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Société

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(08/09/2009 16:05:42)
Les ventes au détail sur Internet en nette hausse en France
Les ventes sur Internet ont augmenté de 21% en juillet dernier par rapport à la même période en 2008, selon une étude comScore, publiée lundi 7 septembre. Avec 26,7 millions d'internautes s'étant rendus sur la Toile, la France enregistre un score supérieur à la moyenne européenne de 5%. Ce sont les sites du groupe PPR, tels que La Redoute et La Fnac, qui ont accueilli le plus grand nombre de visiteurs en juillet, 12,4 millions précisément. Le classement établi par comScore fait ensuite apparaître le groupe PriceMinister à la deuxième place avec 12,3 millions de visiteurs. Le groupe Otto (8,9 millions), les sites Amazon (7,6 millions) et CDiscount.com (7,3 millions) ferment respectivement le haut de ce palmarès. A noter : la plus forte progression du nombre de visiteurs est enregistrée par le site Internet de Kiabi, qui passe de 2 640 visiteurs en juillet 2008 à 6 158 visiteurs en juillet dernier (133%). Selon comScore, ce sont les sites d'habillement qui ont le plus de succès auprès des internautes français. Dans ce palmarès, La Redoute se trouve en tête, avec 38 146 visiteurs en juillet dernier. Kiabi (6 158) et Les 3 Suisses (4 668) ferment respectivement le trio de tête. (...)
(04/09/2009 17:06:37)Frédéric Mitterrand lance une mission sur l'offre légale de contenus sur Internet
Quelques jours avant le vote par les Députés du projet de loi Création et Internet Hadopi II, remanié après la censure du Conseil constitutionnel, le nouveau ministre de la Culture, Frédéric Mitterand, a annoncé hier avoir confié à Patrick Zelnik, PDG du label indépendant Naïve, une mission portant sur l'offre de contenus culturels sur Internet. Le premier objectif est de parvenir à développer une offre légale attractive. Mais cette réflexion doit également aborder les questions liées à la rémunération des créateurs et au financement des industries culturelles. La mission « Création et Internet » bénéficiera également de la contribution de l'ancien ministre de la Culture Jacques Toubon et de celle de Guillaume Cerutti, président de la salle de vente aux enchères Sotheby's France. Ce dernier fut également directeur général de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, entre 2004 et 2007.
Il ne s'agit pas d'Hadopi 3
Pour Frédéric Mitterrand, cette mission vise à « apporter enfin cette régulation générale de l'utilisation d'Internet et de lutte contre le piratage » qu'il a promise dès son entrée en fonction. Il précise qu'il ne s'agit pas d'un « Hadopi 3 », mais de mesures d'accompagnement qui vont, pense-t-il, « faire bien comprendre que l'objectif du gouvernement et du ministère de la culture est à la fois de servir les internautes, de protéger les droits d'auteur et d'apporter une régulation dans un marché qui est pour l'instant totalement anarchique. » Pour le PDG du label Naïve (éditeur de Carla Bruni et Marianne Faithfull), qui est également président d'Impala, le syndicat européen des sociétés phonographiques indépendantes, la mission concerne l'ensemble de la chaîne qui va de l'artiste au consommateur. De son côté, Jacques Toubon a affirmé qu'il n'y aurait « aucun tabou ». « Nous allons être très ouverts sur le partage des ressources », a-t-il indiqué en précisant : « Le ministre s'est engagé à aller présenter ses propositions au gouvernement et au Président de la République dans la deuxième partie de novembre. Nous avons donc deux mois. » (...)
