Flux RSS

Société

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1898 documents trouvés, affichage des résultats 1851 à 1860.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(24/02/2006 16:44:52)

Budget des Etats-Unis : l'administration Bush choie la R&D et la guerre

L'administration Bush entend dépenser plus en R&D en 2007. Deux institutions devraient en particulier voir leur budget progresser l'an prochain, le département de l'énergie (DOE) et la National Science Fundation (NSF), si le Congrès approuve le budget 2007 présenté par George Bush. La plupart des autres postes de dépenses R&D devraient rester stables. Présenté lors du discours sur l'Etat de l'Union comme partie intégrante du plan pour la compétitivité américaine, l'augmentation du budget R&D devrait conduire à une augmentation des dépenses de 7% pour le DOE, à 137.2 Md$, et de 8 %, à 4,55 Md$, pour la NFS. Un budget permettant aux Etats-Unis "de conserver sa domination scientifique", selon Raymond Orbach, le directeur du bureau des sciences du DOE. Celui-ci explique que la majeure partie de l'augmentation devrait être utilisée pour les laboratoires de recherche et dans l'amélioration des super-ordinateurs, certains pouvant atteindre une puissance de 100 teraflops. Parallèlement, le gouvernement Bush prévoit de geler ou diminuer 141 postes de dépenses "non prioritaires" - touchant notamment l'éducation ou la santé - de façon à économiser plus de 15 Md$, sur un budget de 2 700 Md$. Grand gagnant, le domaine de la défense se voit allouer 440 Md$, + 7%, sans compter les 120 Md$ de rallonge accordés pour la guerre en Irak. (...)

(06/02/2006 18:06:40)

Les forces de l'ordre françaises se mettent au libre, la gendarmerie passe à Firefox

Les forces de l'ordre françaises persistent dans le monde de l'Open Source. Après avoir migré l'année dernière sous Open Office - la version 2.0 devrait être mise en place en mars prochain, économisant au passage 2,4 ME -, la gendarmerie annonce son intention d'abandonner Internet Explorer pour Firefox. Dans la foulée, les gendarmes adopteront également Thunderbird pour la gestion du courrier électronique alors qu'actuellement ils utilisent Outlook. Le parc informatique de la gendarmerie nationale représente 70 000 ordinateurs. La migration devrait être finalisée d'ici la fin de l'année. Le Général Christian Brachet, DSI de la Gendarmerie, a choisi Firefox pour « sa fiabilité, sa sécurité et son interopérabilité avec d'autres services de l'État.» En pensant à l'avenir où les internautes pourraient déclarer directement un vol depuis leur ordinateur le Général préfère un équipement « basé sur le standard du W3C, une norme internationale pour l'Internet et parce qu'il [Firefox] fonctionne tout aussi bien sous Microsoft, Mac ou Linux. » La migration de Windows vers Linux n'est pas encore à l'ordre du jour bien qu'à l'étude. (...)

(01/02/2006 17:04:43)

Ministère de l'économie: contrat record dans les logiciels libres

Le ministère de l'économie et des finances, qui avait lancé un appel d'offre portant sur un projet d'industrialisation de logiciels libres, vient de signer un contrat avec un groupement rassemblant Capgemini, Linagora et Bull. Il s'agit du plus important contrat dans le domaine de l'open source signé en 2005 dans le monde. D'une durée de trois ans, sa valeur sera comprise dans une fourchette de 15 à 40 ME. Deux tranches composent ce contrat : la première, ferme, porte sur la maintenance et la veille technologique et s'articule autour de l'offre TM2L (tierce maintenance appliquée aux logiciels libres) de Linagora ; l'autre tranche, à bons de commande, concerne l'expertise et les prestations de migration, de monitorat et de maintenance évolutive. Chacun des trois groupes apportera ses compétences propres : Capgemini s'appuiera sur son expérience de pilotage de grands programmes et s'occupera de l'implémentation et de l'intégration des logiciels libres ; Linagora contribuera au projet via sa méthodologie TML2 garantissant la correction des éventuelles anomalies et l'évolution de la solution ; Bull créera des composants open source sur ses plates-formes matérielles, proposera une offre de services de développement, de qualification et de support de piles logicielles et développera les composants existants. (...)

