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(05/10/2010 18:22:42)

L'iPad comme aide à la vente chez les concessionnaires autos

« Nous avons été surpris», explique Andreas Hinrichs, vice-président du marketing de Mercedes-Benz Financial, à Macworld. « Les retours ont été si positifs que nous avons décidé de pousser ces tablettes vers tous les concessionnaires et de les utiliser pour les prises de commandes » précise-t-il. Traditionnellement, les vendeurs de voitures négocient la vente d'une voiture en dehors de la salle d'exposition, dans un bureau pour remplir les demandes de prêts et autres documents. Au cours du programme pilote, les clients des 40 concessionnaires ont rempli les formulaires directement sur l'iPad à proximité des voitures exposées. L'objectif de l'entreprise a été de minimiser les risques de revirement de décision lors du processus final d'acquisition. Les responsables n'ont pas précisé si cet objectif avait été atteint, mais les résultats semblaient encourageants.

Une aide diversifiée

« Le processus de vente devient ainsi de plus en plus sophistiqué », a déclaré Andreas Hinrichs. Avec une plus large distribution à travers les concessionnaires, le constructeur va également élargir l'utilisation des iPad à la location de voitures. Le retour des voitures, leur inspection et le calcul des kilomètres parcourus  seront directement indiqués sur la tablette. La signature du formulaire se fera avec le doigt. « Cela crée beaucoup de transparence pour le client et une plus grande flexibilité pour le concessionnaire » conclut le dirigeant allemand. La société a donné des versions 3G de la tablette d'Apple à ses concessionnaires. La distribution devrait être terminée d'ici la fin du mois d'octobre.

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(05/10/2010 10:31:15)

Ecobiz s'enrichit de la CCI de l'Yonne

Le réseau d'entrepreneurs Ecobiz est plus bourguignon que jamais. Créée à l'initiative de la CCI de Dijon, cette communauté vient d'être rejointe par la CCI de l'Yonne après son homologue de Saône et Loire en juin dernier. «Cette adhésion va donner une réelle dimension régionale à Ecobiz, explique Gregory Maubon, chef de projets TIC à la CCI de Dijon. Pour le secteur des nouvelles technologies, cet élargissement géographique de notre action est d'autant plus intéressant que ses problématiques s'observent pus au niveau régional que départemental.»

Depuis sa mise en place en 2006, Ecobiz a pour vocation de mettre en rapport les entreprises bourguignonnes. Parmi ses 3200 adhérents répartis au sein de différentes communautés d'intérêt, 500 d'entre eux sont membre de la communauté TIC. On y trouve à la fois des entreprises utilisatrices comme des professionnel de l'informatique. « Pour faciliter les échanges entre nos adhérents, nous possédons un site web à mi-chemin entre le réseau de communication et le réseau social. Par ailleurs, nous organisons des actions sur le terrain, comme des ateliers, des conférences... », détaille Gregory Maubon.

En 2009, Ecobiz a mis en place une centaine d'événements dont 25 à 30 ont été dédiées au secteur des TIC. A partir de la fin de l'année, sa plate-forme Internet sera refondue pour faire la part belle aux outil du web 2.0.
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(01/10/2010 15:56:43)

Hadopi.fr se risque sur le web

Après la publication du mail d'avertissement à l'encontre des internautes qui ont téléchargé illégalement des oeuvres, Hadopi a enfin une existence sur le net. Le site de la Haute Autorité vient d'être discrètement mis en ligne. Sur ce dernier, on retrouve plusieurs onglets, présentant l'autorité administrative indépendante, ses objectifs, ses moyens, etc.

L'espace Hadopi Pro est destiné aux professionnels qui souhaitent s'informer sur les procédures et obtenir des informations sur les modalités de labellisation des moyens de sécurisation de leur site ou service d'offre légale. Enfin, un espace Labs Hadopi qui comprend des ateliers de recherche confiés à des experts indépendants nommés par le collège de l'institution.

Reste à savoir combien de temps, la vitrine d'Hadopi subsistera sur la toile face aux menaces d'attaques par déni de service.

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(01/10/2010 11:32:23)

Bruxelles milite pour une coopération sur la cybercriminalité

« Il est temps que nous redoublions d'efforts contre la cybercriminalité, à laquelle recourt souvent aussi le crime organisé » souligne Cecilia Malmström, commissaire chargée des affaires intérieures. Avec Neely Kroes vice‑présidente de la Commission chargée de la stratégie numérique, elle a annoncé une proposition de directive sur les mesures contre les différentes formes de cybercriminalité, notamment les cyber-attaques à grande échelle, complétée par une proposition de règlement destinée à renforcer et à moderniser l'agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information (ENISA).

