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(09/03/2006 17:33:59)

Antitrust : Bruxelles pourrait ouvrir une nouvelle enquête contre Microsoft

Toujours empêtré dans le procès antitrust initié contre lui par la Commission européenne, Microsoft n'est pas à l'abri d'une nouvelle mise en cause par l'instance communautaire. Celle-ci pourrait en effet ouvrir une enquête pour abus de position dominante. Cette fois ce n'est pas le système d'exploitation de l'éditeur qui est mis en cause, mais sa suite bureautique Office. Le mois dernier, un groupe constitué de concurrents de Microsoft - Oracle, IBM et Sun - avait déposé une plainte auprès de la Commission, alléguant que le géant du logiciel ne leur permettait pas d'assurer l'interopérabilité de leurs produits avec Office. "Nous avons le devoir et la responsabilité, s'il y a une plainte, de l'examiner avec sérieux. Si la plainte a du sens, nous ouvrirons une enquête", a réagi Neelie Kroes, la commissaire à la concurrence. Office représente la deuxième principale source de revenu de Microsoft. L'éditeur possède quelque 95 % des parts de marché sur le créneau des suites bureautiques. (...)

(09/03/2006 17:48:42)

CEBIT 2006 : Metro montre un système combinant RFID et voix sur IP

Le géant allemande de la distribution Metro, a dévoilé un nouveau système d'étiquetage électronique à base tag RFID couplé à un système de guidage vocale pour accroître la productivité des personnels. Le prototype montré sur le Cebit d'Hanovre est l'un des multiples systèmes que teste Metro dans le cadre de son programme de généralisation des technologies RFID. Il est composé d'un gant haute technologie incorporant un lecteur RFID et le support de Bluetooth, d'un casque équipé d'un microphone et des technologies Wi-Fi et Bluetooth et d'une application vocale en back Office. Les employés utilisateurs du système portent le casque qui est relié par Wi-Fi au serveur hébergeant l'application vocale et par Bluetooth au lecteur RFID situé dans le gant. L'application transmet des consignes vocales aux employés qu'ils valident au travers de leur micro-casque. Le gant, de son côté, scanne les produits qu'ils sélectionnent dans les rayons de l'entrepôt et un message d'erreur est automatiquement transmis via le casque si une erreur est commise. Le principal bénéfice du système selon Metro est que les salariés n'ont plus à lire d'informations sur des listes ou sur un écran. Leurs séquences de travail ne sont ainsi pas interrompues ce qui optimise les rendements au sein de l'entrepôt. Le lecteur a été développé par la société allemande Perdictum à Dortmund, tandis que le casque est l'oeuvre de Deister Electronic, à Barsinghausen. L'exemple montré par Metro, un parmi plusieurs dizaines de démonstrations sur le Cebit, est l'une des preuves que l'Allemagne et ses entreprises ont pris une longueur d'avance sur la France dans le déploiement des technologies RFID. Il faut dire que la réglementation outre-Rhin est bien plus souple que la réglementation française, qui comme souvent en matière de radiofréquences a contrarié l'adoption de la technologie. Ce n'est qu'en traînant les pieds que le gouvernement et l'ARCEP devraient ouvrir cet été une bande de fréquence de 2 MégaHertz de large avec une puissance maximale de 2W pour les technologies de Tag RFID en bande UHF. Pour l'instant, les entreprises désireuses d'expérimenter avec une telle puissance d'émission sont encore soumises à un régime d'autorisations... Adapté d'un article de John Blau notre correspondant d'IDG News Service à Düsseldorf. (...)