(24/02/2006 16:50:06)

Nouvelles technologies : l'Europe peine à traduire ses intentions en actes

Le constat est sans appel : « la stratégie initiale de Lisbonne n'a pas péché par manque d'analyse ni d'objectifs, mais, soyons francs, elle n'a pas fonctionné. » Jose Manuel Barroso, président de la Commission européenne, estime ainsi les projets détaillés à Lisbonne, il y a dix ans, pour renforcer la compétitivité de l'Europe face aux Etats-Unis, ont échoué. Sans dénigrer la capacité d'innovation de nombreux pays de l'Union, Jose Manuel Barroso constate un manque de dynamisme de l'Europe, soulignant même un retard alors que des entreprises asiatiques commencent à modifier la nature de la concurrence. Selon lui, l'Europe doit mieux orienter ses investissements en recherche et développement tout en prenant soin de forcer des travailleurs qualifiés pour utiliser, au mieux, ses capacités d'innovation. Le président de la Commission relève néanmoins plusieurs initiatives lancées pour remédier à la situation : le Research Fremawork Program, le Conseil Européen pour la Recherche et le Conseil pour la Recherche et la concurrence, visant à accompagner les PME dans leurs investissements et dans la gestion des contraintes réglementaires. Selon Jose Manuel Barroso, les deux tiers des entreprises européennes innovantes sont des grandes entreprises et le potentiel des PME est largement sous exploité. Et d'appeler de ses v?ux à des partenariats étroits entre universités, instituts publics de recherche et entreprises privées. Enfin, le président de la Commission a plaidé en faveur d'une recherche qui se préoccupe plus des applications commerciales de ses travaux. De quoi raviver le débat entre recherche appliquée et recherche fondamentale. (...)

(01/02/2006 00:00:00)

Carrières : Microsoft va enseigner l'informatique aux jeunes sans emploi et aux seniors

Microsoft a annoncé un vaste programme européen de formation aux TIC, lors de l'édition 2006 de son forum pour les décideurs gouvernementaux, qui s'est déroulé à Lisbonne cette semaine. Ce projet devrait concerner 20 millions de personnes sur cinq ans et en particulier les jeunes chômeurs, les travailleurs plus âgés et les personnes présentant un handicap. Baptisé "l'alliance européenne sur les compétences pour l'emploi" ("European Alliance on Skills for employability", il est monté en partenariat avec des organisations publiques et privées et regroupe entre autre, des représentants de Microsoft, du programme européen de certification de compétences informatiques European Computer Driving Licence Foundation ( passeport de compétences informatique), de Cisco Systems et de State Street, etc. Ces associés s'engagent à investir 60 M€ pour mener à bien leur projet. (...)

(01/02/2006 17:28:27)

TIC et PME : le point de vue de Computerland

Computerland, intégrateur et fournisseur de services pour les PME qui a participé à une commission de préparation du plan « TIC et PME », a profité du Salon des Entrepreneurs pour synthétiser son point de vue sur la réalité de l'utilisation des technologies de l'information dans les PME. Pour les responsables de Computerland, un meilleur usage des TIC passe par cinq conditions à remplir : - Le choix d'infrastructures et d'équipements adaptés aux besoins de l'entreprise, qui évitent l'écueil du surdimensionnement. - La réussite de l'intégration des dernières technologies dans l'environnement existant. - La présence d'un support aux utilisateurs efficace, indispensable pour éviter de grosses pertes de temps. - Une maintenance capable de réagir sans délai. - Un financement adéquat. La difficulté centrale est liée à la taille, par définition modeste, de la PME. Ses exigences techniques sont équivalentes à celles des grandes entreprises, mais les moyens humains et financiers ne sont évidemment pas les mêmes. Le développement des l'usage des TIC dans les PME risque donc d'augmenter le déséquilibre entre les besoins en technologies et les ressources internes. La solution passe par la collaboration avec un partenaire efficace, capable de comprendre les problèmes posés et d'y répondre d'une manière adaptée, qui prenne en compte les contraintes d'une PME. Computerland, qui se définit comme une SSDI (société de service et de distribution informatique), justement destinée à répondre aux besoins croissants des PME, plaide bien sûr pour sa chapelle. Mais la réalité du terrain semble lui donner raison. (...)

