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(06/05/2008 10:02:54)

Pardus et Centaurus démentent vouloir démanteler Atos

Quelques jours avant l'assemblée générale qui devrait décider du sort d'Atos, la bataille qui oppose la direction de la SSII et ses deux principaux actionnaires prend des tournures de campagne électorale. Chacun des deux partis en appelle à la raison des actionnaires. Pardus et Centaurus ont publié hier, lundi 05 mai, une lettre affirmant qu'en aucun cas ils ne préconisent le démantèlement d'Atos, ni sa prise de contrôle, mais dénoncent le programme de réduction des coûts de la SSII (le plan 3o3). Pour les deux actionnaires, ce plan n'est pas suffisamment ambitieux, et ne répond pas à la rapidité de l'évolution du secteur des services informatiques. Ils pointent également du doigt le manque de rentabilité de la SSII. Si Atos a conclu l'année 2007 en beauté, avec un chiffre d'affaires de 5,855 Md€, en hausse de 8,5%, les résultats du premier trimestre sont décevants. Le chiffre d'affaires plafonne à 1,424 Md€, en baisse de 0,5% par rapport à la même période de l'année dernière, plombé par la vente de la filiale italienne en janvier dernier. Une issue incertaine Pardus et Centaurus enjoignent les autres actionnaires à les rejoindre en rejetant certaines résolutions qui seront soumises à leur vote lors de la prochaine AG, le 22 mai prochain. [[page]]Ils les encouragent par exemple à accepter l'admission de nouveaux candidats indépendants au sein du conseil de surveillance, et réclament purement et simplement le départ de Didier Cherpitel, président du conseil de surveillance d'Atos. Les autres revendications concernent les modifications du régime de retraite pour certains cadres, ou encore la réduction de la durée de mandat des membres du conseil de surveillance. De son côté, Didier Cherpitel a adressé le 30 avril dernier une lettre à ces mêmes actionnaires, fustigeant une nouvelle fois l'attitude déloyale et les tentatives de déstabilisation de ses opposants. S'il estime qu'il est légitime que des actionnaires représentant près de 23 % du capital de la société siègent au conseil de surveillance, il condamne les derniers agissements de Pardus et Centaurus, les accusant d'avoir « contacté des concurrents pour proposer de racheter la société » ou encore de « dénigrer publiquement l'entreprise et sa stratégie ». Ce différend paraît de plus en plus complexe à démêler. Les analystes n'osent pas trop s'avancer sur son dénouement. La banque d'investissements Bryan Garnier a par exemple refusé de s'exprimer à ce sujet, estimant qu'il s'agit d'un « conflit de personnes », donc « délicat à commenter ». (...)

(30/04/2008 16:32:05)

Le marché français sauve le premier trimestre d'Altran

L'exercice 2008 d'Altran ne débute pas sous les meilleurs auspices. Pour son premier trimestre, le groupe spécialisé dans le conseil IT annonce en effet un chiffre d'affaires qui ne progresse que de 3,6% sur un an, à 408,5 M€. Une croissance molle à mettre sur le compte des mauvaises performances réalisées à l'international. Hors de l'Hexagone, la société française voit ainsi ses revenus régresser de 0,9% pour s'aligner à 224,4 M€, avec des disparités selon les différents pays dans lesquels il exerce son activité. Si l'Autriche, les pays d'Europe de l'Est et d'Asie s'avèrent de bons élèves, le Royaume-Uni, la Suisse et les États-Unis sont à la traîne (avec des pertes respectives de 12,1%, 25,9% et 23,9%). A contrario, le baromètre est au beau fixe sur la France. Altran voit ainsi le chiffre d'affaires réalisé sur son sol natal progresser trimestre après trimestre pour culminer à 182,1 M€ au T1 2008, soit une hausse de 9% sur un an. Une réussite qui permet d'atténuer les résultats obtenus à l'étranger. En un an, le groupe a, par ailleurs, vu ses effectifs passer de 17 037 à 17 650. Eric Albrand, le directeur financier, n'a pas communiqué d'objectifs chiffrés pour la suite de l'exercice, se contentant de viser un maintien du rythme de croissance en France et un calquage rapide, à l'international, sur la progression du marché. (...)

(30/04/2008 11:16:28)

Sopra débute l'année avec une croissance à deux chiffres

Démentant les craintes concernant les SSII en début d'année, Sopra publie d'excellents résultats pour son premier trimestre. Le chiffre d'affaires consolidé se monte à 268,7 M€ avec une croissance organique de +10,6% et une croissance totale de +12,3%. Deux activités dépassent largement le seuil des 10% de croissance organique : l'intégration en France affiche + 11,9% et l'édition logicielle, via la filiale Axway, + 12,3%. Cette dernière activité permet d'ailleurs à Sopra de se placer deuxième dans le classement Truffle100 des cent premiers éditeurs français. En revanche, la partie conseil est à +9,3% et la partie intégration Europe à +6%. Pour 2008, la SSII table sur une croissance soutenue supérieure au marché des services En se projetant sur le reste de l'année, et au vu des carnets de commande du 1er trimestre, Sopra anticipe une accélération de sa croissance pour l'intégration France, une croissance soutenue pour Axway aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, des croissances identiques pour le conseil et l'intégration Europe. En résumé, Sopra se fait fort d'obtenir « une croissance au moins équivalente sur le deuxième trimestre et se montre confiant dans sa capacité à soutenir, dans l'environnement actuel, une croissance organique supérieure à celle du marché sur l'ensemble de l'exercice 2008 ». Rappelons que le Syntec table sur une croissance de 6 à 7% pour l'ensemble du secteur des logiciels et services cette année. (...)

(29/04/2008 12:22:52)

Bercy mise sur la dérégulation et la fibre optique pour moderniser l'économie

La ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi, Christine Lagarde, a présenté hier - 28 avril - les grandes lignes de son projet de loi sur la modernisation de l'économie (LEM), qui s'articule autour de 44 articles mêlant déréglementation et simplification des démarches administratives Le texte accorde une grande place aux TIC. La locataire de Bercy, qui a rappelé que « la France est connue pour son avant-gardisme en matière technologique », mise en particulier sur la modernisation du territoire pour en accroître l'attractivité. La ministre s'est ainsi rapprochée d'Eric Besson, récemment nommé secrétaire d'Etat chargé du développement de l'économie numérique, pour « gagner le pari du très haut débit en étendant l'usage de la fibre optique ». L'objectif : raccorder au moins 4 millions de foyers à l'horizon 2012. Un but qui rappelle celui fixé par le Président de la République à l'occasion de l'ouverture du Cebit 2008. Le chef de l'Etat s'engageait alors à relier 100% des ménages au haut débit d'ici à la fin de son mandat. La promotion de la fibre passera notamment par le pré-câblage des immeubles neufs, le raccordement facilité des immeubles existants et la possibilité laissée aux collectivités d'aménager numériquement leur territoire. Autant de mesures déjà évoquées en février par le comité de pilotage du très haut débit. Au chapitre de la mobilisation des entrepreneurs - un sujet qui intéressera particulièrement les jeunes structures du secteur de l'IT -, Christine Lagarde entend faciliter la création d'entreprise individuelles avec, pour toute formalité requise, un seul document à remplir. De même, l'obligation d'immatriculation pour les activités indépendantes sera supprimée. L'effort de création d'entreprise passe également par des cadeaux fiscaux : les entrepreneurs individuels paieront ainsi leurs impôts et cotisations sociales en une seule fois avec un impôt maximum de 13% pour un chiffre d'affaires inférieur à 76 300 € (pour les activités de commerce) ou de 23% (activités de services et CA inférieur à 27 000 €). Une mesure dont le coût est estimé à 60 M€. Dans le même esprit, le droit de mutation à titre onéreux bénéficiera d'une réduction allant de 3% à 5%. Et dans le cadre d'une transmission d'entreprise à un membre de la famille ou aux salariés, la LME prévoit une exonération de droit jusqu'à 300 000 €. L'enveloppe prévue par l'Etat pour ces avantages s'élevant à 100 M€. Le texte adopté en conseil des ministres répond à la lettre de mission présidentielle fixant l'objectif de « lever les contraintes qui empêchent certains secteurs de se développer, de créer des emplois et de faire baisser les prix ». Rédigé sur la base du rapport Attali, dont il reprend une trentaine de propositions, et en collaboration avec les parlementaires de la majorité. In fine, la ministre estime que son plan est susceptible de générer « au moins 0,3 point de croissance et 50 000 emplois par an » dès 2009. La LME sera examinée par les parlementaires à partir du 27 mai, lesquels devraient procéder à son vote au début du mois de juillet. (...)

