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Société
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(03/04/2007 16:45:30)
Les métiers de l'informatique domestique entrent à l'argus officiel des diplômes
Signe des temps. Désormais, les lycées professionnels et les centres de formation d'apprentis ne prépareront plus leurs étudiants au métier de câbleur, ni aux « métiers de l'électronique », mais à un parcours professionnel de « technicien en systèmes électroniques industriels et domestiques ». Depuis le 20 mars (arrêté paru au Journal officiel du 30 mars) est rendue officielle la fin programmée des brevets professionnels « électronique » et « installations en télécommunication ». La dernière session d'examen de ces deux brevets aura lieu en 2008, avec session de rattrapage en 2009. Par ailleurs, l'édition du 31 mars du JO rend compte de la création (par arrêté également daté du 20 mars) d'un nouveau brevet qui entérine en quelque sorte la reconnaissance de l'essor de l'informatique domestique parallèlement à celui de l'équipement informatique, télécom et réseaux des entreprises. Avis aux employeurs. La préparation de ce nouveau brevet d'études professionnelles « systèmes électroniques industriels et domestiques » inclut, selon l'arrêté en question, un stage de trois semaines en entreprise. L'obtention du diplôme passe par un dispositif de contrôle continu des connaissances couronné par un examen final (en sept épreuves) dont la première session aura lieu en 2009. Les détails de ce nouveau programme (cursus et diplôme) seront publiés au bulletin officiel du ministère de l'Education nationale en date du 3 mai 2007. Et diffusés en ligne sur le site du Centre national de documentation pédagogique. (...)
(03/04/2007 15:07:21)Google va commercialiser de la publicité à la télévision
Après avoir conquis le marché de la publicité en ligne, Google s'attaque désormais à celui de la publicité à la télévision. Aux Etats-Unis, la société vient de s'allier à EchoStar Communications, un opérateur de chaînes satellites, riche d'une base de quelque 13,1 millions d'abonnés. Le partenariat repose sur la commercialisation par Google de publicité sur le réseau d'EchoStar, Dish Network, sur lequel émettent 125 chaînes. Cela se traduit par la mise en place d'un système automatisé d'achat, de vente et de diffusion de publicités (baptisé Google TV Ads) qui sera accompagné d'un outil de mesure. "Avec AdWords et AdSence [les deux services publicitaires de Google, ndlr], nous avons vu les avantages de la longue traine [the long tail, ndrl] et nous pensons que nous pouvons appliquer ces principes pour faire grossir l'industrie de la publicité TV. Notre but [...] est de trouver un moyen de financer davantage de programmes de télé avec des publicités pertinentes", déclare Google dans un communiqué. Le fonctionnement rappelle celui de la plateforme AdWords. Le système permet aux publicitaires de planifier et délivrer leur campagne et d'en générer des rapports d'audience. Toujours à l'image d'AdWords, Google TV Ads permet également de cibler les campagnes selon la situation géographique, la chaîne et le moment de la journée. "Les paiements s'effectuent sur la base du CPM [coût pour mille impressions, ndlr]", ajoute Google. La publicité pour la télévision constitue, après la radio, la presse papier, Internet, et bientôt les jeux vidéos, le cinquième media auquel s'attaque Google pour développer son offre publicitaire. En janvier 2006, la société rachetait dMarc Broadcasting, spécialisé dans la diffusion de publicité à la radio. En février dernier, il se payait Adscape Media qui développe une technologie de production de publicitaire dynamique pour les jeux vidéo. (...)
