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(03/01/2008 16:22:56)

La SSII allemande Kontron pourrait racheter Thales Computers

La société de services allemande Kontron envisage d'acquérir Thales Computers SA, une filiale détenue à 100% par le groupe français Thales, spécialisé dans les applications haut de gamme pour les marchés de l'administration, de l'aérospatiale et du transport. Thales Computers conçoit des solutions de traitement de l'information reposant sur ses propres cartes processeurs et cartes d'interfaces. Le montant et les détails de la transaction n'ont pas encore été communiqués. La vente est par ailleurs encore sujette à l'approbation des autorités françaises. (...)

(28/12/2007 12:01:10)

Shell pourrait supprimer des milliers d'emplois dans l'informatique

La compagnie pétrolière Royal Dutch Shell a décidé d'externaliser une grosse partie de son informatique pour réduire ses coûts, et de supprimer plusieurs milliers d'emplois, rapporte l'agence de presse Reuters. Vendredi dernier, un porte-parole de la raffinerie anglo-néerlandaise a indiqué que des négociations étaient actuellement en cours avec trois sous-traitants, dans le cadre d'une transaction qui serait effective en mars 2008. Sur le site protestataire Royaldutchschellplc.com, une source interne parle de 3200 suppressions de postes, une information que la direction n'a toutefois pas souhaité commenter auprès de l'agence de presse. D'autres sources, chez Schell, indiquent que les réductions viseraient principalement les informaticiens en contrats à durée déterminée. Un courriel interne de Shell aurait mentionné EDS, T-Systems, filiale de Deutsche Telekom, et AT&T comme étant en discussion finale avec le pétrolier, dans le cadre de son externalisation. (...)

(27/12/2007 12:07:45)

Thales, GE et Medasys perdent un contrat de 75 M€ auprès de l'AP-HP

Coup dur pour Thales, GE (General Electric) et Medasys (éditeur de logiciels médicaux) : l'AP-HP (assistance publique et hôpitaux de Paris) annule le marché signé avec le consortium fin mars dernier. Le projet consistait en la mise en place d'un outil technique commun dans 43 hôpitaux, dans le cadre de la création du « dossier patient unique » (centralisation des données du patient, à savoir identité, ordonnances, examens médicaux, résultats...). Il s'agissait par ailleurs du plus gros contrat informatique jamais passé en France dans le milieu hospitalier (75 M€). Le groupe avait remporté l'appel d'offres grâce au prix proposé, relativement bas, en comparaison avec celui des sociétés concurrentes. L'AP-HP a expliqué ce retournement de situation par les difficultés du consortium à répondre dans les temps à la proposition initiale. Le projet comprenait une première phase de prototypage, sur une durée de 18 mois, suivi d'un test pilote, puis d'un déploiement sur l'ensemble des hôpitaux. Medasys, qui a cédé un droit le licence de son logiciel DxCare à Thales, a déploré cette décision, en déclarant qu'il « n'est pas directement impliqué dans les relations avec l'AP-HP, mais suit l'évolution de la situation avec une attention toute particulière ». La société a également rappelé que son DxCare fonctionnait déjà de façon opérationnelle dans une cinquantaine d'hôpitaux français, et gérait quotidiennement plus de 10 millions de dossiers patients. L'AP-HP ne renonce pas à son projet de modernisation informatique, et à d'ores et déjà lancé un nouvel appel d'offres. (...)

(21/12/2007 12:36:19)

SQLI reprend le cabinet EoZen

Nouvelle acquisition pour SQLI qui se renforce dans le conseil SAP avec le rachat du cabinet EoZen. Ce dernier devrait réaliser 21 M€ de chiffre d'affaires en 2007, SQLI pour sa part table sur 120 M€. Grâce à ce rachat, SQLI veut créer un pôle d'expertise de haut niveau dans le monde SAP, en intégrant les 150 consultants SAP de EoZen aux 200 qu'elle compte déjà. De plus, EoZen est bien implanté à l'international : Bénélux, Pays-Bas, France, Singapour, avec des clients présents dans le monde entier. SQLI a déjà procédé à plusieurs rachats et ne compte pas s'arrêter là. Il y a un an, la société reprenait Clear Value, plus récemment, en novembre, Urbanys, Amphaz et Iconeweb. La société compte désormais 1700 collaborateurs en Europe. (...)

