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SSII
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(19/02/2009 15:47:05)
PAC : Les SSII indiennes représentent moins de la moitié de l'offshore réalisé en Inde
Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC), en France, l'ensemble des prestations informatiques réalisées en offshore a représenté un marché de 1,2 Md€ en 2008, soit 5% du marché des services informatiques de l'Hexagone. A lui seul, le marché de l'offshore en Inde a représenté environ un tiers de ce montant en 2008, soit 350 M€. Ce qui correspond, en volume, à 7 100 emplois à temps plein. Et les SSII occidentales ont représenté plus de la moitié de ce volume d'affaires réalisé en Inde, indique Frédéric Giron, consultant de PAC. « Le premier acteur est Capgemini, suivi, de manière assez lointaine, par IBM, Accenture et Atos, les trois se tenant dans un mouchoir de poche. » Vient ensuite Steria qui, malgré ses investissements, reste « très loin ». A l'horizon 2009-2010, PAC estime que la croissance moyenne de l'offshore indien pourrait dépasser les 50% : et le marché devrait totaliser 16 500 équivalents à temps plein d'ici à l'année prochaine. La crise devrait contribuer à maintenir un niveau élevé de recours à l'offshore Le cabinet considère, en outre, que le modèle indien sur la France s'est illustré au cours des dernières années par des investissements importants de SSII telles Capgemini, Steria, ou encore Atos Origin et également par la présence de plus en plus significative d'acteurs indiens, comme Wipro, Tata Consultancy Services (TCS), Infosys, et HCL. L'Inde est le premier pays d'accueil pour les dépenses offshore, « mais si on considère des régions, complète Frédéric Giron, l'Inde se situe derrière l'Europe de l'Est ». En décembre dernier, PAC estimait que la dépense informatique offshore des entreprises françaises, qui avait atteint les 1,2 Md€ en 2008 (+ 40%), devrait continuer à progresser pour s'établir à 1,740 Md d'euros en 2009. La crise économique devrait contribuer à maintenir un niveau élevé de recours à l'offshore, toutefois, note Frédéric Giron, « il reste un facteur limitant : le modèle offshore reste compliqué à mettre en oeuvre ». (...)
(18/02/2009 17:17:14)Annuels Atos Origin : La marge opérationnelle mécontente Thierry Breton
La SSII française Atos Origin a terminé son année fiscale sur un chiffre d'affaires conforme à ses prévisions : sur la base du périmètre excluant l'Italie et AEMS Bourse, cédées dans l'année, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 5,479 Md€ en 2008, soit 5,6% de croissance organique. La marge opérationnelle s'est élevée sur cette période à 261 M€, soit 4,8% du chiffre d'affaires, en hausse de 11%. En revanche, le résultat opérationnel a reculé, passant de 137 M€ en 2007, à 100 M€ en 2008. Quant au résultat net du groupe, il a été divisé par deux, à 23 M€, en raison d'une dépréciation d'actifs de 226 M€, principalement sur la France. Pour le nouveau PDG, Thierry Breton, ces résultats sont loin d'être satisfaisants : « C'est peut-être une bonne année pour l'entreprise en terme de croissance du chiffre d'affaires. En revanche, Atos Origin devra mettre en oeuvre les décisions et actions qui lui permettront d'accroître de manière significative sa marge opérationnelle dès 2009. C'est le mandat que m'ont confié les actionnaires du groupe et son nouveau conseil d'administration ». L'amélioration de la marge passera par la réduction des coûts Pour faire face au difficile environnement économique et augmenter la marge opérationnelle de l'entreprise, un programme de réduction des coûts et d'amélioration des performances baptisé TOP (Top Operational Performance) a donc été mis en place. Ce plan sera bâti autour de quatre axes majeurs de transformation qui passeront par une vingtaine de projets transversaux parmi lesquels la simplification de la gestion des contrats multi-pays, la mise en place d'indicateurs sur la part de l'offshore, ou sur les ratios de surface bureaux / effectifs, ou le déploiement de projets de développement durable. Ce projet devait notamment permettre à l'entreprise d'améliorer de 0,5 à 1 point sa marge opérationnelle en 2009, par rapport aux 4,8% de l'exercice 2008. Pour 2009, le groupe table sur un chiffre d'affaires en légère baisse par rapport à 2008 à périmètre et taux de change constants. Cette perspective tient compte d'un carnet de commandes (renforcé dans les activités récurrentes) représentant au 1er janvier 2009 58% du chiffre d'affaires total (contre 55% au 1er janvier 2008) mais aussi d'un ralentissement escompté sur les activités cycliques. Atos Origin prévoit également de réduire d'un millier le nombre de ses sous traitants, tout en augmentant ses emplois offshore dans une proportion similaire. (...)
