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(24/02/2006 17:41:03)

IBM cite Microsoft, Sun et HP à comparaître contre SCO

IBM vient de demander à Microsoft, Sun, HP et BayStar Capital de verser des documents relatifs à leurs échanges avec SCO au procès qui l'oppose depuis bientôt trois ans à cet éditeur. Les documents demandés concernent les efforts fournis en vue de garantir la confidentialité du code source d'Unix ainsi les royalties versées à SCO. Les réponses apportées à la demande d'IBM pourraient porter un éclairage intéressant sur les relations de SCO avec les autres industriels du secteur, notamment Microsoft. Ce dernier a en effet signé un accord de licence avec SCO peu après que celui-ci a engagé ses poursuites contre IBM. SCO accuse notamment IBM d'avoir versé des portions de code source d'Unix à la communauté du logiciel libre, code dont SCO revendique la propriété. Microsoft, Sun, HP et BayStar ont jusqu'au 7 mars pour présenter les documents demandés et une semaine de plus pour produire leurs dépositions. (...)

(24/02/2006 16:21:29)

Bruxelles veut se doter d'un MIT européen

Si l'Europe est capable d'attirer les meilleurs footballeurs de la planète, et de les retenir, pourquoi ne pourrait-elle pas faire de même avec les chercheurs ? C'est, en substance, ce qu'a déclaré le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, pour appuyer sa proposition visant à créer un Institut européen de la technologie (EIT). Une sorte de calque du célèbrissime Massachusset Institut of Technology, censé fonctionner en s'appuyant sur un réseau de communautés scientifiques, laboratoires, écoles, centres de recherche, articulé autour d'un comité directeur et prenant appui sur les universités. Selon le projet présenté par la Commission, l'EIT pourrait voir le jour en 2010. Il devrait contribuer à dynamiser les investissements jusqu'alors poussifs en matière de recherche - l'Europe consacre moins de 2 % de son PIB à la R&D, contre 2,6 % aux Etats-Unis -, et à harmoniser la recherche, quelque peu fragmentée, dans les Etats membres. Plusieurs secteurs de recherche ont déjà été évoqués, comme l'environnement, les nanotechnologies ou l'énergie. Reste que plusieurs questions semblent en suspens. En premier lieu celle du financement. Prévu pour fonctionner à partir d'un mélange de fonds publics et privés, l'IET devra convaincre les Etats membres d'allonger une participation. José Manuel Barroso attend avec impatience le conseil européen du 23 mars prochain : ce sera l'occasion de "tester leur volonté", a indiqué le président de l'exécutif européen. Autre obstacle, celui du choix du lieu qui accueillera le "MIT européen". Trois pays se seraient d'ores et déjà portés candidats : la Pologne, l'Autriche et la France. (...)

(23/02/2006 17:48:29)

Microsoft publie une bêta de Vista pour les entreprises mais fait face à une nouvelle plainte antitrust

Microsoft a publié hier la première version complète d'une bêta de Windows Vista destinée aux utilisateurs en entreprises. Cette "Community Technology Preview", ou CTP en langage Microsoft, est en fait une version bêta qui inclut pour la première fois l'ensemble des outils de déploiement conçus pour faciliter la création et la distribution d'images systèmes de l'OS sur un parc de machines. Elle incorpore également la barre latérale (SideBar) de Vista qui abrite le lecteur RSS ainsi que des widgets paramétrables par l'utilisateur. Pour l'instant Mcirosoft se refuse à geler définitivement le produit : "Nous acceptons toujours des retours des utilisateurs et nous recueillons encore des requêtes de modification. Il est encore possible que certains fonctions apparaissent ou disparaissent [d'ici le lancement du produit final]" explique ainsi Mike Burk, un responsable produit de la division Windows. Microsoft avait à l'origine prévu de publier une CTP par mois mais a préféré sauter les mois de décembre et de janvier pour cette Ctp qui devrait être adressée à près de 500 000 bêta testeurs. Le logiciel est accessible à l'ensemble des membres Microsoft Developer Network (MSDN), deTechNet, et du programme "early adopter" de Microsoft. Nouvelles poursuites antitrust La bonne nouvelle de l'arrivée de cette version bêta a été sérieusement assombrie par le dépôt d'une nouvelle plainte antitrust visant notamment Vista et la suite Office auprès de la Commission Européenne. L'attaque vient cette fois-ci de l'European Committee for Interoperable Systems (ECIS), une association qui regroupe notamment Corel, IBM, Nokia, Opera, Oracle, RealNetwork, Red Hat et Sun. L'ECIS accuse notamment Microsoft de refuse l'accès à certains protocoles et formats clés de sa suite Office, notamment les formats .doc, .xls, et .ppt, ce qui empêche l'émergence d'alternative sur le bureau. L'ECIS estime que ce comportement est de nature à conforter les monopoles existants de Microsoft et à lui permettre d'étendre sa domination à des marchés connexes. Microsoft a immédiatement répliqué en affirmant : "Nous avons pris l'habitude de voir quelques concurrents se plaindre alors que nous introduisons de nouveaux produits qui profitent aux clients, notamment avec le type de technologies de pointe présentes dans Office 12 et Windows Vista". Et d'ajouter que l'ECIS est une coquille qui dissimule en fait IBM et d'autres concurrents qui cherchent en permanence à utilise la justice à leur profit. Un porte-parole de la commissaire à la concurrence, Neelie Kroes, a de son côté indiqué que la commision examinera avec attention la nouvelle plainte. (...)

