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Société
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(10/01/2008 16:50:47)
20 000 postes à pourvoir pour l'édition de rentrée des Jeudis
Signe que le marché de l'emploi est toujours tendu, les annonceurs se sont bousculés à l'occasion de la première édition de rentrée du salon de l'emploi IT LesJeudis. Plus de 70 entreprises de la high-tech se sont en effet rassemblées jeudi 10 janvier, dans l'enceinte du Palais des Congrès de la Porte de Versailles, à Paris. Avec, à la clé, 20 000 offres émanant de SSII, éditeurs de logiciels et entreprises utilisatrices. Ce qui devrait permettre d'attirer un nombre de visiteurs estimé à 4 500, par les organisateurs. « Les prévisions de recrutement 2008 sont une nouvelle fois à la hausse, commente Cédric Barbier, organisateur du salon. Avec, cette année, un nombre d'exposants qui a augmenté de 50% par rapport à 2007. » Les candidats - stagiaires, jeunes diplômés, et expérimentés -, qu'ils soient en poste ou disponibles immédiatement, n'ont eu que l'embarras du choix, tant l'offre était vaste : administrateurs, architectes, chefs de projet, commerciaux, consultants, ingénieurs d'études et développement, ingénieurs systèmes, techniciens... Quant aux intentions d'embauches des grandes SSII, elles paraissent toujours aussi massives : 2 500 postes à pourvoir chez Atos Origin, 2 000 offres chez CapGemini, 1500 chez GFI Informatique, 1 800 offres chez Unilog LogicaCMG et Astek, 1 700 pour Sopra Group. En revanche, on sait bien que dans les faits, les embauches n'atteignent pas ce niveau affiché. En parallèle les candidats ont pu profiter d'un atelier CV et de conseils d'un consultant RH pour valoriser leur parcours ou rédiger leurs lettres de motivation. Grands absents de cette édition de rentrée : les banques utilisatrices telles que BNP Paribas, ou Cetelem, qui avaient pourtant fait leur grand retour lors des précédentes éditions du salon de l'emploi IT. Et IBM, qui préfère attendre le mois de mai pour honorer le salon de sa présence. (...)
(09/01/2008 15:53:53)Forrester souligne l'avancement du Green IT dans les entreprises
Si, dans la pratique, les déploiements de politiques « vertes » peinent à se frayer un chemin, les entreprises mondiales commencent toutefois à prendre en compte les critères environnementaux dans leurs évaluations et leurs sélections de produits IT. Ce constat, plutôt optimiste, relevé par le Forrester dans son baromètre trimestriel « Green progress in entreprise IT » montre que le taux d'adoption ou d'acceptation de problématiques écolo serait en nette hausse dans le IT : 38%, contre 25% en avril 2007, des entreprises sondées ont ainsi intégré dans leur processus de sélection le caractère « vert » du produit. Plus globalement, souligne Forrester, le concept de green IT a gagné en popularité dans les processus des entreprises. En octobre, date de l'étude, seules 6% n'en tenaient pas compte, contre 13% en avril. 59% estiment cela important ; 35% très important. Une progression que l'on doit toutefois pondérer. Si Forrester met en avant dans son étude l'évolution du principe de l'informatique verte dans les entreprises, le cabinet souligne également l'absence d'intégration du concept pour la majorité des sondés. Bon point pour les intentions et la prise de conscience ; peu faire beaucoup mieux dans l'opérationnel, semble dire Forrester. Sur la totalité des entreprises ayant participé à l'étude (130), seulement 15% ont de véritables projets de déploiements. 25% sont en cours de création. 39% ne font que considérer de loin un projet et 22% n'ont rien de prévu. Des chiffres que Forrester qualifie toutefois de « prometteurs » notamment par la part grandissante des projets latents. Réduire les coûts et sauvegarder l'environnement Sans surprise, la réduction des coûts induits par le Green IT reste la motivation première (pour 55% des sondées) dans la mise en place de projets (comme la diminution de la facture d'électricité). Plus étonnant, c'est une préoccupation purement écolo qui arrive en deuxième place du classement. Pour 50% des entreprises interrogées, l'intérêt premier de mettre en place une politique verte serait ... « parce que c'est bon pour l'environnement ». Ce qui fait dire à Forrester que les raisons financières et environnementales fonctionnent de pair et ce duo devrait ainsi populariser le Green IT. Viennent ensuite la baisse des dépenses opérationnelles (31%), l'amélioration de l'image de l'entreprise (29%), l'alignement sur une politique corporate (28%), la mise en conformité avec la loi (20% - un pourcentage qui devrait gonfler en Europe dans les mois à venir) et enfin, l'amélioration de l'infrastructure (19%). Le cabinet d'analystes insiste enfin sur le fait que l'éducation environnementale des consommateurs et des acheteurs professionnels modifie les problématiques des constructeurs, qui voient dans leur recommandations de plus en plus de clauses liées au Green IT. Surtout en Europe. (...)