Sur la directive, les auteurs de cyber-attaques et les producteurs de logiciels malveillants pourront être poursuivis et risqueront des sanctions pénales plus lourdes. Elle prévoit aussi la création d'un système de recensement et de localisation des cyberattaques. Le règlement portera lui sur le renforcement et la modernisation de l'Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information (ENISA), créée en 2004. Elle pourra notamment faire participer des États membres et des partenaires privés à des activités conjointes en Europe, notamment des exercices de cybersécurité, des campagnes de sensibilisation et des partenariats public‑privé pour des travaux sur la résilience des réseaux, des analyses économiques et une évaluation des risques. Par ailleurs, le mandat de l'ENISA qui se termine en 2012 sera prolongé de 5 ans.

Par ces différentes annonces, la Commission entend reprendre la main sur un sujet d'actualité. A l'heure où les attaques sont de plus en plus sophistiquées et ne sont plus le simple fait de pirates plus ou moins organisés, mais aussi des Etats qui font des cyberattaques une arme offensive. L'Europe ne peut rester inactive sur ces sujets au risque d'être très rapidement dépassée.

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(30/09/2010 16:30:30)

Privé de Twitter, Bill Gates créé un compte sur un site chinois de micro-blogging

Twitter étant bloqué dans l'empire du milieu, Bill Gates s'est créé un compte chez un fournisseur local en écrivant ses messages en anglais. Plus de 114 000 utilisateurs ont commencé à suivre son fil d'actualité.

« En se rendant à Shenzhen pour répondre à Warren et d'autres » Gates a écrit dans son message le plus récent. « passer du temps à w/ BYD [une constructeur chinois de voiture] sur les innovations dans les batteries, l'énergie et de transport. » Sina, le fournisseur du blog, a vérifié qu'il appartient effectivement à Bill Gates. Les notes publiées montrent que le contenu provient bien du compte Twitter du cofondateur de Microsoft. Cette semaine, il est en visite en Chine avec Warren Buffett pour encourager davantage les dons des pays riches.

Le milliardaire est très actif sur Twitter, qu'il a commencé à utliser en janvier dernier. Ses messages attirent actuellement plus de 1,5 millions de followers. Cependant, en Chine, le site de micro-blogging souffre  d'une censure au même titre que Facebook et Youtube. Les site chinois remplissant les fonctions de micro-blogging ont fait florès et sont très populaires parmi les internautes chinois. Il n'en demeure pas moins que les contenus de ces sites sont soumis aux contrôles stricts de la censure.

Après une avalanche de messages reçus lundi, le compte a été silencieux. Mais des milliers d'utilisateurs chinois ont déjà répondu, certains en anglais, certains en chinois. « Homme le plus riche du monde, je vous admire », a indiqué un internaute. «J'ai entendu dire que vous avez beaucoup d'argent. Pouvez-vous m'aider à démarrer une entreprise? » écrit un autre. Certains espèrent que Bill Gates va écrire ses prochains messages en chinois. « Le résultat pour moi n'est pas d'apprendre l'anglais, mais de lire quelque chose d'intéressant » conclut un follower.

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(30/09/2010 15:20:16)

La Sacem et YouTube s'accorde sur la rémunération des artistes

Véritable évènement dans le domaine du droit des auteurs, ce contrat permet aux artistes recensés par la société d'auteurs d'être rémunérés pour la diffusion de leurs oeuvres sur YouTube, a indiqué la Sacem lors d'une conférence de presse, jeudi 30 septembre. Cet accord « couvre la diffusion en France sur la plateforme vidéo en ligne du répertoire musical mondial, et notamment les répertoires anglo-américains des éditeurs multinationaux, ainsi que des autres oeuvres gérées par la Sacem, depuis le lancement de YouTube jusqu'à fin 2012 », précise le communiqué.

Pour Bernard Miyet, président du directoire la Sacem, « il était en effet essentiel et symbolique que ce vecteur majeur d'échanges entre internautes qu'est YouTube permette aux créateurs d'être rémunérés lorsque leurs oeuvres sont découvertes et appréciées sur ce site ». La plateforme qui offre notamment des contenus musicaux aux internautes permettra aux auteurs d'être rémunérés grâce au site et ainsi de « faire émerger de nouveaux talents », note Christophe Muller, directeur des partenariats YouTube Europe du Sud, de l'Est et Moyen-Orient. « Il s'agit d'un progrès incontestable quant à la reconnaissance des auteurs, et au respect des droits qui leur sont dus », conclut, Alain Chamfort, auteur-compositeur-interprète et vice-président du Conseil d'administration de la Sacem.