(02/04/2007 18:09:45)Hummingbird France : le PSE est validé en appel
Vendredi 30 mars, la décision de l'appel est tombée : elle infirme l'ordonnance des référés (janvier 2007) et valide le PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi) proposé par la direction de Hummingbird France à la fin de l'année 2006. Il s'agissait de supprimer 49 emplois sur 81, suite au rachat par OpenText. Ce jugement constitue une victoire pour la direction et le Comité d'entreprise, un échec pour la CFDT. « Cette décision est fort satisfaisante du point de vue du Comité d'entreprise que je représente », commente maître Christine Lussault. Selon l'avocat du CE, « la décision relève que le CE a, de manière éclairée, pris sa décision. Il n'appartient pas au juge d'apprécier le mérite de la décision du CE. » Pour mémoire, le CE avait soutenu la direction de Hummigbird et s'était opposé au syndicat CFDT qui avait demandé (et obtenu) l'annulation du PSE au juge des référés. Aujourd'hui donc, les demandes de la CFDT sont rejetées, le syndicat ayant en outre à payer 1 000E au CE et 1 000E à la direction de Hummingbird (article 700). La décision de l'Appel le condamne aux dépens. Selon la CFDT, « le juge n'était pas un spécialiste des plans sociaux, et a juste considéré le fait que la majorité des salariés souhaitait partir dans les conditions actuelles. Nous n'avons pas encore décidé de la suite à donner. » Le syndicat pourrait se pourvoir en cassation ? Mais même si c'était le cas, le PSE est exécutoire, ce qui signifie que la direction peut l'appliquer immédiatement. (...)
(02/04/2007 17:27:06)Le Conseil constitutionnel rappelle la conformité des machines à voter
Alors que les machines à voter électroniques rencontrent nombre d'opposants, le Conseil constitutionnel a tenu, lui, à en rappeler la conformité. Selon un très bref communiqué, l'organe étatique, lors de sa séance du 29 mars 2007, a mentionné que "l'utilisation des machines à voter pour les élections, notamment présidentielles, est autorisée par le législateur depuis 1969. Ce recours aux machines à voter dans les conditions fixées par l'article L.57-1 du Code électoral a été déclaré conforme à la Constitution par le Conseil constitutionnel". Selon le site de l'institution, trois modèles de machines sont pour l'heure agréées par le Ministère de l'intérieur: le modèle Datamatique de ES&S, le modèle Indra et le modèle Nedap - France élections. En février dernier, la ville d'Issy-les-Moulineaux a annoncé qu'elle mettrait en place des machines à voter dès le premier tour de l'élection présidentielle, le 22 avril. Une initiative critiquée par Pierre Muller, animateur du site ordinateur-de-vote.org. (...)
(02/04/2007 12:19:52)L'Europe devance les Etats-Unis pour l'équipement informatique
Selon le dernier rapport du World Economical Forum sur les nouvelles technologies, les Etats-Unis ne sont plus le pays le plus informatiquement avancé. Ils dégringolent à la septième place et laisse la pole position au Danemark, suivi de la Suède, Singapour, la Finlande, la Suisse et les Pays-Bas. La France, malgré le fort développement du haut-débit, reste loin derrière, en 23e position. Les Etats-Unis occupait la première place depuis 6 ans. Le Global Information Technology Report mesure chaque année l'impact des technologies de l'information sur l'économie du pays en se basant sur le NRI (Network Readiness Index), une combinaison de trois éléments : l'état économique général, l'environnement réglementaire et les infrastructures nécessaires pour les technologies de l'information, et enfin la façon dont la population (administration, entreprise et grand public) les utilisent. Pour Irène Mia, co-rédactrice du rapport : « Les pays nordiques ont démontré comment un effort sur l'éducation, l'innovation et la promotion des technologies de l'information sont une stratégie gagnante pour accroître la compétitivité. » (...)
(02/04/2007 12:17:25)L'Icann vote contre le .xxx
L'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers) a rejeté ce week-end, et pour la troisième fois, le .xxx, suffixe de premier niveau censé référencer les sites Web à contenu pour adultes. Réuni à Lisbonne, le Conseil d'administration de l'organisme a voté contre (9 voix) la proposition d'une énième classification. Cinq membres avaient voté en sa faveur et un s'est abstenu, selon un porte-parole de l'Icann. Officiellement, l'argument des "anti" reposait sur le fait que la création d'un tel suffixe transforme l'Icann en un régulateur de contenu, "une tâche qui n'est pas dans son mandat". Cet rejet n'est toutefois pas une surprise. Car cette extension ne contentait pas les principaux intéressés. D'un côté, les éditeurs de sites pornographiques qui estimaient que ce suffixe pouvait créer un ghetto virtuel. D'un autre, les instances religieuses qui y voyaient là un moyen de faciliter l'accès à ce type de sites. Ce troisième vote contre intervient sept ans après que ICM Registry a fait la première proposition de la création d'un .xxx. Cette société devait avoir la charge de la gestion du suffixe, comme Verisign celle du .com et du .net. Interviewé par l'Associated Press, Stuart Lawley, PDG de la société, s'est déclaré très déçu par la décision de l'Icann. (...)
