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SSII
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(26/09/2008 14:53:45)
Annuels : Accenture fait fi de la crise avec un bénéfice qui s'envole
La société de conseil informatique américaine Accenture a publié des résultats annuels en forte progression : le chiffre d'affaires gagne 19% à 23,39 Md$ et le bénéfice net s'envole de 36% à 1,7 Md$. Le revenu opérationnel s'établit quant à lui à 3,01 Md$, en hausse de 21%. Dans un communiqué, le PDG d'Accenture William Green s'est félicité de la solidité de ces résultats, « surtout dans des conditions économiques difficiles ». La zone Europe, Moyen-Orient et Afrique génère près de la moitié du chiffre d'affaires d'Accenture, où il enregistre une progression de 21% contre 26% en Asie-Pacifique, et seulement 15% aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. Par pôles d'activité, le conseil représente 55% du CA et l'externalisation 45%. L'IAOP (association internationale des professionnels de l'outsourcing) a d'ailleurs placé Accenture en tête de son classement annuel des 100 meilleures sociétés de l'externalisation, détrônant ainsi IBM. Accenture emploie plus de 186 000 salariés répartis dans 49 pays. (...)
(26/09/2008 10:59:07)PAI Partners grimpe dans le capital d'Atos
PAI Partners est encore monté dans le capital d'Atos, dont il détient désormais 22,6%. L'actionnaire historique de la SSII a déjà grappillé des actions Atos en juin dernier, et ne cachait pas son intention de poursuivre sa politique de rachat de titres. C'est encore une fois le fonds Centaurus qui a cédé une partie de sa participation (4%). Le fonds d'investissements, dont les agissements en duo avec Pardus avaient ébranlé l'avenir de la SSII française, ne détient plus que 7% du capital d'Atos. PAI Partners réclame désormais un troisième siège au sein du conseil d'administration d'Atos Origin. (...)
(25/09/2008 16:50:42)Atos a décliné une offre de rachat de sa filiale Worldline
Atos Origin aurait refusé une proposition de rachat de sa filiale Worldline par le fonds Candover, selon nos confrères de Challenges. L'offre, d'un montant de 1,6 Md€, était pourtant alléchante, mais la SSII n'entend pas se défaire d'une filiale rentable (654 M€ en 2007, soit 11% du chiffre d'affaires du groupe). Autre raison plausible du refus d'Atos, Worldline est spécialisée dans le traitement des transactions électroniques de grands volumes ainsi que les services de paiement, et la SSII aurait l'intention de renforcer ces pôles d'activité. Elle envisage en effet, selon le quotidien Les Echos, de mettre la main sur SIA SSB, une société italienne mise en vente il y a quelques semaines et positionnée sur ce secteur. A quelques semaines de la mise en place du projet Sepa (Single euro payments area, un espace de paiement unique et européen), garder Worldline dans son giron est donc un choix stratégique pour Atos. Les systèmes d'information devront s'adapter à la directive sur les services de paiement Des milliers d'entreprises et de banques devront réviser leurs systèmes d'information afin qu'ils répondent à la nouvelle directive sur les services de paiement. Ce projet intéresse de nombreuses SSII, à l'instar de Sopra, qui a racheté CIBF l'an dernier afin de renforcer son offre de moyens de paiement électronique. (...)
(25/09/2008 10:13:33)Semestriels : le CA de Neurones progresse de 19%
La SSII Neurones a enregistré un chiffre d'affaires de 89,4 M€ au premier semestre de l'année, soit une hausse de 19%, dont 16,5% en organique. Le résultat opérationnel gagne 30%, à 7,3M€, ce qui représente 8,2% du CA de la société. Le premier semestre de Neurones a été marqué par le rachat de RS2I, qui lui a permis d'enrichir son pôle applicatif (SOA, intégration SAP et BPM, projets Web Java et .Net, décisionnel...) ainsi que d'étendre sa couverture clientèle à des grands comptes dans les secteurs de la banque, de l'assurance et des médias. Neurones a d'ailleurs créé l'an dernier Finaxys, une filiale spécialisée dans le conseil pour le secteur financier. Les cinquante salariés de RS2I viennent donc renforcer cette filiale avec leur expertise. RS2I a réalisé un chiffre d'affaires de 7 M€ en 2007, pour un résultat opérationnel de l'ordre de 15%. Neurones emploie actuellement 2300 personnes, et compte passer le cap des 2500 salariés d'ici la fin de l'année. Luc de Chammard, PDG de la société, déplore d'ailleurs que l'embauche constitue un frein de taille à la croissance, en raison du turn-over et de la pénurie de cadres. La SSII confirme ses objectifs annuels, à savoir atteindre les 179 M€ de chiffre d'affaires, pour un taux de résultat opérationnel oscillant entre 8 et 9%. (...)