(08/03/2006 15:39:05)

Renaud Dutreil veut convaincre les PME de s'approprier les TIC

"Seulement une PME sur dix est réellement innovante". Renaud Dutreil, ministre des PME, du Commerce, de l'Artisanat et des Professions libérales n'a pas hésité à rappeler ce chiffre peu encourageant, tiré d'une étude réalisée par BNP-Paribas Lease Group, lors de sa présentation de l'opération "Entrepreneurs, faites le choix de l'économie numérique" qu'il a lancé officiellement lundi 6 mars. Cette opération se concrétisera par le lancement de cinq "Programmes Croissance PME" : Financement de la croissance ; Compétitivité et performance ; De nouveaux marchés pour les PME ; Croissance externe et transmissions ; Gazelles ("pour permettre l'émergence de nos champions économiques de demain"). Renaud Dutreil s'est appuyé sur les recommandations du groupe de travail "Mission TIC & TPE" présidé par Olivier Midière pour établir le volet consacré au développement de l'économie numérique dans les PME et les TPE au sein du programme "Compétitivité et performance des PME", qui inaugure l'opération ministérielle. Pour cela, Renaud Dutreil met - un peu - la main au portefeuille, avec un budget de 7 millions d'euros, mais il insiste surtout sur les questions d'information et de formation. Il s'agit, en substance, de faire évoluer les mentalités pour que les patrons de TPE comprennent l'intérêt des TIC et qu'ils sachent en tirer réellement partie. Pour y parvenir, le ministre a cherché des appuis dans le secteur privé. Lors de la conférence de presse, il était entouré d'une brochette de représentants de grandes entreprises du secteur de l'informatique et des télécommunications, avec en particulier Intel, Microsoft, Cisco, Alcatel et France Télécom. Une évolution nette par rapport à la mission conduite par le député Jean-Paul Charié en 2003, dont l'intéressant travail et les mesures qu'il avait préconisées n'ont peut-être pas suffisamment été concrétisées. Cette fois, les administrations sont très discrètes et les fournisseurs de logiciels et de matériel sont mis en avant. Des entreprises qui ont objectivement intérêt à voir les TPE investir, et qui participent financièrement à la campagne de communication... Plusieurs initiatives sont donc mises en place. Une formation de deux demi-journées sera offerte à mille entreprises dans le cadre des labels « Génération innovation » et cinq cents premiers brevets à couverture européenne seront financés, puisque « c'est le dépôt du premier brevet qui est le plus difficile » remarque Renaud Dutreil. D'autre part, deux cent mille « passeports pour l'économie numérique » seront délivrés sur deux ans, qui valideront une initiation délivrée dans six cents points d'accueil répartis sur toute la France. On notera enfin un volet tourné vers l'emploi, afin de convaincre les jeunes diplômés de grandes écoles et d'universités de rentrer dans une TPE ou une PME. Cinq cents bourses de dix mille euros seront octroyées aux étudiants qui s'engageront à commencer leur carrière dans une petite entreprise. (...)

(07/03/2006 17:58:53)

Coup de filet rue Montgallet

Vaste mouvement de la maréchaussée rue Montgallet : environ 200 gendarmes ont perquisitionné, ce 6 mars, une quinzaine de boutiques informatiques de la célèbre artère parisienne. Outre des saisies de registres comptables et la constatation d'infractions à la législation du travail, les forces de l'ordre seraient reparties en emportant plus de 60 000 supports vierges, CD et DVD, ainsi que les gérants des magasins. Principaux reproches adressés aux revendeurs : ils auraient organisé un système de fraude à la TVA et ne s'acquitteraient pas de la rémunération sur la copie privée. (...)

