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Société
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(22/06/2007 12:55:41)
WebEx avance l'argument écologique pour vendre la téléconférence
WebEx a ouvert un site Web offrant aux entreprises la possibilité de calculer leurs émissions de CO2 à l'occasion des voyages d'affaire. Le but : démontrer que se déplacer en personne est mauvais pour la planète, et qu'il vaut donc mieux recourir à des outils de téléconférence, tels que ceux vendus par WebEx, évidemment. Dans un communiqué, WebEx explique qu'en utilisant ses solutions « au lieu d'envoyer un employé de Paris à New York, on évite l'émission de 1,2 tonne de CO2 ». Ou encore, « l'utilisation de WebEx, pour remplacer des réunions nécessitant des déplacements de 40 kilomètres par semaine, permettrait d'éviter l'émission de 0,4 tonne de CO2 par an ». Dans les rappels utiles, signalons de notre côté qu'il existe déjà un site, climatmundi.com, qui propose de calculer les émissions de CO2 à l'occasion d'un voyage, et de faire un don correspondant à ses émissions pour « financer des projets d'énergies renouvelables et d'économie d'énergie qui génèrent d'importantes réductions de CO2 ». Retrouvez, sur le même sujet, notre dossier complet : Pourquoi l'IT viendra à l'écologie (...)
(22/06/2007 12:38:34)Le DMP, une urgence pour Roselyne Bachelot
La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, n'entend pas laisser le dossier médical personnel s'engluer dans les limbes des grands projets inachevés. Le DMP, qui doit théoriquement voir le jour en 2008, « est au point mort », selon la ministre. Dans un entretien accordé au journal Le Monde, Roselyne Bachelot estime qu'il « est impossible de mener une politique de santé dans ce pays, que ce soit en ville ou à l'hôpital, sans DMP ». De fait, la ministre s'engage à « le relancer très vite ». Le projet a subi plusieurs retards, notamment dus à des problèmes de procédure dans le choix d'un hébergeur de référence. En avril, la Cnil pointait du doigt un certain nombre d'insuffisances relatives à la sécurité des données après avoir examiné la phase d'expérimentation du DMP. (...)
(21/06/2007 16:37:57)Législatives : les machines à voter d'Aulnay-sous-Bois font planer le doute sur la sincérité du scrutin
Les machines à voter continuent de susciter polémiques et doutes. Après les remous observés dans plusieurs communes à l'occasion de l'élection présidentielle, c'est au tour des ordinateurs de vote installés à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) d'être mis en cause. Le collectif AulnayCitoyen, après avoir relevé de nombreuses irrégularités, vient ainsi de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel visant à l'annulation du scrutin qui a conduit l'UMP Gérard Gaudron à être élu dans la 10e circonscription. Hervé Suaudeau, le président d'AulnayCitoyen, explique au Mondeinformatique.fr que les appareils installés dans 38 bureaux de vote - fabriqués par Nedap - ne correspondent pas à l'agrément délivré par le ministère de l'Intérieur. Selon le président du collectif - par ailleurs informaticien au CNRS -, « le certificat exigeait la présence d'un dispositif audio à destination des non voyants, un accessoire indispensable constitutif de l'agrément ». Or, les machines d'Aulnay-sous-Bois étaient dépourvues de cet appareillage et, de fait, créaient une rupture d'égalité entre les citoyens face au vote. D'autre part, Hervé Suaudeau souligne que « deux tickets d'incidents et d'événements ont pu être examinés au cours des scrutins des 10 et 17 juin. Ils montrent que de nombreuses interventions ont eu lieu sur les machines, ce qui peut être constitutif d'une fraude. On veut que le Conseil constitutionnel examine de très près ces éléments. » Enfin, parmi la liste des