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(05/07/2007 18:22:25)

Apax créé la surprise avec l'acquisition de titres GFI

Apax a déclaré hier soir à l'AMF avoir racheté 607 516 actions du groupe GFI Informatique, à des cours avoisinant les 9,25 € par titre. Grâce à ces transactions, qui se sont déroulées entre le 8 juin et le 3 juillet, Itefin Participations (société holding contrôlée par Apax Partners France) détient désormais 4% du capital de GFI (contre 2,6% auparavant). Cette opération complique les ambitions de Fujitsu qui veut mettre la main sur GFI : le cours de l'action se maintient au-delà des propositions du groupe japonais. L'OPA de Fujitsu semble d'autant plus compromise qu'Apax n'a nullement l'intention d'apporter ses titres à ce dernier. (...)

(04/07/2007 15:55:06)

SII recrute 150 ingénieurs

SII, société de conseil bretonne, spécialisée en ingénierie et en nouvelles technologies, continue sur sa lancée de recrutement massif. Après sa campagne d'embauche de 2006 (qui a permis de porter le nombre de ses collaborateurs à près de 2000 personnes, soit 300 de plus qu'en 2005), SII poursuit son développement en annonçant l'embauche de 150 ingénieurs supplémentaires dans les prochains mois. D'après Eric Matteucci, directeur de la filiale de Rennes depuis 2005, cette bonne santé résulte du fait que « traditionnellement, la Bretagne a toujours privilégié la proximité entre prestataire et client, une des caractéristiques de notre société ». Cette politique d'embauche s'appuie également sur les bons résultats enregistrés au niveau régional et national, ainsi que sur les prévisions, revues à la hausse. Forte d'un chiffre d'affaires annuel de 127,32 M€, avec une progression de plus de 20 % par rapport à l'année précédente, SII annonce en effet un chiffre d'affaires compris entre 145 et 150 M€ pour le prochain exercice. (...)

(04/07/2007 15:54:49)

La commission européenne approuve un éventuel rachat de GFI par Fujitsu

La Commission européenne vient d'autoriser le projet d'acquisition de GFI Informatique par Fujitsu Services (branche européenne de services du Japonais Fujitsu Limited). Même si l'Europe estime que la concurrence ne serait pas faussée par un tel rachat, les dés ne sont toutefois pas jetés. GFI a en effet confirmé un possible rapprochement avec son compatriote Bull. Les deux sociétés ne sont d'ailleurs pas inconnues l'une pour l'autre : Bull a cédé en mai dernier sa filiale portugaise de monétique à la SSII. Le bras de fer entre GFI et Fujitsu se maintient GFI Informatique a récemment rejeté l'offre de Fujitsu à 8,50 euros par action, estimant qu'elle ne « valorisait pas » le potentiel du groupe, qui ambitionne les 11 euros par titre. « Si Fujitsu revoit ses positions, nous sommes prêts à réévaluer nos analyses », nuance toutefois Jacques Tordjman, PDG de GFI. Fujitsu ne prévoie pas de lâcher le morceau. La société souhaite résolument se réorienter vers un profil « conseil », un peu dans la lignée d'IBM. L'acquisition de GFI Informatique lui permettrait d'asseoir sa notoriété de société de services en France. Et si les négociations avec GFI n'aboutissaient pas, Fujitsu a d'ores et déjà annoncé qu'il se retournerait vers d'autres SSII françaises. (...)

(02/07/2007 16:56:59)

Les centres de services partagés génèrent des économies, confirme Deloitte

Le cabinet Deloitte Conseil vient de publier les résultats de sa quatrième étude internationale sur les Centres de services partagés (CSP). Menée auprès de 130 organisations (entreprises réalisant plus de 4 MdE de chiffre d'affaires), ce qui représente 332 CS, cette étude montre que, dans 58% des cas, la création de CSP a permis de générer des économies importantes en terme de personnel (ETP, Equivalents Temps Plein). Pour les sociétés cotées aux Etats-Unis, 53% des répondants considèrent en outre que les CSP ont financièrement allégé leurs efforts en matière de mise en conformité avec la loi Sarbanes-Oxley. « La tendance pour dégager des économies passe aujourd'hui par des processus d'amélioration continus, planifiés et pilotés par des groupes de travail structurés », conclut Jean-Michel Demaison, senior manager chez Deloitte Conseil. La compétence linguistique devient un critère de choix Autre enseignement de cette étude, il y a un changement dans les critères de choix de la localisation d'un CSP. Longtemps guidées par des problématiques d'économie, les entreprises tiennent désormais compte de la qualité de la main d'oeuvre (41% des répondants) ainsi que de sa disponibilité (38%). Le coût arrive seulement en cinquième position, avec 24% des répondants. La compétence linguistique, longtemps ignorée, est citée comme critique par 33% des sociétés interrogées. Contrairement aux idées reçues, beaucoup d'entreprises se déclarent réticentes à l'idée de créer des CSP globaux. Seuls 22% des répondants envisagent une concentration de leurs Centres. Autre surprise, les groupes ne souhaitent pas élargir leur couverture géographique. 34% des CSP de l'enquête se cantonnent à fournir des services à un seul pays. Sur un plan fonctionnel en revanche, ils sont prêts à intégrer de nouvelles activités, notamment dans des départements clés, comme le système informatique ou les ressources humaines. (...)

(02/07/2007 12:16:51)

Aubay cède 15,1% d'Octo Technology à ses fondateurs

Les fondateurs d'Octo Technology récupèrent 15,1% du capital de leur société. Aubay, société de services, de conseil et d'intégration de solutions informatiques, a en effet annoncé la cession de 461 000 actions d'Octo Technology à PACH Invest, qui regroupe les intérêts des principaux fondateurs de la société. A travers cette opération, dont le montant s'élève à 2,3 ME (soit un peu moins de 5 euros par action), Aubay reste l'actionnaire majoritaire d'Octo Technology. Avec 40,9% du capital, la SSII conserve donc le contrôle de la société. Aubay annonce par ailleurs son souhait de s'agrandir en Europe (notamment en Espagne, en France et en Italie) via l'acquisition de SSII de taille moyenne (entre 7 et 15 millions d'euros de chiffres d'affaire). « On ne peut pas tout développer en même temps, explique Philippe Rabasse, directeur général d'Aubay. Nous allons nous concentrer sur notre activité principale, à savoir l'intégration de solutions complexes (SOA, EAI...) pour une clientèle transversale (banques, assurances, télécoms et énergie). Octo Technology ne véhicule pas tout à fait la même image que Aubay, c'est une des raisons pour laquelle nous avons décidé de nous défaire d'une partie de son capital, tout en lui offrant la possibilité de mener sa propre vie. » Octo Technology est côté en bourse depuis le mois de décembre 2006. Aubay emploie 2080 personnes en Europe, dont 1100 en France. Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 41,2 millions d'euros en 2006, et vise les 167 ME en 2007, puis 200 ME en 2008. (...)

(29/06/2007 16:59:34)

SQLI structure son offre d'accompagnement CMMI

Grâce au rachat d'Alcyonix au mois d'avril dernier, SQLI vient de finaliser son offre de Capability Maturity Model Integrated, autrement dit de CMMI. Cette méthodologie spécifique et standardisée permet aux entreprises d'améliorer leurs développements logiciels, puis d'accélérer leur mise en ?uvre. IdeoProject est le progiciel de pilotage choisi par SQLI. Cette solution optimise les processus d'organisation d'un projet, allège les tâches de gestion (grâce à la construction de tableaux de bord par exemple) et autorise le partage d'un référentiel unique au sein de l'entreprise. Le nouveau pôle de compétences est d'ores et déjà opérationnel. La SSII en a confié la direction à Eric Chanal, qui aura sous sa responsabilité une équipe composée de salariés issus de SQLI et d'Alcyonix. SQLI emploie 1500 salariés en Europe (dont 90% en France), répartis au sein de quinze agences. (...)

(29/06/2007 09:51:58)

Infosys intéressé par Capgemini, selon la presse indienne

Infosys pourrait faire une offre pour racheter Capgemini. C'est du moins l'avis du Times of India de Bombay, qui cite une source proche de la SSII indienne, en expliquant qu'il s'agirait d'une voie d'expansion naturelle, et d'un moyen rapide de s'implanter en Europe. Infosys a refusé de commenter « ces rumeurs », pourtant alimentées par la SSII elle-même, lors de sa conférence pour les analystes à Bengalore en avril dernier. La SSII, déjà deuxième en Inde sur le marché de l'externalisation, y indiquait qu'elle comptait procéder à une acquisition. En chiffre d'affaires, Infosys est derrière Capgemini : 2,3 MdE contre 7,4 MdE. Mais en capitalisation boursière, la SSII indienne affiche plus de 20 MdE contre 7,9 pour Capgemini (dont le cours est d'ailleurs en hausse, suite à cette rumeur). Si un tel rachat est donc possible sur le papier, au vu des capitalisations respectives, il se heurterait à d'énormes problèmes culturels, tant les gestions d'entreprise sont différentes. En outre, comme nous le rappelait récemment le patron de Sogeti (du groupe Capgemini), les rentabilités sont également très différentes, donc ce rachat entraînerait immanquablement une énorme chute du cours de Bourse de l'acheteur, pas forcément souhaitable pour ce dernier. (...)