(07/03/2006 17:59:45)

Des salariés de SAP en appellent à la justice pour la création d'un Betriebsrat

Trois salariés syndiqués de SAP se tournent vers la justice allemande pour favoriser la création d'un Betriebsrat, après qu'une majorité d'employés se sont prononcés contre cette idée la semaine dernière. Le syndicat IG Metal a ainsi confirmé qu'une requête visant à mettre en place un comité électif a été déposée auprès de la cour de Mannheim. SAP précise qu'il acceptera la création d'un Betriebsrat si une majorité de salariés se prononce pour. Une opinion qui ne fait cependant pas l'unanimité : Dietmar Hopp, un des cofondateurs du groupe, a ainsi exprimé son plus profond scepticisme à propos de l'influence d'IG Metall. Selon lui, la création d'un Bretriebsrat pourrait ouvrir la porte à une influence non désirée d'IG Metall. Le même Dietmar Hopp avait fait planer la menace d'une délocalisation du siège en cas de succès de la consultation. Sur les 5632 salariés ayant pris part au vote du 2 mars, seuls 509 se sont prononcés en faveur de la création d'un Betriebsrat. (...)

(06/03/2006 17:41:37)

Antitrust : Microsoft en appelle à la justice américaine

Dernier épisode en date dans le procès antitrust intenté par la Commission européenne contre Microsoft : l'éditeur vient de déposer des recours auprès de trois tribunaux américains, visant à enjoindre Sun, Oracle, IBM et Novell de communiquer des documents susceptibles de prouver la collusion entre l'exécutif européen et ces quatre groupes. Quelques jours après avoir accusé Bruxelles d'avoir entretenu des "contacts secrets" avec ses concurrents, Microsoft en appelle donc à la justice américaine. Le géant du logiciel veut examiner tous les documents contenant les correspondances entretenues entre les quatre entreprises et la Commission, le mandataire indépendantNeil Barret et le comité d'expertise de l'UE. Toujours sous le coup d'une amende record de 2 M$ par jour, Microsoft déplore, par la voix de son conseil général Horacio Gutierrez, que "les demandes répétées auprès de la Commission européenne pour obtenir un accès loyal et entier aux documents ont été infructueuses. [On] se tourne maintenant vers les tribunaux américains pour obtenir ces communications entre nos concurrents américains et la Commission, l'expert sur lequel elle s'appuie et le mandataire". (...)

(03/03/2006 18:01:49)

Les salariés de SAP, sous pression, rejettent la création d'un Betriebsrat...

La dernière tentative des syndicats de SAP de créer un Betriebsrat chez SAP Allemagne vient d'échouer. Il faut dire que plusieurs hauts responsables de la firme dont le fondateur, Dietmar Hopp, avait menacé d'une délocalisation du siège en cas de succès. Hérité des concepts de cogestion à l'allemande, le Betriebsrat a bien plus de pouvoir qu'un CE et il peut notamment imposer à l'entreprise le strict respect des horaires de travail ou contraindre l'entreprise à embaucher de nouveaux salariés en cas de recours trop fréquent aux heures supplémentaires. Un pouvoir considéré par Hopp comme une atteinte à la nécessaire flexibilité, que doit avoir un acteur international comme SAP. (...)

(03/03/2006 17:58:53)

Microsoft accuse Bruxelles de collusion avec ses adversaires

Microsoft semble avoir renoncé à se montrer conciliant avec la Commission européenne face à laquelle il vient de s'arque bouter. Dans une réponse complémentaire à celles déjà apportées aux remarques de Bruxelles, qui juge que l'éditeur ne se soumet pas aux obligations qui lui ont été fixées en 2004, Microsoft accuse la Commission de collusion avec ses adversaires. Le géant de Redmond estime ainsi que Bruxelles a encouragé « des contacts secrets » en ses opposants, l'observateur indépendant chargé de veiller à ce que Microsoft se conforme aux exigences de la Commission, et des experts techniques internes. L'éditeur juge que ces contacts « violent les principes fondamentaux de la procédure » et représentent « des violations directes des garde-fous de la procédure conçus pour en garantir la transparence. » Selon Microsoft, des contacts en IBM, Sun, l'observateur et les experts de l'Union auraient eu pour but « d'éduquer » l'observateur « d'une manière préjudiciable à Microsoft ». En outre, l'éditeur juge que les remarques de la Commission sont des « tracts argumentés » développés par Bruxelles avec l'aide des rivaux de Microsoft et que la Commission s'éloigne de son rôle de « régulateur neutre ». Neelies Kroes, commissaire européen à la concurrence, explique quant à elle, par la voix de son porte-parole, que les dernières objections de la Commission à l'encontre de Microsoft s'appuient sur deux rapports de l'observateur indépendant et reflètent l'opinion de Bruxelles selon laquelle l'éditeur n'a pas encore fourni les informations nécessaires pour répondre aux exigences d'interopérabilité. Microsoft sera de nouveau entendu par la Commission les 30 et 31 mars prochains. Bruxelles décidera alors s'il y a lieu de contraindre l'éditeur à une amende de 2 ME par jour. (...)