irrégularités qu'AulnayCitoyen a soumises au gardien de la Constitution, figure également le non respect de plusieurs obligations légales. Les machines doivent, notamment, indiquer la date et l'heure sur les tickets de programmation, préalables à l'ouverture du scrutin, ce qui n'était pas le cas à Aulnay-sous-Bois, les mentions étant inscrites à la main. En outre, les présidents des bureaux de vote n'étaient pas en mesure d'apporter la preuve de l'authenticité des scellés garantissant l'intégrité des appareils. Les administrés nourrissant des craintes sur la sincérité du scrutin s'étaient tournés vers la municipalité entre les deux tours afin « de lui offrir une porte de sortie, confie Hervé Suaudeau. Nous nous sommes entretenus avec le maire (qui sera finalement élu le 17 juin, NDLR) et lui avons expliqué que la mise en place de machines illégales constituait une voie de fait. » Si l'édile a entendu les arguments avancés, il n'était pas question de faire machine arrière et de remplacer les machines par des urnes traditionnelles. La Ville était disposée à examiner attentivement le problème avec ses juristes, mais seulement à l'issue du second tour. "On passe de la démocratie à la technocratie » Le recours déposé le 19 juin par AulnayCitoyen ne se veut, pour autant, pas dirigé contre le nouvel élu. « Notre démarche répond à une question de principe et pas d'homme, précise Hervé Suaudeau. Entre les deux tours, nous avions décidé de nous tourner vers le Conseil constitutionnel, quelle que soit l'identité du futur élu. » Et la contestation de l'élection locale séquano-dionysienne n'est pas la finalité de la démarche entreprise : « On veut faire prendre conscience aux politiques que les machines sont anti-démocratiques. Dans une démocratie, le citoyen dispose du contrôle de son vote. Là, il doit faire confiance à des experts. On passe de la démocratie à la technocratie. Le temps gagné grâce aux machines ne vaut pas les doutes qui planent sur la sincérité du scrutin. » Sensible aux arguments avancés par AulnayCitoyen, Philippe Dallier, le sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois vient de déposer une proposition de loi visant à interdire les machines à voter. L'élu de la chambre haute estime que « rien ne permettra jamais de garantir que la sincérité du scrutin soit préservée. Ni les pannes inhérentes à tout système informatique, ni le risque de malversation ne pourront jamais être ramenés à zéro. » L'initiative de l'édile rappelle le contrat que la Crii-vote - une association bâtie sur la base du site ordinateurs-de-vote.org - a soumis aux aspirants députés : en paraphant le document, les candidats s'engageaient à déposer une proposition de loi pour la suppression des machines à voter s'ils étaient élus. (...)
(21/06/2007 15:44:29)Mix'07 Paris : Le Monde reprend le Reader Kit Silverlight du New York Times
Le Monde sera bientôt lisible en mode connecté ou déconnecté dans un lecteur ad hoc, conçu avec la technologie Silverlight. Pour rappel, Silverlight est un substrat de la technologie .Net à télécharger et à installer dans des navigateurs sur Windows ou Mac afin de bénéficier des améliorations de l'interface Vista. Le New York Times a utilisé cette technologie pour concevoir un Reader offrant une meilleure ergonomie qu'une simple page Web ou qu'un PDF pour lire des articles sur écran. Microsoft en a fait la démonstration au public ce matin au Cirque d'Hiver, où se tient en ce moment le Mix'07 Paris. D'après Microsoft, un lecteur qui auparavant lisait 2 pages du NYT en ligne en lit aujourd'hui 7, une véritable potion magique pour un journal. Ce Reader Kit est aujourd'hui libre de droit, et Le Monde y a eu recours pour renouveler son offre. En mode connecté, les dernières nouvelles s'incrémentent dans une colonne à droite. (...)