(29/06/2007 08:47:45)

Micropole Univers étend ses compétences vers les PGI

La société de conseil et de services Micropole Univers vient de conclure un accord avec Qualiac, éditeur français de progiciels de gestion intégrés (PGI). Jusqu'à présent, la SSII parisienne se positionnait essentiellement sur les secteurs de la gestion de la relation client (CRM) et de l'analyse décisionnelle (business intelligence). Avec la signature de ce contrat, la société confirme sa volonté de se faire une place dans le monde des PGI. Elle a créé un centre de compétences entièrement consacré à cette catégorie d'applications avec l'objectif de proposer et déployer des interconnexions entre les différents systèmes décisionnels déjà en place dans les entreprises. Micropole Univers compte 880 collaborateurs en France, pour un chiffre d'affaires de près de 70 millions d'euros. (...)

(27/06/2007 09:35:32)

ITAG aide les PME IT à investir le marché américain

« L'erreur que font souvent les dirigeants français lorsqu'ils cherchent à se développer à l'international, c'est de vendre à la française », constate Daniel Baloche, fondateur d'ITAG, une société de services qui accompagne depuis 2003 l'installation d'entreprises high-tech sur le marché américain. Aux Etats-Unis, la concurrence est très forte. Une bonne technologie ne suffit pas, il faut aussi une solide démarche de marketing. » ITAG est basé dans le New-Hampshire, sur la côte Est des Etats-Unis. C'est une expertise acquise sur le terrain que son équipe de douze collaborateurs propose aux PME françaises, principalement des éditeurs de logiciels, projetant une implantation outre-Atlantique. Parmi ses clients figurent néanmoins des sociétés de toute taille : Evidian, Maporama, Ipanema, PerformanSe, Serden technologies, Neotys, Aspects, MHD... Les services d'accompagnement d'ITAG sont formalisés sous forme de kits. Pour un montant forfaitaire, tarifé entre 15 000 et 25 000 euros, le « Kit Entrée sur le marché » permettra au candidat à l'international d'évaluer ses chances de réussite. Pour aller plus loin, le « Kit Opérations » repose sur un contrat de douze mois renouvelable, période pendant laquelle le client acquitte un forfait mensuel de 3 500 à 5 000 euros, selon la nature des produits et la taille de l'entreprise. Ce contrat prévoit également qu'ITAG soit commissionné sur les ventes réalisées. « L'objectif de ce kit est de générer du revenu », explique Daniel Baloche, en indiquant que les premières ventes se font généralement au bout de six à neuf mois. Il fait remarquer que le « Kit Opérations » revient moins cher à l'entreprise que le recrutement d'une personne à temps plein. L'étude de marché est couplée à une phase de prospection L'une des premières étapes du kit « Entrée sur le marché » consiste à repositionner l'offre pour l'adapter au contexte américain et à concevoir une nouvelle approche marketing. Il faut trouver les facteurs différentiateurs par rapport à la concurrence. L'étude de marché est couplée à une phase de prospection. La cible de clients est identifiée, une campagne par e-mailing est lancée, suivie par l'intervention d'un télémarketeur, chargé d'amener les prospects sur le Web pour une présentation de la solution, effectuée cette fois par un commercial. Une méthode très courante aux Etats-Unis, même si elle peut surprendre les entreprises françaises. « Au-dessous de 50 000 dollars, l'évaluation technique du produit se fait à distance », éclaire Daniel Baloche. A partir de 100 000 dollars, les cycles de vente sont plus longs et on peut être amené à se déplacer. Le fondateur d'ITAG remarque que le business plan à l'international des sociétés françaises est souvent le prolongement de ce qu'elles font en France. « Or, ici, les challenges sont différents. Attaquer un marché international demande un regard intérieur ». (...)

(26/06/2007 17:28:54)

Sword délaisse l'Inde pour se concentrer sur la France

La SSII lyonnaise Sword a décidé de réduire les effectifs et les activités de sa filiale indienne, créée il y a à peine quatre ans. Les raisons de ce retour en arrière sont simples : « un directeur technique nous coûte 300 euros par jour en France, contre 216 euros en Inde. Cet écart est insuffisant pour justifier la délocalisation de nos salariés, d'autant plus que les coûts de management entraînés par l'éloignement de nos équipes est rédhibitoire », explique Jacques Mottard, PDG de Sword. La SSII prévoie l'embauche de 150 ingénieurs au sein de son siège lyonnais, ainsi que la création d'un centre de recherche et de développement en Grande-Bretagne. La filiale indienne restera, pour sa part, dédiée à des tâches répétitives et à faible valeur ajoutée, comme le contrôle à distance pour les compagnies d'assurance. Les effectifs seront progressivement réduits dans les mois à venir. Ce revirement d'orientation est à l'opposé de la stratégie adoptée par la plupart des autres grandes SSII, comme Atos Origin ou Cap Gemini, qui délocalisent volontiers vers les pays à moindre coût. Cap Gemini a, par exemple, récemment doublé ses effectifs en Inde (13.000 salariés à ce jour), grâce au rachat de diverses SSII de taille moyenne. Sword, spécialisée dans la GED (gestion électronique des documents) a réalisé un chiffre d'affaires de 142 millions d'euros en 2006, et prévoie 190 millions pour cette année. (...)

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