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(26/11/2007 14:33:01)
Avec Urbanys et Amphaz, SQLI se renforce dans le conseil
A peine quelques jours après le rachat d'Amphaz, filiale du groupe Altitude, la SSII SQLI annonce l'acquisition du cabinet de conseil Urbanys. Le montant initial de l'opération s'élève à 2 M€, auxquels pourront se rajouter 600 000 €, en fonction des performances réalisées par la société. Basé à Suresnes (92), mais également présent au Luxembourg, Urbanys est spécialisé dans la gouvernance et l'organisation des systèmes d'information, et se base sur des processus et des référentiels qualité standards (ISO 9001, ITIL...). SQLI étend ainsi son pôle conseil, et gagne des clients comme BNP Paribas ou la RATP. SQLI confirme par ailleurs ses objectifs, à savoir atteindre les 150 M€ de chiffre d'affaires en 2008. Le groupe, qui emploie 1700 personnes dans le monde, compte également accélérer sa croissance externe. SQLI dit être déjà en négociation avancée avec une nouvelle cible. Créé en 2001, Urbanys espère réaliser un chiffre d'affaires proche des 3 M€ en 2007, pour une rentabilité opérationnelle de 10%. La cabinet de conseil compte actuellement une vingtaine de collaborateurs. Urbanys sera consolidé dans les comptes de SQLI en décembre prochain, en même temps qu'Amphaz. Acquise pour près de 2 M€, cette société est pour sa part spécialisée dans le conseil et l'intégration en décisionnel. (...)
(23/11/2007 18:11:10)Micropole-Univers rachète Apsalys, intégrateur de Qualiac
La SSII française Micropole-Univers vient de racheter Apsalys, une société spécialisée dans le conseil et l'intégration de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) dans le domaine des sciences de la vie. Apsalys, dont le chiffre d'affaires dépassera sur l'exercice 2007 le million d'euros, réalise 80% de son activité dans les secteurs de l'industrie pharmaceutique et de la santé. La société a notamment développé une expertise sur le PGI de Qualiac, un éditeur avec lequel Micropole-Univers a noué un partenariat en juin dernier. La SSII renforce ainsi le centre de compétences qu'elle a créé cette année autour des PGI et prend pied sur le marché des sciences de la vie (chimie, pharmacie, cosmétologie, bio-médical, santé). Présente dans les très grands comptes, Micropole-Univers est par ailleurs spécialisée sur les projets d'applications décisionnelles (Business Intelligence), de gestion de la relation client (GRC), ainsi que sur les projets s'appuyant sur Internet. Elle a réalisée en 2006 un chiffre d'affaires de près de 70 millions d'euros, compte 850 collaborateurs et un millier de clients. L'éditeur Qualiac, lui, dispose d'une base installée de 350 sites, correspondant à quelque 18 000 utilisateurs. (...)
(23/11/2007 17:02:42)Bercy annule le marché pour le déploiement de Chorus
Le marché pour le déploiement de Chorus, dont la clôture était prévue à la fin du mois, a été annulé à l'initiative de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat (AIFE). Une nouvelle procédure devrait voir le jour au premier trimestre 2008. Rappelons que ce projet vise à installer, sur une base de SAP, un nouveau système de gestion budgétaire dans toutes les administrations centrales et déconcentrées. Or adapter un progiciel d'origine industrielle allemande à des administrations françaises ne se fait pas sans un certain nombre de développements spécifiques. L'inflation de ceux-ci commencerait, selon la rumeur, à menacer la cohérence et l'intérêt du projet. Cette critique n'est pas neuve et avait même été le fondement des offres concurrentes de celle de SAP. Jacques Marzin, directeur de l'AIFE, explique la situation : « Nous sommes actuellement en cours de conception détaillée des développements spécifiques. Il s'agit notamment de ne pas remettre en cause la stabilité du noyau SAP. » En précisant que, si la réorganisation en cours des services de l'Etat rend Chorus encore plus indispensable, et si son cahier des charges prévoit qu'il soit assez flexible pour absorber cette réorganisation, « il n'était pas prévu que le déploiement ait lieu en même temps que la réorganisation et c'est une difficulté qu'il nous faut intégrer, a priori sans impact sur le calendrier global du projet ». (...)
