forte demande de la part des professionnels et des datacenters », a déclaré Stacy Smith, directeur financier d'Intel, dans un commentaire publié sur le site d'Intel. Le chiffre d'affaires de l'activité client PC a généré 8,03 milliards de dollars par rapport à 7,76 milliards de dollars au 4eme trimestre 2009.
Pour toute l'année fiscale 2010, Intel a engrangé un revenu de 43 milliards de dollars, en hausse de 24% par rapport à l'exercice précédent. Intel espère un exercice 2011 aussi fructueux. « 2010 a été la meilleure année dans l'histoire d'Intel. Nous pensons que 2011 sera encore meilleure », a déclaré Paul Otellini, CEO d'Intel, dans un communiqué. Pour le premier trimestre de 2011, le fondeur de Santa Clara prévoit un chiffre d'affaires d'environ 11,5 milliards de dollars. Stéphane Nègre, PDG d'Intel France souligne que cette perspective est exceptionnel au regard des effets saisonniers qui habituellement diminuent le chiffre d'affaires. Il a par ailleurs expliqué que le marché hexagonal avait également de bonnes performances sans dévoiler de chiffres, ni de pourcentage.
Sandy Bridge et mobilité
Les deux dernières semaines ont été très denses pour Intel. La société a annoncé la semaine dernière le lancement de sa dernière génération de processeurs Core basés sur l'architecture Sandy Bridge, qui comprennent un processeur et un circuit graphique sur une seule puce. Ces processeurs devraient représenter plus de 30% des revenus de la compagnie sur l'exercice 2011, a déclaré Paul Otellini. De plus, Intel et Nvidia ont également mis fin à une longue bataille juridique en signant un accord de licences croisées, en vertu de laquelle le fondeur de Santa Clara a accepté de payer au spécialiste des architectures graphiques 1,5 milliard de dollars. Intel va verser 3,6 millions de dollars par an à Nvidia jusqu'en janvier 2016.
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Si la position d'Intel reste dominante dans l'éco-système PC, elle tente maintenant de se faire une place sur le marché des smartphones et des tablettes, qui est largement dominé par ARM. Les tablettes embarquant un composant Intel Oak Trail sont attendues à la fin de ce trimestre. Dans le domaine du smartphone, il faudra attendre le Mobile World Congress de Barcelone, en février prochain, pour l'annonce d'une puce de faible puissance, connue sous le nom de code Medfield et basée sur un coeur Atom. Les smartphones intégrant des puces Atom devraient arriver plus tard cette année, a précisé Paul Otellini. Ce dernier a indiqué que la société va mettre en oeuvre toute sa technologie pour proposer des puces moins gourmandes en énergie. Ainsi, l'abaissement de la gravure en 22 nanomètres à la fin 2011 pourrait apporter une réponse et concurrencer ARM qui monte en puissance. Stéphane Nègre a rappelé que les laboratoires de recherche d'Intel sur les smartphones sont basés en France. Celui de Toulouse et de Sophia Antipolis sont en charge de la partie hardware et Montpellier est dédié à l'applicatif.
Bataille avec ARM à plusieurs niveaux
Microsoft a annoncé au CES que son prochain système d'exploitation Windows serait porté sur l'architecture ARM. Paul Otellini a déclaré que ce qui ressemble à un revers potentiel pour Intel pourrait en fait bénéficier la compagnie. « Ce rapprochement permettra de mieux comprendre les attentes et les besoins des terminaux mobiles et donc d'avoir une influence sur les prestations que nous fournissons », a suggéré le dirigeant d'Intel. Il constate que le soutien de l'OS de Microsoft pourrait être l'occasion pour ARM de progresser sur le marché du PC, même si ce marché a ses spécificités et ses exigences de performance, note Paul Otellini. Le PDG de ARM, Warren East, a toutefois déclaré la semaine dernière que son entreprise ne vise absolument pas le marché des ordinateurs, mais plutôt celui des serveurs avec des puces basse consommation en sus du segment des des tablettes et des smartphones. Les tablettes sous Windows 7 fonctionnant avec des puces Intel seront commercialisées à la fin de ce trimestre. Le fondeur développe conjointement avec Nokia son propre système d'exploitation mobile pour les terminaux mobiles appelé Meego (une base Linux en fait), qui devrait animer les tablettes plus tard cette année, a déclaré Paul Otellini.