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(30/09/2010 15:00:12)

Livres électroniques, les distributeurs protègent le prix unique

Dans un communiqué, le SDLC indique « qu'il est nécessaire au livre numérique de bénéficier d'un environnement réglementaire qui favorise la diversité de l'offre et la concurrence par la qualité ». De même, le syndicat souligne qu'il faut « s'attaquer à la concurrence inégale dont les professionnels de la librairie souffrent de la part d'opérateurs non établis sur leur territoire ». Le SDLC préconise enfin un taux de TVA réduit (5,5%) « pour attirer le consommateur vers les offres en ligne ».

L'urgence d'une législation pour l'exploitation du livre numérique est aussi soulignée par le Syndicat national de l'édition (SNE) qui lance une lettre ouverte « en réponse à certaines initiatives d'agents » déjà signée par 31 éditeurs, notamment Antoine Gallimard, président du Syndicat national de l'édition (SNE), Teresa Cremisi (Flammarion), Jean Delas (L'Ecole des loisirs), Francis Esménard (Albin Michel), Alain Kouck, (Editis), Irène Lindon (Minuit), Sylvie Marcé (Belin), Vincent Montagne (Média Participations), Arnaud Nourry (Hachette Livre) et Françoise Nyssen (Actes Sud).

Le SNE répond ainsi, entre autres, à l'agent américain Andrew Wylie qui souhaitait exploiter les versions numériques des livres de ses auteurs. « Les droits électroniques sont des droits principaux au même titre que les droits de l'édition papier dont l'exploitation revient naturellement à l'éditeur, l'édition numérique empruntant notamment la « valeur ajoutée » du travail éditorial réalisé pour le livre papier », écrivent les signataires. Et d'ajouter : « L'acquisition des droits sur une oeuvre de l'esprit ne saurait exclure l'exploitation numérique, sous peine de voir se développer un marché numérique autonome, régulé par des acteurs extérieurs (agrégateurs de contenus, agents, etc.) susceptibles de mettre en péril l'équilibre de la profession ».

Ces prises de position apparaissent à quelques jours de l'ouverture, à partir du 6 octobre, de la Foire de Francfort (Allemagne), premier marché mondial de l'édition.

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(30/09/2010 12:42:34)

Le très haut débit inquiète les élus des zones rurales

(Source EuroTMT) L'Arcep tente effectivement de mettre au point un cadre définissant les modalités de déploiement du très haut débit qui protège la concurrence tout en favorisant l'investissement. Mais l'exercice se révèle très complexe. Sur le papier, la France devrait être en ligne avec l'objectif annoncé par la Commission européenne d'un taux de couverture de 50 % de la population en très haut débit à l'horizon 2020. Cela sera probablement insuffisant car la fracture numérique entre les zones denses et les zones peu denses, déjà visible aujourd'hui dans le haut débit ADSL, risque de s'approfondir avec la fibre optique.

Un risque que les élus, toutes tendances politiques confondues, ne veulent pas courir et c'est ce qu'ils ont, utilement, rappelé aux opérateurs et aux pouvoirs publics nationaux à l'occasion du séminaire du GRACO (Groupe d'échange entre l'Arcep, les collectivités locales et les opérateurs) qui s'est tenu mardi 28 septembre.

Les collectivités en zones rurales sceptiques


En matière de très haut débit, « les attentes des habitants des zones rurales sont les mêmes que celles des habitants des villes » a judicieusement rappelé Laure de la Raudière, députée UMP d'Eure-et-Loir, ajoutant qu'il ne sera pas possible d'attendre 25 ou 30 ans pour offrir un accès en fibre optique aux quelque 30 % des Français qui ne seront pas couverts en très haut débit dans les dix ans qui viennent. « On ne peut pas avoir une différence de 10 ans ou 15 ans dans l'arrivée du service » en fonction de son lieu d'habitation avait souligné, un peu auparavant, Corinne Erhel, députée PS des Côtes-d'Armor. « Il y aura inévitablement des écarts d'un immeuble  à l'autre en fonction du taux de rentabilité de l'investissement, et cet écart apparaîtra vite comme insupportable » a, ensuite, constaté, sur un ton pessimiste, Yves Rome, le président du Conseil général de l'Oise et de l'Avicca.

Car, comme l'ont rappelé les élus, le compte n'y est pas pour financer le déploiement des réseaux à très haut débit sur l'ensemble du territoire. Récapitulant les différentes sommes déjà mises sur la table (les investissements des collectivités territoriales, les 2 milliards du Grand Emprunt, les plans d'investissements des opérateurs télécoms), Laure de la Raudière a ainsi souligné que, pour le moment, à peine 10 milliards d'euros étaient ainsi financés. Si, comme l'a indiqué Jean-Ludovic Silicani, président de l'Arcep, dans son propos introductif, le coût global du très haut débit en France vient d'être ramené à 25 milliards d'euros (contre 30 milliards dans la première étude réalisée à l'époque par la Datar), il reste donc quelque 15 milliards à trouver !

