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Société

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(18/06/2007 12:20:04)

L'informatique verte perd déjà son ministre

Le ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables, Alain Juppé, ne sera resté en fonction qu'un petit mois. Seul ministre du gouvernement battu lors du deuxième tour des élections législatives, le maire de Bordeaux ne devrait pas, conformément à la tradition républicaine, être reconduit dans ses fonctions lors de la formation du nouveau gouvernement Fillon. Alors que le pouvoir exécutif avait voulu montrer toute l'importance qu'il accordait aux questions environnementales en faisant d'Alain Juppé le numéro deux de l'équipe gouvernementale et le seul ministre d'Etat, le « meilleur d'entre nous », selon Jacques Chirac, devrait - sauf improbable dédit - quitter ses bureaux de la Grande Arche. Le super-ministère de l'Environnement (Alain Juppé était numéro deux du gouvernement) intéresse largement les acteurs du monde des technologies. Charge à lui, notamment, d'encadrer les activités polluantes de l'industrie IT en suivant les termes d'une directive européenne de 2003 selon laquelle chaque Etat fixe les quantités de gaz carbonique que ses industriels ont l'autorisation d'émettre. Dans un contexte où les acteurs IT multiplient les actions tendant à démontrer leur attachement aux questions environnementales, l'identité du successeur d'Alain Juppé est attendue avec impatience. La formation du deuxième gouvernement Fillon devrait par ailleurs donner lieu à l'apparition de plusieurs nouveaux ministères ou secrétariats d'Etat (on parle de huit nouveaux membres). Parmi eux, Alliance TICS et le Syntec aimeraient voir se créer un poste entièrement dédié aux technologies de l'information. Il y a deux semaines, Alliance TICS indiquait ainsi souhaiter « que [son] secteur soit piloté par un membre du gouvernement, disposant des moyens nécessaire à sa mission, comme s'y était engagé le candidat Nicolas Sarkozy. » (...)

(15/06/2007 17:44:41)

Sept universités et le Cnam basculeront sur SAP au 1er janvier 2008

Au 1er janvier prochain, dans le cadre du projet Sifac (système d'information financier), sept universités et le Cnam vont basculer leur gestion comptable sur un nouveau progiciel de gestion intégré (PGI), signé SAP : le CNAM, Lille 3, Nancy 1 et Nancy 2, Nantes, Paris 6, Paris 7 et Rennes 1. A l'issue d'un appel d'offres, l'Amue (l'agence de mutualisation des universités et des établissements d'enseignement supérieur et de recherche), qui pilote ce projet, a en effet retenu la solution de gestion comptable et financière de SAP pour équiper les universités françaises qui veulent renouveler leur système d'information. Les prestations de services associées sont assurées par l'intégrateur Steria, avec Accenture. Evoquant en toile de fond la perspective de l'autonomie renforcée des universités (un projet de loi se prépare), Jean-Pierre Finance, premier vice-président de la conférence des présidents d'université a souligné, lors d'une conférence de presse à la Sorbonne, « la nécessité impérieuse de disposer dans les meilleurs délais d'un système d'information pour maîtriser les leviers comptables permettant de mener de nouvelles actions et, surtout, de disposer d'outils de pilotage. » D'autres universités vont emboîter le pas aux huit établissements qui ont choisi de se lancer les premiers dans la migration. « Des déploiements industriels se feront à partir de 2009 », a précisé Michel Lussault, président de l'Amue. Trois vagues sont prévues. Un coût consolidé de 19 millions d'euros D'ici à 2012, quatre-vingts établissements vont rejoindre le projet Sifac. « Le coût consolidé sera de 19 millions d'euros », a indiqué Jacques Bernard, directeur de l'Amue en précisant que 11 millions d'euros seront financés par le fond de réserve constitué par l'agence de mutualisation et que les huit autres millions seront à la charge des établissements, se répartissant entre l'achat de la licence et la redevance annuelle. Le directeur de l'Amue estime que, par la suite, d'autres universités devraient également faire le même choix. De son côté, Michel Lussault commente la nécessité d'un nouveau système de gestion en rappelant que les partenariats entre les établissements et toutes sortes d'opérateurs imposent de se connecter aux autres systèmes d'information, ainsi qu'à ceux de l'Etat. Les capacités d'interfaçage de SAP ont pesé dans la décision. « Les établissements connaissent très mal leurs coûts », a par ailleurs rappelé Pierre Dumaz, président de l'association des agents comptables d'université, illustrant l'importance de disposer d'outils de comptabilité analytique. La loi organique oblige notamment à quantifier par rapport à des objectifs. Limiter les coûts de déploiements Enfin, la démarche proposée par Steria a également compté dans le choix effectué par l'Amue. Pour réduire les coûts de déploiement, l'intégrateur a proposé de capitaliser sur des développements déjà réalisés, notamment pour les modules de gestion des marchés publics et de mission des agents. Il a également été décidé un paramétrage commun à l'ensemble des universités avant le déploiement. Ce paramétrage a été réalisé au cours d'ateliers (160 personnes de 17 universités y ont participé deux jours par semaine pendant six mois) et il n'empêchera pas chaque établissement de respecter ses spécificités d'organisation. (...)