(30/03/2007 16:55:27)Les informaticiens ont meilleur moral que les autres salariés
Heureux informaticiens, particulièrement sensibles au retour à une conjoncture favorable. Satisfaits globalement de la façon dont leurs employeurs les considèrent, ils estiment (dans près de 80% des cas) que leur entreprise est performante, réactive, innovante. Et que celle-ci traite bien ses clients, ses fournisseurs, ses actionnaires et ses salariés - sauf pour un tiers d'entre eux qui se montrent plus critiques. Ainsi, selon l'enquête réalisée en février pour l'Association nationale des informaticiens de France (Anif) par OpinionWay auprès d'un échantillon représentatif de 1184 informaticiens (échantillon représentatif des diverses catégories d'employeurs - SSII, entreprises utilisatrices, éditeurs, distributeurs, opérateurs -, des tranches d'âge, de la répartition géographique), le camp des optimistes est nettement plus fourni chez les professionnels de l'informatique que parmi les salariés cadres et non cadres (échantillon comparable de 1012 personnes travaillant dans des grandes entreprises, baromètre HR Tracking d'OpinionWay). Un optimisme manifeste, tant pour la pérennité de leur emploi (75% des informaticiens se disent optimistes, contre 63% pour l'ensemble des salariés), que pour l'intérêt de leur travail (65% contre 51%), ou pour l'évolution de leur parcours professionnel (62% contre 38% pour les salariés). Tout juste se montrent-ils plus critiques concernant la charge de travail (alourdie pour 46% d'entre eux), l'évolution de leur rémunération (en dessous de leurs espérances pour 56%) et sceptiques quant au niveau de leur future retraite (pour 74%). Une certaine fierté Le fait le plus marquant de cette enquête : en large majorité, les informaticiens ne doutent guère de leur valeur sur le marché de l'emploi. Ils se sentent capables d'intéresser d'autres employeurs (81%) et d'échapper à la discrimination à l'embauche (76%). « Sans doute, la conjoncture actuelle joue-t-elle à plein, commente Michèle Avelka, vice-présidente de l'Anif, et la même enquête faite trois ans plus tôt n'aurait pas donné les mêmes résultats ». D'ailleurs, à 90%, ils estiment que l'état actuel du marché est clairement en leur faveur. A 88%, ils sont plutôt fiers d'exercer ce métier qui, pensent-ils, conserve une bonne image (86%). Néanmoins, ils doutent un peu plus de leur capacité à garder un emploi jusqu'à la retraite (46% en doutent). [[page]] Et c'est là tout le paradoxe relevé par cette enquête d'opinion. Car si, globalement, l'optimisme l'emporte au vu de leur situation actuelle (avec de bonnes relations avec les collègues de travail, un travail de qualité, de bonnes conditions et une bonne ambiance de travail, une sécurité de l'emploi supérieure à la moyenne des salariés, etc.), l'avenir est pour eux beaucoup plus flou. Des besoins de formation non assumés Ainsi, près de la moitié note l'insuffisance des possibilités de formations (49%) et des perspectives d'évolution dans leur entreprise (57%). Et 36% des informaticiens interrogés se disent prêts à changer d'entreprise (contre 31% pour l'ensemble des salariés). Voire, si nécessaire, à changer de région (52%) ou de pays (41%). Ils reconnaissent (pour 83%) qu'être capable de mobilité fonctionnelle est un atout incontestable pour leur évolution professionnelle, mais que leur entreprise ne le leur propose pas (63%) et qu'ils ne comptent pas trop non plus sur leur entreprise pour le leur permettre (45%). De fait, pour plus d'un informaticien sur deux, les besoins de formation ne sont pas suffisamment couverts par l'entreprise. Un comble à l'heure du DIF (droit individuel à la formation), pour une profession qui dépend de façon quasi-existentielle de l'actualisation des compétences. De même, si les informaticiens ont pris conscience des risques de perdre de leur valeur sur le marché du travail (la fameuse employabilité), ces risques sont pour eux liés à l'externalisation (pour 56%), à l'offshore (54%), à l'évolution accélérée des technologies (49%) plus qu'à leur âge (28%, probablement du fait de la constitution de l'échantillon de l'enquête). Si, globalement, les informaticiens ont une critique à formuler à l'égard de la gestion des ressources humaines, c'est majoritairement sur le volet de la gestion des carrières (pour 63% d'entre eux) et de la prise en compte de leurs besoins de formation (pour 55%), plus que sur le volet des relations sociales (56% se disent satisfaits). Mais en prennent-ils leur parti ? Indifférents car opportunistes ou résignés, ou encore naïfs ? Toute la question est là, selon l'état major de l'Anif. Pour cette association qui a pour vocation d'aider les informaticiens à prendre en mains l'évolution de leur parcours professionnel, sur la base d'une information actualisée et concrète, la suite de ce relevé barométrique de l'état d'esprit et du moral des informaticiens passe par la mise à disposition sur le site de l'Anif du questionnaire qui a servi de base à l'enquête, afin que chacun puisse librement se « benchmarker ». Avec un relais assuré - probablement - par le site de Microsoft France. Et avec l'espoir de pouvoir renouveler, l'an prochain, le constat d'une profession consciente de ses atouts, mais aussi de ses risques. (...)