(14/12/2007 10:15:32)

Atos Origin cède sa filiale italienne à la SSII transalpine Engineering

Un mois après la cession, à HP, de sa filiale située au Moyen-Orient, Atos Origin vient cette fois d'annoncer la vente de la filiale italienne à la SSII Engineering Ingegneria Informatica pour un montant total de 45 M€ correspondant à 100 % du capital d'Atos Origin Italia. La transaction reste soumise à l'approbation des autorités régulant la concurrence. En Italie, le nouveau groupe ainsi constitué (Atos Origin Italia + Engineering) compte 6 000 salariés et représente un chiffre d'affaires consolidé de 730 M€. Un accord de partenariat est prévu entre l'acquéreur et le vendeur afin de permettre « de continuer à servir » les clients italiens et internationaux, précise Atos Origin. Philippe Germond, le président du directoire, indique dans un communiqué que cette opération est un signal clair de la détermination de la SSII française à procéder à des arbitrages d'actifs, l'objectif étant d'améliorer le bénéfice par action de l'entreprise. Cette cession intervient alors que les deux principaux actionnaires d'Atos Origin, Pardus et Centaurus, sont partisans d'une opération fusion/acquisition. (...)

(13/12/2007 09:51:13)

Les SSII plus agressives que les éditeurs

Le cabinet AP Management réalise chaque année un baromètre des fusions et acquisitions, menées par les SSII et les éditeurs français, à l'étranger. Les deux secteurs cumulés auraient racheté pour 1,72 milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2007 contre 839 millions en 2006. Première correction, ce chiffre global cache trois grandes opérations : Stéria qui a repris l'anglais Xansa, Cap Gemini avec l'américain Kambay et Cegedim auprès d'un autre américain Dentrite Intal. Trois opérations représentant 1,13 milliard sur 1,72. Les deux premiers rachats sont le fait de SSII à la recherche de structures offshore en Inde que leur offrent Xansa et Kambay. « Les clients imposent aux SSII ce mouvement vers l'offshore » commente Pierre-Yves Dargaud, Pdg d'AP Management, « il explique une partie des fusions et acquisitions, en tout cas pour les grandes SSII ».. Inversement, remarque le cabinet, certaines petites SSII se lancent aussi dans l'aventure. Et de citer Business et Decision, Devoteam, Keyrus, Sword. Ou bien GL Trade Line data service côté éditeurs. « Ils n'achètent que des sociétés de qualité pour se développer résolument à l'international, plus rapidement qu'en créant une filiale », observe Pierre-Yves Dargaud. Quelque soit leur taille, ces acheteurs présentent des caractéristiques communes. Ils restent en Europe de l'ouest, se risquent peu à l'est du vieux continent ou dans les pays émergents. L'Allemagne reste un cas à part avec beaucoup de PME ou des entreprises plus importantes mais filiales de grands groupes industriels, il est difficile d'y faire des acquisitions. Les français évitent de changer les équipes en place, ce qui témoigne d'une bonne maîtrise de l'opération. Toutefois, regrette le cabinet peu d'entreprises sont dotées de directions internationales. Et le Syntec Informatique est dépourvu d'une commission spécialisée. (...)

(07/12/2007 16:37:41)

Steria augmente son capital

La société de services Steria annonce la finalisation de son augmentation de capital, qui s'élève à 201 M€. Ce montant se traduit par la création de quelque 8,5 millions actions. La sursouscription de l'opération, à hauteur d'environ 30 millions d'euros (la demande totale atteint 231 millions d'euros, soit un taux de souscription de 115%), marque le renouvellement de la confiance des investisseurs dans la SSII. Cette émission d'actions restera toutefois privilégiée aux investisseurs historiques de Steria, et « contribuera finaliser le financement du rachat de Xansa », d'après un communiqué de presse. Cette opération de refinancement était la dernière étape dans le processus d'acquisition de Xansa (...)

(07/12/2007 10:38:22)

Les PME de l'informatique montent à Bruxelles

Les technologies de l'information ne font pas exception à la règle, à Bruxelles comme à Paris ou ailleurs, les PME ont du mal à faire entendre leur voix. Les membres de l'UEAPME (Union Européenne de l'artisanat et des petites et moyennes entreprises) le savent bien qui sont à l'origine de la naissance du PIN SME qui regroupe d'ores et déjà 50 000 entreprises européennes (200 000 salariés) issues de huit groupements nationaux* du secteur informatique. Johann Steszgal, Président de l'UBIT (Professionnal Association of Management Consulting and Information Technology) en Autriche a été élu Président du PIN SME. « Notre mission sera tout simplement de faire entendre la voix des PME du secteur, et bien sûr de défendre leurs intérêts » affirme Albert Cohen, secrétaire général du GPNI, antenne française du PIN SME. « Nous participerons aux travaux et nous comporterons comme une force de proposition. Notre contribution viendra compléter celle des grands du secteur qui sont par nature beaucoup plus visibles que nous » poursuit le secrétaire général. Le PIN SME disposera d'une représentation permanente à Bruxelles. Une première réunion est prévue à Valence (Espagne) en février prochain qui définira le plan d'action 2008 où pourraient figurer au rang de priorités les problèmes liés au recrutement des informaticiens. Le GPNI, créé en 1961, est un groupement de chefs d'entreprises de TPE et de PME du secteur informatique. Très orienté « conseil et services », il est présidé par Bruno Robine, Président honoraire de la CCIP-Hauts de Seine, et regroupe environ 250 entreprises sur tout le territoire français. Le GPNI ( www.gpni.com )est par ailleurs membre de la CGPME. * UBIT (Autriche), BASSCOM (Bulgarie), IT-Forum midtjylland (Danemark), BestPractice-IT (Allemagne), GPNI (France), CNA (Italie), ESTIC (Espagne) et UKITA (Royaume-Uni). (...)

(06/12/2007 18:51:43)

Vers un Small Business Act à l'européenne pour favoriser les PME innovantes

Lionel Stoleru a remis hier à la présidence de la République son rapport sur « l'accès des PME aux marchés publics ». D'entrée de jeu, le rapporteur propose « d'arrêter le combat perdu d'avance et inutile » pour exiger en Europe un Small Business Act à l'américaine imposant un quota (23% aux Etats-Unis) du montant des marchés publics aux PME. Lutte perdue d'avance, car imposer un quota obligerait à modifier la directive européenne de 2004 et jusqu'à la Constitution française. Inutile, car si l'on se réfère au quota américain de 23%, il apparaît qu'en France, ce sont 33% du montant des marchés publics qui vont déjà aux PME, et que ce taux monte même jusqu'à 42% dans l'Union européenne. En revanche, le rapport Stoleru énumère quinze propositions pour favoriser l'accès des marchés internationaux aux PME. L'ancien secrétaire d'état rappelle que seules 5% des PME françaises exportent, contre 12% des PME allemandes. Sa première proposition consiste à demander à Genève [siège de l'OMC] de relever à 211 000 € le seuil d'application des règles de l'Accord sur les marchés publics afin d'en exonérer la majorité des PME (« par la procédure de l'offre révisée de juin 2007 de la Commission »). Favoriser les 5 000 PME innovantes et cofinancer le Pacte PME Deuxièmement, le rapporteur suggère la nomination, à l'Elysée ou à Matignon, d'un chef de projet « SBA européen » qui serait chargé de préparer une directive regroupant toutes les mesures favorables aux PME. Il propose ensuite une discrimination positive en faveur des PME innovantes (environ 5 000 entreprises), ainsi qualifiées parce qu'elles consacrent 10% de leur chiffre d'affaires ou de leur personnel à la recherche et au développement. Un toilettage précis du Code des marchés publics est également préconisé, de même que l'abrogation du délit de favoritisme dans le Code pénal. Pour Lionel Stoleru, il est également important d'organiser la traçabilité des achats aux PME. « Savoir et faire savoir qui achète et à qui est une condition essentielle de la motivation et de l'émulation des acheteurs ». Et le rapporteur d'inviter à s'inspirer du Pacte PME, un modèle de gré à gré entre PME et grandes entreprises mis en place avec succès par le Comité Richelieu. Pour aller plus loin, le rapport propose de cofinancer ce Pacte PME, par une convention financière avec l'Etat, « de l'ordre de 5 M€ par an ». Un « coaching », par les grands acheteurs, de certaines PME vers l'international serait également le bienvenu. Enfin, une des autres mesures proposées par le rapport consisterait à installer les marchés de haute technologie (notamment ceux de la Défense) au niveau 3. Cela contribuerait à « mettre sur orbite internationale les PME innovantes dans les technologies concernées ». En savoir plus Télécharger le rapport Stoleru (...)