(23/02/2006 11:09:17)

Consultation sur les modes de financement des PME

Thierry Breton, ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie et Renaud Dutreil, ministre des PME, du Commerce, de l'Artisanat et des Professions libérales, ont lancé une consultation sur les « Modalités de mise en oeuvre d'un dispositif de financement en fonds propres des PME ». Selon ces deux ministres, « notre défi porte aujourd'hui sur les PME de taille intermédiaire, dynamiques et performantes, dont l'expansion semble trop souvent bloquée par un « plafond de verre » qui ralentit leurs projets de développement et freine leur croissance. » Leur volonté est de promouvoir le financement en fonds propres des PME, puisque la France est en retard dans ce domaine. Aujourd'hui, environ 350 millions d'euros sont investis chaque année dans le capital-risque et 700 millions d'euros dans le capital développement. En Grande-Bretagne, par exemple, ces chiffres sont respectivement de 800 millions d'euros et de 2,8 milliards d'euros. La puissance publique prévoit de débloquer deux millards d'euros sur la durée, afin de donner au marché un surcroît de volume. Dans un premier temps, Thierry Breton et Renaud Dutreil ont publié sur le site Web www.pme.gouv.fr/ des informations et un questionnaire auquel les PME peuvent répondre jusqu'au 7 mars prochain. (...)

(21/02/2006 17:58:50)

Télécoms : la concurrence imposée par Bruxelles a fait baisser les prix

En publiant son rapport sur l'état des marchés des télécommunications, l'exécutif communautaire s'adresse un auto-satisfecit : la concurrence s'installe efficacement et conduit à des baisses de prix pour les consommateurs. Entre 2002 et 2005, le coût moyen pour trois minutes de communication sur un téléphone fixe a ainsi diminué de 65 %. Quand l'appel passe à dix minutes, la baisse de prix atteint 74 %. Autres motifs de satisfaction, la forte pénétration de la téléphonie mobile - 93 % de la population des 25 est équipée - et du haut débit. Ces valeurs illustrent les effets des règles édictées par la Commission en 2002. Plus généralement, les données contenues dans le rapport permettent la mise en place d'une réévaluation des textes normatifs afin, selon la commissaire Viviane Reding, de renforcer les investissements à travers une concurrence basée sur l'infrastructure, de porter l'innovation et de poursuivre la mise en place du marché unique en rendant plus cohérente la réglementation communautaire. (...)

(24/02/2006 16:26:22)