(08/01/2008 16:55:35)Progress Software : bénéfice net en hausse de 44% grâce aux SOA
2007 a été une année profitable pour Progress Software. L'éditeur de logiciels d'infrastructures SOA vient en effet de publier un chiffre d'affaires de 494 M$, en progression de 10%, et un bénéfice net qui est passé de 29,4 M$ à 42,3 M$ (+44%). Sur un marché marqué par la consolidation - Oracle, IBM, Microsoft et SAP captant de plus en plus d'acteurs - Progress met en avant sa bonne santé financière : « La trésorerie et les investissements à court terme de la société se montent à 340 millions de dollars à la fin du trimestre, indique l'éditeur. Au cours du dernier trimestre, la société a acheté 600 000 actions pour un coût de 18,5 millions de dollars. L'autorisation de rachat existante, au titre de laquelle la société peut encore racheter 9,4 millions d'actions environ, expire le 30 septembre 2008. » Le quatrième trimestre a particulièrement été fructueux, puisque le bénéfice net a enregistré une augmentation de 75% (12,1 M$ contre 6,9 M$ un an plus tôt). Sur cette même période, les revenus générés par la vente de licences atteint 53,8 M$, contre 49,4 M$ en 2006 (+9%). La société explique ces bons résultats par la maturité du marché, et la forte adoption des architectures orientées services (SOA) dans les entreprises. Les ventes de logiciels SOA ont en effet progressé de 20% en 2007 chez l'éditeur. Progress Software ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, et table d'ores et déjà sur un chiffre d'affaire compris entre 515 et 525 M$ pour l'exercice fiscal 2008. Progress Software propose ses solutions SOA sous différentes marques : Apama (gestion d'événements en temps réel), Actional (supervision des services Web), DataXtend (réplication et accès aux données) et Sonic (bus de services d'entreprise). L'éditeur emploie 1600 personnes dans une trentaine de pays (27 personnes en France). (...)
(08/01/2008 15:06:01)Le PDG d'Intel prédit un lifting du visage du Web
Dans son discours inaugural hier au CES de Las Vegas, Paul Otellini, le PDG d'Intel, s'est plié à l'exercice habituel de la boule de cristal. Et ses prédictions ont rejoint en grande partie celles prononcées par Bill Gates la veille, puisque Paul Otellini a décrit un monde d'objets numériques interconnectés, et surtout un Web beaucoup plus personnalisé, offrant davantage d'immersion et d'interactivité. Pour le patron d'Intel, Internet offre une expérience pénible pour l'utilisateur. Prenant l'exemple de la recherche, Paul Otellini décrit un processus long, où il faut allumer un ordinateur, se rendre sur le site d'un moteur de recherche, puis parcourir les résultats. Ce processus est en train de changer, indique Paul Otellini. Bientôt, dit-il, il sera bien plus personnalisé, c'est la recherche qui viendra à l'utilisateur, et non l'utilisateur à la recherche. Et cela grâce à de nouvelles interfaces - Paul Otellini a cité l'exemple de la Wii, la console de jeu de Nintendo -, à des appareils connectés - grâce au Wimax, le standard défendu par Intel - et aux réseaux sociaux. Ainsi, l'utilisateur sera reconnu et ses besoins anticipés. Canmore, puce tout-en-un pour les appareils mobiles multimédias De fait, la caractéristique première des réseaux sociaux est d'agréger des données sur les utilisateurs. Paul Otellini a pointé sur eJamming Audiio, réseau social et outil collaboratif pour partager ses goûts musicaux et faire un boeuf avec d'autres internautes. Une collaboratrice de Microsoft, la veille, avait fait une démonstration de Zune Social, le réseau social, encore en bêta, rattaché au lecteur audio de Microsoft. Un bon moyen de partager ses goûts musicaux... et de diriger l'internaute vers un site d'achat en ligne. Revenant à sa marotte du jour, Paul Otellini a expliqué que se généraliseraient les appareils mobiles connectés au Web - et animés par des technologies Intel, comme le futur Canmore, une puce intégrant les éléments nécessaires pour de la télévision HD et du son de haute qualité. Grâce à ces puces tout-en-un, ces appareils prendront moins de place, et dans la mesure où ils seront connectés et connaîtront les goûts de l'utilisateur grâce aux réseaux sociaux, ils pourront anticiper ses demandes. Là, c'est aller un pas plus loin que Bill Gates, qui a dévoilé un prototype permettant de récupérer moult informations à partir d'un capteur photo : le programme du cinéma, le menu du restaurant, le trajet pour y aller... Mais il fallait viser et capturer l'image du bâtiment en question. Pour l'anticipation des besoins, il faudra attendre encore un peu. (...)
