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(10/12/2008 17:51:25)

Business & Decision va créer plus d'une centaine d'emplois en Picardie

Business & Decision, société de conseil en informatique décisionnelle et en e-business, va ouvrir début 2009 un centre de production en Picardie, à Amiens plus précisément. La SSII française compte sur ce pôle de compétences, axé multi projets et TMA (Tierce maintenance applicative), pour contribuer à dynamiser l'emploi des départements de la Somme et de la Picardie. Avec la création de ce nouvel ensemble, Business & Décision s'est en effet engagé à créer plus d'une centaine de postes dans la région d'ici trois ans. Pour l'heure, la SSII prévoit de recruter une trentaine d'informaticiens en 2009. « Nous recherchons des profils bac +5 de tous niveaux, des juniors et également des profils plus expérimentés, précise Jean-Marie Demoulian, responsable du projet d'implantation à Amiens. La présence de ressources universitaires et technologiques de proximité, auxquelles nous sommes associés en tant que partenaires devrait nous aider à concrétiser nos embauches. » La région Picardie compte en effet bon nombre d'établissements technologiques, parmi lesquels l'université technologioque (UTC)de Compiègne, celle de Picardie (Jules Verne), l'Esieee ou encore Sup de Co Amiens. Disposant d'un espace de 1000 m2 au coeur du programme d'aménagement urbain situé à proximité de la gare d'Amiens, le nouveau site de Business & Decision s'installera dans l'ensemble immobilier flambant neuf Terralia, amorce du parc tertiaire et technologique de l'agglomération de la ville picarde. L'immeuble Terralia, inauguré en octobre dernier, héberge une pépinière d'entreprises baptisée « Amiens Le L@b ». (...)

(10/12/2008 14:58:50)

