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(07/12/2006 17:47:27)

La filiale de Sopra Axway veut racheter l'activité B2B d'Atos en Allemagne

La filiale Axway du groupe Sopra s'apprête à faire l'acquisition de l'activité B2B d'Atos Origin en Allemagne. Outre-Rhin, cette activité d'Atos Origin se concentre sur le développement et l'intégration d'applications de type EDI, notamment pour l'industrie automobile. Avec ce rachat, Axway entend « devenir l'un des premiers fournisseurs de logiciels B2B en Allemagne et le leader de l'EDI et du B2B en Europe. » L'accord prévoit l'intégration, à terme, des logiciels dédiés aux relations entre entreprises d'Atos Origin en Allemagne au sein de la plateforme Synchrony d'Axway. Pour autant, Atos Origin ne prévoit pas de se détacher complètement de son activité B2B d'outre-Rhin. Ainsi, la SSII devrait collaborer avec Axway au développement de son offre SaaS, en assurant l'externalisation de son infrastructure. Pour Atos Origin, cette cession est l'occasion de la poursuite de « sa stratégie de recentrage sur son c?ur de métier, à savoir le conseil, l'intégration de systèmes et l'infogérance. » Les délais et le montant de l'opération n'ont pas été précisés. (...)

(06/12/2006 10:40:56)

Les spécialistes indiens de l'externalisation veulent s'internationaliser

Non contents de leur immense succès et d'une croissance moyenne de leur secteur d'activité proche de 30 %, les spécialistes indiens de l'externalisation Infosys et Wipro fourbissent leurs armes pour internationaliser. Wipro, le numéro trois dans le sous-continent, entend ainsi accroître la part de ses revenus réalisés en Europe. "Nous sommes forts dans les pays scandinaves et au Benelux et nous bâtissons des activités en Allemagne et en France. Cela ne signifie pas que les revenus que nous réalisons aux Etats-Unis vont décroître. Mais puisque notre niveau de pénétration en Europe est plus faible, les revenus vont progresser dans les prochaines années", estime ainsi Azim Premji, le président du groupe. De fait, après avoir signé trois acquisitions dans le Vieux continent cette année, Wipro veut poursuivre sur sa lancée et vise désormais des opérations de croissance externe dont la valeur se situe dans une fourchette de 50 à 100 M$. De son côté, Infosys, le numéro un indien de l'externalisation, veut faire progresser la proportion des salariés venus d'ailleurs que Bangalore, Bombay ou Delhi. Dans un entretien au Financial Times, Mohandas Pai, le directeur des ressources humaines du groupe, indique ainsi qu'Infosys augmenterait de 30 % chaque année les nouvelles recrues non indiennes. (...)

(27/11/2006 17:48:36)

Altran secoué par le départ de son COO, après ceux du PDG et du DRH

Après le départ le 24 septembre dernier de son éphémère président Christophe Aulnette Altran est à nouveau secoué par un départ de poids, puisque François-Xavier Floren, son COO (Chief Operating Officer, l'équivalent d'un directeur général) vient de présenter sa démission pour "se consacrer à la réalisation d'un projet personnel". François-Xavier Floren avait été nommé COO et membre du Directoire du groupe en juin dernier. Il avait notamment pour mission d'améliorer l'efficacité opérationnelle du cabinet de conseil. Avec le départ de Floren le directoire d'Altran n'est plus composé que de Yves de Chaisemartin, le président, et de Eric Albrand, le directeur financier du groupe . Il est à noter que ce dernier avait fortement été critiqué en juin dernier après avoir annoncé une marge opérationnelle de 8% au premier semestre, peu de temps avant la publication d'un avertissement sur résultat. Le départ de Floren, qui suit de peu ceux de Christophe Aulnette, et d'Hervé Hannebicque, le DRH, confirme la reprise en main des manettes du groupe par Yves de Chaisemartin, nommé en remplacement Christophe Aulnette, avec le soutien des fondateurs et principaux actionnaires du groupe, Alexandre Kniazeff et Hubert Martigny, toujours mis en examen dans l'affaire de la falsification des comptes de l'entreprise en 2001 et 2002 . (...)