(21/06/2007 15:43:04)Mix'07 Paris : Microsoft ajoute une catégorie design à son programme Idees
Microsoft France a décidé d'étoffer son programme Idees, qui aide déjà une cinquantaine de jeunes entreprises françaises, en l'ouvrant au design. L'annonce a été faite aujourd'hui au Cirque d'Hiver, où Microsoft tient son Mix'07 Paris, un événement destiné justement à démontrer l'importance du design dans le logiciel et l'implication de Microsoft en la matière, au travers de Silverlight et de la suite d'outils de développement et de design Expression. Ce nouveau programme, baptisé « Idees de design », vise à « contribuer à la formation des futurs talents en nouant des partenariats avec les acteurs clés du secteur », et à « contribuer au développement des jeunes sociétés de design numérique, en leur apportant des moyens humains, marketing et techniques ». Est notamment partenaire de ce programme le Strate College Designers, dont le directeur Maurille Larivière est venu ce matin sur la scène du Cirque d'Hiver apporter sa caution à Microsoft. Il a toutefois peu parlé, rappelant seulement que le numérique, qui était auparavant une matière optionnelle de l'école de design, constitue désormais une part intégrante de l'enseignement. Par ailleurs, croisé dans les couloirs, le patron de Brainsonic indiquait de son côté avoir rejoint le programme Idees. Fournisseur de vidéos en flash pour nombre d'acteurs de l'industrie, Brainsonic est aussi un habitué des outils .Net, et considère qu'avoir une offre Silverlight à son catalogue est primordiale pour certains clients. Quand bien même le format d'Adobe devrait continuer de dominer le marché de la vidéo sur le Web pendant encore un certain temps. (...)
(20/06/2007 17:01:21)Le BlackBerry, mouton noir des ministères et des administrations
Selon le quotidien le Monde, les membres des différents cabinets ministériels et le staff présidentiel sont toujours interdits de Blackberry pour des raisons de confidentialité. Il y a dix-huit mois, l'interdiction d'utiliser des Blackberry pour échanger des courriels en cours de déplacement avait déjà été stipulée aux hauts fonctionnaires. Le secrétariat général de la Défense nationale (SGDN) aurait réaffirmé ces consignes au moment où de nouvelles équipes gouvernementales se mettent en place. Surtout que certains membres, venant du secteur privé, ont intégré le terminal voix-courriel de RIM dans leur panoplie quotidienne. La peur des grandes oreilles d'Echelon Le principal reproche fait à RIM est que ses terminaux utilisent deux grappes de serveurs maison pour communiquer. L'une se trouve aux Etats-Unis, l'autre en Grande-Bretagne, pays qui héberge aussi le système d'écoute Echelon de la NSA (National Security Agency). De son côté, la Tribune souligne que le Blackberry est utilisé par plus de 200 fonctionnaires du Minéfi (ministère de l'Economie et des Finances) depuis le début de l'année. Et de citer la satisfaction de Christophe Alviset, sous-directeur informatique du ministère. Chez RIM France, on affirme qu'il est impossible à la NSA de connaître l'identité de l'émetteur, du destinataire et de lire le contenu des messages, crypté en AES 256 bit de bout en bout. La société cite même le cas de l'Otan, qui ferait confiance à sa solution. Une justification qui n'écarte pas le fait qu'une "exception" puisse exister pour les services américains. (...)