Comment Thales a perdu un contrat de 70 millions d'euros avec l'AP-HP

Lors de leur conférence de presse le 30 septembre 2008, les hôpitaux de Paris, ou AP-HP, ont présenté le nouvel attributaire de leur projet de système d'information dédié au dossier hospitalier patient. Il s'agit de l'imageur Agfa Healthcare associé aux sociétés Cap Gemini et à HP. Agfa hérite ainsi d'un confortable budget de 95 M€ sur cinq ans, et doit désormais convaincre sur un projet qui est au coeur de la rationalisation de la médecine hospitalière française. Ce montant considérable représente le plus gros effort financier de l'histoire de l'informatique hospitalière, sans compter l'apport des équipes internes à l'AP-HP, soit plus d'une centaine de médecins et d'experts. Mais les rebondissements auront été nombreux pour en arriver à cette attribution. Thales, premier attributaire pour 70 M€ Agfa Healthcare est en fait le second attributaire du marché. Initialement, c'est Thales, spécialiste de l'informatique sensible, du militaire et de la sécurité, associé aux sociétés Medasys et General Electric qui avait remporté l'appel d'offres. Le montant s'établissait alors aux alentours de 70 M€. Mais, premier coup de théâtre, dans les derniers jours de 2007, Thales s'est vu signifier la rupture du contrat le liant à l'AP-HP et a été écarté du projet. Comment expliquer ce revirement de situation ? Lors de la conférence de presse du 30 septembre, l'AP-HP a indiqué que « Le prestataire ne répondait ni au cahier des charges ni aux délais ». Thalès a lancé un contentieux contre l'AP-HP A présent, les deux protagonistes, Thales d'une part, et l'AP-HP de l'autre, tentent de préserver la confidentialité du dossier. Un contentieux a cependant été lancé par Thales à l'encontre de l'AP-HP. La cause du clash entre les deux entreprises n'a pas été officialisée. Au départ, tout semblait aller pour le mieux. Thales est une société française bien positionnée dans le domaine de la santé. Avec l'AP-HP, elle était aux commandes du plus grand projet du secteur, lui ouvrant l'immense ... [[page]] ... marché européen des systèmes d'information hospitaliers en plein essor. N'étant pas éditeur, Thales s'est associé au Français Medasys. A partir de là, deux interprétations des événements existent. Allant dans le sens de l'AP HP, certains évoquent une rupture à l'initiative univoque des hôpitaux. Les équipes de Thales auraient manqué de spécialistes dans le domaine de la santé, provoqué des changements de direction de projet à répétition et engendré des retards au démarrage. De plus, General Electric - associé à Thales pour la partie anesthésie et réanimation - aurait demandé un supplément budgétaire afin de réaliser certaines parties du contrat qui semblaient pourtant prévues dès l'origine. Quant à l'éditeur Medasys, il aurait été finalement de taille trop réduite pour servir un aussi gros projet destiné à équiper 37 grands hôpitaux. Des modifications trop nombreuses Mais selon d'autres sources, lors des réunions de cadrage entre l'AP-HP et Thales, l'AP-HP aurait trop modifié ses demandes, conduisant à un périmètre d'action fluctuant au gré des jours. Ce syndrome est classique : un client ne sait pas forcément ce qu'il veut et il mûrit sa vision au cours du temps. Face à trop de modifications, la gouvernance du projet doit alors savoir filtrer. Encore faut-il qu'on lui en donne les moyens. Les modifications trop nombreuses auraient déclenché une incompatibilité entre Thalès et l'AP-HP et des conflits répétés jusqu'au clash. Une nouvelle attribution complexe Quoiqu'il en soit, l'AP HP a relancé une procédure d'appels d'offres. C'est finalement Agfa Healthcare qui l'aemporté. Cependant, cette victoire voit encore le jour dans des conditions complexes. En effet, le gagnant aurait dû être, semble-t-il, la société américaine Cerner. Mais, cette dernière aurait émis des conditions ou des réserves à la réalisation du contrat voulant s'assurer - peut-être un peu trop - que l'AP-HP ferait bien sa part du travail. Problème, ces réserves ne seraient pas juridiquement admissibles dans le cadre de ce type de marché public. Résultat, après un retard conséquent dans l'annonce des résultats, l'entreprise Cerner est écartée, et c'est Agfa Healthcare qui arrive première. En ce qui concerne l'avenir, de nombreuses questions restent à régler. Agfa est d'une taille largement inférieure à celle de Cerner. L'AP-HP est désormais dans une position délicate. Elle ne peut plus se permettre d'échouer après l'accident Thales. Même si lors de la conférence de presse, l'AP-HP a déclaré : « Nous avons mis en place les mêmes mécanismes de résiliation qu'auparavant », il lui faut absolument réussir avec Agfa pour un projet qui engage l'informatique de santé hexagonale pour les 10 ans à venir. Nouveau remède prévu : l'AP-HP réfléchirait à une restructuration pouvant contribuer à minimiser les risques dans la réalisation du projet, tout en faisant attention à ne pas dériver dans le temps. Affaire à suivre en 2009. (...)

(10/12/2008 14:40:25)

Valtech lance son offre de tierce recette applicative Agile en France

Valtech Technology lance en France son offre de TRA (tierce recette applicative, qui consiste à valider le fonctionnement d'une application avant sa mise en exploitation) basée sur les méthodes Agiles. Déjà déployée en Inde (où Valtech possède une plateforme de test et de développement), en Grande-Bretagne et en Allemagne, cette offre répond aux attentes des maîtrises d'ouvrage qui espèrent éviter l' « effet tunnel » des approches traditionnelles de TRA. « Dans la gestion classique de la recette applicative, on avance souvent à l'aveuglette et c'est seulement en fin de phase de pilotage qu'on constate qu'il existe de nombreuses anomalies, explique Gilles Mantel, responsable de l'offre TRA de Valtech Technology en France. Avec les méthodes Agiles, nous mettons l'accent sur une collaboration permanente entre l'éditeur, le client et la société de conseil afin de limiter les surprises à l'arrivée. » L'offre de Valtech Technology est certifiée CMM (capability maturity model) de niveau 5, ISO 9001 et ISO 27001. Elle s'adresse plus particulièrement aux secteurs de la banque, de l'assurance et de la défense, mais Valtech ne cache pas son ambition de toucher également la grande distribution et les télécoms. En France, une dizaine de consultants sont chargés de proposer ces solutions de TRA Agiles. Elles sont ensuite testées à distance sur la plateforme de Bengalore en Inde. (...)