(23/11/2006 16:34:55)

T-Systems anticipe ses réductions d'effectif avec 500 embauches

T-Systems, SSII filiale de Deutsche Telekom, affiche, en France, son ambition de recruter 500 ingénieurs informaticiens d'ici à l'été 2007. Du consultant en assistance à maîtrise d'ouvrage, en intégration SAP ou en informatique décisionnelle jusqu'au jeune scientifique formé au développement, en passant par le chef de projet connaissant les secteurs de la banque, de l'assurance et des caisses de retraite, la palette des profils recherchés est classique. Ce qui l'est moins, c'est que ce plan d'embauche s'insère dans une redistribution des forces, induite notamment par la fusion T-Systems (1200 personnes en France) et Gedas (600 personnes). Fusion qui sera légalement entérinée au 1er janvier 2007. Sachant que Gedas (née en 1983 de l'externalisation de l'informatique de Volkswagen) reste essentiellement positionnée sur les marchés d'infogérance (ingénierie de services, production). Cette fusion déjà bien amorcée n'est pas sans effet de concentration/réduction: des trois sites en région parisienne, les équipes de Saint-Germain (une centaine de personnes dédiées aux activités d'infogérance) sont amenées à se regrouper sur les sites de La Défense et de Villepinte. De source syndicale, et implicite dans l'annonce du plan d'embauche de la DRH, les 500 embauches devraient aboutir à une augmentation d'effectif de 250 salariés, compte tenu des démissions; mais aussi des départs en retraite face auxquels "le plan ambitieux de T-Systems prend les devants" (dixit la DRH France). Sans compter la cession (en voie de régularisation) de certaines activités par transfert (article L122-3) de l'équipe de Strasbourg de T-Systems à Osiatis. (...)

(22/11/2006 12:33:21)

EDS cède son activité européenne de services techniques à une SSII allemande

EDS a vendu à l'Allemand A&O Systems + Services une de ses branches européennes, EDS Global Field Services (EDS GFS), active dans l'intégration de solutions d'infrastructures. EDS GFS compte environ 5000 collaborateurs (pour un chiffre d'affaires de 320 ME), dont 680 en France, d'après son site Web. De son côté, l'acquéreur évoque l'intégration de « 3000 nouveaux employés », ce qui laisse supposer une diminution drastique, ces derniers temps, de la taille d'EDS GFS. Guère prolixe sur le sujet, la société de services américaine s'est contentée de signaler l'opération à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine. Sa note laconique précise que l'accord sur la vente est intervenu le 15 novembre dernier, avec un effet immédiat. Officiellement, « EDS souhaitait se désengager depuis un certain temps déjà de ce métier, qui devient de plus en plus un métier de logisticien ». Pour les employés d'EDS GFS, le passage chez A&O devrait être particulier, la SSII allemande faisant moins de deux fois sa taille. Toutefois, A&O a signé un accord de partenariat « à long terme » avec EDS, ce qui devrait lui assurer une certaine continuité. Avec cette transaction, estime dans un communiqué Michael Müller, directeur général d'A&O, la SSII allemande, « qui est entrée sur le marché il y a trois ans comme fournisseur de services après-vente, deviendra le leader en Europe des services techniques ». EDS reste présent en France avec environ 3000 personnes oeuvrant sur trois créneaux : l'infogérance, les services applicatifs et le consulting. (...)

(17/11/2006 17:03:19)

Accenture devient le n°1 mondial des intégrateurs systèmes, devant IBM

Selon IDC, Accenture vient de dépasser IBM au classement des plus grands intégrateurs de systèmes mondiaux. Selon le cabinet d'analyse, Big Blue occupait le premier rang mondial de ce marché depuis la fin des années 90 (la période à partir de laquelle IDC a commencé à suivre ce marché). Selon les analystes en charge de l'étude, Accenture profite pleinement du renouveau de ce marché qui connaît actuellement une reprise. "Après des années de morosité, le marché mondial des services d'intégration de systèmes a renoué avec une croissance de 4% en 2005" explique ainsi IDC. Accenture, de son côté, a crû deux fois plus vite que le marché en augmentant ses ventes de 8%. Stephanie Torto, qui suit le marché de l'intégration pour IDC, explique que l'amélioration de la conjoncture économique a permis aux entreprises de reprendre leurs dépenses en matière d'intégration de systèmes notamment dans le cadre plus général de la migration vers les architectures SOA et d'améliorations apportées à leurs infrastructures. L'accent mis par Accenture sur les architectures orientées services a largement contribué aux succès d'Accenture sur le marché de l'intégration de systèmes selon Torto. Accenture entend d'ailleurs poursuivre ses efforts puisque la firme a annoncé en juillet son intention d'investir 450 M$ sur les services SOA au cours des 3 prochaines années. Il est à noter qu'aux Etats-Unis IDC note que la bonne santé des marchés gouvernementaux et notamment ceux de la défense et de la sécurité, a permis à des acteurs comme Lockheed Martin, CSC, ou SAIC de tirer également leur épingle du jeu. IDC note au passage que le marché US est moins fragmenté que le marché mondial où s'affronte une multitude de petits acteurs et d'acteurs régionaux. (...)

