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SSII
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(14/05/2008 14:30:29)
GFI redresse légèrement la barre au premier trimestre
Après les tourments qui ont agité GFI Informatique suite à l'offre de rachat inamicale lancée par Fujitsu Services en mai 2007, la SSII française poursuit sur sa lancée, et confirme ses ambitions d'ici à 2010 : dépasser le milliard d'euros. Elle vient de publier un chiffre d'affaires trimestriel de 186,5 M€, en hausse de 12,2%. L'OPA de Fujitsu Siemens - qui a fini par avorter, notamment grâce au soutien des actionnaires, aura coûté à la société de services la somme de 5 M €. La SSII réalise la plus grande partie de son chiffre d'affaires en France (128,1 M€, en hausse de 17,5%), où elle a signé de nombreux contrats dans le domaine du décisionnel, des progiciels et des services avec des grands comptes (EDF, La Poste, Neuf Cegetel...), mais également deux conseils généraux. En revanche, l'international ne progresse que de 2,1%, pénalisé par les difficultés que rencontre sa filiale italienne, notamment en raison de règles sociales très lourdes à appliquer. Toutefois, la SSII n'envisage pas de s'en séparer, et compte y privilégier la « qualité des projets ». Des contrats ont d'ailleurs été signés dans le secteur de l'énergie. (...)
(14/05/2008 11:27:32)Annuels : l'intégration de MIBS profite à Overlap
Overlap Groupe a publié des résultats annuels conformes à ses objectifs, suite à la fusion avec MIBS, filiale d'IB Group. Le chiffre d'affaires de la nouvelle entité (officiellement créée le 22 novembre dernier) s'élève à 154,3 M€, contre 116,3 M€ en 2006, en hausse de 33%. A périmètre comparable, la progression est plus modeste (+8%). Les quatre mois d'activité de MIBS (qui évolue essentiellement dans l'univers HP, alors qu'Overlap est plutôt positionné dans le monde des mainframes IBM et la sécurité) apportent 29 M€ à la SSII française. Dans le détail, ce sont surtout les activités infrastructures qui contribuent à ces bons résultats (111,5 M€, soit + 46%). Les sociétés Overlap, MIBS et Hexalis (du groupe Overlap) ont d'ailleurs fondu leurs branches infrastructures au sein d'une même entité, baptisée Ovesys. La part des services quant à elle a quasiment doublé, pour atteindre les 39,8 M€. La SSII publiera l'ensemble de ses résultats financiers pour 2007 le 30 juin. Elle emploie actuellement 500 personnes en France et en Suisse, et vise un chiffre d'affaires de 230 M€ pour le prochain exercice annuel. (...)
(13/05/2008 18:57:03)HP - EDS : La plus imposante acquisition de SSII jamais vue, selon Gartner
HP achète EDS. Le face à face avec IBM vous semble-t-il la principale, voire l'unique raison de cette acquisition ? Ben Pring : Très clairement. HP est aussi performant qu'IBM dans tous les domaines sauf dans les services. Là, il était vraiment jusqu'à aujourd'hui tenu à distance par le numéro un. Il atteint à peine 17 Md$ contre 54 Md$ pour IBM. Le rachat va lui permettre de rattraper son retard. Avec EDS, HP devrait frôler les 40 Md$. HP a derrière lui la lourde expérience de l'acquisition de Compaq. Mais pensez-vous qu'il s'en sortira avec ce gros poisson à avaler qu'est EDS ? Il est vrai que HP a appris beaucoup avec l'intégration de Compaq. Mais là, avec une société de services IT, ce sera une tout autre expérience. Sans compter qu'il s'agit, et de loin, de la plus importante acquisition d'une société de service informatique professionnelle de tous les temps. C'est un défi de taille. Les deux sociétés ont des cultures différentes, des personnalités différentes. HP agit d'ailleurs très intelligemment en conservant EDS en tant qu'entité indépendante. Et en allant même jusqu'à déverser sa propre activité de service dans EDS. C'est un bon moyen de gérer les choses. En revanche, le choix de conserver certains dirigeants seniors est un peu plus discutable... Leur vision n'est pas toujours la bonne. En quoi les dirigeants de EDS pourraient-ils être un problème ? Certains sont un peu « old school » en ce qui concerne les technologies. HP, lui, s'est toujours focalisé sur les technologies de pointe. Prenons dernièrement le cloud computing, par exemple. EDS ne s'est jamais intéressé à tout cela. HP va introduire beaucoup de ces idées auprès des grands clients d'EDS. Les deux entreprises sont donc finalement très complémentaires. EDS, champion de l'externalisation et HP visionnaire technologique ? On peut effectivement synthétiser ce rachat comme cela. Mais EDS va aussi permettre à HP de proposer des services sur d'autres produits que les siens. Finalement, ce rachat était-il le meilleur moyen pour HP de contrer IBM dans les services ? Oui, dans cette optique-là, c'est un bon choix. Mais encore une fois, ce sera un vrai défi. Cela va demander beaucoup de temps et d'énergie à HP. Et pendant qu'il se concentrera sur l'intégration de la SSII, les autres vont continuer d'avancer. Et pas seulement IBM. Ce sera aussi le cas d'Accenture. Sans oublier les SSII indiennes comme Wipro ou Infosys qui, sans être encore de même envergure, grandissent très vite. (...)