(10/12/2008 13:36:01)

Neurones crée un pôle conseil en management et organisation

La SSII Neurones vient d'acheter un cabinet français spécialisé dans le conseil en management et organisation. Cette société, dont le nom n'a pas été communiqué, a réalisé un chiffre d'affaires de 15 M€ en 2008, pour un résultat opérationnel qui représente 13%. Cette opération permet à Neurones de créer un pôle conseil en management et organisation. Celui-ci sera constitué de la centaine de consultants de la société acquise par la SSII et des 10 consultants intégrés suite au rachat de Pragma Team en novembre 2007. « Cette activité de conseil en management se distingue de nos pôles de conseil traditionnels comme la sécurité du système d'information, l'architecture logicielle, l'intégration d'ERP ou l'infogérance... Mais elle vient parfaitement compléter notre offre », explique Luc de Chammard, PDG de Neurones. Selon lui, il est capital pour les SSII de proposer une palette de services allant au-delà du système d'information et ce pour deux raisons principales. D'une part les entreprises sont de plus en plus à la recherche de prestataires capables de répondre à une demande complète, et pas seulement en informatique. D'autre part, comme l'observe Luc de Chammard, les décisions budgétaires ont progressivement glissé des DSI vers les directions opérationnelles. Et qu'il s'agisse d'informatique ou d'autres pôles stratégiques, les clients préfèrent avoir à faire à un interlocuteur unique. Neurones compte désormais 2500 collaborateurs et espère réaliser un chiffre d'affaires de 180 M€ en 2008, pour une marge opérationnelle comprise entre 8,5 et 9%. Les modalités de la transaction n'ont pas été communiquées. (...)

(09/12/2008 16:49:16)

Steria France désormais dirigé par Olivier Vallet

Olivier Vallet prend officiellement les rênes de la filiale française de Steria. Suite au départ de François Mazon en octobre dernier, c'est François Enaud, PDG et gérant de la SSII, qui avait temporairement pris le relais à la tête de la maison-mère française (6000 employés sur 19 000 dans 16 pays). Olivier Vallet dirigeait jusqu'à présent les filiales espagnole et scandinaves de la SSII. Il a également participé à l'industrialisation de la SSII ainsi qu'à la création de filiales au Maroc, en Inde et en Pologne . Steria France annonce par ailleurs la refonte de sa structure, toujours dans la lignée du plan de transformation initié en 2007. La nouvelle organisation devrait être opérationnelle en janvier 2009. Elle prévoit la création de sept pôles d'activité. Les trois premiers correspondent aux métiers principaux de Steria : banque, assurance, santé et social, télécom et industrie et enfin secteur public et transport. Deux autres pôles seront dédiés aux régions Nord et Sud. Les deux derniers secteurs se consacreront aux services industrialisés comme le BPO, un domaine dans lequel Steria s'est renforcé suite au rachat de la SSII britannique Xansa, en juillet 2007. (...)

(05/12/2008 12:21:15)

Le secteur informatique boude les accords sur la gestion des compétences

Seules quatre entreprises informatiques sur mille rattachées à la branche Syntec (Études, Conseil, Informatique et Ingénierie) seraient couvertes par un accord de GPEC (Gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences) ! C'est ce qu'indique une étude sociodémographique de la branche des bureaux d'études réalisée par LH2 pour le compte de l'Opiiec (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil). Cette enquête, en cours de validation, montre en outre que 1,1% des entreprises informatiques de la branche Syntec envisagent de signer un accord de GPEC. Cette tendance se vérifie dans plusieurs secteurs d'activités, comme le conseil informatique (où 0,3% des entreprises ont signé un accord), la réalisation de logiciels (0,2%), ou le traitement des données (1,8%). La gestion prévisionnelles des emplois et des carrières ne semble pas faire partie des préoccupations de ces entreprises, puisque la quasi-totalité (89,2%) d'entre elles n'envisagent pas de signer un accord. (...)