(15/11/2006 11:39:37)

Dell s'offre une SSII anglaise pour mettre l'accent sur le support aux grands comptes

Dell vient de mettre la main sur une société de services informatiques britannique pour conseiller et accompagner les grands comptes dans leur passage à Vista. L'entreprise acquise, ACS, est spécialisée dans le conseil en infrastructure à destination des sociétés listées sur le FTSE 100 - l'indice de référence de la bourse de Londres. Si Dell n'a pas tenu à communiquer le montant de l'opération, le groupe texan a indiqué qu'ACS, qui sera complètement intégré au sein des opérations du groupe de Michael Dell, assistera les entreprises anglaises dans le déploiement de leurs applications, avec des solutions sur mesure, et les aidera à conserver leurs systèmes à jour. Dell semble avoir entendu les besoins, de plus en plus exprimés, d'assistance et de conseil en virtualisation, en sécurité et en produits estampillés Microsoft. Surtout, porter davantage d'attention aux services fournis à ses clients pourrait permettre au groupe de remonter une pente plutôt savonneuse : les résultats publiés lors des derniers trimestres se sont avérés décevants, le constructeur a dû rappeler plus de quatre millions de batteries pour PC portables et doit en outre se justifier auprès de la SEC sur certains aspects de ses méthodes comptables. Si l'essai est concluant en Angleterre, le constructeur pourrait étendre ce type de services à travers la planète. ACS est présent à Londres, Paris, Glasgow, Edimbourg et Pune, en Inde. (...)

(14/11/2006 12:45:19)

Trimestriels Steria : les revenus progressent de 11%

Résultats troisième trimestre Chiffre d'affaires : 298,4 M€ Evolution : +10,9% Steria continue de confirmer la bonne santé des SSII françaises. Après avoir séduit les observateurs sur l'ensemble du premier semestre, le groupe publie un chiffre d'affaires supérieur au consensus sur la troisième période de l'année. Les revenus atteignent ainsi 298,4 M€ et progressent de 10,9%, en croissance organique, sur un an. Surtout, les trois principales régions dans lesquelles Steria est présente se montrent dynamiques. Il en va ainsi de la France qui, avec 123,1 M€ de chiffre d'affaires, progresse de 9,9 % en organique. La progression des activités dans l'Hexagone profite tant de l'infogérance (+13,4 %) que du conseil et de l'intégration de systèmes (+7,4%). La croissance est encore plus important au Royaume-Uni. A la faveur d'importants contrats signés à la fin 2005, les revenus du groupe y progressent de 28,7% pour atteindre 78 M€. Enfin, alors que Steria enregistrait des revenus stables en Allemagne au cours du trimestre précédent, le chiffre d'affaires bondit de 11,9%, à 50,2 M€ grâce aux investissements consentis lors du premier semestre. Pour l'ensemble de l'exercice, Steria réaffirme son objectif d'une marge opérationnelle supérieure à 7%. La SSII vise également une croissance plus rapide que celle du marché des services informatiques. (...)