La directive sur les services déçoit l'industrie IT européenne

"Une occasion manquée". C'est ainsi que les entreprises IT du Vieux continent ont qualifié le vote des parlementaires européens sur la libéralisation des services dans l'UE. Les eurodéputés ont adopté, par 394 voix contre 215, la directive prévoyant l'ouverture des marchés nationaux des services aux entreprises des autres Etats membres. Souvent baptisée du nom de son instigateur, Frits Bolkestein, la directive a laissé de côté la très décriée référence au pays d'origine qui aurait permis aux entreprises de vendre leurs services dans un autre pays de l'UE tout en restant soumises aux lois et autres régulations du pays où elles sont basées. "C'est une grande déception pour notre secteur", regrette Mark MacGann, à la tête de l'Eicta - Association européenne pour l'industrie des technologies de l'information et de la communication. "Sans la référence au pays d'origine il n'y a plus guère d'intérêt pour les entreprises à aller s'installer dans d'autres pays". Selon l'Eicta, l'édulcoration de la directive devrait empêcher l'Union européenne de mettre en place une industrie des services IT compétitive. Et Mark MacGann de citer les anciens pays communistes ayant rejoint l'UE en 2004 : selon lui, ces pays disposent d'un secteur des services IT très dynamique, notamment en Pologne, Hongrie et République Tchèque. Mais la proportion de sociétés capables de s'installer dans les quinze Etats membres "historiques" est infime en raison de barrières dans les législations nationales. La version du texte adoptée par les députés européens inclue une référence à "la liberté de fournir des services", qui devrait, en théorie, imposer aux Etats membres la suppression des obstacles à l'installation d'entreprises étrangères. Mais, selon Mark MacGann, cette formule devrait être suivie de peu d'effets : "cette liberté de fournir des services est un des piliers de l'UE. Cette directive était censée en faire une réalité". Le vote de la directive a cependant été salué par certains acteurs IT. Pour l'association française Munci - Mouvement pour une union nationale des consultants en informatique - le texte devrait permettre une meilleure protection des consultants européens : "cette version de la directive va offrir davantage de possibilités de contrôle, clame Régis Granarolo, le président du Munci. Le dumping social que permettait la référence au pays d'origine nous inquiétait, mais cela semble désormais appartenir au passé". Le texte adopté par le Parlement européen doit maintenant être présenté aux chefs d'Etat et de gouvernement des 25 en Conseil des ministres. Ils pourront restaurer la référence au pays d'origine et ainsi satisfaire le mouvement de lobbying mis en place par six Etats membres - Royaume-Uni, Espagne, Pays-Bas, Pologne, Hongrie et République Tchèque - ou conserver la directive telle que l'ont votée les parlementaires. Le texte final ne sera pas adopté avant la seconde moitié de 2006. (...)

(15/02/2006 17:42:59)

RFID : le gouvernement ouvre des fréquences pour le déploiement en masse des étiquettes électroniques

La France devrait prochainement ouvrir la bande de fréquences de 865 à 868 MHz pour les applications d'étiquettes électroniques à radiofréquence (RFID). Suite aux observations récentes du Conseil Général des technologies de l'information, qui pointait les enjeux de ces technologies mais aussi les menaces qu'elles font peser sur les entreprises françaises en terme d'intelligence économique, le gouvernement a décidé de faciliter leur mise en oeuvre sur le territoire hexagonal. Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, et François Loos, ministre délégué à l'Industrie, ont demandé au Bureau Militaire National des Fréquences (BMNF), et à la Direction Générale des Entreprises (DGE), d'entamer des discussions avec l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (ARCEP), afin d'évaluer les enjeux de la réglementation de ces étiquettes électroniques. Parallèlement, le gouvernement a décidé d'assouplir la réglementation actuelle, pour permettre l'utilisation prochaine sur l'ensemble du territoire national d'équipements de lecture RFID émettant jusqu'à une puissance de 2 Watts. La France suit en cela les préconisations de la Commission Européenne des Postes et Télécommunications (CEPT), avec toutefois un petit grain de sable : Cette utilisation sera toutefois restreinte autour de quelques sites militaires sensibles. Selon le gouvernement, la décision d'assouplir la réglementation actuelle pourrait être formalisée lors de la prochaine réunion de la Commission de Planification des Fréquences de l'Agence Nationale des Fréquences (ANFR), en mars 2006, avant une décision par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP), autour de juin 2006. dès lors, toutes les conditions seront réunies pour un déploiement en masse des technologies RFID dans l'hexagone (...)

