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SSII
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(29/12/2008 10:27:45)
Satyam, 4e SSII indienne, pourrait passer sous contrôle étranger
Dans la tourmente, Satyam a engagé ce dimanche DSP Merrill Lynch pour évaluer ses options stratégiques. La quatrième SSII indienne espère ainsi enrayer la chute de son cours de Bourse, après l'affaire Matyas et celle de la Banque mondiale. Parmi les options envisagées, Satyam pourrait passer sous le contrôle d'une grosse SSII étrangère - une grande première en Inde. D'après la presse indienne, IBM, Cognizant et Capgemini seraient intéressées. Les ennuis de Satyam ont éclaté au grand jour mi-décembre, lorsque la SSII a déclaré vouloir acquérir Matyas Property et prendre le contrôle de Matyas Infrastructure pour 1,6 Md$. En effet, le marché n'a guère apprécié que Satyam valorise ainsi un groupe du bâtiment et de l'immobilier en difficulté, qui compte parmi ses principaux actionnaires... les fondateurs de Satyam. La SSII avait dû retirer son offre dès le lendemain, au vu, a alors déclaré Ramalinga Raju, fondateur et président du conseil d'administration de Satyam, « des opinions exprimées par les investisseurs ». Satyam exclu pour 8 ans de la liste des contractants de la Banque mondiale Mais le coup décisif est venu quelques jours plus tard de la Banque mondiale, qui a exclu pour 8 ans la SSII de tous ses contrats. L'information, dénichée par un journaliste de Fox News, a depuis été confirmée par un représentant de la Banque mondiale en Inde. Laquelle précise que, contrairement à ce que prétendent certaines rumeurs, il n'y a aucune preuve impliquant la SSII dans les attaques sur son système d'information. Néanmoins, la Banque mondiale dit officiellement avoir banni Satyam de la liste de ses contractants jusqu'en septembre 2016, mettant en cause ses procédures de gouvernance. Le changement de gouvernance est bien au coeur des discussions entre le groupe et DSP Merrill Lynch (une co-entreprise entre la banque d'investissement et une homologue indienne). Le conseil d'administration pourrait être élargi, et le fondateur de la SSII pourrait quitter son poste. Dans tous les cas, il semble que la famille du fondateur ait déjà vendu des parts, ce qui affaiblit la minorité de blocage et rend la SSII vulnérable à une tentative d'acquisition. Satyam se donne jusqu'au 10 janvier pour évaluer ses options. (...)
(24/12/2008 15:29:43)Unisys supprime 1 300 emplois dans le monde
Les réductions d'effectifs deviennent monnaie courante dans le secteur de la high-tech. Dernier contributeur à la longue liste des plans de suppressions d'emplois, le fournisseur de services informatiques Unisys. L'américain vient en effet d'annoncer qu'il supprimait 1 300 de postes au niveau mondial, dans le cadre d'une politique agressive de réductions descoûts et de retour à la rentabilité. Gel des salaires et arrêt des contributions aux plans de retraite Les réductions ont déjà commencé et elles se poursuivront en 2009, a précisé la direction d'Unisys, lundi dernier, dans une déclaration. Pour économiser environ 225 M$ par an, le groupe a également prévu de geler les salaires de ses collaborateurs sur l'ensemble de l'année 2009. La contribution de l'entreprise aux plans de retraite sera également arrêtée. La plupart des employés qui ne seront pas touchés par des réductions de postes ne percevront pas d'augmentation de salaires avant un bon moment. Au cours du troisième trimestre 2008, Unisys avait affiché une perte nette de 34,7 M$, encore plus importante que les 31 M$ de déficits réalisés sur la même période l'année précédente. (...)
(24/12/2008 12:43:15)HP EDS : les syndicats appellent à une grève européenne début janvier
Les syndicats du nouvel ensemble HP/EDS ont décidé d'organiser une nouvelle journée d'action à l'échelle européenne au début du mois de janvier 2009. Les fédérations Uni-Europa et FEM comptent sur ce mouvement pour obtenir un véritable processus d'information et de consultation qui permettrait d'aboutir à une solution acceptable pour l'ensemble des salariés. Les salariés du nouvel ensemble HP/EDS sont extrêmement inquiets pour leur avenir depuis que la groupe a annoncé la suppression de près de 10 000 emplois, dont 90% côté EDS. Pourtant, la direction refuse toujours de communiquer les chiffres précis concernant les futurs licenciements et la manière dont sera mis en application le plan de restructuration dans chaque pays, En outre, le constructeur aurait annoncé que ce processus, qui devait se dérouler sur une période de deux ans, serait raccourci à trois mois, soulevant l'indignation des fédérations syndicales. (...)