(25/09/2008 09:10:57)HP publie les émissions de carbone de sa chaîne logistique de rang un
3,5 tonnes d'équivalents carbone. C'est ce qu'émettent 80% des prestataires de rang un d'HP (pour la production). L'entreprise vient de publier ces chiffres, comme elle l'avait promis. Pour obtenir ce montant, HP a multiplié les émissions de carbone de chacun de ses prestataires par le pourcentage qu'il représente dans leur CA avant d'additionner les résultats. Pour l'instant, le géant Californien ne tire pas de conclusions directes du résultat affiché par ses prestataires, qui pourraient se traduire en actions concrètes. Bien entendu, il explique vouloir exploiter ces éléments pour améliorer l'efficacité énergétique de ses prestataires de rang un. Il souhaite aussi « propager l'information au reste de sa chaîne logistique [supply chain] pour identifier d'autres moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre dès lors qu'il réalisera un reporting de telles émissions pour ses prestataires au delà du rang un ». A bon entendeur... Mettre au point des outils de mesure cohérents des émissions des sous-traitants Enfin, HP n'en restera pas là en matière de chaîne logistique. Il travaille par exemple avec l'Electronic Industry Code of Conduct (EICC) sur un outil de calcul cohérent et unique pour les rapports d'émission de CO2 des sous-traitants. Il participera aussi à la Greenhouse Gas (GHG) Protocol Supply Chain Initiative pour mettre au point une méthodologie de mesure des émissions de gaz à effets de serre liées au cycle de vie des produits et à la chaîne logistique des industriels. (...)
(25/09/2008 09:12:45)Annuels : Aedian améliore son résultat net de 66% malgré la crise
Aedian, société française de conseil et d'ingénierie positionnée sur le secteur public ainsi que le tertiaire financier (banques et assurances) a publié un chiffre d'affaires annuel de 40,8 M€, en hausse de 3% par rapport à l'année précédente. Le résultat opérationnel courant s'établit quant à lui à 1,55 M€ (soit 3,8% du chiffre d'affaires), en hausse de 63%. Ces chiffres sont essentiellement dus à un excellent second semestre, où le résultat opérationnel courant a atteint 4,7% des revenus, contre 2% seulement un an auparavant. L'activité ingénierie d'Aedian a généré 70% des revenus du groupe, pour un taux de marge opérationnelle à 6,3%. Les effectifs de ce pôle ont été augmentés de 9% pour soutenir cette croissance. Après trois exercices déficitaires, l'activité conseil retourne dans le vert avec une marge opérationnelle de 1,6%. Le groupe parvient enfin à stabiliser les effectifs de ce pôle. Pas d'interruption des projets en cours La SSII a enregistré un bon niveau de demandes sur le secteur public et les assurances, mais note une certaine frilosité du côté des banques, qui représentent 40% de sa clientèle. « Il n'y a pas d'interruption des projets en cours, mais le flux des nouveaux appels d'offre s'est légèrement tari au cours de ces dernières semaines, ce qui nous encourage à rester vigilants », souligne Frédéric Bourdon, secrétaire général d'Aedian. Malgré ce ralentissement, l'entreprise confirme son objectif d'entrer dans le top 10 des sociétés de conseil pour les banques d'ici 2010. Elle emploie actuellement 425 personnes en France. (...)