(13/11/2006 16:29:00)

Oberthur annonce une « surchauffe des rémunérations dans le secteur informatique »

S'appuyant sur les réponses de 130 sociétés et passant au crible 44 000 salaires (chiffre représentant près de 10% des informaticiens qui travaillent), Oberthur Consultants donne, deux fois par an, un panorama très complet des rémunérations dans l'informatique (sous-panels SSII, banque/assurances, entreprises utilisatrices). Le crû de septembre 2006 vient de tomber. Premier enseignement : si les augmentations de salaires de l'ordre de 4,1% sont à peu près équivalentes à celles de 2005 (4,3%), l'écart avec le taux d'inflation s'est en revanche nettement creusé puisqu'il est de presque 3 points (indice Insee de septembre 2006 : 1,2%). Autre constat : un rattrapage des salaires. Certes, les augmentations sont moindres cette année dans la banque et l'assurance (3,6%) par rapport aux entreprises utilisatrices (3,8%) et surtout aux SSII, éditeurs et constructeurs (4,3%). Mais ce secteur était jusqu'alors en retard sur les autres et l'étude souligne qu'il montre les plus fortes disparités, avec des taux d'augmentation qui varient de -0,3% à +5,3%. Taux de démission en forte hausse : 11% en région parisienne pour les SSII Dernier point qui corrobore ces augmentations de salaire : le nombre de démissions a doublé en deux ans. Les salariés courtisés lorsqu'ils maîtrisent des technologies recherchées font désormais jouer la concurrence et n'hésitent plus à partir. L'appel d'air profite également aux jeunes diplômés. Ce taux de démission est de 7,6% sur l'ensemble de la France (plus 2 points par rapport à 2005) et de 8,4% en région parisienne. La situation est plus tendue encore pour les SSII : le taux dépasse 10% sur le plan national et 11% à Paris et en région parisienne. Les salaires des informaticiens sont donc bons, même si la précédente crise reste ancrée dans les mémoires et que l'on se refuse à tout emballement. Pascal Poiget, DG d'Oberthur Consultants, souligne que « les entreprises et les salariés se souviennent des années 2000 ». Il conclut : « le marché de l'emploi semble aujourd'hui plus mature que dans la période qui a précédé l'explosion de la bulle Internet. Sans anticiper la période qui arrive et qui devrait continuer sur la lancée à laquelle nous assistons, personne n'est à l'abri d'un retournement de tendance, et c'est pourquoi l'ensemble des acteurs joue, pour l'instant, la prudence. » Tous les chiffres de l'enquête Oberthur et l'analyse d'Hélène Truffaut dans le numéro 1136 du Monde Informatique, à paraître le 24 novembre. (...)

(10/11/2006 12:43:03)

Lenovo régresse hors de Chine

On a beau être le troisième constructeur mondial de PC, et écouler pour plus de 3,5 Md$ de produits au cours d'un seul trimestre, on peut néanmoins estimer que l'on n'occupe pas la place qui devrait être la sienne. Il en va ainsi pour le Chinois Lenovo, repreneur des activités PC d'IBM il y a deux ans, et qui peine à s'imposer au-delà de la Grande muraille. "Nous ne sommes toujours pas là où je voudrais qu'on soit, et je m'impatiente", déplore le PDG du groupe, William Amelio. Devant faire face à "un marché difficile et violemment concurrentiel", Lenovo n'a vu ses revenus progresser que d'un maigre pourcent lors du trimestre clos le 30 septembre, pour atteindre 3,7 Md$. Pire : les bénéfices ont fondu de 17% sur un an, et s'alignent à 38 M$. Si le groupe parvient à tirer son épingle du jeu dans l'Empire du Milieu - les ventes y représentent 39% de l'ensemble du chiffre d'affaires -, la situation n'est guère reluisante une fois les frontières passées. En Europe et en Amérique, l'activité régresse ainsi de près de 10%. "Nos opérations hors de Chine restent un chantier en cours", résume pudiquement William Amelio, qui rappelle le lancement d'un programme visant à toucher davantage les consommateurs et les petites entreprises à travers le monde et plus particulièrement aux Etats-Unis. Au final, "nous réduisons l'écart [entre la Chine et l'international, NDLR] mais cela prendra quelques trimestres et beaucoup de travail supplémentaire". L'une des sources des difficultés de Lenovo concerne la chaîne de fabrication qui a montré ses limites lors du deuxième trimestre fiscal, souffrant notamment d'un SI daté et trop complexe. Pour y remédier, le groupe indique qu'il a procédé à de lourds investissements et mis à jour son SI, en y incluant par exemple des outils développés par SAP. La modernisation de la chaîne devrait se poursuivre jusqu'en 2008 selon William Amelio, qui refuse de communiquer le montant de l'investissement consenti. Parallèlement, Lenovo devrait réduire le nombre de modèles commercialisés et changer le processus de fabrication de façon à utiliser moins de composants issus d'un même fournisseur. (...)

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