(17/02/2009 17:19:12)Annuels Steria : infogérance, BPO et secteur public en hausse
La SSII Steria a terminé son année fiscale sur un chiffre d'affaires de 1,765 Md€, en progression de 24,7% à périmètre courant. La croissance organique, en revanche, se limite à 0,9% en raison de l'impact négatif de la variation des taux de change sur l'année. Les résultats complets seront publiés le 16 mars prochain, mais le groupe indique que son taux de marge opérationnelle devrait dépasser l'indication de 7,5% précédemment communiquée (ce taux s'élevait à 7,3% en 2007). Sur le quatrième trimestre, la croissance organique de Steria s'élève à 1% avec un chiffre d'affaires de 459,3 M€. Le groupe communique un ratio de prise de commandes sur chiffre d'affaires de 1,31 sur la période, de bon augure pour l'avenir. Au 31 décembre, ce ratio s'élevait à 1,07 pour l'année, soit sensiblement au même niveau que fin 2007. Sur ce quatrième trimestre, la SSII souligne la progression (+5,1%) de ses activités d'infogérance et de BPO (business process outsourcing, externalisation de processus métiers). Il indique également la hausse de l'activité sur le secteur public (+7,8%) et, même, contre toute attente, sur le secteur financier (+1,8%). L'infogérance a notamment crû en France (+0,7%) sur ce dernier trimestre, l'Hexagone enregistrant sur le deuxième semestre une croissance organique de 2,7%, contre un recul de 2,2% au premier semestre. La France pèse 30% du CA total, le Royaume-Uni 42% Avec 535,8 M€ (+0,3%) en 2008, la France pèse 30% du chiffre d'affaires total de Steria, désormais moins que le Royaume-Uni. A la suite du rachat de Xansa en juillet 2007, ce dernier représente en effet désormais 42% du CA total de la SSII. L'activité outre-Manche a généré 740,5 M€ (-1,3%) en 2008. Le reste du CA se répartit entre l'Allemagne (un peu moins de 14% du total), qui a réalisé 241,7 M€ (+6,1%) et les autres implantations européennes (14%) qui ont progressé de 4,5% à 247,7 M€. Rappelons que Steria a ouvert l'an dernier un centre de services en Pologne, ainsi qu'une entité nearshore au Maroc. (...)
(13/02/2009 18:37:17)Annuels Bull : Le groupe français en progression reste prudent en 2009
Le groupe français Bull a présenté des résultats en progression par rapport à l'an dernier. Le chiffre d'affaires de l'entreprise a progressé de 1,4% pour atteindre 1,13 Md€ alors que le bénéfice de 5,6 M€ a augmenté de 21,7%. Didier Lamouche, PDG de Bull, rappelle dans son communiqué que le groupe a « adopté une segmentation qui reflète mieux [ses] activités ». Ainsi, les services et les solutions ont crû de 14,7% sur l'année, et le matériel et les systèmes de 5,6%. La maintenance a, en revanche, reculé de 6,8%. Didier Lamouche a précisé que les services représentaient désormais 44% du CA, que la moitié des clients provenaient des secteurs publics et télécoms et que près de 20% du CA était réalisé dans les pays émergents. Il a également rappelé que l'entreprise s'était défaite d'activités non stratégiques, comme Medicaid aux Etats-Unis, pour se renforcer sur des segments jugés plus porteurs comme le calcul haute performance. 2008 a été émaillée de plusieurs succès dans le domaine comme la commande passée par le Genci et un contrat renouvelé avec le CEA. Comme la plupart des acteurs du marché face à la crise, Bull reste prudent sur ses objectifs 2009. « Nous poursuivrons les réductions de coûts adéquates et accélérerons notre travail de transformation autour de nos axes stratégiques. » (...)
(13/02/2009 17:57:33)Annuels Sopra : la SSII maintient sa croissance organique à 10%
La SSII Sopra a amélioré sa croissance organique en 2008, réalisant une progression de 10,5% sur un chiffre d'affaires de 1,129 Md€ (+9,4% en 2007). Sur le quatrième trimestre, cette croissance organique s'est maintenue à 7,6% (+11,4% au total) sur un chiffre d'affaires de 321,4 M€. Comme au troisième trimestre, ce sont les activités ISS France et Axway qui ont largement tiré la croissance. A périmètre courant, la croissance annuelle atteint 12,8%. La marge opérationnelle se maintient à 9,1%, comme en 2007. En France, l'activité Intégration de systèmes et solutions (ISS), qui pèse 61,5% du chiffre d'affaires total, a réalisé sur l'année une croissance organique de 14,2% (+16,3% au total) pour un chiffre d'affaires de 694,6 M€. A périmètre constant, la croissance d'ISS France atteint 11,7% sur le quatrième trimestre 2008 (+13,9% au total). En revanche, la progression d'ISS Europe (19,38% de l'activité du groupe) est moindre, en raison principalement d'annulations de contrats dans le secteur bancaire au Royaume-Uni (en Ecosse notamment). La croissance organique se limite à 2,6% (+1,9% à périmètre courant) sur l'année, avec un chiffre d'affaires de 218,9 M€. Au quatrième trimestre 2008, l'activité d'ISS Europe a baissé de 8,1% à périmètre courant. Recul de l'activité conseil La filiale Axway, spécialisée dans l'intégration et le transfert de données, a consolidé le 1er septembre son acquisition du Californien Tumbleweed Communications. En tenant compte de cette intégration, son chiffre d'affaires a progressé de 32,7% au quatrième trimestre, à 60,4 M€. Sur l'année, la filiale a réalisé 171,2 M€, soit 9,4% de croissance organique et +18% à périmètre courant. Enfin, l'activité conseil de Sopra Group enregistre une croissance plus modeste (+2,1%), avec un chiffre d'affaires de 44,8 M€ sur l'année, en recul (-8,3%) sur le quatrième trimestre, à 11 M€. Comme la plupart des acteurs du secteur, Sopra Group ne dispose pas d'éléments suffisants pour se prononcer sur les perspectives de l'activité pour 2009. La SSII indique disposer d'une trésorerie et de lignes de crédit confirmées et non utilisées de 160 M€. Au 31 décembre 2008, Sopra totalisait un effectif total de 12 450 personnes (1 130 personnes de plus qu'au 31 décembre 2007). La France pèse 66% de cet effectif : 8 210 personnes à la fin de l'année, soit 630 de plus que l'an dernier. (...)