(21/11/2007 10:34:43)Deutsche Telekom lorgnerait sur EDS
Selon le « Financial Times Deutschland », l'opérateur Deutsche Telekom aurait des vues sur l'une des plus grandes SSII américaines, EDS (Electronic Data Systems). L'opérateur historique allemand souhaiterait dans un premier temps faire fusionner EDS avec sa propre filiale technologique, T-Systems (chargée, au passage, de la distribution de l'iPhone en Allemagne), avant d'introduire en bourse l'ensemble créé. Si le projet paraît financièrement réalisable (la capitalisation boursière d'EDS atteint les 10 Md$, et Deutsche Telekom dispose de 6,5 Md$ en cash pour ce rachat), les raisons d'une telle opération sont pour leur part assez obscures. T-Systems a longtemps été convoité par la SSII Atos Origin. Le patron de T-Systems, René Obermann, s'était empressé de mettre un terme aux espoirs d'Atos, ni fusion, ni acquisition n'étant au programme. Aujourd'hui, T-Systems s'apprête pourtant à coupler son activité de services et d'intégration à celle d'une autre SSII. Le groupe allemand espère peut-être renouer avec la croissance. Fin octobre, des informations relayées par le journal Handelsblatt mentionnaient des licenciements à tours de bras chez T-Systems (35 000 postes), alors qu'EDS affiche un bénéfice net de 225 M$ au troisième trimestre (en hausse de 80% sur l'année). Pour l'ensemble de l'exercice 2007, son P-dg Ron Rittenmeyer, table sur un chiffre d'affaires compris entre 22 et 22,5 Md$. Autre atout pour T-Systems, et non des moindres. L'acquisition d'EDS compléterait son portefeuille de clients dans le secteur automobile, et lui permettrait d'asseoir sa position dans les services informatiques en Europe, mais aussi en Inde. (...)
(20/11/2007 15:38:46)Truffle 100 Europe : un chiffre d'affaires de 26,2 Md€ et 175 000 emplois
Les cent premiers éditeurs de logiciels européens ont généré en 2006 un chiffre d'affaires de 26,198 milliards d'euros dont plus de 22 Md€ ont été entièrement produits par la vente de logiciels et de services associés. 80% de ces revenus sont réalisés par les 23 premiers fournisseurs du classement. C'est ce qu'indique le dernier Truffle 100 Europe 2007, communiqué par Truffle Capital et Syntec Informatique et établi par les cabinets d'études CXP et IDC. Si le chiffre d'affaires de ce top 100 européen a progressé de 6,6% en un an, générant un bénéfice net de 2,8 Md€, on peut aussi le relativiser en le comparant aux 34,88 Md€ (51,12 Md$) de chiffre d'affaires réalisés par Microsoft sur son exercice fiscal 2007 clos le 30 juin dernier. Le Truffle compare par ailleurs les 6,6% de croissance en Europe aux 22% de progression enregistrés par l'éditeur américain Oracle (11,4 Md$). Le peloton de tête des éditeurs européens reste inchangé par rapport à l'année précédente avec, dans l'ordre, l'Allemand SAP, qui pèse à lui seul 36% du chiffre d'affaires global (42,6% sur les revenus purement liés au logiciel), le Britannique Sage (5,2% / 6,2%), puis les Français Dassault Systèmes (4,5% / 5,3%) et Business Objects (3,8% / 4,5%). Ce classement portant sur l'année 2006, il n'est évidemment pas tenu compte du rachat de Cartesis par Business Objects ni, a fortiori, de celui de BO par SAP. 38 000 emplois consacrés à la R&D L'édition 2007 du Truffle 100 Europe fait ressortir que l'industrie européenne du logiciel constitue un pourvoyeur stratégique d'emplois qualifiés. Sur les 175 000 collaborateurs employés par la centaine d'éditeurs examinés, soit un effectif en hausse de 18,3% par rapport à 2005, 38 000 personnes se consacrent à des activités de recherche et développement. Les éditeurs français du Top 100 rassemblent pour leur part 43 564 personnes, dont 7 812 à la R&D. Non seulement, cette industrie est donc créatrice d'emplois hautement qualifiés, mais elle présente aussi un pouvoir d'attraction permettant de retenir des compétences recherchées, tentées de chercher fortune hors de ses frontières. La France a progressé par rapport à l'an dernier. 