(04/12/2008 16:31:03)

Représentation du personnel : les salariés sur site voteront dans leur SSII ou chez le client

Désormais, tous les salariés mis à disposition par une SSII, présents dans les locaux d'une entreprise utilisatrice et y travaillant depuis au moins un an, doivent être pris en compte dans le calcul des effectifs de l'entreprise (Article L. 1111-2 du Code du Travail). Syntec informatique engage ses adhérents à faire application de cette solution législative qui découle des nouvelles modalités de la loi du 20 août 2008 portant sur la rénovation de la démocratie sociale Concernant les élections des délégués du personnel, l'article L. 2314-18-1 stipule que ces collaborateurs devront avoir une condition de présence de 12 mois continus pour être électeurs et de 24 mois continus pour être éligibles. Ils devront préciser s'ils exercent leur droit de vote et de candidature dans la SSII qui les emploie ou dans l'entreprise utilisatrice. S'agissant des élections du Comité d'entreprise, le nouvel article L. 2324-17-1 édicte le principe selon lequel les salariés mis à disposition et remplissant la condition de 12 mois de présence continus peuvent être électeurs mais non éligibles dans l'entreprise utilisatrice, « afin de limiter le risque de diffusion d'informations stratégiques par un salarié mis à disposition ». Ils auront également le choix d' exercer leur droit de vote dans la SSII qui les emploie ou le donneur d'ordre. (...)

(03/12/2008 15:40:44)

IDC ne prévoit plus que 1,2% de croissance des dépenses informatiques en 2009 en Europe de l'Ouest

La croissance de la dépense informatique en Europe de l'Ouest ne sera que de 1,2% en 2009, selon IDC. Avant la découverte de la crise en septembre dernier, IDC tablait sur une hausse de 4%, soit autant que ses dernières estimations pour 2008. L'ensemble de la zone EMEA (Europe Middle Est Africa) devrait connaître une croissance de 3%, soit 1,5 point de moins que prévu auparavant. Ce sont donc les pays (riches) de l'Union européenne qui vont subir le plus fort ralentissement. Les pays de l'Est, tirée par la Russie, connaîtront une croissance de 9,4% (contre une prévision préalable de plus de 13%). Pour l'Afrique et le Moyen Orient, dont les locomotives sont les pays producteurs de pétrole et l'Afrique du Sud, la hausse a été révisée de 12% à 8,5%. Certains investissements devraient toutefois continuer de croître. IDC indique que la téléphonie sur IP et les achats de téléphones intelligents continueront de profiter d'une croissance à deux chiffres. De même, les logiciels libres et les logiciels en ligne (SaaS) devraient profiter des restrictions budgétaires. (...)

(02/12/2008 15:08:03)

APX Synstar et Getronics France fusionnent au sein d'APX

APX Synstar et Getronics France fusionnent au sein d'une même SSII, baptisée APX. Ce rapprochement avait déjà été amorcé en décembre 2006 lorsque Getronics France, endetté et en perte de vitesse, avait trouvé repreneur auprès d'APX Synstar, pour un montant non communiqué (le reste de Getronics est passé dans le giron de KPN en septembre 2007). La fusion sera juridiquement finalisée le 21 janvier 2009. Fondée en 1999, la SSII APX Synstar a toujours fonctionné selon une politique de rachat agressive avec une dizaine d'acquisitions réalisées entre 2000 et 2006 (Hopen Schedir, Thor, AJM, Cigem...). En 2006, le rachat de Getronics a ralenti cette stratégie de croissance externe car « il a fallu intégrer, restructurer et redynamiser cette filiale, notamment en mettant fin à certains contrats de maintenance à perte », explique Noël Saille, PDG d'APX. La SSII est finalement parvenu à redresser la barre (Getronics est à nouveau bénéficiaire alors qu'il devait essuyer une dette de 8 M€ en 2006), et souhaite désormais se relancer dans une politique de rachat. APX baisse légèrement ses perspectives de croissance APX Synstar apporte à la nouvelle structure son expertise en termes de conseil et d'intégration d'architectures informatiques hétérogènes alors que Getronics complète cette offre par ses compétences en maintenance, en infogérance et en gestion des applications. APX a par ailleurs récemment fait l'acquisition du logiciel ObjectArchive, qui appartenait jusqu'alors à HP Services, afin de compléter son offre d'archivage patrimonial. APX a réalisé un chiffre d'affaires de 185 M€ en 2008 (exercice fiscal clos fin septembre) et emploie 1 300 collaborateurs dans sept directions régionales (Paris, Lille, Brest, Nancy, Lyon, Toulouse et Aix-en-Provence). Elle compte 800 clients (industrie, finances, secteur publique, aéronautique...). En raison de la conjoncture économique actuelle, la SSII baisse légèrement ses perspectives de croissance qui passent de 10% à 7%. APX vise un chiffre d'affaires de 198 M€ d'ici à 2010. (...)

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