(28/04/2008 13:01:47)

ITS Group s'engage à reclasser des chômeurs

La société de conseil et de services informatiques ITS Group s'engage une nouvelle fois à recruter et à former des chômeurs. Pour la quatrième fois en moins de deux ans, elle ouvre ses promotions Unix à une dizaine de personnes en recherche d'emploi, des bacs + 5 issus de formations scientifiques et non informaticiens. Les candidats qui souhaitaient se réorienter vers les métiers de l'informatique ont ainsi été accompagnés dans leur reconversion par une formation de 29 jours à Unix, assortie d'un poste de consultant, en CDI. Les cours qui se sont tenus le 14 avril et prendront fin le 28 mai seront suivis d'une embauche en CDI dès le le 2 juin. La SSII a déjà reçu une vingtaine de candidats diplômés de secteurs de tous horizons, comme les mathématiques, la physique, la chimie, la biologie, ou la qualité des matériaux. Sur les dix retenus, des trentenaires pour la plupart, un peu plus de la moitié vient du monde de la chimie, secteur qu'ils ont quitté après plusieurs mois, voire plusieurs années de recherche d'emploi sans succès 70% du temps de formation consacré à la pratique Afin de rendre ses nouvelles recrues rapidement opérationnelles sur les projets de ses clients, ITS Group a décidé d'allouer 70% du temps de la formation à la pratique. Trois thèmes sont abordés : la philosophie du système Unix, l'initiation au scripting shell et les bases de données Oracle. Au terme de la formation, une rencontre est organisée entre les nouvelles embauches, le service RH et les directeurs d'agence afin de positionner au mieux les candidats selon leurs compétences fonctionnelles et techniques et sur les besoins de chaque projet clients. (...)

(25/04/2008 11:17:22)

Truffle 100 : Le classement des éditeurs français perd sept entreprises et un milliard d'euros

Comme chaque année, la société européenne de capital-risque Truffle publie, avec le CXP et Syntec Informatique, son classement des 100 premiers éditeurs de logiciel français. 2007 a vu une forte concentration du marché avec l'acquisition de sept entreprises parmi les 50 premières du dernier Truffle 100, toutes par des sociétés étrangères. Elles représentaient un poids total non négligeable de 1,1 Md€ de C.A. Il faut dire que parmi elles se trouve l'ancien numéro deux et poids lourd du secteur, l'emblématique Business Objects, avalé par les Allemands de SAP. Le C.A. total du classement accuse une baisse de 13,5% et passe de 4,2 Md€ en 2006 à seulement 3,7 Md€ en 2007. le C.A. de la moitié des éditeurs sous la barre des 10M€ Mais encore et toujours, le Truffle 100 stigmatise la difficulté des petits éditeurs à devenir des entreprises à fort potentiel aux ambitions internationales. Bien sur, on pourrait se réjouir pour le numéro un, Dassault Systèmes, qui affiche fièrement 1,260 Md€ de C.A. Mais là où le bât blesse c'est que cela représente déjà un tiers des revenus du classement. Et juste derrière lui, à la deuxième place, l'activité logicielle de Sopra Group émarge déjà à 1Md€ de moins ! Et le plongeon continue. Dès la 9e marche, Generix Group descend sous les 100 M€ et il ne faut pas aller beaucoup plus loin pour passer sous la barre des 20 M€ avec Planisware en 28e position. Plus de la moitié des entreprises gagne moins de 10 M€. A noter enfin, la domination écrasante de l'Ile de France qui regroupe 62 éditeurs du palmarès. Les difficultés à trouver des financements auprès de capitaux risqueurs paradoxalement souvent frileux, à travailler avec le secteur public, à mener à bien leur R&D, à embaucher, à se retrouver dans la jungle des aides publiques, condamnent les éditeurs hexagonaux à demeurer de petites structures. La plupart du temps, ce n'est pourtant pas faute de compétence ni de passion. A l'occasion de l'inauguration de ses nouveaux bureaux, l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciel) a d'ailleurs rappelé cette situation inquiétante et évoqué des solutions telles qu'un Small business act à la française. Pour en savoir plus : l'interview vidéo du patron de Dassault Systèmes sur les difficultés des éditeurs de logiciels français (...)

(23/04/2008 14:54:42)

EDS ferme trois sites en région et licencie 80 salariés

La filiale française de la société de services EDS annonce un projet de réorganisation régionale qui se soldera par la fermeture de plusieurs sites en province et par le licenciement de salariés qui y sont rattachés. Les trois centres de la SSII situés à Villeneuve d'Ascq (Nord), Freyming-Merlebach (Moselle) et Lingolsheim (Bas Rhin) cesseront bientôt leur activité, d'où un Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) lié à ces fermetures. Selon la direction de la communication, ce plan ne concernera pas la totalité des postes rattachés à ces trois sites mais un maximum de 80 emplois, soit moins de 3,5% des effectifs de la filiale française. « Les exigences actuelles du marché nous conduisent à mener des plans de productivité importants pour maintenir notre compétitivité, justifie EDS, dans un communiqué. L'un des axes de ces plans réside dans le regroupement de nos centres de production, décision qui fait partie intégrante de la stratégie mondiale du groupe.» Un marché local de l'infogérance devenu trop réduit Historiquement, la présence d'EDS dans ces régions s'explique par la signature de contrats d'infogérance datant du début des années 1990. Or aujourd'hui, EDS estime que la structure du marché local associée à la concurrence déjà établie et à la stratégie du groupe ne justifient plus sa présence dans ces régions sauf pour quelques grands comptes. Pour se donner bonne conscience, la SSII s'engage à mettre en oeuvre des mesures d'accompagnement afin d'aider les salariés concernés à retrouver un emploi : ouvertures de postes en interne, mesures d'aide à la mobilité, formations d'adaptation et primes de mutation. Un espace « Conseil Emploi » avec l'assistance d'un cabinet de consultants spécialisés dans l'accompagnement au reclassement devrait également être mis en place. (...)