27 éditeurs hexagonaux figurent à ce classement, soit trois de plus qu'en décembre 2006. Mais après Dassault Systèmes, spécialisé dans les outils de gestion du cycle de vie des produits (PLM), et l'acteur du décisionnel Business Objects désormais absorbé par SAP, à la 3ème et 4ème place, il faut attendre la 17ème place pour trouver le Lyonnais Cegid, éditeur de progiciels de gestion. Le logiciel français pèse 16,8% en Europe En 19ème position de ce classement figure GL Trade, éditeur de solutions pour gérer les ordres de bourse. A la 24ème place, on trouve Sopra Group et sa filiale Axway (engagée dans l'intégration interapplicative), suivi d'Ilog, 30ème, spécialiste des règles métiers et des solutions d'optimisation. Viennent ensuite la SSII GFI Informatique (35ème), l'éditeur Cartesis (38ème), aujourd'hui dans le giron de SAP, Avanquest (45ème), ESI Group (47ème) et Soltim-Proval (49ème). Enfin, Generix, Linedata Services, Fiducial Informatique, Groupe SAB, Viveo, XRT Cerg, Oresys, Arès, Prologue, Esker, Missler Software, Orsyp, Infovista, Coheris, Axemble et Bodet s'échelonnent entre la 61ème et la 99ème place. Si l'on considère leur chiffre d'affaires total, les vingt-sept Français listés dans ce classement pèsent 21,4% des 26,2 Md€ générés par le Truffle 100 Europe 2007. Mais si l'on s'en tient aux revenus strictement générés par le logiciel et les services qui lui sont associés, leur poids est ramené à 16,8% des 22 Md€ réalisés dans ce domaine par les cent premiers éditeurs européens. En effet, certains des Français figurant dans ce classement réalisent l'essentiel de leurs revenus sur d'autres activités (le conseil, l'intégration de systèmes, l'infogérance, les infrastructures et les réseaux...). C'est le cas, par exemple, de Sopra Group ou de GFI Informatique dont 15% seulement du chiffre d'affaires est imputé aux logiciels, ou encore d'Ares (6,18 % du CA sur le logiciel). Le Royaume-Uni, avec 25 éditeurs au classement, pèse presque un cinquième du total. Quant à l'Allemagne, elle fait près de trois fois mieux que la France avec seulement 11 éditeurs, parmi lesquels, il est vrai, l'énorme SAP. (...)
(16/11/2007 15:02:03)Sun et Unisys : contrat renouvelé pour trois ans
Visiblement satisfait de ses relations avec Unisys France, Sun Microsystems a décidé de prolonger le contrat de services d'externalisation qui le relie à la SSII française. Initialement annuel et renouvelable (depuis 1991), ce partenariat d'outsourcing porte désormais sur trois ans. « Après deux renouvellements annuels, Sun s'engage durablement auprès d'Unisys France en lui accordant sa confiance sur trois ans. Ce renforcement de la relation prouve combien nous sommes heureux du travail et de l'expertise des techniciens et consultants d'Unisys France », a précisé Gérard Raimbert, responsable des partenariats chez Sun. Unisys a été choisi pour sa capacité à « apporter la visibilité requise pour atteindre le niveau de transparence et de prévisibilité nécessaire pour garantir des opérations commerciales fiables », d'après Sun. Les solutions de la SSII utilisent en effet une approche 3D-VE (Visible Entreprise), qui apporte aux clients la possibilité de voir les liens de cause à effet entre stratégie commerciale, processus et besoins informatiques, puis d'intervenir en conséquence. « Cette capacité assure la prise de décisions informées, fiabilise les opérations, et évite les impacts et les coûts imprévus, pouvant empêcher la réalisation efficace de tâches », précise encore Sun. En tout, soixante collaborateurs d'Unisys se consacreront à Sun en France (une dizaine en région parisienne, les autres se situant en province). Le support technique d'Unisys sera disponible 7J/7, et 24H/24. (...)