(13/05/2008 15:59:01)Pied de nez à IBM, HP s'offre EDS pour 13,9 Md$ [Mise à jour]
HP a confirmé l'acquisition d'EDS pour 13,9 Md$ (25$ par action). L'opération a été approuvée par les conseils d'administration des deux entreprises et devrait être finalisé au second semestre. HP annonce qu'il va plus que doubler son chiffre d'affaires en service. Et il se propulse même ainsi de la cinquième à la deuxième place mondiale du secteur juste derrière son grand rival IBM. L'entité Global Technology Services de Big Blue est depuis longtemps un important générateur de profit. « Il s'agit vraiment d'une volonté d'HP d'en découdre en face à face avec IBM, en particulier dans les services et l'infogérance, avait déjà estimé Dana Stifler, directrice de recherché chez AMR Research, alors que les deux sociétés étaient encore en discussion. » Le marché global des services IT est estimé à 748 Md$ pour 2007 par le Gartner avec une croissance de 10,5 % par rapport à 2006. IBM le domine avec 54 Md$ de C.A. suivi justement par EDS avec 22 Md$. HP n'était que cinquième avec 17 Md$, derrière Accenture et Fujitsu. Un moyen d'attirer de très grands clients, avec l'infogérance par exemple EDS va permettre à HP d'attirer de plus grands clients grâce à ses points forts. La SSII est particulièrement reconnue dans l'administration d'infrastructure ainsi que dans les services personnalisés de développement (aide à la conception, à l'intégration et à la gestion d'applications). HP avait déjà tenté d'acquérir une société de conseil, PricewaterhouseCoopers Consulting en 2000, avant de se la faire souffler justement par IBM deux ans plus tard. Les services n'ont représenté que 16% du C.A. de HP en 2007, soit 104.3 M$ alors qu'IBM en tire plus de la moitié de ses revenus. EDS a realisé 22,1 Md$ en 2007, soit à peine plus qu'en 2006. Son bénéfice est quant lui passé de 470 M$ à 716 M$. Ils emploient 139 500 de personnes dans le monde contre 172 000 chez HP. [Mise à jour] EDS restera une entité séparée [[page]] HP va créer une nouvelle entité qui continuera de s'appeler EDS et restera basée à Plano au Texas, actuel siège social de la SSII. Une très bonne idée selon Ben Pring, analyste du Gartner. Ronald Rittenmeyer, PDG de la SSII, en garde la direction. « C'est nous qui injecterons notre activité d'externalisation dans EDS » explique Mark Hurd, PDG de HP. Ann Livermore, actuellement en charge du Technology Solutions Group (TSG) sera donc déchargée de cette partie et conservera le stockage, les serveurs et les logiciels. « Plus les temps sont durs, mieux les services se portent.» « Acheter une activité de services dans une économie hésitante est un bon investissement parce que c'est à ce moment-là que les clients cherchent à réduire les coûts en externalisant, estime Mark Hurd. Les services sont une activité anti-cyclique : plus les temps sont durs, mieux les services se portent. » Selon Ronald Rittermeyer, EDS a un bon nombre de contrats en vue. Il y a peu de recouvrement au niveau des canaux par lesquels les deux entreprises s'adressent à leurs clients car HP cible principalement les PME et EDS les grands comptes. Néanmoins, Mark Hurd estime qu'il existe d'autres secteurs d'activité dans lesquels les deux sociétés peuvent identifier des « synergies significatives » et trouver des moyens de réduire les coûts opérationnels. Enfin, HP a aussi réévalué à la hausse l'estimation de son C.A. pour l'année fiscale 2008 (décembre 2008). Il devrait se situer dans une fourchette de 114,2 Md$ et 114,4 Md$ plutôt que de 113,5 Md$ et 114 Md$. Son C.A. du deuxième trimestre qui sera publié le 20 mai, devrait atteindre 28,3 Md$ et serait donc meilleur que les estimations des analystes. (...)
