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Société

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(14/06/2007 15:48:23)

Le bureau du Syntec informatique accueille sa première femme

Michèle Guren, de CA, est la première femme élue au sein du bureau de Syntec Informatique. La chambre professionnelle Syntec Informatique a procédé, comme tous les ans, au renouvellement d'une partie de son conseil d'administration, composé de 27 membres, à l'occasion de son assemblée générale. Chacun de ses métiers disposant statutairement d'une représentativité proportionnelle à son poids économique au sein du conseil d'administration : soit 16 postes dans la catégorie services informatiques (6 à pourvoir en 2007), 8 postes pour la section éditeurs de logiciels (3 à pourvoir en 2007), et 3 postes pour le conseil en technologies (un poste à pourvoir en 2007). A l'issue de ce renouvellement, Michèle Guren a été élue dans la catégorie des éditeurs de logiciels. Elle exercera son mandat aux côtés de Jean-Pierre Brûlard, de Business Objects (réélu) et d'Eric Bantegnie d'Esterel (élu). Christian Mari a été choisi pour représenter le conseil en technologies. Dans la catégorie services informatiques, Thierry Grimaux (Atos Origin), Khaled Draz (Euriware), Francis Boyer (Nokia), François Bonifacio (HP), et Pierre Joudiou (T-Systems) ont été désignés, et Thierry Siouffi (Unilog/LogicaCMG) réélu. Pour rappel, le conseil d'administration de Syntec Informatique a pour mandat d'oeuvrer à la définition et au suivi de la politique et des actions de la Chambre Syndicale, à la défense et la promotion des intérêts collectifs professionnels et se préoccupe, à travers l'animation de commissions, des questions déontologiques, économiques, internationales, juridiques, sociales et techniques liées aux activités des sociétés membres (...)

(14/06/2007 10:18:06)

Le planning de Chorus enfin fixé

Le planning de déploiement du projet Chorus a enfin été communiqué par l'AIFE (Agence pour l'informatique financière de l'Etat). Chorus est destiné à remplacer Accord Palier 2006 (également nommé Accord LOLF), qui ne concernait que les administrations centrales, et à s'étendre à toutes les administrations déconcentrées. Accord Palier 2006 et Chorus sont issus du dédoublement du projet Accord 2, arrêté par Nicolas Sarkozy alors qu'il était ministre des finances. Chorus permettra de tirer pleinement partie des dispositions de la LOLF (Loi Organique sur les Lois de Finance) en matière de contrôle de gestion de l'Etat. Jacques Marzin directeur de l'AIFE, indique : « il y aura une version par semestre, en janvier et en juin, à partir d'une V0 en janvier 2008. L'utilisation de la V0 reste à définir, entre prototype démonstrateur et mise en production auprès d'un nombre restreint d'acteurs. La V1 (mi 2008), constituera la première expérimentation, auprès de 200 à 1000 utilisateurs sur un périmètre proche du coeur de Chorus et avec les premiers outils de reprise automatique de données [issues notamment de Accord Palier 2006]. La V2 (début 2009), la V3 (mi 2009) et la V4 (début 2010) correspondront aux vagues de déploiement permettant de terminer la validation des outils du déploiement industriel (V2) et d'achever le déploiement. Elles diffèrent par leur périmètre, [et] par la mise à disposition progressive des fonctionnalités avancées de Chorus. » Les modalités de l'intégration de Chorus au sein des SI de chaque ministère sont encore en phase d'étude. (...)

(14/06/2007 09:55:15)