(24/12/2008 12:32:54)Citigroup revend son activité informatique indienne à Wipro
L'américain Citigroup se sépare de sa filiale indienne de développement logiciel et d'outsourcing d'infrastructure, Citi Technology Services. Il la revend à Wipro, numéro trois du service informatique en Inde pour 127 M$. L'opération s'assortit d'un contrat spécifique dans le cadre duquel Wipro s'engage à fournir à Citigroup des services de maintenance, de développement d'applications et de gestion d'infrastructures durant six ans. Cet accord devrait se monter au moins à 500 M$. Nombre d'entreprises américaines, en particulier dans le monde de la finance, préfèrent disposer de leurs propres centres offshore en Inde ou ailleurs, plutôt que de faire appel à des prestataires externes. En effet, Citigroup n'utilisait pas sa filiale uniquement pour le développement logiciel et le support technique, mais aussi pour la gestion d'infrastructures à distance (réseaux, postes de travail, serveurs, mais aussi bases de données). L'entreprise a « démontré que l'outsourcing d'infrastructure était réalisable en offshore, explique Soumitro Ghosh, vice-président senior des solutions de finance chez Wipro. Ce que nous voulons, c'est faire monter cette activité en puissance, pas seulement pour Citigroup, mais aussi pour d'autres clients. » Citigroup s'était déjà délesté en octobre de sa filiale indienne de BPO Installé depuis 2005 à Bombay et Chennai, Citi Technology Services, compte environ 2 000 employés, tous formés aux processus et aux technologies de Citigroup. La transaction devrait être finalisée avant la fin du premier trimestre 2009. En octobre, le géant de la finance avait déjà vendu à Tata Consultancy Services (TCS) ses intérêts dans Citigroup Global Services, son activité indienne de business process outsourcing (BPO), pour environ 505 M$. Là-encore, TCS s'est engagé à fournir des services de BPO à Citigroup dans le cadre d'un contrat de neuf ans et demi d'un montant de 2,5 Md$. A noter que Citigroup a annoncé le mois dernier la suppression de 52 000 postes.. (...)
(17/12/2008 17:30:26)Orange regroupe ses activités pro au sein de l'entité e-lob
« Leader », « international » et « convergence » étaient les trois mots clés d'une conférence de presse tenue mercredi matin par Orange-France Telecom : l'opérateur a en effet profité de l'annonce d'une nouvelle organisation interne - la création de l'entité e-lob (Enterprise line of business) - pour marteler ses arguments et paraître beaucoup plus imposant qu'un BT ou un Verizon. A en croire la vulgate des communicants de France Telecom, « e-lob est la nouvelle force motrice du déploiement de la stratégie de convergence du groupe dans les activités B2B des pays Orange ». Concrètement, cela signifie que la marque Orange Business Services lancée le 1er juin 2006 chapeautera toutes les activités du groupe dans le monde auprès de toutes les entreprises, de la TPE à la multinationale. Ou, pour reprendre les propos de Jacques Demaël, vice-président exécutif e-lob, « de la boucherie Sanzot à Coca-Cola ». Pour Orange, il s'agit de capitaliser sur sa marque et sa présence à l'étranger. L'opérateur a ainsi fourni une avalanche de chiffres pour illustrer sa position de leader sur le marché professionnel : son offre pro représente plus de 30% des revenus du groupe (soit quelque 16 Md€, avec une croissance de plus de 2% et une marge opérationnelle brute de plus de 3%), plus de 30 000 collaborateurs répartis dans 166 pays, 340 000 téléphones IP gérés par Orange, 850 000 utilisateurs de Business Everywhere, des réseaux mobiles dans 27 pays, une place de numéro un en France, en Pologne, en Roumanie, en Slovaquie... Orange veut faire passer ses clients pro au « real-time business » Barbara Dalibard, directrice exécutive d'Orange Business Services (OBS), et Jacques Demaël expliquent vouloir continuer la transformation d'OBS, pour passer « d'un simple fournisseur de réseau à un opérateur de communication intégré », avec l'idée de « IP-transformer » les clients dans le même temps, pour les amener vers du « real-time business ». Dans cette évolution en « trois vagues », la première phase, qui représente les services classiques de connectivité, compte pour environ 70% du chiffre d'affaires. La deuxième phase (environ 20% du CA), implique d'amener les entreprises à utiliser les services de voix sur IP, d'IP Centrex (PBX hébergé), de convergence mobile/VoIP (offre Unik)... Enfin, la 3e phase vise à fournir une infrastructure adaptée à des processus et des applications en ligne (en mode Saas) s'appuyant sur des offres de convergence : communication unifiée, click-to-call, M2M, hébergement d'applications, courriels sur les mobiles... Dans tous les cas, si Orange s'affirme en opérateur d'infrastructure et confirme sa volonté de proposer de plus en plus de services logiciels et matériels avec ses offres (des suites de sécurité jusqu'aux PC) afin de répondre à la demande de ses clients, l'opérateur dit n'avoir aucune intention d'aller plus loin : le terme de 'cloud computing' n'évoque rien chez Barbara Dalibard et Jacques Demaël en dehors des offres d'infogérance déjà en place et d'une éventuelle solution de distribution d'applicatifs en ligne tel que l'AppStore d'Apple. (...)