(30/03/2007 15:46:07)Test d'une batterie verte pour alimenter l'OLPC à 100$
L'OLPC embarquera-t-il une batterie verte avant tous les autres fabricants ? C'est ce qu'a laissé entendre un responsable de One Laptop Per Child, projet visant à équiper tous les enfants des pays en voie de développement d'un petit ordinateur à 100 $. En mai, la troisième version test de l'OLPC devrait être équipée d'une batterie Lithium Ion Phosphate. Les avantages ? Moins de risque d'accidents, des matériaux moins toxiques. Ce type de batterie peut certes stocker plus d'énergie que la batterie NiMH retenue à l'origine pour l'OLPC. Mais moins que les batteries Lithium Ion, qui équipent la plupart des ordinateurs portables récents. Comment recharger cette batterie, lorsqu'on n'a pas courant électrique ? Les recherches du MIT Media Labs s'orienteraient désormais vers un générateur manuel, qui ressemble à un Yo-Yo équipé d'un fil. Il suffirait de tirer sur ce fil pendant 10 minutes pour produire 1 heure d'énergie sous traitement de texte, ou 40 minutes en application multimédia. Ce générateur développé par Potenco pourrait être incorporé au chargeur électrique du portable, plutôt qu'à l'ordinateur, pour éviter de soumettre l'OLPC à des contraintes physiques trop violentes. (...)
(30/03/2007 15:33:12)Quinze mesures pour réduire la fracture numérique
Une vingtaine de chercheurs, juristes et chefs d'entreprise du secteur des NTIC, réunis au sein de l'association Renaissance Numérique, décrite comme un club de réflexion, viennent de présenter un livre blanc intitulé « L'Internet pour Tous ». On y lit notamment qu'avec 40 % de foyers connectés contre 70 % en Allemagne, la France est en retard « contrairement à ce que nos bonnes performances en matière de haut débit peuvent laisser croire ». Renaissance Numérique envisage donc 15 mesures pour que 80 % de foyers disposent d'Internet en 2010. Un discours en phase avec la sinistrose ambiante, mais pas forcément raccord avec le discours que des grands patrons de l'industrie informatique en France peuvent développer (voir notre série d'interviews vidéos au sujet des programmes des candidats à la présidentielle en matière de NTIC). « En France, le taux de connexion des foyers est inférieur à la moyenne de celui des 25 pays européens » écrivent les signataires du livre blanc. Qui expliquent que « cette situation n'est pas une fatalité et des solutions existent pour rattraper ce retard d'ici 2010. Renaissance Numérique a élaboré 15 mesures-clés pour faire de notre pays une puissance au coeur du numérique et pour permettre l'accès de tous à Internet. » Renaissance Numérique estime que « la maîtrise des Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC) permettra de redonner un second souffle au pluralisme démocratique et de stimuler la productivité de notre économie ». Qui devrait se traduire par un point de croissance supplémentaire, comme le Syntec le disait dans sa propre lettre ouverte aux candidats à la présidentielle. Renaissance Numérique souhaite aller au-delà des mesures gouvernementales telles que « le portable à 1 E » - qui est en fait une mesure liée au crédit - en proposant notamment de subventionner 100 000 étudiants boursiers pour l'achat de leur micro-ordinateur, de mettre sur le marché des ordinateurs reconditionnés à 99 E (l'association estime que 50% des ordinateurs jetés peuvent être reconditionnés) ou encore de faciliter la donation - ou la vente à prix réduit - par les entreprises et les administrations de leurs PC à leurs employés par des mesures fiscales et comptables appropriées. Pour la création d'un poste ministériel lié aux NTIC Un effort doit également être fait pour combattre l'appréhension