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(27/03/2007 16:54:03)

L'ANPE veut structurer les sites de recherche d'emplois avec la Charte réseau Net-emploi 2007

Aussi étrange que cela puisse paraître, l'ANPE (Agence nationale pour l'emploi), en dépit de sa mission de service public, ne s'était pas encore prononcée pour donner son appréciation sur la multitude de sites d'emplois qui essaiment sur la toile, même si l'idée est présente depuis 2002. L'oubli est désormais réparé avec la validation de la Charte du réseau net-emploi version 2007, proposée à tous les acteurs de l'emploi en ligne qui existent depuis au moins un an et qui respectent un certain nombre de conditions. Un label pour valoriser les sites qui respectent des règles communes Les sites en règle auront la possibilité d'apposer le logo attestant de leur engagement à tout mettre en oeuvre pour le respect de la légalité et des principes de non discrimination, dans une recherche permanente et collective des meilleures pratiques. Certaines règles sont strictes : respect des principes légaux et déontologiques ; accès gratuit à la consultation des offres et à la mise en ligne des CV pour les candidats ; assurance de la protection des données personnelles des candidats ; diffusions des offres d'emploi effectives, authentiques, précises, actualisées, sous contrôle et sans mention discriminatoire ou critère interdit ; gestion des CV qui respecte le choix des candidats (anonymat ou diffusion des coordonnées personnelles) et qui indique la durée de vie dans la base de données. Par ailleurs, un baromètre de la qualité des offres d'emploi en regard du contenu et sur le principe de non-discrimination a été mis au point. C'est une sorte d'étalon pour mesurer les efforts déployés par les adhérents dans leurs actions de vérification et d'auto-contrôle. C'est aussi un moyen d'auto-évaluation pour les sites candidats. C'est enfin une façon de jouer la transparence sur la question de l'amélioration nécessaire des offres d'emploi au regard de la discrimination par le sexe et par l'âge, deux critères qui, selon les conclusions de l'ANPE, « restent les points faibles de la diffusion Internet ou presse ». (...)

(26/03/2007 18:01:29)

Le Web 2.0 favoriserait la fuite d'informations

L'usage croissant, dans les entreprises, des technologies Web 2.0 et l'accès, pendant les heures de bureau, aux sites de réseaux sociaux peuvent conduire à augmenter les risques de fuites d'informations. Une étude, menée auprès d'un millier d'utilisateurs par la société YouGov, pour le compte de Clearswift (spécialiste de la sécurisation des contenus), indique que 42 % des employés ayant entre 18 et 29 ans abordent des sujets relatifs à leur travail sur des sites de réseaux sociaux ou sur des blogs. Plus d'un quart de ces jeunes collaborateurs passent trois heures, quelquefois davantage, sur des sites Web tels que YouTube ou MySpace pendant leur temps de travail. Et presque quatre sur dix reconnaissent accéder à ce type de sites plusieurs fois par jour. 59 % des collaborateurs âgés de 18 à 29 ans estiment que les salariés doivent pouvoir accéder à ces sites pour des raisons personnelles, à partir de leur poste de travail. Alors qu'ils ne sont que 38 % à le penser parmi les collaborateurs ayant plus de trente ans. Selon Ian Bowles, DG de Clearswift, l'étude met en avant la nécessité pour les entreprises et les administrations de mettre en garde leurs employés sur les risques que peut présenter la diffusion d'informations professionnelles hors de l'entreprise. « Des commentaires malheureux, même s'ils sont effectués sans intention de nuire par le salarié qui les poste sur un site Web, peuvent entacher l'image d'une société », juge Clive Longbottom, du cabinet d'analystes Quocirca. Pour autant, il n'est pas envisageable pour une entreprise de bloquer les accès aux blogs, ce qui entraverait aussi la communication avec les partenaires et les clients. La prise de conscience par les entreprises des problèmes de sécurité liés à la messagerie électronique ne s'est pas encore étendue à l'usage des communications bi-directionnelles, courantes dans l'univers Web 2.0. « Le risque de fuite de données est même cette fois plus important qu'avec les courriels parce que n'importe qui peut accéder aux blogs et aux sites de réseaux sociaux », considère Katie Gotzen, analyste chez Frost & Sullivan. La plupart des quelque mille personnes interrogées par YouGov dans le cadre de cette enquête ont déclaré connaître la politique édictée par leur entreprise sur l'usage d'Internet. En revanche, 14 % ont indiqué ne pas savoir si leur employeur avait une politique d'utilisation d'Internet et 14 % ont dit qu'il n'en existait aucune dans leur entreprise. Plus d'un quart des sondés ont par ailleurs précisé que leur employeur ne les autorisait pas à accéder aux sites de réseaux sociaux. (...)