(15/06/2007 12:48:27)

L'ENST Bretagne ouvre son campus virtuel sur Second Life

D'ici à 2011, 80% des internautes et les entreprises les plus importantes auront une seconde vie virtuelle, prévoient certains analystes. Déjà, Second Life, en tant qu'agence de recrutement, intéresse les entreprises du secteur, comme Accenture, Capgemini et Unilog (groupe Logica CMG), et les cabinets spécialisés tels Expectra. Désormais, c'est au tour des établissements de l'enseignement supérieur de leur emboîter le pas. Après l'Insead et l'institut Ingémédia de l'université de Toulon, l'École nationale supérieure des télécommunications de Bretagne (ENST Bretagne), à la fois grande école et centre de recherche, ouvre son premier campus virtuel sur Second Life. L'île Telecom Bretagne, qui sera inauguré le 25 juin prochain, s'est fixée pour ambition de devenir un véritable lieu d'échanges virtuel pour les futurs candidats, les étudiants, les enseignants-chercheurs et les entreprises. Dans un premier temps, les lauréats du concours d'entrée pourront visiter le campus, s'entretenir avec professeurs et étudiants, et ainsi obtenir tous les éléments d'information nécessaires avant d'effectuer leur inscription. L'accès en 3D à des bâtiments dédiés à la recherche permettra également aux visiteurs de consulter les travaux des chercheurs et des thésards de l'école, de télécharger des documents, ou de diffuser des vidéos. Par la suite, les élèves seront amenés à développer des activités propres sur le campus Second Life : organisation de soirées, rencontres sportives. Ils développeront eux-mêmes les modules informatiques nécessaires à leurs activités. À terme, l'établissement développera des dispositifs de formations initiales et continues sur le principe de l'univers virtuel. Il faudra se connecter pour obtenir un suivi et un retour d'expérience. (...)

(15/06/2007 12:12:27)

L'Indien Wipro met ses ordinateurs au vert

Le principal fabricant d'ordinateurs indien, Wipro Infotech, succombe à son tour à la mode du « green IT ». Il ne prend d'ailleurs pas le chemin le plus simple pour mettre ses ordinateurs au vert, puisqu'il suivra désormais les normes - draconiennes - de la directive européenne RoHS (Restriction on Hazardous Substance) qui interdit l'usage de certains produits dangereux pour l'environnement. Wipro lance à cette occasion GreenWare, une gamme de trois ordinateurs portable et de quatre PC de bureau, disponible immédiatement sans augmentation significative de ses prix. De plus, les autres produits de cette société seront également garantis sans métaux lourd, PVC ou retardateurs de flamme brominés. Wipro s'est engagé pour une fabrication plus écologique depuis 2005, après que Greenpeace a manifesté devant ses locaux de Bangalore pour dénoncer l'absence de retraitement des déchets électroniques en Inde. Depuis, la société a lancé un programme en septembre 2006 de recyclage des déchets, et devient aujourd'hui le premier fabricant indien à s'engager sur la composition de ses produits. (...)

