Flux RSS

Société

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1898 documents trouvés, affichage des résultats 1391 à 1400.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/09/2007 10:47:38)

Web 2.0 : encore mal intégré dans les entreprises

Alors que les technologies du web 2.0 se développent à grande vitesse dans le grand public (via les wikis, les réseaux sociaux, les blogs), elles rencontrent encore beaucoup de réticences auprès des entreprises... alors que ces technologies sont censées favoriser la communication et les échanges d'informations. Pourquoi cette frilosité du côté des entreprises ? BEA Systems s'est penché sur la question. L'éditeur a réalisé une étude auprès de 320 cadres dirigeants, répartis dans sept pays européens (France, Allemagne, Italie, Norvège, Espagne, Suède et Royaume-Uni). Cinq questions leur ont été posées. Par exemple : pourquoi les dirigeants d'entreprise n'investissent-ils pas davantage dans les outils du web 2.0 ? Quelles technologies votre société a-t-elle déjà adopté, ou envisage-t-elle d'adopter dans les douze prochains mois ? Quelque 57% des personnes interrogées attribuent ainsi le faible taux de pénétration du web 2.0 dans les entreprises au manque de compréhension de la technologie de la part des dirigeants. Sont cités ensuite le manque de contrôle du contenu diffusé (puisque chaque utilisateur devient « producteur de contenu ») avec 23% des personnes interrogées, puis les problématiques de sécurité (20%). Une gestion de la raison client intuitive et instantanée Sur le podium des raisons qui pourraient pousser les entreprises à se tourner vers des outils web 2.0, on trouve en première position l'amélioration de l'interaction entre entreprise et clientèle (41%). D'après l'étude, des options comme un « chat » en temps réel ou des messages instantanés pourraient améliorer la gestion de la relation client, en terme SAV par exemple. Sont ensuite citées l'amélioration de la collaboration entre salariés (31%) et l'opportunité de créer une interface unique avec les partenaires ou les fournisseurs de l'entreprise (28%). L'étude révèle par ailleurs que ce sont les services Web qui rencontrent le plus de succès dans les entreprises (38%) : « ils offrent la possibilité de relier les systèmes entre eux, d'automatiser les processus métier et de catalyser les Architectures orientées services (SOA) », d'après BEA Systems. Avec 18% des personnes interrogées, les wikis semblent amorcer une percée prometteuse. Blogs et RSS ne décollent pas encore (respectivement 11 et 10%). Mashups et Podcasts sont nettement à la traîne, avec 6% et 3%. Au niveau des technologies Web 2.0 privilégiées par les responsables informatiques, on retrouve Ajax (26%) devant Dojo et Flex (22% chacune). BEA systems souligne par ailleurs l'intérêt grandissant pour les API (16%), comme celle proposée par Google Maps, ainsi que les kits d'outils web (14%). Les pays européens inégaux face au web 2.0 Enfin dernier constat de l'étude, il existe de fortes disparités entre les pays européens. Les pays nordiques, pourtant connus pour être à la pointe de l'utilisation des technologies informatiques, sont les cancres de la classe. 83 % des décideurs norvégiens et 69 % des Suédois admettent ainsi « mal cerner les avantages métiers potentiels des technologies Web 2.0 ». En France et en Allemagne, les dirigeants font preuve de prudence en matière d'implications liées à la sécurité (respectivement 33 et 32 %) des répondants, contre une moyenne européenne de 21 %. (...)

(03/09/2007 09:09:31)

Google News publie les dépêches de quatre agences

Google permet aux internautes, depuis le 31 août, d'avoir accès directement aux fils de grandes agences de presse à partir de son site Google News. Jusqu'alors il fallait se rendre sur les sites des journaux reprenant les informations des agences pour consulter ces dernières dans leur intégralité. Désormais, Google News pointera directement vers les dépêches de l'AFP, d'AP, de l'UK Press Association et de Canadian Press. Concrètement, le services d'actualité du pantagruélique moteur de recherche détectera, parmi les centaines de sites reprenant une même dépêche, l'origine de l'information et renverra vers l'agence qui en est à l'origine. De fait, Google affirme que cela conduira à la suppression de liens vers des contenus maintes fois répétés. A la clé, une meilleure lisibilité pour l'internaute et « davantage de crédibilité pour les informations [de nos partenaires] », explique-t-on chez Google. Crédibiliser les actualités des agences peut également être vu comme une arme pour monétiser ce type de contenu. Google pourrait ainsi être tenté d'afficher de la publicité sur son site d'informations, une initiative qui se ferait inévitablement au dépend des publications en ligne dont la plupart ne vit que grâce à la réclame. Le site d'agrégation d'actualités a conclu des accords avec plusieurs agences de presse au cours des deux dernières années, notamment avec Associated Press et l'AFP. Cette dernière avait lancé des poursuites en mars 2005 contre Google pour violation de copyright, avant d'enterrer la hache de guerre un an plus tard. (...)

(31/08/2007 15:27:41)

Chantier Paie de l'Etat : choix d'un prestataire pour assister l'ONP

C'est aujourd'hui que se clôture l'appel d'offres lancé par l'opérateur national de paye (ONP) le 17 juillet dernier. Les SSII intéressées pouvaient remettre leurs propositions jusqu'à 16 heures. L'opérateur public recherche un prestataire informatique pour l'assister dans son projet de mise en place du système de paie des agents de l'Etat. Un marché d'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMO), reconductible une fois pour douze mois, et dont le montant s'élève à 10 M€ (à noter que dans ce cadre, il est prévu de recourir à un marché pour prestations similaires de douze mois, renouvelable deux fois au maximum). La notification, par l'ONP, du nom du prestataire retenu est attendue dans les 180 jours. Ce projet s'inscrit dans le sillage du chantier de refonte des SIRH (système d'information des ressources humaines) ministériels qui s'est engagé dès octobre 2002. En mai 2005, notification du marché avait été faite à l'éditeur SAP d'un noyau SIRH commun à partir duquel chaque ministère allait pouvoir bâtir son propre SIRH. Ce noyau a été validé en service régulier en décembre dernier. L'ONP, en qualité d'opérateur interministériel unique, va maintenant plancher sur le choix du progiciel de paie. A lire aussi : - Les investissements IT du secteur public continuent de croître - Sept universités et le CNAM basculeront sur SAP au 1er janvier 2008 - Le planning de Chorus enfin fixé - Gouvernement Fillon : les défis IT qui attendent les promus (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >