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(19/06/2008 16:51:31)

La commission Copé prévoit de taxer 0,5% du chiffre d'affaires des FAI

Le projet de taxation des acteurs du Web pour financer le manque à gagner de France Télévisions en cas de suppression de la publicité se concrétise. La commission Copé, qui s'est réunie le 21 mai dernier pour étudier ce projet, présentera en effet les conclusions de son rapport au président de la République le 25 juin prochain. Nicolas Sarkozy avait d'ailleurs lui-même évoqué lors d'une conférence de presse datée du 8 janvier dernier l'éventualité de la création d'une taxe qualifiée d'infinitésimale sur les nouveaux moyens de communication, telle que la téléphonie mobile ou encore l'accès à Internet. Encore flou à l'époque, ce projet de loi prend forme, chiffres à l'appui. La commission Copé suggère au gouvernement de supprimer la publicité sur les chaînes publiques en deux étapes : seulement après 20 H à partir du 1er septembre 2009, puis de la faire disparaître complètement du paysage audiovisuel à partir du 1er janvier 2009. Cette disparition entraînerait dans un premier temps une brèche budgétaire de 450 M€, puis de 650 M€ au total. Un déficit que la commission propose de combler en faisant appel au porte-monnaie de divers acteurs. Ainsi, les opérateurs télécoms et les fournisseurs d'accès Internet verraient leurs chiffres d'affaires amputés de 0,5%, ce qui permettrait au service public d'engranger 210 M€. Une centaine d'autres millions d'euros seraient pompés sur le droit d'utiliser les fréquences hertziennes. Autres « mécènes » du service public malgré eux : l'INA (Institut national de l'audiovisuel) et la RFI (radio publique), dont les parts de la redevance seront soufflées (respectivement 80 et 60 M€). La commission Copé prévoit toutefois de combler la perte de l'INA en instaurant une autre taxe, visant cette fois les chaînes de télévision privées, au titre grandiloquent du « financement de la mémoire audiovisuelle ». Une taxe qui risque se répercuter sur la facture de l'internaute [[page]]Interrogé par nos confrères de Réseaux et Télécoms, Yves Le Mouël, DG de la Fédération française des télécommunications et des communications électroniques (FFT), dénonce les préconisations de la commission Copé, qu'il estime injustes et illégitimes. « C'est incompréhensible, critique-t-il. D'un côté, on nous demande de tirer la croissance en développant le numérique et en investissant dans le très haut débit fixe et mobile. Mais de l'autre, on nous inflige une taxe sous prétexte que notre activité dégage des marges importantes. Or ces 210 millions d'euros, ça correspond à 3000 stations de bases mobiles et plusieurs milliers de prises optiques qui ne seront pas installées. » Pour Yves Le Mouël, cette taxe pourrait avoir un impact désastreux sur les investissements des opérateurs dans la fibre optique, mais également sur la facture des internautes. Si le projet de loi était retenu, la FFT se déclare d'ailleurs prête à monter au créneau. Elle a d'ores et déjà consulté des spécialistes du droit communautaire et du droit constitutionnel, qui se sont montrés extrêmement réservés sur la légitimité d'une telle taxe. « Nous avons donc prévu d'aller à Bruxelles et d'instruire parallèlement la partie anticonstitutionnelle », prévient Yves Le Mouël. La FFT devrait d'ailleurs trouvé un écho favorable auprès de Viviane Reding, Commissaire européenne à la société de l'information, qui a déclaré : « on ne peut travailler à résoudre le problème du haut débit en France et en même temps ajouter une taxe supplémentaire ». Soulignons par ailleurs que cette taxe va complètement à l'encontre des bonnes résolutions de Nicolas Sarkozy et d'Eric Besson, qui ont déclaré que l'Internet haut débit pour tous représentait pour eux une priorité. Le président de la République l'avait mentionné début mars dernier, lors de sa visite au Cebit à Hanovre , et Eric Besson avait promis de s'attaquer dans les plus brefs délais à ce chantier lors de son investiture au poste de secrétaire d'Etat au numérique, quelques jours après. (...)

(19/06/2008 12:17:49)

Le créateur de widgets Zoomorama lève 1 M€ pour se développer hors de France

Zoomorama vient de réaliser une deuxième levée de fonds auprès d'une dizaine de 'business angels' européens et américains. Le premier tour de table lui avait permis d'engranger 450 000 € (en avril 2007). Zoomorama propose aux particuliers, aux entreprises (notamment dans l'e-commerce) et aux photographes professionnels une application baptisée Zoomcreator. Téléchargeable gratuitement jusqu'à 2 Go de données à stocker, elle leur permet de créer des widgets et des albums photos haute résolution qu'il est ensuite possible de déporter dans un site, un blog ou un mail. Particularité de ces albums : ils sont zoomables sans déperdition de qualité, directement depuis la page consultée, et ce sans devoir ouvrir une nouvelle fenêtre. Chaque produit présenté par un site de vente en ligne peut ainsi être examiné sous toutes ses coutures par l'internaute. Les clichés peuvent également être enrichis de textes, de vidéos, de liens hypertextes ou encore de documents PDF. Grâce à la levée de fonds, Zoomorama compte se développer sur trois axes. La société souhaite s'agrandir à l'international, à savoir aux Etat-Unis, en Amérique du sud, en Russie et en Asie. Elle est déjà présente au Viet-Nam. Fort de la confiance de ses investisseurs individuels, Zoomorama espère également convaincre d'autres investisseurs plus institutionnels, comme l'Oséo ou de grands capitaux-risqueurs. Côté technologie, Zoomorama devrait proposer au mois de juillet un service en ligne ne demandant pas à l'internaute de télécharger l'application, l'opération se faisant directement sur le site. Un service gratuit... jusqu'à un certain point [[page]] Le modèle économique de Zoomorama repose sur deux sources de revenus. Le site héberge gratuitement les photos sur ses serveurs jusqu'à 2 Go (150 Mo par album). Au-delà de cette quantité, les entreprises ou les particuliers ont la possibilité d'opter pour un abonnement annuel de 30 à 45 €, qui leur donne accès à un espace de stockage allant jusqu'à 5 Go. Pour les sociétés très gourmandes en images, Zoomorama propose une facturation liée à la consommation de bande passante. « Ce type de contrat se fait au cas par cas, en fonction du trafic et des besoins du site. En général nous appliquons un tarif de 1 euro pour 1000 clics », précise Anne-Céline Jeanneau, directrice de la communication chez Zoomorama. La société propose également des packages au forfait, pour des démonstrations sur un salon par exemple. Elle compte parmi ses clients Paris-Match, le Nouvel Observateur ou encore Channel. Pour le moment, Zoomorama ne s'est pas encore attaqué au marché de la publicité en ligne, mais il s'agit d'un projet « à moyen terme », confie Anne-Céline Jeanneau. Elle précise encore : « Les possibilités de notre application sont déclinables sur ce secteur. On peut par exemple imaginer d'incruster sur une page Web une publicité créée avec notre technologie, donc zoomable à volonté, sans devoir ouvrir une nouvelle page. » Zoomorama a été sélectionnée en avril dernier par le magazine économique Red Herring, qui récompense chaque année les 100 start-up les plus innovantes au niveau mondial. La société française a également fait partie des 30 finalistes du concours Web 3 qui s'est déroulé en décembre 2007. Créée en août 2005 par Franklin Servan Schreiber (ancien directeur des recherches en interfaces chez Sony US), Zoomorama emploie sept personnes et devrait recruter des développeurs au courant de l'année 2008. Son siège social est situé à Neuilly-sur-Seine (92). Rappelons que Microsoft a aussi récemment lancé une technologie de zoom à volonté dans les images, Deep Zoom. (...)

(19/06/2008 11:50:41)

Dassault Systèmes : « La France et l'Europe doivent se préoccuper de la propriété intellectuelle dans l'économie du virtuel »

Concevoir un nouveau produit en exploitant des objets 3D conçus en ligne par d'autres, comme souhaite le proposer l'éditeur de PLM Dassault Systèmes, pose un problème évident de propriété intellectuelle. « Ni l'Europe, ni la France ne font la moindre proposition quant à la propriété intellectuelle dans l'économie du virtuel, s'agace cependant Bernard Charlès, PDG de Dassault Systèmes. C'est capital, car aujourd'hui, en matière de gestion des conflits en justice, c'est le vide sidéral. C'est une question qui devrait être débattue à l'OMC (Organisation mondiale du comemrce). Les Etats-Unis et le Japon réfléchissent, eux, et nous risquons de devoir faire avec. En ce qui nous concerne, pour la création de contenus 3D avec notre outil pour tous 3DVia, nous avons par exemple choisi la CPL (Common Public Licensing) de l'Open Source. » (...)

(19/06/2008 10:03:02)

L'UFC-Que Choisir étrille la loi Hadopi

A peine le projet de loi Création et Internet a-t-il été examiné par le conseil des ministres que, déjà, l'UFC-Que Choisir monte au créneau. Et l'association ne mâche pas ses mots pour dénoncer un texte qu'elle qualifie de « monstre juridique, inacceptable pour les 15 millions de foyers connectés au haut débit ». La loi, dite Hadopi en référence à la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet qu'elle prévoit de créer, inaugure le principe de riposte graduée. Concrètement, un internaute s'adonnant au téléchargement illicite pourra recevoir des messages d'avertissement puis, s'il récidive, son abonnement à Internet sera suspendu pour une durée d'un an au maximum. C'est cette riposte graduée, et l'Hadopi chargée de la mettre en oeuvre, que ne goûte guère l'UFC-Que Choisir. Parmi les nombreux reproches adressés au texte, retenons qu'il « permet la double peine puisqu'un même acte de téléchargement peut à la fois faire l'objet de sanctions par la nouvelle autorité et de poursuites pénales en contrefaçon par les ayants droit [et] impose la surveillance généralisée des réseaux par des agents privés » pour repérer les actes de téléchargement. La suppression de l'accès à Internet qualifiée de « bourde monumentale » [[page]] L'association reprend également une des réserves formulées par l'Arcep. Le régulateur exprimait, fin mai, ses craintes relatives à la suspension de l'abonnement à Internet. Celle-ci risquerait en effet d'entraîner la suspension de l'ensemble des services inclus dans les offres triple play. Or l'Arcep estime qu'il est inconcevable de priver les internautes sanctionnés de téléphone et de télévision. Que Choisir va plus loin en soulignant qu'Internet « est en phase de devenir un service universel, c'est-à-dire essentiel au même titre que l'électricité ». Punir les coupables de téléchargements illicites en leur supprimant l'accès à Internet est alors « une bourde monumentale ». Aux yeux de l'association de défense des consommateurs, le constat est clair : le projet de loi « ne sert que l'intérêt des majors ». Il n'est alors pas surprenant de n'y trouver aucun « des leviers majeurs de dynamisation de l'offre légale » qui seraient susceptible d'endiguer le téléchargement illicite en proposant une alternative payante mais attirante : encadrer les DRM (verrous techniques), développer l'offre VOD (vidéo à la demande), limiter « les accords d'exclusivité entre FAI et majors dominants qui évincent les concurrents du marché... » (...)

(18/06/2008 18:07:02)

La loi Hadopi adoubée par le conseil des ministres

Le conseil des ministres a examiné ce matin le projet de loi Création et Internet, qui vise à combattre le téléchargement illégal sur le Web. Un texte qui répond, selon Christine Albanel, la ministre de la Culture, à une urgence née du « pillage grandissant des oeuvres sur les réseaux numériques ». Nicolas Sarkozy lui-même a adoubé le catalogue des mesures en expliquant qu'il « n'y a aucune raison qu'Internet soit une zone de non-droit ». Si Christine Albanel se réjouissait, la semaine dernière, de la validation par le Conseil d'Etat de l'ensemble des options proposées par le gouvernement, nos confrères des Echos révélaient dans la foulée que le juge administratif avait en réalité retoqué certaines dispositions. La riposte graduée validée De fait, il apparaît que certaines des réserves exprimées par le Conseil d'Etat semblent avoir été entendues par le gouvernement. Ainsi, le mécanisme de la riposte graduée, qui vise à sanctionner les auteurs de téléchargements illicites en suspendant leur abonnement à Internet pendant un an au maximum, est-il désormais explicitement détaillé dans le projet de loi. Le Juge suprême déplorait que le texte initial ne détaillât pas les différentes étapes de la riposte graduée, suggérant implicitement que la suspension de l'abonnement pouvait être prononcée sans qu'un avertissement n'ait nécessairement été adressé auparavant. Le projet de loi prévoit en outre que les internautes sanctionnés pourront voir la durée de suspension de leur abonnement réduite s'ils acceptent une transaction avec la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi). En d'autres termes, une pénalité pourra être allégée à l'issue d'une négociation menée en dehors de toute sphère juridique. Cette privatisation du règlement des conflits ne constituera pas une grande surprise pour qui suit les prises de position exprimées depuis plusieurs mois par la ministre de la Culture, notamment sur le sujet de la riposte graduée. Néanmoins, et c'est là la deuxième admonestation exprimée par le Conseil d'Etat et suivie par le projet de loi, les sanctions prononcées par l'Hadopi pourront « faire l'objet d'un recours contentieux devant le juge judiciaire », et pas devant le tribunal administratif comme le prévoyait initialement le texte. Des questions encore sans réponse La présentation du projet tel qu'il a été examiné en conseil des ministres ne fait en revanche pas référence à d'autres points soulevés par le Conseil d'Etat, certains d'entre eux étant pourtant particulièrement importants. C'est notamment le cas du laps de temps qui séparera l'adoption de la loi et son entrée en vigueur. Le juge administratif se range aux côtés de l'Arcep pour exiger un délai d'application, arguant de ce que les nouvelles mesures feraient peser des obligations sur les FAI, pas nécessairement préparés à cela. Enfin, le Conseil d'Etat ne veut pas confier à l'Hadopi le pouvoir de mettre en place des mesures de filtrage, contrairement à ce que prévoyait initialement le projet de loi. Les commentaires du gouvernement à l'issue du conseil des ministres ne permettent cependant pas de savoir si cette réserve a été suivie. Un texte clairement inspiré par les industries culturelles Soucieuse de ne pas axer son discours sur le seul combat mené contre les internautes s'adonnant au téléchargement illégal, la ministre de la Culture a tenu à rappeler que son projet s'accompagne de promesses tenues par les industries culturelles. Celles-ci s'engagent notamment à « améliorer l'offre légale en mettant plus rapidement les films à disposition sur Internet [et à] retirer les dispositifs techniques de protection bloquant des productions musicales françaises ». Sanctions pour les internautes, simples engagements du côté des industriels, les mauvaises langues souligneront que la balance répressive penche essentiellement du côté des particuliers. Normal, rétorqueront d'autres mauvais esprits, le texte s'appuie sur les accords de l'Elysée, élaborés avec 47 organisations représentant les industries de la culture. (...)

(18/06/2008 12:14:34)

La lutte contre la guerre informatique déclarée priorité du gouvernement

« La guerre informatique est devenue une réalité » a mentionné le Chef de l'Etat hier, lors de la présentation du nouveau Livre blanc sur la Défense. Celui-ci redéfinit la stratégie nationale en termes de sécurité pour les quinze prochaines années. Le document de référence inclut une dizaine de volets, dont la sécurité informatique. Il prévoit une hausse du niveau technologique des trois armes du pays et une meilleure protection des systèmes informatiques. Les attaques informatiques sont ainsi considérées par Nicolas Sarkozy comme critiques, au même titre que les menaces terroristes, nucléaires et biologiques. Les cyberattaques identifiées dans le Livre blanc peuvent provenir de divers types d'acteurs (hackers, groupes terroristes, Etats...), utiliser diverses armes (virus, 'chevaux de Troie', blocages malveillants...) et viser plusieurs objectifs (terrorisme, espionnage militaire ou économique...). Le document pointe l'importance de la défense cybernétique, de la guerre de l'information dans un univers d'informatique quantique et le développement des nouveaux systèmes de renseignements satellitaires. Création d'une agence de la sécurité des systèmes d'information [[page]] Pour faire face aux menaces visant les systèmes informatiques vulnérables, le gouvernement décide de créer une agence de la sécurité des systèmes d'information. Elle sera constituée à partir de l'actuelle direction centrale de la sécurité des systèmes d'information créée en 2001. Son rôle consistera à « détecter et réagir au plus tôt, en cas d'attaque informatique ». Cette officine aura aussi vocation à développer « une offre industrielle de produits de très haute sécurité pour la protection des secrets de l'Etat ». Des produits cryptographiques seront notamment mis à la disposition des administrations concernées. L'état-major des armées et les services spécialisés devront piloter toutes ces « capacités » de lutte informatique (surveillance et détection des attaques entre autres). Cette nouvelle stratégie qualifiée d'offensive et défensive consistera à « riposter » en cas d'attaque, ne serait-ce que pour « neutraliser » les systèmes d'information et de commandement des adversaires. Enfin, cette agence devra informer le grand public par le biais du portail gouvernemental securite-informatique.gouv.fr. (...)

(18/06/2008 09:29:38)

Seules 54% des PME estiment que leur informatique permet d'augmenter leur CA

Les 602 dirigeants de PME et responsables d'achats interrogés par l'Ifop (*) livrent une image très contrastée de l'utilité de leur informatique. Côté positif, on trouve le gain de temps, un meilleur suivi de l'activité, l'amélioration de la qualité de service rendu. En regard, les points à perfectionner paraissent flagrants. D'abord, l'impact sur le chiffre d'affaires, puisque 21% seulement des chefs d'entreprise sont d'accord pour dire que leur informatique permet d'améliorer ce CA. 33% se disent « tout à fait d'accord ». Un total de 54% estiment donc que leur informatique améliore leur business. D'autres bémols entrent en ligne de compte. L'informatique est « anxiogène » pour les salariés, 31% des chefs d'entreprise soulignant le stress ainsi généré dans leur entreprise. 81% trouvent également le sujet très, voire trop, technique. Et 63% jugent l'investissement trop cher. Le renouvellement du matériel en tête des motivations d'achat En terme de motivation d'achats, les PME interrogées sont claires. En tête des réponses vient le renouvellement de matériel devenu obsolète (62%). Une motivation sage, derrière laquelle on retrouve le remplacement d'un matériel défectueux (47%) et la réponse à un besoin nouveau (45%). Plus loin se bousculent la demande des salariés-utilisateurs (24%), le conseil d'un prestataire (20%), l'émergence d'un matériel nouveau (13%), une offre promotionnelle (10%) et une offre intégrée multi-services (7%). Seules 2% des personnes interrogées n'ont pas répondu. Une fois la décision d'achat prise, comment s'oriente le choix ? Là encore, des réponses très nettes, avec en tête trois critères de choix : la compatibilité avec les autres produits et services (65%), le coût (65%), la facilité d'usage (62%). Loin derrière se retrouvent : la sécurité (46%), la facilité d'entretien (27%), la notoriété du produit (25%), une offre intégrée (20%). Deux tiers des PME préfèrent un prestataire unique [[page]]Après avoir exploré l'aspect client final, l'étude scrute la relation des PME avec leurs prestataires et d'abord le nombre moyen de ces prestataires en PME. 96% d'entre elles en ont au moins un, 25% un seul et unique, 27% en ont deux. Seuls 9% en ont plus de 5. La moyenne se situe donc à trois. Voilà pour le constat. Quant aux attentes, elles sont sans ambiguïté : 66% préfèrent se fier à un prestataire unique. L'étude demande également aux PME si elles sont disposées à externaliser leur informatique. Pour l'activité logiciels et applications, elles sont 24% à souhaiter le faire en totalité, 29% en partie, mais 47% s'y refusent. 23% souhaitent avoir recours à un prestataire pour la protection, sécurité et données dans leur totalité. 52% n'en ont pas du tout l'envie. Côté support, technique, matériel informatique et serveurs, 58% penchent pour l'externalisation. Enfin, pour le stockage de données, les réponses sont voisines avec 64% de volontaires. (*) Etude commanditée par Risc Group et Panda Software (...)

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