(08/01/2008 10:08:36)Vers un marché unique pour le contenu en ligne
Et si les 27 pays de l'Union européenne avaient une même politique commune pour la commercialisation de contenu en ligne ? Avec des règles communes pour la gestion des droits numériques, la redevance à reverser aux ayant-droits et la copie privée ? Tel est, en tout cas, le premier grand chantier de la Commission européenne en 2008. "Le secteur du contenu européen souffre de sa réglementation fragmentée, de son manque de règles claires et respectueuses du consommateur pour l'accès au contenu en ligne protégé par droit d'auteur, et aussi de la présence de sérieux désaccords entre les parties intéressées sur des questions aussi fondamentales que les taxes et la copie privée", déclare Viviane Reding, commissaire européen responsable de la Société de l'information et des medias. Prenant acte d'une consultation menée sur ce domaine en 2006, la Commission européenne a identifié quatre grands axes à développer : rendre plus facilement disponible le contenu créatif en ligne en répondant aux réticences de ses propriétaires, créer des licences multi-territoriales pour exploiter un même contenu facilement à travers les 27 pays de l'Union, rendre les différents systèmes de gestion des droits numériques transparents et interopérables, lutter contre le piratage et le partage illicite de fichiers. Dans un premier temps, cette évolution vers un marché unique devrait prendre la forme d'une recommandation vers le milieu de l'année mais, si la situation l'exige, Viviane Reding n'exclut pas la mise en place d'une législation contraignante. Toutes les parties intéressées (producteurs, opérateurs ou associations de consommateurs) ont jusqu'au 29 février prochain pour donner leur avis sur la question avant l'élaboration de la recommandation. (...)
(07/01/2008 17:53:25)La technologie accroît la soif de contrôle des jeunes, selon Cap Gemini
« Digital natives », c'est ainsi que Cap Gemini qualifie les jeunes âgés de 14 à 25 ans qui ont grandi avec la PlayStation, le téléphone mobile, la photo numérique, l'iPod, et maintenant la console Wii ou encore l'iPhone. Le cabinet d'études vient de publier une étude sur le comportement des jeunes face aux nouvelles technologies. Les modes de communication ont considérablement évolué. 75% des adolescents connectés privilégient la messagerie instantanée, contre 42% des adultes. Exit donc la télé, la radio ou la presse papier, les jeunes se ruent sur Internet, sur les blogs, les sites communautaires ou encore les SMS. Le cabinet d'études a identifié quatre tendances chez cette nouvelle génération : la soif de contrôle, l'impatience, l'esprit communautaire et le besoin d'expression. Car cette génération n'est pas seulement sur-équipée, elle est également très exigeante, notamment en terme de mobilité et de communication. Les jeunes ont un réel besoin de tout contrôler, tout de suite. Ils veulent avoir accès à l'information où qu'ils se trouvent, que ce soit pour mettre à jour leur statut sur leur blog, envoyer des messages à un contact ou publier en temps réel une photo prise avec un téléphone portable. Ce besoin de contrôle explique en partie pourquoi les jeunes passent de moins en moins de temps à écouter la radio ou devant la télé (1 h 30 de moins par rapport à 2001), car ils ne peuvent pas contrôler ces médias. On observe aussi un glissement de ces médias vers un autre support, l'ordinateur : 38% des jeunes regardent du contenu télévisuel sur leur PC, et 40% d'entre eux s'en servent également pour écouter la radio. Mode multitâche ou défaut de concentration L'impatience, quant à elle, se traduit par la capacité de travailler en mode multitâche, en jonglant avec toute une panoplie d'outils high tech. Cette compétence est plutôt considérée par leurs aînés comme un défaut de concentration, voire de la dispersion, ce qui entraîne d'après eux un manque d'efficacité. Troisième tendance, la volonté de tisser des liens avec des communautés, afin de partager opinions, vécu, photos. D'après l'institut Pew Internet, 55 % des adolescents américains déclarent utiliser des réseaux sociaux, comme MySpace ou Facebook. Enfin l'étude de Cap Gemini soulève un dernier point, le besoin de développer leur créativité et de mettre en avant leur originalité. Ce que confirme encore Pew Internet, 64% des adolescents américains créent régulièrement du contenu sur le Web, contre 57% en 2004. Ces jeunes sont donc souvent technologiquement en avance sur leurs aînés, et les entreprises qui souhaiteront les embaucher dans les années à venir devront prendre en compte les nouveaux comportements de la « génération Internet ». Des adaptations s'imposent en ce qui concerne les conditions de travail, la culture de l'entreprise et son mode de fonctionnement. Capgemini conseille en outre aux entreprises d'exploiter ce vivier créatif, en impliquant davantage leurs futurs salariés dans des projets technologiques novateurs (dans la recherche et le développement, le marketing par exemple). Cela peut également passer par la création de blogs, où les salariés pourraient exprimer leur propre opinion sur les produits de l'entreprise, suggérer des améliorations... bref, privilégier le participatif. (...)