(20/06/2007 16:20:05)Un milliard d'euros pour les innovations ciblant le vieillissement de la population
En 2020, un Européen sur quatre aura plus de 65 ans. Sur la foi de cette prospective, la Commission européenne vient d'agréer le plan d'action attribuant un milliard d'euros aux projets innovants visant à améliorer la vie des personnes âgées à domicile, au travail et dans la société en général. A commencer par l'usage d'Internet, pour des besoins spécifiques qui peuvent être couverts en ligne, auquel 10% seulement des seniors (21% des plus de 50 ans) ont accès jusqu'à présent. Et ce, pour un triple bénéfice : améliorer la qualité de la vie des anciens, réaliser des économies sur le coût social et la prise en charge des soins, renforcer la base industrielle européenne sur ce marché des TIC adaptées aux besoins des personnes âgées. Avec, bien sûr, des visées d'expansion mondiale, sachant que les multiples impacts de l'allongement de la durée de vie ne connaissent pas de frontières. Le milliard en question correspond à l'investissement sur six ans (d'ici à 2013) en recherche et innovation prévu par le plan intitulé « Ageing Well in the Information Society », couvert par l'Union européenne, les Etats membres et le secteur privé. Cet investissement relève de plusieurs dispositifs de financement européens, dont le 7e programme cadre de recherche communautaire (FP7, de 2007 à 2013) et, dès cette année, le programme de support TIC (ICT Policy Support Programme). Le précédent programme cadre (FP6, de 2002 à 2006) couvrait déjà divers programmes de recherche sur ce thème. En témoigne notamment, en France, le projet de robotique Monimad, déambulateur intelligent ou robot assistant de la rééducation, sur lequel travaille la société Robosoft et 3WAC et le laboratoire de robotique de Paris-6-CNRS, le projet Mnesis (stimulation cognitive, à Lyon) ou encore le projet européen OLDES (Older People's e-services at home). (...)
(19/06/2007 17:05:07)Google alimente son campus à l'énergie solaire
Google ne se contente pas de faire de l'« agit-prop » écologique au sein de consortium comme la Climate Savers Computing Initiative. La société a décidé d'appliquer à elle-même ses propres règles. Elle vient en effet de couvrir les toits de son campus de Mountain View de panneaux solaires. D'une capacité de production totale de 1,6 mégawatts - soit l'équivalent de la consommation de 1000 demeures californiennes -, ceux-ci devraient couvrir 30 % des besoins du site en électricité. Selon Google, cette nouvelle installation est la plus grande installation privée des Etats-Unis, et l'une des plus grandes au monde. Cette annonce intervient le même jour où Google.org, la fondation philantropique de la société, lance son initiative de promotion pour le développement durable, RechargeIT. Ce projet vise à financer à hauteur d'1 M$ l'adoption de voitures électriques et compte également soulever jusqu'à 10 M$ de fonds pour le développement des énergies renouvelables. Le campus de la société servira donc de vitrine, d'autant que cent bornes de recharges seront installés sur le parking pour les voitures électriques des employés. Mais c'est également pour la société une façon de faire des économies, puisqu'à terme, elle réduira sa facture d'électricité d'un tiers. (...)
(19/06/2007 13:02:46)Pas de secrétariat d'Etat aux NTIC dans Fillon II
Les lettres ouvertes du Syntec et d'Alliance TICS, et autres « pactes numériques » de divers acteurs des NTIC n'auront pas été entendus. Le nouveau gouvernement Fillon, annoncé ce midi, élargit considérablement son effectif sans toutefois prévoir de ministère ou de secrétariat d'Etat spécifiquement dédié aux nouvelles technologies. Les différentes problématiques NTIC seront donc toujours traitées de façon dispersée, au grand dam des représentants du secteur, qui demandaient une attention soutenue sur le sujet, voire la nomination de quelqu'un pour coordonner la politique numérique de la France. Le nom d'André Santini avait ainsi été évoqué pour un secrétariat d'Etat aux NTIC. Finalement, le maire technophile d'Issy-les-Moulineaux sera bien secrétaire d'Etat, mais chargé de la fonction publique. A ce titre, il devra probablement superviser la modernisation informatique de l'Etat. Parmi les ministères concernés au premier chef par les problématiques informatiques, l'écologie et le développement durable sont désormais sous la responsabilité de Jean-Louis Borloo, et Christine Lagarde devient ministre de l'Economie. Le secteur de la communication est sous la responsabilité de Christine Albanel, qu'on connaît plus sous l'angle de la conservation du patrimoine que sous celui des nouvelles technologies. On peut encore citer Luc Chatel, secrétaire d'Etat à la consommation, qui aura à gérer l'essor de la cyberconsommation, et Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé des entreprises, dont le secteur espère qu'il saura leur donner l'impulsion nécessaire pour se moderniser. (...)
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