Le fondeur souhaite aussi donner un second souffle au segment des netbooks en ajoutant des fonctionnalités à ses puces Atom et en essayant de baisser les prix des ses équipements sur les marchés émergents. Atom se révèle aussi être un succès dans les systèmes embarqués, selon le PDG d'Intel. « Nous gagnons des parts de marché sur ce segment par la volonté de changer de l'architecture des puces ARM et MIPS » a conclu malicieusement Paul Otellini. Stéphane Nègre rappelle que cette orientation s'est déjà traduite par l'intégration de puces Atom au sein de la Freebox Revolution. Il a indiqué que Bouygues Telecom et Orange allaient aussi intégrer ces processeurs dans leur box.
Illustration : Paul Otellini, CEO d'Intel, crédit Photo : D.R
(...)(14/01/2011 10:56:29)Canalys optimiste sur les ventes de terminaux Android en 2011
Lancé fin 2008, Android a été rapidement soutenu par l'industrie mobile. De nombreux fabricants de téléphones mobiles ont adopté cet OS sur certains de leurs modèles, à l'image de Motorola, dont les nouveaux smartphones sont systématiquement équipés d'Android, Samsung, LG, HTC ou encore Sony Ericsson.
« La croissance d'Android a été phénoménale, de même que le nombre de terminaux équipés de ce logiciel mais dont les configurations techniques sont variées », explique Chris Jones, analyste chez Canalys. Selon ce cabinet, les livraisons de smartphones sous Android ont progressé de 1.000% au cours des neuf premiers mois de 2010 par rapport à la même période en 2009.
Une croissance inéluctable
Sur le troisième trimestre 2010, Canalys estime à 20,3 millions le nombre de smartphones Android vendus dans le monde, soit une part de marché de 25,1%. C'est moins bien que Symbian, l'OS de Nokia (29,9 millions, 37% de parts de marché), mais mieux que iOS, qui équipe l'iPhone d'Apple (14,1 millions, 17,4% de parts), ou le BlackBerry OS de RIM (12,4 millions, 15,4%).
Selon les projections de Canalys, Android devrait connaître en 2011 une croissance deux fois plus rapide que le reste du marché des smartphones, et ce, malgré l'arrivée de l'iPhone 4 chez l'opérateur américain Verizon. Jusque-là, l'iPhone n'était distribué que chez AT&T aux Etats-Unis. La fin de l'exclusivité sur le smartphone à la pomme pourrait en effet redynamiser les ventes de l'iPhone outre-Atlantique au détriment des mobiles Android.
iPad, Oracle, Google : Wozniak revient sur l'année 2010
La reconnaissance vocale doit avancer pour être capable d'« interpréter une grande variété de commandes », a déclaré Steve Wozniak, lors d'un événement dans la Silicon Valley. Le gourou a également salué l'iPad Apple et considère les tablettes sous Android comme les principaux concurrents. Il émet des doutes sur les capacités de Microsoft a à devenir un acteur important sur ce marché. En ce qui concerne Windows, il porte « trop de sentiments négatifs » sur l'OS de Microsoft basé sur ses propres expériences.
Il s'est ensuite prononcé sur les acquisitions d'Oracle et sur Google. « Les opérations de croissance externe d'Oracle s'apparentent à la volonté de rivaliser avec HP » souligne l'ancien employé de HP. Il avoue sa préférence pour Google, qui a un modèle économique conçu comme celui de la télévision, dans lequel il offre des services gratuits et les monétisent avec de la publicité.
Le SSD et fier d'Apple
Pour les entreprises, Steve Wozniack souligne la tendance récente de passer à la technologie Flash NAND pour les disques durs. Déjà, un dixième du trafic Internet provient de puces NAND Flash au lieu de disques durs classiques, déclare le directeur scientifique de Fusion-io, spécialiste de cartes de mémoire cache en Flash.