(28/02/2006 17:20:01)

Les brevets logiciels pourraient revenir par la petite porte

Selon la fondation pour infrastructure informatique ouverte (FFII), la brevetabilité du logiciel pourrait revenir dans les débats par la petite porte. La FFII s'inquiète notamment de récentes consultations visant à uniformiser le droit européen des brevets. En effet, la commission européenne vient de lancer de nouvelles consultations publiques sur le droit européen des brevets dans le but d'apprendre des industriels et des groupements d'intérêts les évolutions qu'ils souhaitent en la matière. Pieter Hintkens, fondateur et directeur général de l'éditeur belge iMatix, estime que la généralisation à l'Europe entière des règles de brevetabilité du bureau européen des brevets conduirait, de facto, à la brevetabilité du logiciel. A l'opposé, Francisco Mingorance, directeur des relations publiques du BSA, assure que « les consultations [actuelles] sur les brevets ne sont pas une réinvention de la directive sur la brevetabilité des inventions réalisée avec l'appui de l'informatique. » Néanmoins, Francisco Mingorance indique que le questionnaire pose la question de la pertinence d'un brevet communautaire. Les consultations lancées par Bruxelles sont ouvertes jusqu'au 31 mars. Le débat s'ouvre à nouveau alors que, de l'autre côté de l'Atlantique, des voix commencent à s'élever contre des brevets surnuméraires. Ainsi, David Kappos, vice-président d'IBM estime que les conflits liés aux brevets tirent les prix vers le haut pour le client et que, « en définitive, il y a moins de produits sur le marché parce que les entreprises décident de ne plus les produire. » Parallèlement, John Doll, commissaire du bureau américain de la propriété intellectuelle, relève l'impossibilité pour ses services « d'examiner toutes les nouvelles demandes de brevets, tout spécialement dans le domaine des nouvelles technologies ». Et de reconnaître avoir quelques 600 000 demandes de brevets en attente d'examen. (...)

(24/02/2006 17:42:23)

Antitrust : Microsoft publie ses éléments de défense à l'attention du public

Microsoft a surpris son monde en publiant, le 23 février, une quantité pléthorique de documents constituant sa défense dans l'action antitrust qui l'oppose à la Commission européenne. Ces documents, qui avaient été transmis à l'exécutif communautaire le 15 février, sont consultables sur le site Internet de l'éditeur qui prend ainsi le public à témoin. Selon un porte-parole de Microsoft, si l'éditeur a choisi de rendre publiques les pièces étayant sa défense, c'est avant tout "pour la transparence du processus". Le groupe de Redmond estime que ces documents mis à disposition du public montrent avec évidence qu'il s'est "pleinement conformé" aux exigences formulées par la Commission en 2004. Les pièces portées à la connaissance des utilisateurs illustreraient également "les nombreuses façons dont la Commission a ignoré des informations clés". Microsoft avait jusqu'au 15 février pour convaincre la Commission qu'il s'était conformé à ses injonctions, notamment celle d'assurer l'interopérabilité de ses logiciels avec ceux de ses concurrents. Si la Commission juge que l'éditeur a manqué à ses obligations, il pourrait être condamné à une amende de 2 M$ par jour. (...)

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