(24/09/2008 13:53:22)Le coup de froid se confirme dans les SSII indiennes
Les SSII indiennes sont touchées par la crise financière qui sévit Outre-Atlantique. Ce n'est pas un scoop, en avril dernier quelques grandes sociétés de services revoyaient déjà leurs prévisions à la baisse, et le syndicat indien des entreprises du logiciel et des services informatiques (Nasscom) avait anticipé un ralentissement de la croissance à l'automne. Les SSII indiennes sont toutefois prises de court par l'ampleur des retombées négatives sur leur business. Certaines d'entre elles réalisent jusqu'aux deux tiers de leur chiffre d'affaires aux Etats-Unis, dans les secteurs des banques, de la finance et des assurances, de surcroît. Pas étonnant donc que les remous financiers américains les atteignent de plein fouet. Les dernières catastrophes bancaires (faillite de Lehman Brothers, rachat de Merrill Lynch) ont précipité les événements. Légère réduction des effectifs Accentuée par la chute du dollar, qui gèle les exportations indiennes, ainsi que par la hausse des salaires en Inde, la crise conduit les SSII à se délester d'une partie de leur masse salariale. Après Wipro et Tata Consulting Services, c'est Satyam, quatrième SSII indienne, qui a récemment annoncé la suppression de 4 500 emplois, soit 9% de ses effectifs. Les résultats financiers publiés par ces SSII restent dans le vert, mais ils sont moins exceptionnels que les années précédentes. Sur le site du Nasscom, le président du syndicat indien Som Mittal ne cache pas son inquiétude. «Les incertitudes mondiales ont atteint leur paroxysme, [avec la combinaison de plusieurs facteurs] : la fluctuation des monnaies, la hausse sans précédent des tarifs du pétrole, la crise alimentaire et l'approche des élections américaines », écrit-il dans un message. Cap sur l'Europe continentale Si les SSII indiennes souhaitent se sortir de la crise, elles ont tout intérêt à ne pas mettre tous leurs oeufs dans le même panier. Il y a près d'un an, avant même que la crise américaine ne fasse autant de ravages, le cabinet Forrester désignait la France comme futur Eldorado de l'offshore indien. Certaines SSII indiennes commencent d'ailleurs à lorgner vers l'Europe, qui ne représente « que » 30,1% de leurs exportations (dont 17,8% en Grande-Bretagne). Infosys a, par exemple, racheté Axon, le spécialiste britannique de l'univers SAP. (...)
(24/09/2008 10:29:04)Les entreprises relèvent leur niveau d'exigence vis à vis de l'infogérance
Le marché de l'infogérance devrait passer en France de 5,9% de croissance en 2007 (où il représentait 5,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires) à 6,4% pour 2008. C'est la prévision du cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC). Sans progresser de manière très forte, ce marché confirme son dynamisme, supérieur à celui de l'ensemble des services informatiques. Derrière cette donnée globale, le cabinet PAC observe plusieurs tendances de fond. D'abord, la croissance est désormais le fait d'une multiplication de petits contrats. Finis ou presque les méga contrats, à l'exception de celui signé en 2007 par IBM avec CMA-CGM et AGF. Les petits contrats se retrouvent aussi bien dans les grands comptes sur une partie de leurs activités que dans de grosses PME. Deuxième tendance de fond, l'infogérance change de nature. « La demande se modifie en faveur d'une infogérance de transformation des infrastructures et des systèmes », analyse Elisabeth de Maulde, présidente de Pierre Audoin Consultants. « Avant, le principal argument de l'infogérance c'était la réduction des coûts, maintenant ce procédé permet au-delà de cette réduction des coûts, d'optimiser le système d'information. » Les clients se montrent ainsi très exigeants. PAC note « la maturité du marché en termes de volume d'affaires, d'industrialisation des prestations, de structuration et de normalisation des process et de comportement des entreprises vis-à-vis de l'infogérance ». Le cabinet relève aussi plusieurs éléments qui montrent la difficulté de ce marché pour les prestataires de services. 