Celui qui le premier a quitté Apple en 1981, pour ensuite y retourner au milieu des années 80, s'est déclaré fier des récents lancements de son ancienne société. Il a cité les succès du téléphone portable iPhone, le lecteur de musique iPod, la tablette iPad, et les magasins de détail en ligne d'Apple, mais les exégètes auront remarqué l'absence de l'Apple TV dans son concert de louanges. (...)
RegionsJob lance un service mobile d'offres d'emploi sous Android
Après avoir développé une application d'offres d'emploi pour iPhone en juin dernier, le spécialiste de la gestion de carrières RegionsJob propose un service similaire pour les utilisateurs de smartphones sous Android. Disponible gratuitement sur l'Android Market, l'outil permet aux candidats d'accéder, depuis leur mobile, à plus de 3 250 offres IT (2 131 en informatique et 1 123 en high-tech/telecom) diffusées sur les 8 sites nationaux du réseau. Les personnes équipées de ces terminaux peuvent y enregistrer leurs recherches d'emploi, créer des alertes email et localiser les postes à pourvoir sur une carte grâce à l'intégration de fonctions de géolocalisation.
Complémentarité des applications mobiles et du Net
Il est également possible de télécharger des CV aux formats classiques (Word, PDF) sur un smartphone équipé de l'OS de Google et de partager des informations sur des réseaux sociaux ou par e-mail. D'autres fonctionnalités sont déjà prévues en 2011 pour permettre aux candidats d'accéder à des services de gestion de carrière à tout moment, en utilisant des applications mobiles quand ils sont en déplacement. Si l'utilisation de smartphones peut s'avérer utile pour répondre immédiatement à une offre, le canal du Net reste une valeur sûre pour rechercher un emploi. Les dirigeants de RegionsJob estiment que les services mobiles et les sites Internet sont complémentaires pour décrocher un job, chacun possédant ses propres avantages : les premiers, rapides et simple d'utilisation, les seconds utiles pour effectuer des recherches plus approfondies.
Crédit photo : D.R
App Store, une marque contestée par Microsoft
Apple a déposé cette demande en 2008 pour les biens et services, vendus par « services de magasin de détail offrant des logiciels fournis via Internet et d'autres types de réseaux ». La même année, la firme de Cupertino avait lancé l'App Store en même temps que son iPhone 3G. La boutique est maintenant disponible sur n'importe quel périphérique qui exécute le logiciel iOS de la société, à savoir l'iPod Touch et iPad, et très récemment une version dédiée aux Mac a été ouverte.
Mardi, Microsoft a déposé une requête en première instance pour demander le refus de considérer App Store comme une marque. Dans son recours, l'éditeur de Redmond a déclaré: « app » est un terme générique pour ce qui est vendu sur l'App Store et que « store » est également un terme générique pour les services de magasin de détail. Le grand rival d'Apple a aussi mis en avant les propos de Steve Jobs généralisant les termes déposés « Amazon, Verizon et Vodafone ont tous annoncé qu'ils créent leurs propres app store pour Android. » Enfin, Microsoft considère que les consommateurs, les commerçants et les médias utilisent «App Store» pour désigner indistinctement les boutiques en ligne où les applications sont vendues.
Microsoft a lancé une boutique en ligne pour les applications fonctionnant sur Windows Phone 7 depuis la fin 2010. En décembre, le cabinet IDC estimait que l'offre applicative de l'éditeur avait atteint 4 000 applications disponibles en seulement deux mois. Cette croissance est bonne si l'on se réfère à la même période pour les magasins en ligne d'Apple et Android mais bien loin de 300 000 applications de l'App Store et des 150 000 de l'Android Market.
Interview Warren East, CEO d'ARM : « Le marché du PC n'est pas notre cible»
Les processeurs à architecture ARM équipent la plupart des smartphones et des tablettes tactiles commercialisés dans le monde, et, avec le support de Windows, le fabricant pourrait bien maintenant concentrer ses efforts sur le vaste marché du PC, un secteur dont il est pratiquement absent. D'autant que Nvidia a aussi annoncé qu'elle mettait au point son premier CPU sur base ARM - nom de code de Denver -, destiné aux PC et à certains serveurs.