L'Allemagne s'en prend à son tour au projet d'accord sur Google Books
L'Allemagne a déposé cette semaine un recours auprès du tribunal d'instance de New York (circonscription Sud) pour s'opposer à « l'accord de règlement » que Google veut passer avec les auteurs et éditeurs, dans le cadre de son service Google Recherche de Livres (Google Book Search). Ce projet d'accord définit notamment le mode de rémunération des livres publiés sur Google Livres (Google Books). Elaboré en octobre 2008, il est en cours d'examen par le tribunal fédéral. Pour le gouvernement allemand, si ce projet est entériné, il risque d'avoir un impact international, à la fois sur la législation concernant le copyright, sur le respect de la vie privée (en faisant fi de l'anonymat de la lecture) et sur les droits d'auteur des écrivains allemands. Bien que l'accord ne doit s'appliquer qu'aux Etats-Unis, l'Allemagne juge en effet qu'il créera un précédent qui pourra affecter d'autres pays. Un autre opposant, Amazon, ne mâche pas ses mots D'autres voix se sont déjà élevées pour combattre ce projet, celles de Microsoft, Yahoo et Amazon, notamment. Ce dernier a notamment adressé au tribunal de New York une lettre très explicite où il affirme que l'accord de règlement crée un cartel d'auteurs et d'éditeurs opérant quasiment sans restriction, et « ayant la capacité de faire grimper le prix des livres et d'en réduire la production au détriment des consommateurs et des nouveaux auteurs ou éditeurs qui viendraient concurrencer les membres de ce cartel ». Parmi les opposants à l'accord de règlement figurent aussi des associations de protection de la vie privée. L'Electronic Frontier Foundation, par exemple, s'inquiète de voir Google construire une immense base de données d'informations capable de renseigner sur ce que lisent les clients de sa bibliothèque en ligne. Des supporters parmi les associations d'étudiants Mais le projet a aussi ses supporters, organisations oeuvrant pour promouvoir l'accès à la lecture des malvoyants ou associations d'étudiants, en particulier. L'United States Student Association avance par exemple que des millions de livres ne sont actuellement accessibles qu'aux seules personnes ayant les moyens de fréquenter les universités. « Avec Google Books, tout étudiant pourra consulter, où qu'il se trouve aux Etats-Unis, les livres figurant dans les plus grandes librairies du monde », justifie Gregory Cendana, président de l'associations. La date limite pour communiquer des objections à ce projet ou, pour les auteurs et éditeurs, se retirer de l'accord de règlement, était fixée à aujourd'hui, vendredi 4 septembre. Quant à la date de « l'audience impartiale » du tribunal, elle est fixée au 7 octobre 2009. (...)
(28/08/2009 16:21:18)Une première explication 'off' d'Apple pour les iPhone fissurés
Selon une source proche d'Apple, les iPhone et iPod Touch aux écrans mystérieusement fissurés seraient simplement des appareils fragilisés par une précédente chute sur le sol. Aucun dégât n'apparaîtrait à l'oeil nu mais les mises sous tension successives ou une utilisation intensive avec une forte chauffe des circuits, de l'antenne et de la batterie suffirait à endommager l'écran sans cause apparente. Une première réponse non officielle qui devrait être confirmée après l'analyse des appareils incriminés. Reste que cette faiblesse a posteriori sur des produits en vente depuis deux ans reste fort curieuse et n'exclut pas totalement la piste des modifications effectuées pour se mettre en conformité avec les recommandations de Greenpeace. Enfin, on attend toujours le premier communiqué du constructeur sur la question pour connaître la prise en charge des dégâts et les mesures envisagées pour renforcer le smartphone et le baladeur tactile maison. Rappelons enfin qu'Apple devrait présenter ses nouveaux iPod le 9 septembre qui devraient intégrer pour la première fois un capteur photo. Espérons que le nouvel iPod Touch v3 sera lui débarrassé de cette faiblesse et résistera mieux aux chutes. (...)
(28/08/2009 15:00:22)Facebook s'engage à mieux protéger les informations privées
Facebook regorge de plusieurs dizaines de milliers d'applications, très prisées par ses 250 millions de membres, même si certaines sont parfaitement inutiles. On peut partager ses blogs favoris ou les ressources de son ordinateur (Progress thru processors), ou encore... payer une tournée virtuelle. Mais combien d'internautes savent que le simple fait d'autoriser l'accès à ces applications équivaut à leur donner la clé de son compte ? Cet avertissement est mentionné lors du lancement de l'application, mais peu de personnes réalisent qu'ils laissent une porte grande ouverte. Vous pensez avoir seulement lancé une attaque de vampire sur un ami ? En réalité, l'application en question (souvent développée par un utilisateur lambda) a désormais accès à vos photos, à la liste de vos amis, à vos notes, vos favoris et peut dresser un portrait très pointu de votre profil. Au Canada, le Commissariat à la protection de la vie privée s'est penché sur ce problème. Il a lancé un avertissement au réseau social et établi douze recommandations. Depuis un an, Facebook cherche donc à améliorer sa politique de confidentialité. Aujourd'hui, le site s'engage à respecter les exigences de la CCPVP. L'objectif est double : renforcer la politique de protection des données et, surtout, la rendre plus lisible pour les utilisateurs. Les quelques avertissements que peut lire l'internaute restent discrets et sont loin de refléter les dangers auxquels il s'expose. L'utilisateur sera incité à revoir ses paramètres de sécurité régulièrement. Facebook a également promis de mieux décrire les procédures de désactivation ou de suppression de compte. Des internautes souhaitant se retirer du site rencontrent en effet de grosses difficultés pour avoir la certitude que leurs informations sont bel et bien supprimées. Paradoxalement, d'autres membres du réseau, très actifs pour leur part, sont quotidiennement bannis du site. Chez Facebook, on explique que l'activité des membres est mesurée par une série d'algorithmes qui, en se servant de plusieurs paramètres, comme les heures de connexion, le nombre de contacts et le nombre de messages privés envoyés, déterminent si un internaute est potentiellement dangereux. Encore mal réglé, ce système d'algorithmes efface régulièrement des comptes utilisateurs qu'il assimile à du spam, sans vérification. Facebook affirme travailler également sur ce système afin de le rendre plus performant et plus pointu. (...)
(28/08/2009 14:44:21)L'État de Californie se tourne vers le commerce en ligne pour sauver son budget
Quand on a la Silicon Valley sur son territoire, il est tout naturel de chercher une solution IT à ses problèmes. Voilà pourquoi, pour redresser les finances publiques de son État au bord de la faillite, le gouverneur de Californie Arnold Schwarzzeneger a décidé de vider les entrepôts publics (composés d'équipements administratifs, mais également de saisines judiciaires) et de vendre les produits aux enchères sur Craiglist ou eBay. N'hésitant pas à l'occasion à payer de sa personne en apposant sa signature sur les rétroviseurs des véhicules pour en augmenter la valeur. L'idée de ces autographes originaux lui est d'ailleurs venue en discutant avec ses administrés via Twitter. Une action symbolique, mais qui aura le mérite de faire rentrer l'argent plus rapidement qu'avec un grand emprunt public. (...)
(28/08/2009 13:42:34)Les iPhones implosent, la DGCCRF mène l'enquête
Depuis quelques semaines, pas moins de sept iPhone ont vu leur écran se fissurer alors qu'ils étaient utilisés. La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) signale qu'elle enquête « depuis une dizaine de jours » pour vérifier s'il s'agit d'incidents isolés ou s'il y a un problème dans la fabrication des modèles. La Commission européenne de Bruxelles a, de son côté, mis Apple en demeure de s'expliquer sur la question le 14 août dernier. Jusqu'à présent, le constructeur ne fait aucun commentaire, arguant qu'il ne s'agit pas d'un problème général et qu'il attend de recevoir les iPhone des clients concernés pour se prononcer. Et pour l'instant, aucun geste commercial n'a été proposé aux clients ni de la part du constructeur, ni des opérateurs concernés. Hormis deux cas, l'un en région parisienne et l'autre en Bretagne, tous les incidents ont eu lieu dans le Sud de la France. L'un d'entre eux a même blessé à l'oeil et au menton son propriétaire, un jeune Gardois de 26 ans, le 24 août dernier. Celui-ci compte d'ailleurs porter plainte auprès de la gendarmerie. (...)