18 mois à 2 ans pour signer un contrat [[page]] Les contrats se négocient de manière plus ardue. Désormais, il faut compter entre dix huit mois et deux ans pour en négocier un. Le client met son prestataire sur le gril au plan financier ou en termes de prestations. Il se montre plus rigoureux en termes de contenu, de sélection des prestataires, de modes de delivery. La durée des contrats est elle-même réduite, passant de 5 à 3 ans en moyenne. Des contrats plus que jamais enrichis de possibilités de révision annuelle. Les clients ne se privent pas non plus pour mettre en oeuvre plus facilement des possibilités de « réversibilité ». En clair, quand il signe un contrat, le prestataire s'engage à fournir les bons niveaux de documentation au client. Si ce dernier décide de changer de prestataire, le nouveau venu pourra plus facilement reprendre le contrat pour un périmètre équivalent. Comme le dit Elisabeth de Maulde avec humour, « c'est comme pour un contrat de mariage, où on prévoit le divorce ». Ces différentes données rendent le marché de l'infogérance encore plus sélectif. Cinq grands acteurs cumulent 47% du marché, le n°1 IBM truste 21% des parts. En dehors d'eux, difficile d'exister. Plusieurs acteurs ont même disparu, Getronics s'est vendu à APX, CS a cédé sa division infogérance à BT. Là encore, les contraintes sont redoutables. « Vous ne pouvez plus suivre sur un tel marché sans une certaine [[page]] taille au plan européen « note Elisabeth de Maulde. Reprise de la guerre des prix Les prestataires sont également soumis à une sévère guerre des prix. Certains comme Osiatis en ont fait l'argument principal de leurs très décevants résultats annuels. Elle a toujours existé mais reprend et explique le recours au nearshore ou au offshore. « Les SSII n'ont pas beaucoup de choix, relève Elisabeth de Maulde, soit elles ont recours au nearshore et au offshore, soit elles réduisent leurs marges ». Dernière observation de PAC, les SSII françaises sont un peu moins investies dans ce mouvement d'infogérance que leurs homologues européennes. C'est en fait une attitude générale de méfiance à l'égard de toute forme d'externalisation, infogérance ou autre. Les pays de l'Europe du nord et la Grande-Bretagne sont de grands adeptes du BPO et de la TMA. Le secteur public anglais a de plus en plus recours à l'infogérance, contrairement à son homologue français resté très frileux. « Sur l'ensemble des marchés de l'externalisation, la France est encore loin de la moyenne européenne, avec 34% de prestations externalisées en moyenne en France contre 41% en moyenne en Europe de l'ouest ou du nord » souligne PAC. (...)
(22/09/2008 16:16:34)Hewlett-Packard resserre les liens entre logiciel et services
A compter du 1er novembre aux Etats-Unis, Hewlett-Packard rebaptise sa division Software en Software and Solutions. Derrière cette appellation valise on trouve une profonde réorganisation qui vise à stimuler les synergies entre les activités logicielles (Sofware) et services (Consulting and Integration, C&I) du groupe, désormais fondues dans les mêmes unités opérationnelles. Cette réorganisation s'inscrit dans l'intégration des forces vives d'EDS, géant de l'externalisation racheté près de 14 Md$. HP en profite pour regrouper ses forces et exploiter la force de vente d'EDS pour en faire la promotion tout en gardant son modèle de vente indirecte via des partenaires, lequel le différencie d'IBM. Une réorganisation marquée par quatre faits saillants HP n'a pour l'instant pas communiqué officiellement sur sa nouvelle division Software and Solutions, mais un mémo interne est tombé entre les mains de la presse américaine. D'après lui, les quatre faits saillants de la réorganisation sont les suivants : - Naissance de l'unité Communications and Media Solutions à la suite du rapprochement du groupe Communications, Media and Entertainment (CME) et de la plateforme OpenCall unified communications. - Création de l'unité Business Intelligence Solutions qui regroupe l'organisation Neoview (décisionnel) et l'activité décisionnelle de l'ex-division C&I. - Mise en place d'une nouvelle entité Software Products - Création d'unité qui réunit l'activité Service et Support de l'ex-division logiciel avec le conseil, se focalise sur le Service Management et l'Information Lifecycle Management, autrement dit le BTO (Business Technology Optimization) et la gestion de l'information. HP a aussi annoncé le départ de Ben Horowitz de son poste de Senior VP pour le BTO. Il était l'ex-patron d'Opsware, société rachetée 1,6 Md$ en juillet 2007 pour, avec Mercury Interactive, renforcer la logithèque autour de l'administration et l'optimisation des systèmes. Le rapprochement de ces logiciels avec ceux de Peregrine et HP Openview a donné naissance à Automated Operation fin 2007. (...)
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