numérique, notamment par la formation. Particulièrement dans la sphère professionnelle et parmi les retraités. Le livre blanc préconise notamment l'échange « RTT contre formation NTIC », à raison d'une journée par an dans le cadre du dispositif 'compte épargne temps'. Renaissance Numérique propose aussi de fédérer et systématiser les initiatives liées au 'passeport Internet', en y associant notamment l'ANPE, afin de former les chômeurs. Le club demande aussi une campagne de sensibilisation du grand public, et davantage d'efforts en faveur des handicapés et des personnes âgées - en termes d'accessibilité aux sites Web, ainsi qu'en faveur des « jeunes des quartiers défavorisés », par exemple en multipliant le nombre de bornes publiques d'accès à Internet. A l'instar du Syntec, Renaissance Numérique recommande de sensibiliser et de former les TPE à l'usage d'Internet. Cela passerait notamment par « la poursuite du développement des services d'administration en ligne destinés aux TPE, les incitant à s'équiper et à se connecter », et par la mise en place de crédits d'impôts pour l'achat d'équipements. Le livre blanc s'intéresse également à « un modèle de société numérique permettant de hisser la France au rang des premières puissances numériques dans le monde ». D'après les auteurs, un accès à Internet plus égalitaire permettrait de « réduire l'e-exclusion ». Et afin que la France accorde aux NTIC l'attention qu'elles méritent, Renaissance Numérique suggère, toujours comme l'avait fait le Syntec, « la désignation d'un haut fonctionnaire en charge des NTIC, sinon d'un ministre délégué auprès du Premier ministre ». (...)
(30/03/2007 12:43:52)Trois écoles en finale du concours de développement Ricoh-Sun
Aujourd'hui, 30 mars, trois équipes d'étudiants sélectionnées pour participer à la deuxième manche du concours européen de développement organisé par Ricoh et Sun, se confrontent au siège francilien du fournisseur de solutions d'impression Ricoh. Et les gagnants français de la première manche de sélection sont... les étudiants de l'université du Havre, de Supinfo et de l'IIE (Institut Informatique & Entreprises) de Valenciennes. L'épreuve d'aujourd'hui consiste à présenter les travaux de migration vers un périphérique multifonction de l'application innovante (application Java, développée à l'aide de l'atelier SDK/J) qui leur a permis de se distinguer. A savoir : - pour l'équipe de l'IEE Valenciennes, un « ChatTools » qui permet d'instaurer un dialogue en temps réel entre un client en difficulté sur un équipement multifonction et la hotline ; - pour l'équipe du Havre, l'application « Timager » qui permet d'automatiser des tâches sur une imprimante multifonctions, et modulaire, de façon à ce que l'utilisateur puisse configurer lui-même les fonctionnalités qu'il souhaite ; - pour l'équipe de Supinfo, l'application «Get&Print» qui permet de simplifier la gestion distribuée des documents de l'entreprise (en intégrant les connexions Samba et FTP) avec un suivi du parcours des documents sur les différentes connexions via un explorateur, doté de fonctions de filtrage et de recherche. Dans la sélection des projets-étudiants entrait également un critère pédagogique, notamment la confrontation aux contraintes du matériel, que ne manquent pas de souligner les enseignants qui ont encadré ces équipes. Avec de plus, en ligne de mire, une invitation à la grand-messe JavaOne de San Francisco. L'équipe gagnante de cette seconde manche nationale sera invitée à participer à l'épreuve de sélection européenne qui aura lieu les 19 et 20 avril à Prague, au Centre de développement de Sun Microsystems. (...)
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