La liste de diffusion Lapetition.com transformée en outil de spam

Comment un communiqué de presse peut devenir un cauchemar pour les journalistes, les créateurs de la liste de diffusion, et plus largement tous les abonnés à cette liste qui se plaignent, à juste titre, de spam intensif... C'est l'exemple édifiant qu'est en train de donner Lapetition.com. « Au départ, explique François Théry, responsable du site et créateur du concept, nous nous sommes regroupés à trois associations pour annoncer la création du concept Petition21 au travers d'un communiqué de presse. Mais cela s'est transformé en catastrophe, c'est complètement contre-productif. » A titre anecdotique, notre interlocuteur a commencé sa réponse au téléphone par : « Vous nous appelez pour nous engueuler, je suppose, ce en quoi vous auriez parfaitement raison... » De fait, plusieurs destinataires de la liste, s'estimant spammés, ont demandé à voir leur nom retiré de la liste de diffusion, en répondant à la liste elle-même, qui a retransmis leurs messages, forcément de plus en plus énervés, les destinataires étant de plus en plus spammés. Où l'on notera d'ailleurs le faible niveau de compétence des personnes concernées (journalistes pour la plupart) qui, à l'heure qu'il est, et malgré les messages explicatifs et/ou humoristiques de certains (qui ont eux-mêmes contribué à faire exploser le nombre de courriels non sollicités), continuent de demander leur désinscription par ce biais. Une grossière erreur d'installation Parmi ces messages explicatifs, on retiendra par exemple celui d'un collaborateur régulier du Monde Informatique : « Vous croyez que vous êtes spammés ? Certes vous l'êtes mais ce soir, à chaque fois que vous répondez à un message, vous êtes vous-mêmes des spammeurs (comme moi maintenant d'ailleurs). Quant à demander gentiment que quelqu'un vous retire de cette liste de diffusion... autant demander poliment aux cambrioleurs de votre appartement de vous restituer vos bijoux, ou même à Dieu de supprimer la misère dans le monde. Vous répondez habituellement au spam ? Non. Alors ne répondez pas à cette liste (je sais, je ne donne pas le bon exemple mais je ne pouvais pas ne pas réagir à tant de naïveté). » Comment expliquer ce ratage complet ? « C'est un serveur qu'on vient d'installer, explique François Théry. Soit l'installation de Mailman a été mal faite, soit c'est une attaque, soit c'est un virus... Un informaticien est en train de déchiffrer les logs en ce moment. » Après réflexion, François Théry penche d'ailleurs pour l'hypothèse, a priori étrange, de l'attaque : « On a fait récemment un site pour des opposants iraniens au régime des mollahs, donc on soupçonne une attaque, mais bon, on n'en a pas la preuve. » [MISE A JOUR : Finalement, François Théry nous rappellera une demi-heure après : « Il semble que ce soit une grosse erreur d'installation, le filtre de modération n'était pas en place, la liste était ouverte au lieu d'être fermée, il n'y a aucune trace d'attaque, nous sommes les seuls responsables. »] L'incident remet en tout cas en lumière le problème de la légalité des listes de diffusion et des fichiers de noms. François Théry prétend que sa liste répond aux normes en vigueur. « Nous avons fait une liste à partir des gens inscrits sur nos listes de diffusion [telle que Planete Ecologie, soit 90 000 noms en tout, d'après monsieur Théry, NDLR], et nous avons demandé à Hors Antenne [une agence revendiquant une base de 93 299 journalistes dans 15 409 médias, NDLR] une liste de quatre à cinq mille journalistes concernés par l'écologie et le développement durable. » Le concept de Petition21, lui, risque de ne pas être durable à ce rythme, même si, comme le dit son créateur, « cela fait quinze ans que nous oeuvrons pour le développement durable ». (...)

(13/06/2007 16:35:43)

Le développement des nanotechnologies mal accompagné par les institutions américaines

L'étude récemment présentée par J. Clarence Davies pour le Woodrow Wilson International Center (qui n'est autre que le centre d'études américain qui a initié en 2005 le « project on emerging nanotechnologies ») est alarmiste. Dès la deuxième ligne de la préface écrite par David Rejeski (directeur du project on emerging nanotechnologies), on peut lire : « les impacts incertains sur la santé, l'environnement et la société qui peuvent surgir avec cette technologie émergente, requièrent avec urgence, notre attention. » Le ton est donné et le rapport va recenser très précisément les risques induits par un développement (trop ?) rapide de cette technologie, avec des systèmes d'encadrement scientifique et institutionnel, visiblement incapables d'évoluer aussi vite que les nanotechnologies. Davies met en cause l'EPA (Environmental Protection Agency), qui est l'agence fédérale américaine dédiée à la protection de l'environnement. Celle-ci ne jouerait pas son rôle dans la définition des orientations de recherche pour les applications et implications des nanotechnologies à l'environnement. Autre sujet d'inquiétude : les conséquences chimiques des nanoproduits et nanomatériaux dans un contexte législatif inadapté. Une proposition : un « oversight system » destiné à prendre des mesures préventives Finalement, c'est l'application multiple des nanotechnologies dans tous les secteurs d'activité qui exacerbe les risques et limite la surveillance. Mais Davies ne se contente pas d'énumérer les risques et les manques du système américain : dans la deuxième partie de son étude, il milite en faveur d'un « oversight system », c'est-à-dire de la définition d'un ensemble de mesures préventives offrant la possibilité d'identifier les risques potentiels par un contrôle organisé du processus, du début à la fin du cycle de vie des nanoproduits. Des indicateurs de contrôle et un agenda à court et moyen termes (de un an à cinq ans) sont donc proposés, avec une place prioritaire accordée aux répercussions envisagées des nanotechnologies sur l'environnement et la santé. (...)