(12/05/2008 23:54:05)HP serait prêt à débourser 13 Md$ pour EDS
HP serait tout prêt de mettre la main sur la SSII américaine EDS. D'après le Wall Street Journal, HP pourrait débourser quelque 13 Md$, soit près de 37% de mieux que la capitalisation boursière d'Electronic Data Systems à la cloture de la Bourse vendredi dernier. Les deux sociétés ont simplement confirmé être en discussion. Ce rachat permettrait à HP de se rapprocher du numéro un des services, IBM. Selon des chiffres compilés par Gartner, en 2007, IBM dominait le marché, avec un chiffre d'affaires de 54 Md$ (7,2% de part de marché). Venait ensuite EDS (22 Md$, 3%) puis HP (17 Md$, 2,3%). EDS avait un temps été convoitée, selon la presse financière allemande, par Deutsche Telekom. (...)
(09/05/2008 17:29:22)Trimestre décevant pour Osiatis en raison de projets retardés
Début d'année fiscale poussif pour Osiatis qui invoque des projets retardés et des difficultés de recrutement pour expliquer une croissance de 1,1% de son CA au premier trimestre. Sur le premier trimestre de l'exercice 2008, la SSII a en effet réalisé un CA de 60,2 millions d'euros (ME) contre 59,5 au premier trimestre de l'exercice précédent. C'est la France qui affiche une certaine méforme avec un CA stable à 52,7 ME contre une progression de 7% à l'international avec un CA de 7,5 ME. (...)
(09/05/2008 16:58:19)L'action Sodifrance est suspendue
L'action de la SSII Sodifrance est suspendue ce vendredi matin 9 mai à l'ouverture des cours. Elle le sera jusqu'au 19 mai, précise Franck Mazin son PDG qui publiera un communiqué mardi 13 mai prochain en fin de journée. L'opération en cours ne lui autorise pas à communiquer d'autre information. La société vient juste de publier ses résultats trimestriels. A périmètre constant, Sodifrance a progressé de 6,9% sur le 1er trimestre avec 17,3 millions d'euros (ME) de CA contre 11,8 ME au 1er trimestre de l'exercice précédent. En tenant compte des deux acquisitions, API-Group et Onext, la croissance serait de 46,7%. (...)
(07/05/2008 09:49:03)Le fondateur de TomorrowNow s'attaque au support de SAP R/3
Des prestations de maintenance autour des applications de gestion SAP R/3 qui diviseraient par deux les dépenses annuelles consacrées à ce poste. C'est l'offre que vient de constituer, aux Etats-Unis, la société Rimini Street en profitant, pour l'annoncer discrètement, de la tenue concomitante à Orlando de la conférence utilisateurs Sapphire de l'éditeur allemand SAP (04-07 mai 2008). Rimini Street a été créée en 2005 par Seth Ravin, qui n'est pas un inconnu pour SAP. C'est lui qui, cette année-là, avait revendu à l'éditeur allemand la société TomorrowNow, spécialisée dans la maintenance des applications Oracle. Une acquisition qui, par la suite, devait causer bien des tracas à SAP, accusé par Oracle de vol d'informations par son intermédiaire (l'instruction est en cours). La société dirigée par Henning Kagermann aimerait bien, depuis quelques mois, se séparer d'une filiale devenue plutôt embarrassante. Une prestation à prix cassé alors que SAP augmente ses tarifs En s'attaquant au support de SAP R/3, Rimini Street espère tirer profit de la récente décision de SAP de supprimer son option de « Basic Support » tarifée à 17%, en faveur d'une option plus complète, proposée à 22%. Prévue pour démarrer début 2009, la prestation de support de Rimini Street vise en effet les entreprises qui répugnent à lâcher des versions de progiciels qui leur conviennent encore parfaitement, même si elles commencent à dater. Des utilisateurs qui, toutefois, ne sont pas prêts à débourser plus que de raison pour conserver ces applications. (...)