(26/03/2007 17:38:50)

Trophées entreprises et société de l'information : 7e édition

Les Trophées Entreprises et société de l'information en seront le mois prochain à leur septième édition. En 2001, la Bulle Internet était bien là, au moins encore dans les esprits. Seule la technologie la plus nouvelle comptait. Malgré tout, Le Monde Informatique et CIO ont alors fait le pari de l'informatique utile. Un outil ne vaut que par les services qu'il rend ? Une profession de foi digne, alors, d'un prêcheur dans le désert ! C'est avec cet esprit que nous avons pourtant créé la première édition des Trophées Entreprises et Société de l'Information et nous l'avons gardé jusqu'à aujourd'hui. Les entreprises, les associations et les administrations les plus performantes nous ont suivis, présentant chaque année les stratégies les plus innovantes pour mieux couvrir leurs besoins ou accroître leur performance. La septième édition de cette manifestation s'achèvera par la proclamation, le 5 avril, du palmarès 2007. Les nominés tremblent déjà... (...)

(16/03/2007 17:10:18)

Microsoft prêt à payer les grands comptes pour l'adoption de Live Search

Dans une tentative censée améliorer sa petite part de marché sur le segment des moteurs de recherche, Microsoft a décidé d'une politique d'incitation financière à destination des grands comptes. Il s'agit de proposer une ristourne à des entreprises triées sur le volet sur la base d'un certain nombres de requêtes sur Live Search, l'outil de Microsoft. Les incitations financières seront valorisées sous forme de crédits de formation ou de services. La stratégie de Microsoft est risquée : certes, elle s'appuie sur ses clients les plus fidèles, mais elle risque d'être perçue par les utilisateurs finaux comme une obligation supplémentaire liée à l'éditeur. Selon Greg Sterling, analyste indépendant, "in fine, vous devez quand même montrer la compétitivité de votre produit. Ce dernier doit reposer sur ses propres mérites technologiques." Sans remettre en cause Live Search, l'offensive musclée de Microsoft démontre l'inquiétude de l'éditeur sur ce segment de marché face à l'omnipotence de Google. En dépit d'efforts répétés, Microsoft n'a pu contrer suffisamment tôt la montée en puissance de son rival californien. En janvier, les requêtes via Google représentaient 47,5 % des recherches américaines contre 10,6 % pour Microsoft. (...)

(22/03/2007 17:16:31)

Michel Rocard planche sur l'IT pour Ségolène Royal

Michel Rocard vient de se voir confier, par Ségolène Royal, une mission sur « les enjeux du numérique ». L'ancien Premier ministre aura en charge la rédaction d'un rapport dans lequel il devra fournir une série de propositions à la candidate sur les thèmes du numérique et d'Internet, des sujets pour l'heure peu évoqués dans la campagne. Entouré de neuf personnalités, dont Vincent Feltesse, le monsieur IT du PS, Aziz Ridouan, président des audionautes, François Pellegrini, fondateur les Rencontres mondiales du logiciel Libre, ou du journaliste et écrivain Frédéric Martel, Michel Rocard s'interrogera notamment sur les moyens nécessaires pour « relancer l'innovation dans le numérique et le logiciel en France et en Europe ». L'ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine planchera également sur l'informatique comme levier de la réforme de l'Etat, une réflexion qui devrait toucher aux logiciels Libres. Rappelons que Ségolène Royal avait rencontré Richard Stallman, le président de la Free Software Foundation, en juin 2006. Une rencontre au cours de laquelle la future candidate avait rappelé son opposition à la loi Dadvsi et partagé, avec le dogmatique Stallman, son attachement aux principes du Libre. Michel Rocard, qui s'était vigoureusement opposé aux brevets logiciels lors des discussions au Parlement européen, ne disposera que de quelques jours pour rendre son devoir : Ségolène Royal ramassera les copies début avril. (...)