(13/06/2007 14:14:08)

Google et Microsoft unis pour les économies d'énergie

Après le Green Grid, la Climate Savers Computing Initiative. Google, Microsoft, Intel, Sun, HP et Dell créent un deuxième consortium IT à visée écologique. Ici il ne s'agit pas de réfléchir à des technologies futures pour réduire la dépense énergétique des ordinateurs, mais d'appliquer dès aujourd'hui les technologies existantes. Pour cela, le groupe a défini une série de standards allant plus loin que les Energy Star de l'EPA (agence américaine fédérale pour la protection de l'environnement) qui devront être adoptés par les fabricants et les utilisateurs de PC et de serveurs d'ici 2010. Ces standards nécessitent d'utiliser des méthodes disponibles actuellement mais plus coûteuses pour éviter une dispersion de l'énergie entre la prise électrique et l'appareil. Et donc, selon Pat Geslinger d'Intel, d'augmenter les coûts de fabrication des PC de 20 dollars par unité, et des serveurs de 30 dollars par unité. Pour compenser cette augmentation, la Climate Savers Computing Initiative veut travailler avec les fournisseurs d'électricité pour qu'ils proposent des rabais aux consommateurs dotés d'équipements plus fiables. (...)

(12/06/2007 16:55:04)

Martin Hirsch en appelle à la solidarité active du secteur informatique

L'étiquette-slogan « changeurs de monde », choisie par la chambre syndicale des SSII et des éditeurs de logiciels pour la campagne de communication destinée à sensibiliser les lycéens à l'intérêt des métiers du secteur, est aussi censée faire « rêver » les dirigeants de ces firmes. Ayant opté pour ce thème des « entreprises qui changent le monde » pour animer l'Assemblée générale du 7 juin, l'Etat-major de Syntec Informatique s'est vu interpellé par Martin Hirsch, invité pour la circonstance, au sujet de « la nécessaire implication des entreprises dans la gestion des conséquences du progrès technologique sur la transformation des emplois et des métiers ». Dans son nouveau costume de Haut Commissaire, membre du gouvernement, l'énarque promoteur des solidarités actives s'est, de plus, chargé de ramener cette interpellation à un niveau bien concret. Et de proposer au président de Syntec Informatique, Jean Mounet, d'organiser un concours de conception-réalisation d'un logiciel facilitant la prise en charge et le traitement des personnes en difficultés. De quoi permettre aux entreprises adhérentes et à leurs salariés « de contribuer davantage à la transformation de la société » en prenant leur part d'initiative et de solidarité active contre la pauvreté. Transformation des métiers Sur le thème de la transformation des métiers... de l'informatique, et des conséquences sociales également évoquées lors de cette assemblée, l'opération « Changeurs de monde » trouve tout son sens dès lors qu'elle médiatise le passage de témoin entre la génération actuelle de jeunes cadres des SSII et les adolescents qui n'ont pas encore forcément choisi leur orientation professionnelle. Pour Jérôme Rideau, ingénieur d'affaires de la SSII Smile, l'un des « gourous » trentenaires qui ont répondu sur le site « changeursdemonde.com » aux questions des jeunes internautes, «ce genre d'initiative s'inscrit tout simplement dans la prolongation des échanges entretenus avec le monde étudiant». Echanges relevant «naturellement », selon lui, du comportement d'entreprise citoyenne, au renforcement duquel a exhorté, durant l'AG du Syntec Informatique, Jean-Marie Descarpentries, en tant de président de la Fnege (Fédération nationale pour l'enseignement de la gestion des entreprises). «A priori, nos métiers d'informaticiens, selon la façon dont on les exerce chez Smile, et notamment en s'impliquant dans les modèles économiques liés à l'Open Source, sont plutôt propices au développement de ces deux visions de l'entreprise : à la fois citoyenne, reliant la performance et le développement des activités à la capacité de l'entreprise à assurer le bien-être de ses salariés, mais aussi humaniste, tourné vers la société et la solidarité active », estime Jérôme Rideau. (...)