(14/02/2006 00:00:00)

Recrutement : le rejet des enchères inversées en ligne approuvé par l?Assemblée Nationale

L'amendement contre le recrutement par enchères inversées en ligne déposé 30 janvier par la députée UMP de l'Essonne Nathalie Kosciusko-Morizet, a été intégré aux textes du projet de loi sur l'égalité des chances qui seront examinés au Sénat le 23 février prochain. Il a bénéficié du recours du premier ministre à l'article 49-3 qui permet de faire adopter un texte sans vote et qui a conduit à l'adoption du projet en première lecture à l'Assemblée. Cet amendement avait préalablement été adopté par la Commission des Affaires culturelles, familiales et sociales de l'Assemblée Nationale, ce laissait augurer d'un vote favorable. Il prévoit que « les employeurs ne puissent se prévaloir des stipulations d'un contrat de travail conclu à l'issue d'enchères inversées portant sur le montant du salaire ». (...)

(10/02/2006 17:03:47)

La recherche informatique en deuil : disparition de Gilles Kahn, patron de l'Inria

Gilles Kahn, président directeur général de l' Inria (Institut national de recherche en informatique et en automatique) est décédé le 9 février à l'âge de 59 ans. Polytechnicien, il a fait une grande partie de sa carrière au sein de l'institut. entré à l'Inria en 1977 en tant que responsable d'un projet consacré au développement d'environnements de programmation il a par la suite - en 1983 - créer l'unité de recherche basé sur le site de Sophia Antipolis. En 1993, il devient directeur scientifique de l'institut. Durant toute cette période il n'a eu de cesse de développer les relations internationales de la communauté scientifique travaillant tour à tour pour les universités de Stanford (Etats-Unis entre 1968 et 1971) et d'Edimbourg (Royaume-Uni, entre 1975 et 1976) ainsi qu'à l'institut Isaac Newton de Cambridge en 1995. Gilles Kahn a été l'un des précurseurs du domaine de la sémantique des langages de programmation, laquelle permet de donner un sens mathématique précis à un programme informatique. Selon l'Inria, "historiquement la première contribution marquante associée à son nom est la découverte de ce qui sera plus tard connu comme les "réseaux de Kahn" (IFIP, 1971). Il s'agit d'un cadre conceptuel pour décrire le calcul distribué asynchrone. Ces travaux participent d'un courant d'idées partagé avec les Bell Laboratories où s'ébauche alors le système d'exploitation sc Unix". Il a également jouer un rôle important dans la résolution des problèmes du logiciel qui avait conduit, en décembre 2002, à l'échec de la première mission de la fusée Ariane 5. Gilles Kahn était également membre de l'Académie des Sciences (depuis 1997) et membre de l'Académie des Technologies (depuis 2002). Dans un communiqué, François Goulard, ministre délégué à la Recherche, souligne que Gilles Kahn "a tenu à exercer ses responsabilités jusqu'à ce jour, avec un très grand courage malgré le mal dont il était frappé. Trop précocement privés de sa présence et des ses talents, nous conserverons de lui le souvenir d'un scientifique de premier rang ayant su exercer son autorité avec humanité. Nous saluons sa mémoire avec respect et reconnaissance". (...)

(24/02/2006 16:36:53)

Anti-trust Microsoft : l'UE rejette la demande de report, les US rassurés

Tandis que les mesures prises par Microsoft - l'ouverture des protocoles clés de Windows Server ainsi qu'une documentation détaillée - dans le cadre de son procès anti-trust aux Etats-Unis semblent satisfaire les autorités américaines, la Commission Européenne, vient de rejeter tout délai supplémentaire demandé par l'éditeur de Redmond pour se plier aux règles de l'Europe. Maintenant ainsi au 15 février, la date limite de réponse de Microsoft. L'éditeur risque une amende pouvant aller jusqu'à 2 ME par jour de retard. Le 25 janvier, Microsoft avait obtenu un premier report de la Commission Européenne. Soit la veille de la publication par l'éditeur d'une partie du code des protocoles de Windows Server. Une initiative qualifiée par la Commission, dès le 30 janvier, d' «insuffisante pour stopper l'imposition de l'amende de 2M$ par jour ». Microsoft avait ensuite demandé un délai supplémentaire -aujourd'hui rejeté-, accusant notamment l'UE de l'empêcher d' accéder aux pièces du dossier. Aux Etats-Unis, en revanche, la cour en charge du procès anti-trust vient de déclarer dans un document officiel, que ces mêmes mesures avaient rassuré les autorités américaines. Microsoft indique dans la foulée que son programme de licence MCPP (Microsoft Communications Protocol Program) aurait, selon lui, séduit dernièrement Hitachi et ONStor. Portant ainsi à 25 le nombre de licenciés. (...)

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