(01/02/2006 17:27:51)

65 000 visiteurs attendus au salon des entrepreneurs

Le salon des entrepreneurs a ouvert ses portes mercredi 1er février, accueillant dirigeants de PME, créateurs et repreneurs d'entreprises au palais des Congrès de Paris. Jusqu'au 3 février, près de 65 000 visiteurs devraient se succéder pour assister aux 210 ateliers et conférences, répartis en quatre axes : les technologies de l'information côtoient la création d'entreprise, la gestion et le développement d'une activité, et enfin la reprise ou la transmission d'une société. Un espace d'exposition, l'Econumériquexpo, accueille plusieurs fournisseurs de solutions informatiques. Parmi eux, de nombreux éditeurs d'outils de gestion, allant du logiciel de comptabilité destiné à la petite entreprise jusqu'au progiciel de gestion intégré ciblant les besoins des grosses PME. Ciel, EBP, Sage, Cegid, Idylis ou même SAP sont ainsi au rendez-vous. La conférence plénière de l'Econumériquexpo, le 2 février, sera consacrée aux attentes des petites entreprises face aux technologies numériques. Renaud Dutreil, Ministre des PME, Olivier Midière, responsable de la mission gouvernementale TIC et PME, ainsi que cinq représentants de gros fournisseurs informatiques partageront leurs analyses de la situation. Seul regret, l'absence de dirigeants de PME pour participer aux débats. (...)

(31/01/2006 18:08:43)

Verisign / Icann : vers la détente

Icann, le régulateur de l'Internet vient de publier une version modifiée des accords définissant ses relations avec Verisign, gestionnaire des registrars .com et .net, passés en octobre 2005. Le présent accord, qui porte sur 6 ans, vise avant tout à limiter les hausses excessives et incontrôlées des prix des suffixes .com demandé au registrar par Verisign. Soit sous le précédent accord 6$ par .com, plus une hausse de 7% par an non-justifiée. Désormais, sur une période de six ans -durée du contrat-, la hausse de 7% imposée par Verisign devra être impérativement conditionnée par soit une alerte sécurité, soit un mandat avec l'Icann. Sur les quatre années restantes, la société pourra pratiquer ses 7% de traditionnelle hausse. Egalement dans ce nouvel accord, Verisign ne pourra plus répercuté les frais de de l'Icann sur les registrar. Il devra en revanche verser un forfait de 6 M$ par an à l'organisme. Enfin, dernier point l'Icann indique rejeter le SiteFinder de Verign, service mis en place en 2003 et source de litige entre les deux parties. Pour l'heure, ces propositions restent toujours sujettes à validation des comités directeurs de Verisign et de l'Icann. Après une autre période de consultation publique. A terme, cela pourrait adoucir les relations entre les deux sociétés. (...)