(17/12/2008 15:07:36)ITS Group recrute 270 informaticiens et encourage le reclassement des chômeurs
La société de conseil et de services informatiques ITS Group accélère sa politique d'embauche amorcée en 2008 (200 collaborateurs supplémentaires) en annonçant vouloir recruter 270 informaticiens en 2009. Les profils recherchés sont des chefs de projet techniques, des ingénieurs systèmes Unix et Microsoft, des ingénieurs de production confirmés, ainsi que des développeurs sur MySQL, .Net, Java et PHP. Un candidat sur six devrait être un junior (la SSII travaille étroitement avec des écoles comme l'Epitech ou encore l'ETNA - école des technologies numériques appliquées). Le pourcentage restant concernera des profils expérimentés et des séniors. ITS Group renouvelle sa contribution au reclassement de chômeurs La SSII a lancé en avril dernier un programme de reclassement destinées aux personnes en recherche d' emploi. Les candidats ayant répondu présents avaient des parcours très divers (chimistes, mathématiciens, biologistes, physiciens...), ITS Group s'est donc engagé à les former aux métiers de l'informatique. Devant le succès de l'opération (actuellement huit personnes sont en formation, cinq scientifiques et trois diplômés des sciences humaines), la SSII a décidé de réitérer l'expérience en 2009. ITS Group a réalisé un chiffre d'affaires de 50,3 M€ en 2007 (en hausse de 41%) et espère franchir le cap des 100 M€ d'ici à 2011. La société emploie actuellement 630 personnes en France dans cinq agences (Paris, Nantes, Lyon, Lille et Laval). (...)
(15/12/2008 17:49:19)Altran ajoute NSI à son pôle informatique embarquée
Altran renforce son pôle informatique embarquée en se portant acquéreur de 52% du capital de NSI. Ce dernier est un spécialiste des systèmes électroniques embarqués clefs en main destinés aux secteurs de l'automobile, de l'aéronautique et de l'industrie. Altran a d'ores et déjà acquis 20,8% du capital de NSI. Fondé en 1993, à Annecy, NSI compte 160 salariés et réalise un CA annuel de 12 M€ en 2007 (-11%). Son CA baisse d'année en année depuis 2005. 14% du capital est coté sur le marché libre de Paris, 33% est aux mains d'investisseurs et les fondateurs en détiennent 53%. Cette opération suit celle de la reprise par Altran fin octobre du centre d'expertise en logiciel embarqué du groupe Continental. Un centre que Continental a acheté en décembre 2007 à Siemens VDO Automotive. Altran ne communique pas les montants des deux transactions. (...)
(11/12/2008 17:34:49)Logica réduit son endettement en levant 90,5 M£ auprès de ses actionnaires
La SSII anglo-néerlandaise Logica (anciennement LogicaCMG) est parvenue à réduire sa dette grâce à une augmentation de son capital d'un montant de 90,5 M£ (133 M€ environ). En tout, ce sont 135 millions d'actions qui ont été émises par la SSII (soit 9,2% de son capital). Les principaux actionnaires de Logica ont mis la main à la poche au-delà même des espérances de la société, qui comptait engranger 85 M£. « Ce soutien de nos actionnaires ainsi que de deux banques (Schroders, Aviva Investors) est une excellente nouvelle pour Logica, a commenté David Tyler, président de la société, dans un communiqué. Cette somme vient compléter les 500 M€ que nous avons obtenus des banques en novembre dernier. » Logica est à en proie à des difficultés financières depuis le début de l'année. La SSII a publié des résultats décevants au premier semestre 2008 (bénéfice net en perte de 97%, à 5,2 M£) et a annoncé un plan de restructuration en avril dernier dans le but de redynamiser son activité. (...)
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