(15/06/2007 09:21:04)

Les Européens pourraient avoir à s'enregistrer en ligne pour aller aux USA

Le ministère américain de la Sécurité intérieure étudie un projet de loi qui obligerait les Européens à remplir un questionnaire en ligne deux jours avant de pénétrer sur le territoire des Etats-Unis. Le projet est à l'étude depuis environ un mois, a expliqué Hugo Teufel III, un haut responsable du ministère (portant le titre de 'chief privacy officer'), lors d'un point presse à Paris. Cet enregistrement ne serait pas à faire à chaque fois, sa validité pourrait être de quelques années. Hugo Teufel n'a pas précisé quand ce système pourrait être introduit. Les résultats de ces formulaires iraient compléter le système déjà dévoilé en novembre, ATS (Automated targeting system, système de ciblage automatisé), dont le but est d'attribuer de façon automatisée un niveau de risque à chaque personne entrant ou sortant des USA en fonction de la menace qu'elle représente. Rappelons que ce projet intervient dans un climat déjà tendu par la volonté des Etats-Unis d'accéder aux données de tous les passagers des avions à destination de leur pays. (...)

(14/06/2007 17:42:03)

Les mastères spécialisés : un léger plus pour l'insertion professionnelle

Comparativement aux Sup de Co et autres étudiants en gestion, les élèves-ingénieurs (ou assimilés) sont plus enclins au cumul des diplômes. Voire au retour sur les bancs des campus après quelques années de vie active. C'est vérifié pour les études doctorales. Et la partie de l'enquête annuelle sur l'insertion des jeunes issus des grandes écoles dédiée aux diplômés de mastères spécialisés (MS) le confirme. Avec ce volet d'enquête ajouté, pour la première fois, à son étude traditionnelle, la Conférence des grandes écoles (CGE) entendait cerner autant que possible l'impact de ce complément d'études sur l'insertion professionnelle. Au vu du taux de réponses à l'enquête (12% des diplômés de mastères spécialisés de 2005), la synthèse de cette ébauche de radioscopie présentée par la CGE se veut plus qualitative - et générale - que quantitative. Et reste à affiner lors des prochaines éditions de l'enquête d'insertion. Ces précautions liminaires étant prises, selon l'analyse de la CGE, cette première enquête établit déjà une nette distinction des profils d'étudiants inscrits aux MS et de leurs « stratégies » selon le type d'école concernée : les MS préparés en école d'ingénieur s'adressent le plus souvent à un public ingénieur alors que ceux préparés en école de management s'adressent à un public de formation antérieure plus diversifiée (master, bac+4 et expérience professionnelle, école d'ingénieur ou de management). Le MS en école d'ingénieurs correspond de façon générale à une stratégie de spécialisation, et en école de management à une optique d'élargissement des compétences. Dans les deux cas, le taux d'insertion après MS dépasse les 85% (et 7% poursuivent leur activité antérieure). Avec un taux net d'emploi dépassant les 93%, l'effet MS sur l'insertion reste cependant difficile à évaluer puisqu'il est équivalent à celui des promos 2005 (deux ans après la sortie de l'école). Un élargissement des fonctions occupées La répartition des débouchés ouverts aux MS ne se distingue guère de celle des diplômés de formation initiale (bac+5). Les emplois occupés relèvent plutôt de grandes entreprises (plus de la moitié dans des firmes de plus de 2000 salariés), à un statut de cadre (95%), avec une proportion tout à fait comparable de diplômés trouvant un emploi à l'étranger (15%). Les trois grandes fonctions occupées pour les ingénieurs mastériens sont les fonctions de R&D, d'études-conseil et de production (40% des emplois, contre 48% pour les jeunes diplômés non mastériens). L'élargissement des fonctions occupées est plus net pour les diplômés des MS en école de management. Avec un élargissement également pour les secteurs d'activité des employeurs et des points de chute en termes de lieu géographique. Enfin, l'effet sur les salaires, là encore du fait du taux limité de réponses, est difficile à appréhender. Le salaire actuel moyen est de 35 740 euros, quasiment identique pour les MS ingénieurs ou les MS de management. Avec l'habituel delta entre hommes (36 500 euros) et femmes (34 100 euros). Le diplômé MS-type gagne 7 % de plus que les diplômés bac+5 de 2005, 13% de plus que les diplômés bac+5 de 2006. Mais sachant que ces candidats aux mastères correspondent à une population mélangée (2/3 en poursuite de formation initale, 1/3 en reprise d'étude), il est vraisemblable que cette moyenne des salaires soit tirée vers le haut par les plus expérimentés. « Il semblerait que le salaire moyen des jeunes MS sortants soit de même niveau que celui des sortants de formation initiale bac+5 », conclut l'analyse de la CGE. Pas d'effet salaire bien net, donc, alors que le « plus » apporté au CV se traduit dans l'intérêt des employeurs à accueillir ces bac+5/+6 à des fonctions plus diversifiées. (...)

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