Malgré ces circonvolutions, les smartphones et les tablettes restent la priorité d'ARM, comme l'a affirmé son PDG Warren East, lors d'un entretien où il s'est exprimé sur Windows, le marché du PC et les futurs développements de l'architecture ARM.
Agam Shah : Qu'est-ce qui a conduit Microsoft à porter Windows sur ARM?
Warren East : Microsoft voulait couvrir un secteur beaucoup plus large que celui du seul PC, notamment sur le marché des appareils connectés à Internet, sur lequel ils peuvent constater que le processeur ARM équipe la plupart des dispositifs. D'où la nécessité pour eux d'y porter leur système d'exploitation. C'est une bonne chose que Microsoft en soit finalement arrivée à cette conclusion. Elle fait là un pari audacieux.
Cela signifie-t-il qu'ARM va désormais cibler le marché du PC ?
Nous n'avons jamais envisagé de cibler le marché du PC. C'est la plate-bande d'Intel, et l'OS de Microsoft ne fonctionne pas sur ARM. Cela serait d'ailleurs extrêmement coûteux avec à la clef un gain pas franchement à la hauteur. D'un point de vue financier, chaque fois que quelqu'un achète un PC, ARM touche des royalties sur les composants. La seule chose qui manque, c'est le CPU, dont le prix de vente est de l'ordre de 40 à 50 dollars. Certes, cela représenterait une ressource importante pour nous, surtout compte tenu du volume de PC vendus, qui atteint 300 millions d'unités. Mais clairement, ce que nous pourrions vraiment gagner en plus n'est pas significatif.
À quel moment verra-t-on Windows sur des matériels tournant sur processeur ARM?
Pour cela, il faut poser la question à Microsoft.
Est-ce que le portage de Windows sur ARM est compliqué ?
Le problème du portage sera très difficile et très coûteux à résoudre pour Microsoft. Après 25 ans d'histoire entre le système d'exploitation Windows et le PC, la question ne relève pas que d'un simple transfert du kernel. Il y a toutes les applications, les pilotes de périphériques. C'est un énorme travail. On comprend pourquoi Microsoft n'a pas jugé bon effectuer ce portage jusqu'à ce jour.
Pour lire la suite de cette interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien (...)(12/01/2011 12:48:27)Facebook, vecteur puissant de malware sur smartphone
« L'iPhone fonctionne dans un environnement plus contrôlé et le modèle de sécurité de BlackBerry est assez fort. Android fonctionne lui dans un environnement plus ouvert et donc plus exposé aux attaques, » explique Graham Cluley lors d'un entretien à nos confrères d'IDG NS. Étant donné la popularité croissante des téléphones Android dans l'entreprise, le consultant alerte les responsables IT sur les potentiels risques. Les logiciels malveillants sont transmis sur les téléphones via des messages Facebook qui sont en fait du spam très élaboré. Un rapport de Sophos sur les menaces qui doit sortir la semaine prochaine met en avant ce type de risques provenant du site de réseau social. « Le spam est un élément incontournable, mais les motivations et les méthodes changent et se perfectionnent pour tirer plus de bénéfices pour les spammeurs, » indique Graham Cluley.
Un diffuseur puissant sur mobile
Récemment, BitDefender a publié un rapport avertissant que Facebook est devenu la plus grande menace pour les malware mobile. L'éditeur s'appuie sur des statistiques de Google révélant que près d'un quart des utilisateurs de Facebook ont eu une tentative de scam sur le réseau social depuis leur téléphone portable. Pour des besoins de tests, le spécialiste de la sécurité a étudié une URL portant sur le statut sur Facebook d'une jeune fille qui s'est fait exclure de son école. Elle a généré 28 672 clics, dont 24% provenait de mobiles. Les internautes qui ont cliqué sur le lien - que ce soit depuis leur PC ou leur appareil mobile - ont téléchargé un ver. George Petre, responsable Threat Intelligence chez BitDefender explique « lorsque les chercheurs en matière de sécurité se concentrent sur la recherche de logiciels malveillants spécialement conçus pour les plateformes mobiles, ils perdent de vue une source importante de la diffusion les réseaux sociaux ».
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