(06/05/2008 16:10:35)IBM juge l'entreprise de demain "avide de changement"
A en croire Daniel Chaffraix, président d'IBM France, l'entreprise de demain sera « avide de changement, innovante et avant-gardiste dans son approche client, révolutionnaire par nature, intégrée à l'échelle mondiale et authentique et responsable ». Telles sont les principales conclusions d'une étude menée par IBM auprès de 1 130 dirigeants d'entreprise (dont 95% interrogés en face à face par le management d'IBM), dévoilée ce matin par Big Blue. Si l'étude ne fait a priori que confirmer la façon dont les chefs d'entreprise se voient - des capitaines visionnaires, parés pour le changement, éthiquement et socialement responsables -, la comparaison avec l'édition 2006 de cette « Global CEO Study » laisse apparaître des évolutions étonnantes. Ainsi, il y a deux ans, la priorité était de s'adapter au marché. « Aujourd'hui, note Raphaël Capelli, vice-président France de Global Business Service (la branche conseil et services d'IBM), il y a plusieurs lignes sur l'agenda, plusieurs priorités avec des poids comparables. » Proportionnellement moins de PDG confiants face à la nécessité de changer La première priorité est de s'adapter au changement. Qu'il s'agisse de faire évoluer le modèle économique, de s'attaquer aux pays émergents ou de s'ouvrir à une nouvelle catégorie de consommateurs très Web 2.0, 83% des dirigeants interviewés disent attendre « des changements substantiels » dans les trois ans à venir. Ils n'étaient que 65% dans l'enquête précédente. En revanche, le fossé se creuse entre ceux qui pensent pouvoir s'adapter au changement et les autres. En 2006, l'écart était de 8%. [[page]]Cette année, il se monte à 22%. Pour Raphaël Capelli, cela montre « une certaine lucidité » de la part des chefs d'entreprise. « Ces derniers sont conscients, dit-il, des problèmes d'accès aux compétences, souvent résolus par des partenariats ou des rachats, eux-mêmes risqués. » Ils craindraient également les chocs culturels : les hommes sont-ils prêts à changer en même temps que l'entreprise ? IBM espère ainsi renforcer l'intimité avec ses clients Interrogé par IBM et présent lors de la divulgation des résultats de l'enquête, Jean Criton, directeur général de Banque Populaire Rives de Paris, abonde sur ce problème de conduite du changement : « Nous avons des outils superbes avec le CRM. Mais il y a le problème humain : il ne faut pas que les conseillers aient l'impression que la machine leur dicte leur comportement. » Etrangement, IBM dit ne pas avoir profité de cette étude pour évaluer la vision des technologies de l'information par les CEO. Toutefois, ce travail n'est pas fait en vain : chaque dirigeant interviewé sera recontacté par IBM pour un débriefing personnalisé. Comme l'explique Daniel Chaffraix, « le but est de créer une intimité des entreprises avec IBM autour de la valeur qu'IBM peut leur apporter [...] et de partager sur le fait que nous sommes capables, du fait de la largeur de notre portfolio, d'amener des réponses à des problématiques qu'on aura soulevées ensemble. En particulier sur ce différentiel entre 'je veux changer' et 'je sais changer'. » (...)
(06/05/2008 13:01:40)SAP et Microsoft veulent aider les banques dans leurs projets SOA
SAP, Microsoft et quinze autres sociétés -SSII ou acteurs du monde bancaire- viennent de créer l'association BIAN (Banking industry architecture network) afin de partager leur expertises techniques et méthodologies pour faciliter l'évolution des systèmes informatiques des banques vers une architecture orientée services (SOA). Parmi les membres figure la SSII française Steria. L'association rappelle que les systèmes d'information en place dans les banques comportent toujours une large part de développements spécifiques. Ces derniers constituent une entrave de plus en plus gênante avec la globalisation des marchés financiers. BIAN se donne pour objectif d'encourager le développement de services standardisés, vers lesquelles les banques pourraient évoluer par étapes. L'une des difficultés rencontrées dans le cadre des projets SOA réside dans la définition sémantique des services (un sujet notamment évoqué lors des premières assises du développement de SI durables, en janvier dernier). C'est un chantier auquel SAP a commencé à s'atteler pour le secteur bancaire en créant, en 2005, le regroupement IVN (industry value network) for Banks qui rassemble 37 éditeurs et institutions financières. L'association BIAN (de droit allemand) a adopté une politique de propriété intellectuelle ouverte afin que les spécifications qui sortent de la collaboration de ses membres puissent être mises en oeuvre sur de multiples plateformes technologiques. (...)
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