(07/01/2008 16:14:39)CES : Bill Gates fait ses adieux en musique
Bill Gates a convoqué des artistes comme Jay-Z, Bono et Slash pour faire, en musique, ses adieux au CES de Las Vegas. Délivrant hier soir le premier 'keynote' du Consumer Electronics Show, le fondateur de Microsoft a encore une fois exposé sa vision d'un monde connecté, mais aussi profité de l'occasion pour rappeler son intention de s'occuper à plein temps de sa fondation à partir de juillet prochain. Il s'agira donc de son dernier discours au CES - du moins en tant que représentant de Microsoft. Le premier datait de 1994, a rappelé l'actuel président du conseil d'administration de l'éditeur. Bill Gates, qui n'est pas un 'showman', a tout de même réussi à conquérir le public présent au Venetian, l'un des plus beaux hôtels-casinos de Las Vegas, avec une vidéo de quelques minutes montrant ce que pourrait être son dernier jour chez Microsoft. Dans cette fiction, Bill Gates n'hésite pas à se moquer de lui-même. On le voit ainsi tentant de démontrer son talent de musicien au rappeur Jay-Z, de convaincre la rock star Bono de lui offrir une place au sein de U2, de passer une audition déguisé en Wolverine (un des X-Men) devant Steven Spielberg, de harceler des présentateurs de la télévision américaine pour obtenir un emploi auprès d'eux, ou encore de se proposer en co-listier aux présidentiables Hillary Clinton et Barak Obama... Plus classiquement, Bill Gates est ensuite revenu sur les quelques années écoulées et le discours qu'il tenait alors sur les appareils connectés pour expliquer que nous entrions dans une autre ère - « the next digital decade » - où l'utilisateur serait au centre. Trois éléments domineront cette décennie, a-t-il indiqué. D'abord, l'image et le son de haute qualité seront partout. Ensuite, tous les appareils délivrant ces services seront interconnectés. Enfin, les interfaces utilisateur vont évoluer, pour prendre en compte le toucher - comme l'iPhone, a expliqué Bill Gates -, la parole ou la reconnaissance des formes ou des gestes. « Nous sommes juste au commencement », a-t-il dit. La console Xbox 360 au coeur de la stratégie grand public Plusieurs démonstrations ont émaillé ce discours d'introduction d'un peu plus d'une heure. Une collaboratrice de Microsoft a montré comment l'authentification unique Windows Live ID pouvait simplifier la vie en rendant possibles les échanges entre tous les services Windows Live, tandis que Bill Gates lui-même a utilisé un prototype de Surface, sa table-écran tactile. Après rappel de quelques chiffres (420 millions d'utilisateurs inscrits sur Windows Live, 100 millions d'utilisateurs de Vista, 20 millions d'utilisateurs de Windows Mobile, 17,7 millions de consoles Xbox livrées...), Bill Gates et Robbie Bach, président de la division Entertainment & services, ont fait quelques annonces. On retiendra notamment que NBC utilisera la technologie d'affichage Silverlight pour la couverture en webcast des Jeux olympiques de Pékin l'été prochain, et que BT sera le premier opérateur à proposer des consoles de jeu Xbox 360 comme plateformes pour la télévision. C'est finalement guitare en bandoulière que Robbie Bach et Bill Gates ont conclu, sur un défi lancé par le premier, sur le jeu Guitar Hero 3, où il s'agit de reproduire les plus grands riffs. Tandis que Robbie Bach s'est fait aider en convoquant une championne de ce jeu, pour une interprétation honnête de l'introduction de Welcome to the jungle, des Guns'n'Roses, Bill Gates a reçu le soutien sur scène de Slash, créateur de ce riff... (...)
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