(16/11/2007 13:42:23)Capgemini signe son premier contrat Google Apps avec... lui-même
Capgemini montre l'exemple. L'intégrateur, premier à intégrer les Google Apps dans son offre de support, vient de signer son premier contrat reposant sur les applications bureautiques en ligne de Google. La SSII équipera elle-même son centre d'appel du Kansas de l'édition Premier (40 € par utilisateur et par an) des outils du moteur de recherche, qui compilent notamment Document, Gtalk, Gmail et Google Calendar. Lancées en février 2002 dans les jambes de Microsoft Office, les Google Apps ont pour l'heure connu un succès d'estime auprès des entreprises. Les analystes estiment pour leur part la suite Google rudimentaire et pas prête à remplacer une suite bureautique traditionnelle. Un sentiment également partagé par nos lecteurs. Depuis, pour davantage séduire le marché professionnel, Google a renforcé la sécurité de ses applications en intégrant la technologie de Postini. Dans un communiqué, Capgemini explique combien la prise en main des Google Apps est conviviale pour les 165 employés de son centre d'appel et combien son intégration aux outils de GRC (Gestion relation clients) dope la productivité. (...)
(15/11/2007 09:58:04)Smile s'agrandit avec Ingénieurs et Consultants
L'intégrateur de solutions Open Source Smile annonce l'acquisition du cabinet de conseil « Ingénieurs et Consultants », pour un montant non communiqué. « Quelques mois après le rachat de la web agency E-dition, cette opération confirme l'engagement de Smile autour de la solution eZ publish, l'un des outils de gestion de contenus les plus prisés en Europe », a commenté Marc Palazon, président du directoire de Smile. Basé à Levallois-Perret, Smile compte actuellement 220 collaborateurs (auxquels se rajouteront les 15 salariés d'Ingénieurs et Consultants), et compte trois autres filiales, à Lyon, Montpellier et Nantes. La SSLL espère réaliser un chiffre d'affaires de 14 M€ en 2007. (...)
(14/11/2007 10:54:52)Sopra se renforce dans le secteur bancaire avec le rachat de CIBF
Sopra Group annonce l'acquisition de la société nantaise CIBF - Compagnie d'ingénierie bancaire et financière. Cette opération permet à Sopra d'asseoir sa position européenne dans le domaine financier, ainsi que d'étoffer Evolan, sa solution applicative de crédit à la personne, de moyens de paiement et de reporting. CIBF, spécialisée dans l'édition de logiciels de gestion des flux financiers pour les secteurs bancaires et industriels, dispose en effet d'une offre de moyens de paiement fonctionnelle dans le cadre du SEPA. Le « Single Euro Payments Area » est un espace de paiement unique qui verra le jour le 28 janvier prochain et dont l'objectif est d'assurer aux entreprises que leurs paiements en euro s'effectueront aussi facilement et au même coût dans les 31 pays européens que sur leur territoire national. L'acquisition, dont le montant n'a pas été communiqué, devrait être finalisée au début de l'année 2008. CIBF prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 7 M€ en 2007. (...)
(13/11/2007 16:32:44)Steria revoit le financement de Xansa
Sous pression (chute du titre, turbulences économiques), Steria se voit dans l'obligation de réviser sa stratégie de remboursement de Xansa, une SSII britannique acquise fin juillet, dont le montant total s'élève à 680 M€, et de la décliner en deux volets. Sur la dette restante (350 M€), la SSII a décidé d'augmenter son capital de 200 M€. Les actionnaires historiques voient ainsi passer leur participation au capital de Steria de 16 à 11%, mais bénéficieront de droits préférentiels de souscription. Les 150 M€ restants seront transformés en « obligations hybrides », (c'est-à-dire en titres remboursables d'ici 2013). François Enaud, gérant du groupe Steria, se veut confiant : « cette opération de refinancement, qui constitue la dernière étape du processus d'acquisition de Xansa, permettra au groupe de développer l'un des business models les plus avancés du secteur européen des services informatiques ». La société compte par ailleurs sur Xansa pour développer son activité de BPO (externalisation des processus métier) et également exploiter la plate-forme offshore indienne de cette dernière, déjà éprouvée en Grande-Bretagne, et dans d'autres pays européens, notamment en France, où seize projets sont actuellement en cours. Cette opération offshore devrait permettre à la SSII de réaliser 12 M€ d'économie en trois ans. (...)
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