(28/08/2009 10:27:34)Bilan mitigé pour l'opération «Un collégien, un ordinateur portable» dans les Landes
La Sofres a présenté mardi 25 août les résultats d'une étude sur l'opération « Un collégien, un ordinateur portable » lancée il y a huit ans par le Conseil Général des Landes. Depuis 2001, les élèves de 3ème, de 4ème ainsi que les enseignants du département disposent d'un ordinateur portable pour la durée de l'année scolaire. Ces PC prêtés gratuitement intègrent quelque 160 logiciels ainsi que diverses ressources éducatrices (manuels scolaires, vidéos conçues par France 5 et l'INA...) dans différentes matières. Et ce n'est pas tout : pour chaque ordinateur prêté, le collège dispose d'une enveloppe de 180 € pour développer d'autres ressources ou installer des logiciels supplémentaires. 90% des collégiens se servent quotidiennement de leur ordinateur portable au collège. Les enseignants se révèlent moins bons élèves puisqu'un sur quatre avoue ne jamais s'en servir en cours, ou une fois par semaine maximum. L'utilisation varie en fonction de l'âge : les enseignants les plus adeptes sont les 35-44 ans, suivis des 45-54 ans. Etrangement, ce sont les professeurs les plus jeunes qui laissent le plus souvent le portable au placard. L'outil s'impose également plus ou moins dans les classes en fonction de la matière enseignée. Les plus adeptes sont les professeurs de sciences de la vie et de la terre (96%), de technologie (84%), de musique (83%), de physique (79%) et d'espagnol (70%). Les enseignants déplorent le manque de formation Parmi les freins à une utilisation plus régulière de l'ordinateur, les enseignants citent la perte de temps d'installation (53%), la perturbation des élèves (35%) -l'ordinateur étant souvent assimilé à un outil de jeu et de loisir-, mais aussi le manque d'efficacité pédagogique (32%) et la crainte des risques devant des élèves parfois plus aguerris aux nouvelles technologies que leurs professeurs. Plus d'un enseignant sur deux déplore d'ailleurs le manque de formation et de réunions régulières. En ce qui concerne Internet, seuls 25% des élèves y ont librement accès au sein de l'établissement. Un collégien sur cinq se déclare ainsi être un utilisateur fidèle de Wikipedia. Les enseignants estiment d'ailleurs que les élèves abusent du copier-coller. Un tiers d'entre eux le tolèrent toutefois dans la mesure où le collégien assimile ce qu'il a copié, et cite ses sources. En huit ans, le Conseil général a distribué 39 000 ordinateurs dans 35 établissements. Depuis son lancement, l'opération a coûté 43 M€ au département. Pour l'année scolaire 2009-2010, 7 450 élèves seront équipés et le Conseil Général déboursera un million d'euros supplémentaires. (...)
(24/08/2009 16:09:53)Le salaire de base du patron d'Oracle réduit à 1 dollar
Un dollar. C'est le salaire de base que touchera symboliquement le PDG d'Oracle, Larry Ellison, sur l'exercice fiscal 2010 de sa société qui a débuté le 1er juin dernier. Sur les trois précédents exercices fiscaux, Larry Ellison avait perçu 1 M$ de salaire de base. Ce dernier ne représente toutefois qu'une infime partie des revenus du PDG d'Oracle. L'essentiel de sa rémunération provient de primes, bonus et stocks options qui ont fait de Larry Ellison le patron le mieux payé des Etats-Unis sur la précédente année fiscale. Selon le consultant spécialisé Graef Crystal, cité par Bloomberg, le fondateur d'Oracle se placerait cette année à la troisième place des patrons les mieux payés des sociétés américaines cotées. Sa rémunération globale est évaluée à 69,2 M$ pour l'exercice 2009. [La réalisation de ses stock-options a fait grimper les revenus du PDG à 543 M$]. L'information sur le nouveau salaire de Larry Ellison a été communiquée vendredi dernier par Oracle à la SEC (l'autorité américaine de contrôle des marchés). Elle figure sur le document visant à soumettre aux actionnaires de la société les salaires proposés pour l'équipe de direction d'Oracle pour l'exercice en cours. Larry Ellison n'est pas le premier PDG du secteur IT à revoir symboliquement son salaire de base. Steve Jobs, le patron d'Apple, l'a précédé sur ce terrain. Sur son exercice clos fin mai 2009, Oracle a réalisé un chiffre d'affaires de 23,25 milliards de dollars (+3,7%) et un bénéfice net de 5,6 Md$ (+1%). (...)
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