(22/03/2007 17:02:11)

Atlanpole et Sophia Antipolis : deux technopoles en relatif stand-by pour la création d'emploi

Selon les relevés barométriques, pour 2006, de l'emploi sur les zones d'Atlanpole à Nantes, et de Sophia Antipolis sur la Côte d'azur, la dynamique des technopoles continue d'agir en termes d'attractivité, d'implantation et de création d'entreprises. Non sans un certain essoufflement que la mobilisation R&D, autour des projets de pôles de compétitivité notamment, n'a pas encore surmonté. Ainsi pour Atlanpole, en comparaison avec le rythme moyen annuel de 1235 emplois créés depuis six ans, l'année 2006 a été plutôt généreuse en création d'emplois (un total de 19739 emplois pour 264 entreprises, soit 2025 emplois de plus qu'en 2005). Et ce, avec 19 entreprises supplémentaires recensées sur la zone (implantations et créations), dont 8 start-up nées en 2006. Mais ce nombre d'entreprises créées est deux fois moindre que la moyenne des cinq années précédentes (17 en moyenne), et loin du score de 2001 avec 27 start-up lancées. Néanmoins, avec la hausse sensible du nombre de projets en incubation, de 39 recensés à fin 2005 à 51 recensés à fin 2006, tout espoir est permis pour une relance plus nette en 2007. Sachant qu'ici, comme pour la plupart des technopoles de l'Hexagone, le secteur informatique/télécom/électronique est nettement majoritaire (62% des emplois d'Atlanpole). Un tiers des emplois R&D nouvellement implantés en France Pour Sophia Antipolis, le bilan 2006 des implantations et décisions d'extension des entreprises accompagnées par l'agence de développement économique du département (Team Côte d'Azur) présenté début mars, fait état de 1400 emplois supplémentaires à l'horizon de trois ans, pour 41 entreprises implantées ou à venir sur la zone Nice-Sophia. Un indicateur d'autant plus suivi que, selon le relevé national de l'AFII (agence française pour les investissements nationaux), la Côte d'Azur (Alpes-Maritimes) compte pour le tiers des emplois R&D nouvellement implantés en France par des entreprises étrangères. Pour autant, en termes de chiffre d'affaires, le bilan 2006 présenté par la CCI niçoise en février, montre que le secteur des technologies de l'information et de la communication peine à franchir le cap des 4 milliards d'euros de chiffres d'affaires (3959 millions en 2006, 3999 en 2005, 3883 en 2004). Tandis que le pôle des sciences du vivant progresse (1815 millions d'euros en 2006). Plus inquiétant, comme pour Atlanpole, c'est surtout pour la création d'entreprises innovantes que les clignotants ont viré au rouge. Selon l'étude Dynamis présentée par Michel Bernasconi, professeur au Ceram (la Sup de Co locale) à l'initiative du cycle Entrepreuriat, en 2004, le solde de start-up était négatif avec 47 fermetures ou délocalisations pour 45 créations de jeunes pousses. Un léger mieux est enregistré en 2005, et surtout dans le domaine des technologies de l'information, avec un solde de 40 projets d'entreprises innovantes. Mais avec un effectif moyen (deux salariés) reflétant une ambition en net retrait par rapport aux années 1997-2000. La dynamique générée par les pôles de compétitivité régionaux - dont le pôle SCS (Solutions communicantes sécurisées) - et soutenue par les associations d'entreprises dont Telecom Valley (15 années d'existence, 100 entreprises dont 25 PME ayant rejoint l'association en 2006), n'a pas encore produit son effet. Mais un coup de pouce de l'Europe vient par ailleurs d'être obtenu, pour les Alpes-Maritimes comme pour 5500 communes de France (comme le précisait le ministre de l'Aménagement du territoire et président du Conseil général du 06, lors de la présentation du bilan 2006 de Team Côte d'Azur), avec l'adoption par Bruxelles d'une extension des « territoires éligibles aux aides à finalité régionale » (AFR). Ce qui permet à 14 communes du département (proches de la technopole de Sophia Antipolis), de bénéficier du dispositif de prime d'aménagement du territoire (pour 2007-2013) dont cette partie de la Côte d'Azur était jusque là exclue. (...)