(30/11/2007 17:01:06)

La France et les professionnels à l'honneur du Cebit 2008

Le Cebit 2008 sera un salon davantage tourné vers les professionnels, et il mettra les entreprises françaises à l'honneur. Les organisateurs de cet immense salon allemand de l'IT se sont déplacés à Paris aujourd'hui pour l'annoncer, en compagnie du Syntec et d'Ubifrance. Le représentant du Bitkom - équivalent allemand du Syntec avec plus de 800 membres pesant 120 MdE -, Bernhard Rohleder, a expliqué que le partenariat de 2007 avec la Russie constituait en fait « une tentative ». L'essai semble concluant, et le syndicat allemand a voulu s'associer avec un des partenaires « les plus importants » des entreprises allemandes du secteur, derrière l'Autriche et la Suisse. « Il s'agit d'un vaste programme, qui commence le 6 décembre avec la signature d'un contrat [de coopération entre la France et l'Allemagne] en présence d'officiels des deux gouvernements. » Le point d'orgue de cette « année franco-allemande des TIC » (technologies de l'information et de la communication) sera l'inauguration du Cebit de Hanovre le 4 mars 2008, par Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel. Le gouvernement français fera un autre geste, au travers d'Ubifrance, la structure qui aide les PME à conquérir des marchés à l'étranger. Laurent Barbet, chef du service TIC d'Ubifrance, a expliqué que « le Cebit est une porte d'entrée majeure non seulement sur le marché allemand, mais aussi sur le marché mondial », et annoncé que les subventions étaient plus que doublées, à 200 000 euros. L'objectif étant de permettre à une centaine d'adhérents d'exposer à Hanovre dans des pavillons français, contre cinquante l'année dernière. Un tour de France est en cours, en partenariat avec le Syntec, pour recruter des participants. « Nous avons 450 à 500 m² de réservés, ce qui représente 40 à 50 entreprises », a précisé Laurent Barbet. Qui a toutefois botté en touche sur les bénéfices retirés par les exposants lors des éditions précédentes de cette manifestation. « Ce que les entreprises peuvent en tirer de façon immédiate, je ne suis pas en mesure de le dire, nous a-t-il répondu. Mais elles reviennent, ce qui est un bon indicateur. » Ubifrance mettra également en place un village « Pôles de compétitivité ». Un salon raccourci et destiné avant tout aux professionnels Pierre Haren, le PDG d'Ilog, était venu apporter son soutien à l'initiative. D'abord parce qu'il aimerait que les Européens puissent se renforcer mutuellement, face aux acteurs américains. Ensuite parce qu'il considère que sur un marché décentralisé comme l'Allemagne, il s'agit d'une occasion exceptionnelle de croiser les gens qui comptent dans le secteur. « Les grandes entreprises allemandes déplacent leur conseil d'administration sur le salon pendant une semaine. C'est là que j'ai rencontré le plus de PDG allemands. » En privé, il avouait également que ce partenariat entre la France et l'Allemagne était ce qui l'avait décidé à exposer cette année encore au Cebit, alors que « le ratio qualité des contacts par rapport au temps perdu » n'était pas excellent. De fait, entre des halls remplis de tout et de n'importe quoi, du lecteur MP3 aux commutateurs de coeur de réseau, en passant par les solutions d'architectures orientées services et les PC pour fondus de jeux, le contenu du salon partait un peu à la dérive ces dernières années. Deutsche Messe, l'organisateur du salon, a pris des mesures pour, espère-t-il, y remédier en 2008. En premier lieu, le salon est un peu raccourci (du 4 au 9 mars), et s'il se terminera le dimanche soir pour que le grand public soit aussi de la fête, il sera avant tout consacré aux professionnels, promet Sven Prüser, commissaire général du Cebit. Des conférences et des guides cibleront plusieurs types de public (grandes entreprises, secteur public, etc.), et quelques thèmes seront particulièrement mis en avant, comme la télémédecine et la « Green IT », l'informatique verte. (...)

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