Augmenter le débit xDSL

De plus, trop d'éléments importants restent encore dans le flou, comme l'a souligné Yves Rome, qui attend toujours les données des opérateurs sur les réseaux, les objectifs des opérateurs privés, les modalités d'attribution du dividende numérique, les fonds d'Etat et la visibilité des règles, retardant d'autant les décisions d'investissements des collectivités locales. Tous ces élus ont aussi rappelé que pour les zones moins denses, il faudra donc en passer par la montée en débit des liaisons xDSL permettant ainsi d'améliorer le service à haut débit et de résorber, au moins en partie, les zones blanches. Un dossier sur lequel les opérateurs alternatifs commencent à bouger.

Ainsi, Richard Lalande, le président de l'Aforst, n'y est plus opposé, tout comme Maxime Lombardini, directeur général de Free qui a indiqué, lors du séminaire, que cela pourrait se faire si l'on suivait l'exemple de la Haute-Marne. La mise au point par l'Arcep de ses propositions en la matière, prévue avant la fin de l'année, permettra de savoir si la montée en débit constituera l'étape intermédiaire (mais essentielle) permettant aux zones rurales d'améliorer l'accès au haut débit et d'éviter que la fracture numérique ne s'accroisse.

Photo : Laure de la Raudière, députée UMP d'Eure-et-Loir (D.R.)

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(28/09/2010 14:58:11)

Le message d'avertissement d'Hadopi publié préventivement

« Attention, votre accès à Internet a été utilisé pour commettre des faits, constatés par procès-verbal, qui peuvent constituer une infraction pénale ». Voici le début du message d'avertissement envoyé aux internautes répertoriés comme ayant téléchargé illégalement des oeuvres. Après moultes péripéties, Hadopi va donc faire partir ses premières missives avant la fin du mois de septembre.

La lettre stipule l'adresse IP, affectée au nom du FAI, ainsi que la date du manquement. Le reste du message comporte plusieurs rappels. Le premier concerne les risques en cas de persistance de l'infraction ou de non sécurisation de son accès avec, à la clé, « une contravention de négligence caractérisée ». En conséquence, « le juge judiciaire, saisi par la Hadopi, pourrait alors prononcer une suspension de cet accès ainsi que, le cas échéant, une peine d'amende ».

Hadopi a tenu à diffuser ce message pour éviter le développement de faux et d'imitations (tentatives d'hameçonnage -en anglais, phishing) pouvant demander des informations personnelles, y compris bancaires.

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(23/09/2010 14:45:23)

Mark Zuckerberg de plus en plus riche selon Forbes

La richesse du fondateur de Facebook a fortement évolué : les estimations de fonds d'investissements ont valorisé la société à environ 23 milliards de dollars, souligne Forbes. Mark Zuckerberg n'a pas été la seule personne à profiter grandement de la croissance de Facebook, qui passait devant ses 500 millionième utilisateur en juillet. Dustin Moskovitz, qui a quitté Facebook en 2008, mais conserve une participation dans la société, est sur la liste pour la première fois, en 290e place, avec un revenu net de 1,4 milliards de dollars. Il est aussi la plus jeune personne sur la liste à 26 ans (de 8 jours plus jeune que Zuckerberg selon Forbes). Le co-fondateur de Facebook, Eduardo Saverin entre pour la première fois dans la liste de 400 avec une richesse personnelle estimée à 1,15 milliards de dollars.

Une année de reprise confirmée chez les plus fortunés


Un autre recalé d'Harvard, Bill Gates, a conservé sa place en haut de la liste, en augmentant sa fortune de 4 milliards de dollars pour atteindre 54 milliards de dollars. Larry Ellison se contente de la troisième place à nouveau avec 27 milliards de dollars, derrière l'investisseur Warren Buffett. D'autres dirigeants hi-tech, comme les fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, partagent la 11e place avec 15 milliards de dollars chacun. Steve Ballmer et Michael Dell chaque glissa deux places sur la liste, au 15 et 16ème rang, avec respectivement des fortunes de 14 milliards de dollars et 13,1 milliards de dollars.

Les riches deviennent plus riches cette année dans l'ensemble, Forbes dit. Les 400 plus hauts revenus en Amérique avaient une richesse combinée de 137 milliards de dollars.

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