(30/01/2006 00:00:00)

Recrutement : un amendement pour enrayer les enchères inversées en ligne

La députée UMP de l'Essonne Nathalie Kosciusko-Morizet, a déposé un amendement pour dissuader les recruteurs d'utiliser les systèmes d'enchères inversées en ligne pour faire leurs emplettes. Ils sont encore rares en France. Seul le site www.jobdealer.net , inspiré de l'allemand www.jobdumping.de, en propose depuis le mois de novembre dernier. La député prend toutefois les devants, avant que ce type de service ne fasse des petits. Son amendement est associé au projet de loi sur l'"Egalités des chances" qui sera discuté demain au palais bourbon. Il propose que les "employeurs ne puissent se prévaloir des stipulations d'un contrat de travail conclu à l'issue d'enchères inversées portant sur le montant du salaire". Autrement, dit, il suggère que les recruteurs ne soient plus protégés par le droit du travail, dans le cas d'embauches effectuées à l'issue d'enchères inversées en ligne. L'objectif de Nathalie Kosciusko-Morizet est de protéger les salariés d'une pratique qui "déshumanise" selon elle, la proposition d'embauche. "Ces systèmes donnent une fausse image du marché du travail", souligne-t-elle. "Ils laissent croire que le salaire est le seul critère de recrutement, alors que c'est loin d'être le cas, surtout pour des emplois de service. Ils entraînent de plus, un traitement très brutal de personnes déjà souvent fragilisées". En l'état actuel du droit français, rien ne s'oppose à la conclusion de contrats de travail à l'issue d'enchères inversées. La seule limite législative est l'interdiction d'offrir une rémunération inférieure au SMIC. La députée se propose donc de combler un vide juridique dans ce domaine. Le 23 janvier, elle a fait une proposition de loi dans cette optique, afin d'interdire le recours à des enchères inversées pour conclure un contrat de travail. Cette proposition s'est finalement transformée en amendement afin qu'elle puisse être examinée le plus vite possible à l'Assemblée Nationale. Ce changement a permis à Nathalie Kosciusko-Morizet de reformuler sa proposition pour ne pas pénaliser les personnes ayant éventuellement conclu des contrats de travail par cette voie. L'associer à la loi sur l'égalité des chances lui permet par ailleurs de rappeler symboliquement que ce principe doit aussi s'appliquer dans le recrutement et le contrat de travail. (...)

(24/02/2006 16:58:36)

Antitrust : L'UE toujours insatisfaite de Microsoft

La proposition de Microsoft de publier une partie de son code source pour satisfaire la demande de la Commission Européenne d'ouverture de ses protocoles clés n'est pas forcément suffisante pour stopper l'imposition d'une amende quotidienne de 2ME, a expliqué hier un porte-parole de l'Union. Interrogé sur la proposition de Microsoft, Jonathan Todd, le porte-parole de la commissaire à la concurrence, Neelie Kroes, a expliqué qu'il "serait prématuré de conclure, que l'accès au code source résout les problèmes de non conformité à la décision [ de la commission]". Mercredi, Brad Smith, le responsable des affaires juridiques de Microsoft a annoncé unilatéralement que la société est prête à licencier le code source de ses protocoles serveurs essentiels afin de répondre aux critiques de la Commission, qui lui reproche de ne pas se conformer à son jugement. Smith a affirmé que Microsoft répondait déjà aux demandes de la commission en fournisssant près de 12000 pages de documentation sur ces mêmes protocoles. Visiblement, cela ne suffit pas à satisfaire les services de la concurrence. Pour Todd, ce n'est en effet pas la quantité d'information fournie par Microsoft qui importe mais la qualité de ces informations. "Ils pourraient aussi nous fournir un demi-million de pages, mais si cela n'est pas suffisant pour permettre aux concurrents de rendre leurs produits compatibles avec les produits serveurs de Microsoft, alors cela ne résout pas le problème de conformité [à notre décision]". Certains concurrents du géant de Redmond ont appuyé la position de la commission en indiquant qu'il s'agissait d'un coup médiatique qui inonde les développeurs d'informations inutiles. Le cabinet d'analyse Ovum a de son côte expliqué qu'il serait plus pertinent pour Microsoft de travailler avec la commission pour pallier les problèmes de la documentation technique déjà livrée. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >