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(13/06/2007 14:05:36)
Philippe Germond, candidat officiel à la succession d'Atos Origin
C'est désormais officiel. En prenant les commandes opérationnelles et la vice-présidence du directoire d'Atos Origin, Philippe Germond est identifié comme successeur de Bernard Bourigeaud, actuel président du directoire du groupe de services informatiques. Une position de dauphin désigné quasiment acquise, depuis le récent départ de Dominique Illien chez Sopra Group, en tant que numéro deux. Bernard Bourigeaud et Philippe Germond travailleront ensemble afin de développer un plan stratégique pour le groupe et de gérer la transition en douceur. Même s'il est encore tôt pour définir un calendrier de passage de relais, le mandat de l'actuel dirigeant courant jusqu'à janvier 2009 Le directoire d'Atos Origin, qui passe de cinq à quatre membres, connaît parallèlement d'autres mouvements : les deux autres membres, qui dépendront hiérarchiquement de Philippe Germond, voient également leurs attributions évoluer. Ainsi, Eric Guilhou, abandonne la direction financière pour devenir directeur général délégué, en charge des fonctions, et Wilbert Kieboom, jusqu'ici responsable du Benelux et du Royaume-Uni, devient directeur général délégué, charge des opérations. Arrivé chez Atos Origin en décembre dernier, Philippe Germond était jusqu'ici membre du directoire en charge des régions Asie-Pacifique, Amérique du Nord et d'Atos Worldline. Il a exercé différentes fonctions de direction, notamment en tant que directeur général d'Alcatel (avant la fusion avec Lucent) et de PDG de Cegetel (groupe Vivendi). Lors de sa dernière publication financière, la SSII a annoncé un chiffre d'affaires trimestriel de 1,435 Md€, soit une croissance organique de 2,5% sur un an. Le groupe reste ambitieux sur ses objectifs en tablant sur une croissance de 8,5%, à taux courant, pour l'ensemble de l'exercice. Un nouveau défi à relever pour Philippe Germond ? (...)
(12/06/2007 16:55:04)Martin Hirsch en appelle à la solidarité active du secteur informatique
L'étiquette-slogan « changeurs de monde », choisie par la chambre syndicale des SSII et des éditeurs de logiciels pour la campagne de communication destinée à sensibiliser les lycéens à l'intérêt des métiers du secteur, est aussi censée faire « rêver » les dirigeants de ces firmes. Ayant opté pour ce thème des « entreprises qui changent le monde » pour animer l'Assemblée générale du 7 juin, l'Etat-major de Syntec Informatique s'est vu interpellé par Martin Hirsch, invité pour la circonstance, au sujet de « la nécessaire implication des entreprises dans la gestion des conséquences du progrès technologique sur la transformation des emplois et des métiers ». Dans son nouveau costume de Haut Commissaire, membre du gouvernement, l'énarque promoteur des solidarités actives s'est, de plus, chargé de ramener cette interpellation à un niveau bien concret. Et de proposer au président de Syntec Informatique, Jean Mounet, d'organiser un concours de conception-réalisation d'un logiciel facilitant la prise en charge et le traitement des personnes en difficultés. De quoi permettre aux entreprises adhérentes et à leurs salariés « de contribuer davantage à la transformation de la société » en prenant leur part d'initiative et de solidarité active contre la pauvreté. Transformation des métiers Sur le thème de la transformation des métiers... de l'informatique, et des conséquences sociales également évoquées lors de cette assemblée, l'opération « Changeurs de monde » trouve tout son sens dès lors qu'elle médiatise le passage de témoin entre la génération actuelle de jeunes cadres des SSII et les adolescents qui n'ont pas encore forcément choisi leur orientation professionnelle. Pour Jérôme Rideau, ingénieur d'affaires de la SSII Smile, l'un des « gourous » trentenaires qui ont répondu sur le site « changeursdemonde.com » aux questions des jeunes internautes, «ce genre d'initiative s'inscrit tout simplement dans la prolongation des échanges entretenus avec le monde étudiant». Echanges relevant «naturellement », selon lui, du comportement d'entreprise citoyenne, au renforcement duquel a exhorté, durant l'AG du Syntec Informatique, Jean-Marie Descarpentries, en tant de président de la Fnege (Fédération nationale pour l'enseignement de la gestion des entreprises). «A priori, nos métiers d'informaticiens, selon la façon dont on les exerce chez Smile, et notamment en s'impliquant dans les modèles économiques liés à l'Open Source, sont plutôt propices au développement de ces deux visions de l'entreprise : à la fois citoyenne, reliant la performance et le développement des activités à la capacité de l'entreprise à assurer le bien-être de ses salariés, mais aussi humaniste, tourné vers la société et la solidarité active », estime Jérôme Rideau. (...)