(13/02/2009 17:42:45)Le Syntec dénonce la pression sur les prix exercée par les clients
Les SSII sont remontées contre le déséquilibre affectant les relations commerciales qu'elles entretiennent avec leurs clients. C'est du moins la teneur du message que le Syntec vient de diffuser. Selon la chambre syndicale des entreprises du secteur IT, les clients de SSII tenteraient de contourner les dispositions de la loi de modernisation de l'économie (LME). Applicable depuis le 1er janvier, une disposition particulière semble contrarier les commanditaires des sociétés de services : toute facture doit désormais être réglée sous soixante jours calendaires ou quarante-cinq jours fin de mois. Face à ce raccourcissement des délais de paiement, certains clients imposeraient aux SSII qu'elles leur facturent une somme finalement inférieure à celle initialement convenue. Or, précise le Syntec, « le respect des dispositions légales ne peut ouvrir droit à aucune compensation [...] Toute demande consistant à exiger un avantage financier en contrepartie de la réduction légale des délais est inacceptable ». L'association professionnelle déplore par ailleurs le développement de « pratiques visant à obtenir une réduction rétroactive des prix et tarifs pour des prestations déjà effectuées ou en cours d'exécution ». Ces démarches, souligne le Syntec informatique, sont pourtant clairement interdites par le Code du commerce et, de fait, illégales. Ces deux dérives dénoncées par la chambre syndicale constituent des obstacles à la bonne marche des SSII. Et incitent le Syntec à jouer la carte du danger qu'elles font planer sur l'emploi. Les pressions sur les prix auraient ainsi « un impact direct sur la valorisation des salaires et les dépenses en innovation » et, plus largement, « sur la santé financière et sociale des entreprises ». (...)
(13/02/2009 16:48:17)Les fusions-acquisitions en hausse chez les éditeurs, en baisse dans les SSII
Le cabinet AP Management publie son 12e baromètre des fusions et acquisitions dans le secteur IT, en France, pour 2008. En volume, le montant total de ce type d'opérations a atteint 1 364 millions d'euros, « dans la moyenne observée depuis douze ans ». En revanche, le nombre d'opérations, lui, a diminué de 25%, essentiellement du fait des SSII. AP Management constate en effet 16% de hausse des fusions-acquisitions chez les éditeurs et une chute de 43% dans les services informatiques. Au total, le cabinet a enregistré 104 opérations, soit 25% de moins pour 2008 que l'année précédente. L'affaire Busines Objects (1, 037 milliard d'euros), qui s'est déroulée en 2007 empêche la comparaison directe en volume d'une année sur l'autre. En valeur par contre, sans cette acquisition, les éditeurs auraient vu le montant des opérations progresser de 20% en 2008 par rapport à 2007. En réalité, ils le voient baisser de 63%. Côté , on assiste à une baisse de 34%. 2008 est donc pauvre en opérations. Du côté des SSII, c'est essentiellement le rachat de Sylis par Groupe Open (138 M€) et de Datavance par Adecco (66 M€) qui ont marqué l'actualité. Du côté des éditeurs, Ilog est passé chez IBM (143 M€) et GL Trade intègre Sungard (190 M€). En 2008, les opérations sont restées d'une taille modeste. Dans les deux tiers des cas, elles sont inférieures à 7,5 M€. Les opérateurs, ceux qui rachètent, sont d'abord français à 78%, contre 86% en 2007 et 90% en 2006. Ces acteurs français procèdent à de plus en plus d'opérations de fusion ou acquisition à l'étranger. Elles sont en hausse de 30% d'une année à l'autre. AP Management en a recensé 43 (32 SSII et 11 éditeurs), avec un montant moyen de 20 M€. Le cabinet a noté deux grosses opérations, les rachats de Getronix par Cap Gemini et celui de l'éditeur Motive Inc par Alcatel Lucent. Les français ciblent la Grande-Bretagne dans 26% des cas, la Belgique à 16% et la Suisse à 13%. (...)
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