(08/06/2007 14:48:17)

Galileo financé par les fonds publics

Comme nous l'annoncions le 9 mai, Galileo, le système de positionnement par satellite initié par l'Union européenne et concurrent du GPS américain, bénéficiera d'un financement totalement public. C'est ce que viennent de décider les 27 ministres des Transports, qui approuvent ainsi la proposition de la Commission de se reposer uniquement sur les Etats membres et d'abandonner le consortium formé par huit entreprises, incapables de s'entendre. Le surcoût pour les 27 est estimé à 2,4 Md€, une somme couvrant la mise en oeuvre du projet. Reste que plusieurs positions sont défendues au sein des instances communautaires : la Commission souhaite financer le projet via le budget européen alors que l'Allemagne, le Royaume-Uni et les Pays-Bas préfèrent un système basé sur des contributions directes des Etats à l'agence spatiale européenne. Si le financement des infrastructures échoit à la sphère publique, l'exploitation de Galileo sera néanmoins assurée par les entreprises privées qui auront été retenues lors d'un prochain appel d'offres. (...)

(08/06/2007 10:48:41)

Quatre lycéens français accusés de cyber-escroquerie

Quatre lycéens ont été arrêtés en Savoie pour une escroquerie sur Internet. Les faits remonteraient à l'année 2006 et portent sur un gain de quelque 250 000 €. Le modus operandi est des plus simples : les quatre adolescents (tous majeurs aujourd'hui) ouvraient des comptes sur des sites Internet par le biais de fausses coordonnées bancaires obtenues à l'aide d'un logiciel spécifique téléchargé sur Internet. Ensuite, tout passait par le site orange.fr où les quatre escrocs s'inscrivaient à l'aide des codes bancaires et utilisaient le compte ainsi créé pour jouer sur des sites privés et remporter de nombreux lots, pour un montant de 250 000 € en quelques mois. De son côté, Orange invalidait bien les coordonnées bancaires fausses mais mettait plusieurs semaines pour ce faire et ne pouvait rien contre la création de nouveaux accès avec de nouvelles références. Seul problème : se faire livrer les gains ! Les quatre jeunes étaient bien obligés de laisser des coordonnées physiques qui ont été utilisées par la Befti (Brigade d'enquête sur les fraudes aux technologies de l'information) de la police judiciaire parisienne pour remonter jusqu'à eux. Interpelés le 30 mai dernier, ils ont reconnu les faits avant d'être déférés devant le parquet de Chambéry. Ils encourent jusqu'à cinq années d'emprisonnement. (...)

(07/06/2007 15:27:27)

Tim Berners-Lee entre au panthéon de l'innovation

A l'occasion de la remise des Next Forum & Technology Awards, Tim Berners-Lee, l'inventeur du World Wide Web, a fait son entrée dans le cercle fermé des membres de l'Innovation Hall of Fame. Dans son discours, il a évoqué l'époque où "il était possible d'écrire les spécifications de HTML sur le verso d'une feuille de papier, ou écrire du code http, sans être conforme", tout en s'excusant très ironiquement d'avoir été l'instigateur du double-slash [ndlr, http://] qui, "à l'époque ressemblait à quelque chose". Il a ensuite expliqué l'importance des débats autour de la neutralité d'Internet aux Etats-Unis et rappelé le rôle que l'Internet mobile avait à jouer dans l'évolution du Web. (...)

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