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SSII
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(26/06/2007 12:33:18)
GFI pourrait se rapprocher de Bull pour éviter Fujitsu Services
GFI Informatique ne semble pas décidé à se laisser racheter par Fujitsu Services, qui a lancé une OPA hostile le mois dernier. Selon nos confrères du Figaro, la SSII française serait en discussion avec son compatriote Bull en vue d'un rapprochement. Le quotidien, citant des sources bancaires, indique qu'une telle éventualité « est sur la table ». L'information, si elle n'a pour l'heure fait l'objet d'aucun commentaire par les intéressés, semble doublement crédible. D'un côté, GFI a, à plusieurs reprises, indiqué que l'offre formulée par le Japonais n'était pas acceptable en l'état. La semaine dernière, le conseil d'administration a rejeté à l'unanimité la proposition de rachat formulée par Fujitsu, qui valorisait l'action GFI à 8,5 €. Dans la foulée, Fujitsu Services rappelait qu'il n'avait nulle intention de relever son offre. De l'autre, Bull et GFI ont déjà, par le passé, montré des signes réciproques d'intérêt. Il y a un mois, le constructeur cédait ainsi sa filiale portugaise à la SSII. Par ailleurs, Bull ne cache pas sa volonté de procéder à une acquisition d'envergure dans le secteur des services afin de réaliser, à terme, la moitié de son chiffre d'affaires dans cette activité, contre un peu moins d'un tiers aujourd'hui. L'assemblée générale des actionnaires de GFI, qui se tiendra le 29 juin, devrait permettre aux détenteurs de titres de soulever la question du rapprochement avec Bull. (...)
(22/06/2007 09:21:17)Orange Business Services interconnecte les SAN pour la continuité d'activité
Orange Business Services s'intéresse aux plans de reprise ou de continuité d'activité des entreprises (respectivement PRA et PCA). La division services professionnels d'Orange a collaboré avec Atrica, qui fournit les équipements - sa ligne Carrier Ethernet -, pour lancer i-SAN, une solution d'interconnexion de SAN (Storage Area Network). L'offre vise les entreprises de toutes tailles, désireuses de répliquer leurs données dans des sites distants, pour parer à tout incident ou désastre. Orange positionne i-SAN comme une alternative économique aux offres actuelles basées sur le multiplexage en longueurs d'ondes DWDM. Elle propose une connexion à travers une ou plusieurs interfaces Fibre Channel FC100 et FC200. i-SAN a été validée par le Metro Ethernet Forum et les principaux fournisseurs de baies de stockage tels que EMC, IBM et HP. Selon Danny Coté, directeur de l'unité d'affaires solutions réseaux chez Orange Business Services, « les îlots de stockage SAN sont de plus en plus déployés par les entreprises pour interconnecter des dispositifs de stockage et des serveurs d'applications ». Cette tendance justifie, selon lui, le développement de cette solution. (...)
(20/06/2007 15:38:56)OPA de Fujitsu Services : GFI veut faire monter les enchères
Si Fujitsu Services veut mettre la main sur GFI Informatique, il va lui falloir se montrer généreux. C'est, en substance, le message adressé par le PDG de la SSII, Jacques Tordjman, à l'issue de la réunion du conseil d'administration ce mardi. L'offre publique d'achat, qualifiée d'inamicale, valorise le titre GFI à 8,5 €. Un montant « insuffisant au regard de la valeur de GFI Informatique », estiment les administrateurs, qui rappellent avoir fixé l'objectif d'un chiffre d'affaires dépassant le milliard d'euros pour 2010. Le groupe français regrette par ailleurs l'absence de projet industriel de Fujitsu et souligne les risques planant sur son propre développement ainsi que sur l'avenir de ses salariés. Par conséquent, le conseil d'administration recommande à ses actionnaires de ne pas accepter l'offre du Japonais et ne cèdera pas les titres détenus par l'entreprise. La porte n'est toutefois pas définitivement pas fermée : Jacques Tordjman a en effet indiqué être disposé à revoir sa position si Fujitsu revalorise son offre. Fin mai, ce dernier précisait qu'il n'avait pas l'intention de relever le prix qu'il était prêt à payer pour chaque action GFI. Une position qui n'a pas évolué depuis, Fujitsu soulignant qu'il attend désormais l'autorisation de Bercy pour lancer officiellement son OPA. (...)