(12/06/2007 09:47:39)L'Open Source poursuit sa progression dans le secteur public
Le développement de l'Open Source trouve depuis quelques années déjà un soutien non négligeable auprès des administrations et des services publics français. A en croire une récente étude du cabinet Markess International, la tendance va se renforcer. En 2007, le secteur public devrait en effet consacrer en moyenne 11% de ses budgets informatiques aux technologies libres, contre 7% l'an passé, puis 14% en 2009. Une progression que le cabinet d'étude explique notamment par les contraintes budgétaires ou encore les soucis d'indépendance et d'interopérabilité qui motivent leur recours à l'Open Source. Les demandes devraient se porter principalement sur des prestations de support technique, des développements applicatifs spécifiques, la tierce maintenance applicative (TMA), l'assistance à maîtrise d'ouvrage, l'intégration et le conseil en amont. Face aux prévisions de hausse des dépenses des organismes publics et des administrations, les prestataires renvoient leur optimisme en écho. Près de 44% de ceux interrogés par Markess International estiment ainsi que leur carnet de commandes liées à l'Open Source sera en forte hausse en 2007, à la fois sur leur cible de clients des secteurs privés et publics. Les SSLL, principal bénéficiaire de cet engouement Ce climat favorable devrait profiter en premier lieu aux SSLL (société de services en logiciels libres). En effet, 83% des représentants du secteurs public interrogés les désignent comme les mieux placées pour dominer le marché à l'horizon de 2009. Elles sont suivies des hébergeurs, des intégrateurs et des SSII. Pour 73% des prestataires interrogés, la principale évolution que devraient connaître les offreurs de technologies et de services liés à l'Open Source porte sur l'accélération de leur spécialisation par domaine applicatif (PGI, GRC, Business Intelligence...). Un phénomène qui a déjà commencé pour certains d'entre eux qui se sont orientés notamment vers les différents segments de la gestion de contenu. En parallèle, le marché devrait également évoluer vers une concentration du nombre d'acteurs, au travers de fusions ou par l'absorption de petits acteurs par des sociétés de service ou des éditeurs. (...)
(07/06/2007 12:10:07)SQLI rachète IconeWeb pour s'attaquer à l'immobilier et se développer en Espagne
SQLI s'est porté acquéreur d'IconWeb pour un montant non dévoilé. Avec cette acquisition, la SSII souhaite se positionner sur le secteur de l'immobilier d'entreprise ainsi que renforcer sa présence européenne, notamment dans les pays francophones. IconeWeb est en effet spécialisé dans les solutions e-business destinées à l'immobilier, segment sur lequel l'éditeur a réalisé un CA de 2 M€ en 2006. Sa gamme IconeWeb Immobilier permet aux entreprises de créer et d'animer leurs sites Internet ou extranet, mais aussi de disposer de centres d'hébergement de données sécurisés. En rachetant IconeWeb, SQLI rajoute donc une corde à son arc "métier" et confirme sa volonté de développer son activité sur des marchés verticaux. "Notre stratégie d'industrialisation se déclinait essentiellement sur trois axes : la santé, la logistique et les collectivités territoriales", indique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier. "Avec IconeWeb, nous allons nous attaquer à un marché qui est forcément très consommateur de prestations Internet", ajoute-t-il. Ce rachat permet également à la SSII francilienne d'étendre sa présence géographique en France, mais également en Europe. Après le Canada (grâce à l'acquisition d'Alcyonix), le Maroc et le Luxembourg en décembre dernier (avec ClearValue, un spécialiste de référence SAP), SQLI met un pied en Espagne. Au travers de cette opération, SQLI espère en outre développer un CA prévu à 120 M€ sur 2007 avec une marge opérationnelle de 8 %. "Nous visons une croissance annuelle de 30 %, à la fois de manière organique et externe", souligne Nicolas Rebours. SQLI emploie 1 500 salariés en Europe (dont 90 % en France) répartis sur quinze agences. La SSII compte plus de 800 clients à son actif, et s'appuie notamment sur la certification dite "CMMI" (Capability Maturity Model Integrated), qui aide les entreprises à améliorer leurs développements de logiciels avec une méthodologie spécifique. (...)
(06/06/2007 17:32:44)Ouvert à l'entrée d'un nouvel investisseur, Bull grimpe en Bourse
L'action de Bull a connu une embellie à la Bourse de Paris (+3,24% à 16H30 à 5,10E) sur fond de rumeurs persistantes d'entrée d'un nouvel actionnaire. Dans un entretien vidéo accordé au site www.lerevenu.fr, Didier Lamouche, PDG du groupe, est revenu sur les récentes cessions et a expliqué que la société étudiait de nouvelles ventes d'actifs... sans exclure des acquisitions. Le mois dernier, le groupe a ainsi réalisé une double opération : d'un côté il a cédé sa branche portugaise spécialisée dans la monétique à GFI Informatique, et de l'autre il a repris Siconet, une SSII espagnole (17 ME de CA en 2006) spécialisée dans les telcos. Par ailleurs Didier Lamouche, "n'exclut pas le rapprochement avec un autre partenaire". Dans l'ornière en 2002 Bull n'avait dû son salut qu'à une énième aide de l'Etat acceptée en dernier recours - et pour l'ultime fois - par la Commission européenne. Depuis, le constructeur historique français a poussé son développement vers des architectures ouvertes tout en cherchant régulièrement à s'adosser à un gros groupe industriel... qui tarde à se signaler. Dans ce contexte, Bull annonce également la nomination de Jenny Newton au poste de directrice générale de ses filiales britannique et irlandaise. Jenny Newton quitte ainsi ses fonctions de vice-présidente senior de Logica CMC. Elle a également occupé des postes de direction au sein de HP (durant quinze ans), Philips, Storagetek ou encore Xansas. (...)
(06/06/2007 11:33:12)Capgemini ajoute les solutions Novell à son offre Open Source
Capgemini et Novell ont signé un « partenariat élargi autour de l'Open Source ». Aux termes de l'accord, l'intégrateur français doit renforcer ses compétences sur les systèmes d'exploitation Suse Linux pour postes de travail et serveurs, ainsi que sur les outils d'administration de Novell (la suite Zenworks). Les partenaires devraient également travailler ensemble dans deux autres domaines. Novell prévoit en premier lieu de fournir des outils de développement à Capgemini pour permettre à ce dernier de concevoir des solutions spécifiques basées sur Suse Linux Enterprise. Ensuite, Capgemini prévoit d'élaborer une offre d'administration et de virtualisation des ressources informatiques recourant à Zenworks Orchestrator. (...)
(05/06/2007 15:30:44)L'ex-directeur général d'Atos Origin rejoint Sopra Group
Dominique Illien, ex-numéro deux du spécialiste du conseil et de l'intégration de services Atos Origin, rejoint Sopra Group et devient membre du comité exécutif. Sa nomination au poste de directeur général délégué doit être approuvée par le prochain conseil d'administration qui se tiendra le 20 juin prochain. Dominique Illien assumera, à ce titre, des responsabilités opérationnelles et fonctionnelles étendues auprès de Pierre Pasquier, fondateur et président-directeur général du groupe, en charge d'Axway, filiale de Sopra Group spécialisée dans l'édition de solutions d'intégration. Quant à Jean Mounet, il assumera la politique commerciale, les relations institutionnelles et politiques grands comptes de l'entreprise, en qualité de vice-président. Sopra Group. Le groupe, qui prévoit de passer de quelque 900 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2006 (dont 68% en France) à environ 2 milliards en 2010, s'est fixé des objectifs de performance élevés en menant un programme de transformation, d'industrialisation et de renforcement de l'équipe dirigeante. Dominique Illien, 53 ans, a occupé diverses fonctions de management. D'abord chez Capgemini, puis chez Axime, en tant que directeur financier. Ensuite, en tant que directeur général du Groupe Sligos, il a contribué à la création d'Atos en coordonnant la fusion entre Sligos et Axime. Membre du directoire d'Atos puis d'Atos Origin, il a récemment assumé la direction générale des opérations du groupe en France, Allemagne, Europe Centrale, Italie, Espagne, autres pays d'Europe du Sud, Amérique Latine, et Afrique et de la ligne de services infogérance, à l'échelle mondiale. (...)