(22/03/2007 16:59:18)

Jacques Chirac séduit par le projet de Bibliothèque numérique européenne

Le président Jacques Chirac a présidé hier, mercredi 21 mars, une réunion depuis le Palais de l'Elysée sur le projet de Bibliothèque numérique européenne (BNE), en compagnie du ministre de la Culture et de la Communication, Renaud Donnedieu de Vabres, et du président de la Bibliothèque nationale de France, Jean-Noël Jeanneney. Et "s'est félicité que ce projet se traduise par des développements concrets". La BNE devait être présentée au grand public lors du Salon du Livre qui ouvre ce 22 mars à Paris. Le projet d'une BNE a été lancé en 2005 par Jean-Noël Jeanneney, en réaction à l'initiative très controversée de Google, Google Print (désormais Google Books). A terme - en 2010 -, la BNE devrait permettre de visualiser sur Internet un fond documentaire de quelque six millions d'oeuvres. Et combinera pour cela les ressources mises en ligne de 25 universités européennes. Seule la partie développée par la France, baptisée Europeana, était présentée à Jacques Chirac. Dans un communiqué, l'Elysée souhaite "accélérer le rythme de numérisation de ses fonds patrimoniaux, avec pour premier objectif d'intégrer 100 000 volumes dans la BNE dès 2007" et "que les négociations engagées avec les ayants droits soient intensifiées afin que la BNE puisse s'ouvrir rapidement à des documents sous droits, dans le strict respect de la propriété intellectuelle." Serge Eyrolles, président du Syndicat national de l'édition et membre de la commission " Politique numérique " du Centre national du Livre, était par ailleurs présent lors de la présentation. L'Elysée rappelle également que "la Bibliothèque nationale de France a été dotée d'emplois supplémentaires et d'un budget spécifique de 10 millions d'euros par an pour ce projet". (...)

(20/03/2007 12:20:30)

Europe : La mise en commun des empreintes ADN se précise

Le quotidien en ligne LeMonde.fr rapporte que l'Union européenne veut se doter d'une base de données d'empreintes digitales et génétiques. Dans leur article, nos confrères relayent une information publiée par le Times, selon laquelle Bruxelles envisage de transposer le traité de Prüm, qui organise cette mise en commun des empreintes, dans le droit européen. L'information n'est, en réalité, pas extrêmement fraîche : dès le mois de janvier, nous ouvrions nos colonnes à ce sujet et évoquions la volonté de l'Allemagne, qui occupe la présidence de l'UE depuis le début 2007, de voir les dispositions du traité de Prüm entrer dans le paysage juridique européen. Les ministres européens de la Justice et de l'Intérieur étaient réunis à Dresde, mi-janvier, pour discuter de ce projet. Un mois plus tard, les Etats membres parvenaient à un accord de principe. Rappelons que le traité de Prüm, signé en mai 2005, met en place une coopération policière renforcée entre ses sept signataires. Ceux-ci peuvent accéder mutuellement à leurs bases de données d'empreintes digitales et ADN, ainsi qu'aux fichiers des immatriculations de véhicules. Les polices des pays signataires peuvent également franchir les frontières sans autorisation, en cas d'urgence. (...)

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