(18/06/2007 11:35:55)Altran regroupe ses services informatiques et son pôle télécoms
Altran, société de conseil en innovation et en hautes technologies, annonce le rapprochement de ses services informatiques (Altran CIS) et de son pôle télécoms TEM (Télécoms, électronique et média). Selon la CFDT, cette décision résulterait d'une volonté de rationalisation émanant de la maison mère : « L'an dernier, Altran avait décidé de fusionner en une seule entité les 26 sociétés de son activité Technologies & Innovation, en France. Aujourd'hui, il semble que ces mesures s'appliquent au niveau des activités de conseil R&D en télécoms et de services informatiques du groupe, lequel souhaite regrouper son offre autour d'une seule et unique marque. » Toujours selon la CFDT, la réduction et la maîtrise des coûts figurent également au rang des motivations de l'entreprise : « Le regroupement des deux entités n'aura sans doute aucun impact sur les métiers de l'ingénierie et du conseil. En revanche, cela peut concerner d'autres fonctions, comme le support, ou les ressources humaines, à l'heure où la tendance est à l'externalisation des ressources qui ne se situent pas au coeur du métier de l'entreprise. » (...)
(15/06/2007 18:15:29)ASS2L + grandes SSII = Fnill
Voilà plusieurs mois qu'Alexandre Zapolsky, PDG de Linagora et fondateur de l'ASS2L, Association des sociétés de service en logiciels libres, voulait transformer sa structure pour accueillir des acteurs plus importants. C'est désormais chose faite : le médiatique patron de Linagora a profité de la deuxième édition de la manifestation 'Paris, Capitale du Libre' pour se rebaptiser. Il faut donc désormais parler de la Fnill, Fédération nationale des industries du logiciel libre. La raison de ce changement de nom est simple, explique Alexandre Zapolsky : « Nous accueillons dans nos rangs six grosses SSII (Sopra, Unilog, Unisys, Osiatis, Steria et Cap Gemini), il nous est donc apparu nécessaire de rassembler nos membres (de petite, moyenne ou grande taille) au sein d'une véritable fédération, où chacun trouve son compte. » Mais pourquoi des SSII de cette taille souhaitent-elles faire partie de la fédération ? Jusqu'à présent, l'ASS2L comptait une soixantaine de membres, pour la plupart des petites sociétés, hormis Bull et, très récemment, IBM (c'est d'ailleurs à l'occasion de l'adhésion d'IBM que l'idée de la Fnill avait été évoquée). Pour Marc de Beaurecueil, responsable informatique de CRP et co-fondateur de l'ASS2L, ce phénomène semble logique pour deux raisons : « Le marché de l'Open Source, même s'il reste anecdotique (entre 2 et 3 % du marché selon le Syntec), est en forte croissance (+ 50 % par an, toujours d'après la même étude). Ces grosses SSII possèdent par ailleurs très souvent un département logiciels libres. Elles souhaitent mettre cette activité en lumière, promouvoir leur implication dans le domaine de l'Open Source, et gagner de la visibilité auprès de leur clientèle. » Autre explication, d'Alexandre Zapolsky cette fois : « La plupart des SSII ont développé un pôle OS, mais elle doivent accepter de nouveaux codes jusque-là inconnus : communiquer, partager les informations au sein d'une même communauté. Nous les aidons à franchir ce cap. » La Fnil ne compte pas s'arrêter là. Prochain objectif : conquérir d'autres SSII de grandes tailles, voire nouer des partenariats avec Dell ou HP. Pour le moment, la Fnill garde le même siège social que l'ASS2L, situé à Paris, mais une assemblée générale devrait décider en septembre prochain de l'implantation du siège, ainsi que de son nouveau directeur. Sans surprise, Alexandre Zapolsky sera candidat. (...)
(15/06/2007 17:44:41)Sept universités et le Cnam basculeront sur SAP au 1er janvier 2008
Au 1er janvier prochain, dans le cadre du projet Sifac (système d'information financier), sept universités et le Cnam vont basculer leur gestion comptable sur un nouveau progiciel de gestion intégré (PGI), signé SAP : le CNAM, Lille 3, Nancy 1 et Nancy 2, Nantes, Paris 6, Paris 7 et Rennes 1. A l'issue d'un appel d'offres, l'Amue (l'agence de mutualisation des universités et des établissements d'enseignement supérieur et de recherche), qui pilote ce projet, a en effet retenu la solution de gestion comptable et financière de SAP pour équiper les universités françaises qui veulent renouveler leur système d'information. Les prestations de services associées sont assurées par l'intégrateur Steria, avec Accenture. Evoquant en toile de fond la perspective de l'autonomie renforcée des universités (un projet de loi se prépare), Jean-Pierre Finance, premier vice-président de la conférence des présidents d'université a souligné, lors d'une conférence de presse à la Sorbonne, « la nécessité impérieuse de disposer dans les meilleurs délais d'un système d'information pour maîtriser les leviers comptables permettant de mener de nouvelles actions et, surtout, de disposer d'outils de pilotage. » D'autres universités vont emboîter le pas aux huit établissements qui ont choisi de se lancer les premiers dans la migration. « Des déploiements industriels se feront à partir de 2009 », a précisé Michel Lussault, président de l'Amue. Trois vagues sont prévues. Un coût consolidé de 19 millions d'euros D'ici à 2012, quatre-vingts établissements vont rejoindre le projet Sifac. « Le coût consolidé sera de 19 millions d'euros », a indiqué Jacques Bernard, directeur de l'Amue en précisant que 11 millions d'euros seront financés par le fond de réserve constitué par l'agence de mutualisation et que les huit autres millions seront à la charge des établissements, se répartissant entre l'achat de la licence et la redevance annuelle. Le directeur de l'Amue estime que, par la suite, d'autres universités devraient également faire le même choix. De son côté, Michel Lussault commente la nécessité d'un nouveau système de gestion en rappelant que les partenariats entre les établissements et toutes sortes d'opérateurs imposent de se connecter aux autres systèmes d'information, ainsi qu'à ceux de l'Etat. Les capacités d'interfaçage de SAP ont pesé dans la décision. « Les établissements connaissent très mal leurs coûts », a par ailleurs rappelé Pierre Dumaz, président de l'association des agents comptables d'université, illustrant l'importance de disposer d'outils de comptabilité analytique. La loi organique oblige notamment à quantifier par rapport à des objectifs. Limiter les coûts de déploiements Enfin, la démarche proposée par Steria a également compté dans le choix effectué par l'Amue. Pour réduire les coûts de déploiement, l'intégrateur a proposé de capitaliser sur des développements déjà réalisés, notamment pour les modules de gestion des marchés publics et de mission des agents. Il a également été décidé un paramétrage commun à l'ensemble des universités avant le déploiement. Ce paramétrage a été réalisé au cours d'ateliers (160 personnes de 17 universités y ont participé deux jours par semaine pendant six mois) et il n'empêchera pas chaque établissement de respecter ses spécificités d'organisation. (...)
(15/06/2007 16:33:31)Libre vs propriétaire : le Syntec tranche... pour l'interopérabilité
Pour ne pas être pris en défaut de complaisance, le Syntec Informatique (principale chambre syndicale des SSII et des éditeurs de logiciels en France) s'est prononcé dans la bataille qui oppose les tenants de l'Open Source à ceux qui défendent les positions des technologies propriétaires. Sans grosse surprise, il a démontré sa volonté que le monde informatique, appelé à se prononcer en faveur de l'un ou l'autre, se dirige vers l'interopérabilité, vecteur selon lui d'innovations. Mais le Syntec Informatique a également adressé des critiques à peine voilées au service public qui privilégie, depuis quelques années, l'Open Source : « par le poids de l'investissement IT représenté en France par le secteur public, Syntec Informatique souligne l'importance pour le "Client du Secteur Public" d'interpréter la coexistence et le développement des deux modèles qui garantissent aux utilisateurs une création de valeur optimale au sein d'un écosystème logiciels et services plus compétitif. » En clair, face au modèle Open Source qui privilégie surtout le service, le Syntec rappelle qu'il existe des éditeurs en France à faire vivre... Les logiciels et services propriétaires représentent encore 98,6% du marché total Or, selon le Syntec Informatique, « le marché des logiciels et services de l'Open Source représente 450 millions d'euros sur un marché total des L&S de plus de 30 milliards d'euros, soit 1,4%. Ce marché devrait croître de 50% par an. » Ce qui signifie qu'en dépit d'un secteur public visiblement tenté par des solutions libres, les solutions propriétaires restent encore largement majoritaires en France. Pas de quoi s'affoler, donc. Mais la tendance est forte, soulignait récemment le cabinet Markess International. Selon lui, 11% des budgets informatiques du secteur public devraient être orientés vers les technologies Open Source cette année, et 14% en 2009. Dans la mesure où le gouvernement verra probablement s'ajouter quelques secrétaires d'Etat (dont un pour les NTIC ?), le Syntec essaie en ce moment de faire passer quelques messages au monde politique, et notamment celui-ci : ce serait se tirer une balle dans le pied pour un Etat que de privilégier systématiquement l'Open Source. Comme aime le rappeler Patrick Bertrand, DG de Cegid, le secteur du logiciel propriétaire en France fait vivre beaucoup de monde. (...)