(22/04/2008 17:43:09)

Logica supprime 1 300 emplois en Europe

La SSII Logica (39 000 salariés) vient d'annoncer un plan de restructuration qui devrait, selon un communiqué, « relancer l'activité du groupe et améliorer le rendement des actions ». Reste que ce programme « de revitalisation » passera par la réduction de 1 300 emplois, soit 3% de l'effectif total du groupe : 500 licenciements toucheront la Grande-Bretagne, tandis que le continent européen devrait subir 2% de coupes, en Allemagne, en Suède et également en France. Cette restructuration coûtera à Logica, 70 millions de livres cette année et 40 millions en 2009. A partir de 2010, l'entreprise devrait parvenir à économiser 80 millions de livres par an. Dans l'Hexagone, on s'attend à des suppressions de postes dans les fonctions centrales de la SSII : Les syndicats français parlent de 250 réductions d'emplois sur des activités qui pourraient bien être délocalisées dans des pays dits à bas coûts. «Chez Logica France, les coupes devraient se monter à 2% de l'effectif actuel (9 000 collaborateurs), et heurter les fonctions centrales de plein fouet, prévient Hubert Macone, délégué syndical CGT chez Logica. Les services centraux, comme le contrôle de gestion, la paye, la facturation, ou le relevé des activités, seront délocalisés, ce qui conduira à d'inévitables licenciements. ». En France, le voile sera levé le 5 mai, à l'issue d'un Comité Central d'Entreprise (CCE), tandis que le lendemain, les Top Managers français se réuniront. Logica a également déclaré vouloir investir davantage dans la vente, le marketing, le conseil (où le nombre de collaborateurs devrait passer de 2 500 à 3 500) ainsi que dans la sécurité et la facturation automatisée (pour l'électricité, l'eau, etc.) qualifiés par la SSII de domaines en croissance. L'entreprise va également accroître son offre d'externalisation, et faire doubler le nombre de ses collaborateurs dans les pays offshore d'ici 2009 à 8 000. Pour 2008, la SSII table sur une hausse de 3% de son chiffre d'affaire, et également sur une extension de sa marge d'environ 0,5 % par an en 2009, assortie d'une augmentation de 0,5% à 1% en 2010. (...)

(21/04/2008 09:31:25)

Une plateforme collaborative pour les entrepreneurs de l'Ouest francilien

La chambre de commerce et d'industrie de Versailles, du Val d'Oise et des Yvelines (CCIV), vient d'ouvrir une plate-forme collaborative à destination des chefs d'entreprise de l'Ouest francilien, et des collectivités territoriales et locales. Ecobiz permet aux acteurs économiques des Hauts de Seine, du Val d'Oise et des Yvelines d'assurer une veille économique en ligne et de partager leurs pratiques professionnelles, en accès gratuit. Cette solution packagée, développée avec le logiciel KnowledgeManager de Knowings, associe une méthode d'animation de communautés d'entreprises et un portail collaboratif d'information et de services. Côté contenu, la plateforme propose des informations juridiques, des données sur l'économie nationale et régionale, des pistes sur la formation, l'intelligence économique, et l'environnement, et des indications sur les démarches nécessaires à la création et à la transmission d'entreprise. Des bases de connaissances (ressources documentaires, indicateurs économiques, fiches pratiques et dossiers thématiques en ligne) sont également à disposition des utilisateurs qui peuvent y apporter leurs propres contributions. Un agenda économique local les tient informés des réunions d'information, manifestations et événements de la CCIV. En parallèle, il est possible d'obtenir des conseils d'experts en ligne, ainsi qu'une sélection d'appels d'offres publics et privés. Egalement à disposition des adhérents, un annuaire de contacts (rassemblant un peu plus de 1 000 sociétés et 2 000 membres), ainsi que des réseaux thématiques, destinés notamment aux managers de l'environnement, aux jeunes entreprises, et à la création/transmission/reprise d'entreprises. (...)

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