(01/06/2007 16:24:07)Atos Origin perd son numéro deux
Après 14 ans au sein d'Atos Origin, passés à assumer des responsabilités de direction, Dominique Illien, membre du directoire et responsable d'Atos pour la France, l'Allemagne, l'Europe Centrale, l'Italie, l'Espagne et autres pays d'Europe du Sud, l'Amérique Latine et également l'Afrique, a décidé de quitter le groupe. Etant par ailleurs en charge de la coordination des activités d'infogérance de l'entreprise, à l'échelle mondiale, il sera appelé à « poursuivre de nouvelles opportunités », a indiqué la société de services dans un communiqué, sans pour autant fournir d'indication sur son éventuel successeur. « Je souhaite remercier Dominique pour tous ses efforts et son dévouement au groupe et je lui adresse personnellement tous mes voeux de réussite dans le déroulement de ses activités », a déclaré Bernard Bourigeaud, président du directoire d'Atos Origin, à l'occasion de cette annonce. Le départ de Dominique Illien intervient peu après le vote des résolutions concernant les modalités de départ de deux autres membres du directoire : Xavier Flinois, responsable Grande-Bretagne, Amériques, Asie-Pacifique (et Jeux Olympiques) et Giovanni Linari, en charge de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal, de l'Europe du Sud et de l'Afrique. D'après notre confrère Les Echos, sa position de favori pour le remplacement de Bernard Bourigeaud aurait été remise en question par l'arrivée, en décembre dernier, de l'ex-directeur général d'Alcatel Philippe Germond, nommé directeur des régions Asie-Pacifique et Amérique du nord, d'Atos Worldline, et également responsable du plan de transformation des ventes, marchés et grands clients, sur le plan mondial. Dominique Illien a démarré sa carrière au sein du cabinet Deloitte & Touche, puis a travaillé onze ans chez Cap Gemini, avant de rejoindre Axime (devenue Atos) en 1993 en tant que directeur financier. En novembre 1995, il est nommé directeur général de Sligos et, après la fusion d'Axime et de Sligos qui donne naissance à Atos en 1996, il prend la direction générale du groupe. (...)
(30/05/2007 12:33:49)Le conseil de GFI refuse l'OPA de Fujitsu Services
L'Offre publique d'achat lancée par Fujitsu Services sur GFI Informatique ne séduit pas la SSII française. Fujitsu propose d'acquérir les titres GFI à 8,5 €, une valeur insuffisante aux yeux du Conseil d'administration qui, selon le PDG Jacques Tordjman, « ne peut l'accepter en l'état ». Réponse de Fujitsu : « nous n'avons pas l'intention de relever le prix de l'offre ». La marge de manoeuvre de Fujitsu Services se resserre donc, d'autant plus que le fonds d'investissement Apax Partners, qui avait renoncé à entrer au capital de GFI après une levée de boucliers des actionnaires minoritaires, vient de faire machine arrière et a mis la main sur une partie des titres GFI. Certes, Apax n'a acquis que 2,6% du capital, soit dix fois moins que ce que le fonds prévoyait initialement. Mais ces titres ont été achetés à 9,16 €, une valeur bien supérieure à celle proposée par Fujitsu. Le pôle européen de ce service du groupe Fujitsu avait posé une condition préalable à son offre d'achat : il fallait qu'Apax Partners n'entre pas dans le capital de GFI. Si cette éventualité semblait écartée il y a encore quelques jours - et laissait, de fait, le champ libre à Fujitsu -, la donne a donc changé et les perspectives de rachat par le groupe japonais paraissent s'envoler. (...)
(29/05/2007 14:25:52)Les clients se disent victimes des systèmes de GRC
Conduite par Accenture, les résultats d'une enquête mondiale de satisfaction sur la qualité de l'automatisation de la gestion de la relation client (GRC, alias CRM en anglais) montrent la grande amertume des clients des entreprises de haute technologie. Le constat général de cette enquête auprès de 1200 clients est sans appel : la mise en place de logiciels de GRC est loin d'avoir amélioré la qualité des prestations, voire l'a dégradée. Sous prétexte de réduire leurs coûts d'exploitation, les fournisseurs se mettent à dos leur clientèle. Deux exemples pour illustrer cette affirmation : - 42% des clients doivent réclamer plusieurs fois avant d'obtenir la résolution d'un problème ; - du coup, 61% déclarent que l'automatisation des services clients n'a pas accéléré cette résolution. La mauvaise impression laissée par la qualité décevante des services à la clientèle conduit 78% des clients à dire qu'ils estiment la façon dont ils sont traités "équivalente ou moins bien" à que ce qu'ils trouveraient chez la concurrence. Une écrasante majorité des mécontents (81%) déclare d'ailleurs qu'elle compte changer de fournisseur. Il suffit d'ailleurs que la satisfaction vis-à-vis du GRC soit dans la moyenne pour que la probabilité de passer une nouvelle commande tombe de 51% à 27%. Sur un secteur où la technologie est de moins en moins un facteur de différenciation en soi, la mauvaise image des services associés risque d'avoir des conséquences désastreuses sur l'activité de l'entreprise. Ultime inquiétude : alors que 75% des fournisseurs estiment avoir mis en place des services automatisés qui apportent des prestations "au-dessus" de la moyenne à leurs clients, 58% des clients considèrent, justement, que les services qui leurs sont proposés se trouvent "dans la moyenne ou en dessous". Un dialogue de sourds. (...)
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