(15/06/2007 16:04:54)Une entreprise sur deux externalise ses applications et processus RH
La tendance à l'externalisation des fonctions d'entreprise, et plus particulièrement celles qui sont fortement répétitives et gourmandes en ressources, s'accélère. D'après une enquête menée par le société d'études Markess International auprès de 400 entreprises privées et publiques, la moitié d'entre elles déclare avoir déjà eu recours en 2006, ou envisage de recourir d'ici 2008, à une forme ou une autre d'externalisation de leurs applications et processus de ressources humaines (RH). Et ce de manière partielle ou totale, en recourant à des solutions RH en mode ASP, en externalisant une fonction RH complète dans le cadre de contrat de type BPO - Business Process Outsourcing - ou en s'orientant vers des services de traitement (infogérance d'application ou l'hébergement d'application RH). La réduction et la maîtrise des coûts restent les principales motivations poussant les entreprises à faire ce choix Parmi les deux autres apports majeurs cités figurent le recentrage sur le coeur de métier ou sur des tâches à valeur ajoutée (pour 42% des entreprises) et l'optimisation du « budget temps » (pour 16% des entreprises). Forte dynamique sur la paie, la formation et l'administration du personnel Tâche complexe, répétitive et à faible valeur ajoutée, le traitement de la paie est le premier domaine que les entreprises externalisent. Ainsi, 62% d'entre elles l'ont confié à un prestataire externe en 2006. Cette tendance va se poursuivre, pour concerner 68% des entreprises en 2008. Le deuxième domaine est celui de la formation et du développement des compétences (36% en 2008, contre 24% en 2006). Les évolutions légales et réglementaires, comme le DIF (droit individuel à la formation), constituant l'un des facteurs explicatifs de cette montée en charge. Enfin, l'administration du personnel, externalisée par 22% des entreprises interrogées en 2006, s'octroie la troisième position. Top 6 des applications et processus RH concernés par l'externalisation entre 2006 et 2008
| Domaine applicatif | Taux en 2006 | Taux en 2008 |
|---|---|---|
| Paie | 62% | 68% |
| Formation et développement | 24% | 36% |
| Administration du personnel | 22% | 32% |
| Gestion du temps et des activités | 24% | 28% |
| Recrutement | 21% | 26% |
| Tableau de bord social et indicateurs | 15% | 19% |
Inquiétudes sur 700 postes au sein d'Atos Origin en France
Depuis l'annonce du plan de restructuration en avril dernier par Claude Aulagnon, PDG d'Atos Origin Systems Integration, la SSII est en pleine mutation. 700 postes d'Ile-de-France sont en cours de redéploiement en province. Ce qui suscite beaucoup d'inquiétude en interne. Pour des salariés, cette évolution ne serait qu'une manière de « maquiller les intentions de la société », à savoir supprimer ces 700 postes. Des salariés d'autant plus inquiets qu'une rumeur d'acquisition par Cap Gemini court depuis quelques semaines. D'après le journal l'Expansion, la SSII concurrente aurait mandaté BNP Paribas, afin de préparer une offre de rachat des activités d'infogérance d'Atos Origin. La société emploie 7200 personnes dans le monde, dont 3800 en France. (...)
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