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(03/02/2011 14:30:50)
Une coupure d'Internet estimée à 65 millions d'euros pour l'Egypte
L'Organisation de coopération et de développement économique basée à Paris a déclaré que les services de télécommunications et d'Internet représentaient entre 3 et 4% du PIB de l'Égypte, le blocage de l'accès à Internet a provoqué une perte quotidienne d'environ 18 millions de dollars. Le blocus a été levé mercredi, mais le calcul du coût réel de cette intervention étatique prendra un peu plus de temps pour être évalué.
En coupant certaines communications, le gouvernement a rompu les liens entre les entreprises nationales et internationales avec le reste du monde. En conséquence, l'OCDE a mis en garde, l'Egypte qui devrait avoir « beaucoup plus de difficultés à l'avenir pour attirer les entreprises étrangères et les assurer que les réseaux demeurent fiables. » Les fournisseurs de services Internet ont cessé le routage du trafic, juste après minuit, vendredi dernier, alors que les protestations contre le régime du président Hosni Moubarak s'étaient intensifiées au Caire.
En quelques minutes, le volume du trafic Internet s'écoulant de l'Egypte vers le reste du monde a été réduit à un mince filet, comme l'indique Arbor Networks, société spécialisée dans la sécurité. « Nous n'avons jamais vu un pays habituellement très connecté perdre complètement sa connectivité à Internet pour une période aussi longue », a déclaré Craig Labovitz, ingénieur en chef chez Arbor Networks, sur le blog de la société. « Contrairement à des périodes plus anciennes, les gouvernements des pays qui disposent d'un existant technologique important ne peuvent pas perturber de télécommunication sans encourir d'importants coûts économiques et sociaux » conclut le responsable.
Crédit Photo : D.R
(...)(01/02/2011 09:48:37)Lotusphere 2011 : IBM a les yeux tournés vers le cloud et l'intégration
« Get Social, Do Business » (Aller vers le social, c'est faire des affaires), tel est le leitmotiv du millésime 2011 de Lotusphere d'IBM à Orlando. Et l'aspect social est décliné sur l'ensemble des métiers de l'entreprise, relation avec le client, échange et partage entre centres d'activités, webconferencing, boîte à idée, etc. Pour mettre en perspective cette montée en puissance du partage de compétences, IBM avait invité Kevin Spacey en guest star. Ce dernier a rappelé son intérêt de voir émerger et de dénicher de nouveaux talents à travers son site triggerstreet.com (sorte de mymajor company, qui demande une contribution aux internautes pour financer les premiers longs métrages). Il est aussi connu pour avoir produit le film relatant la vie de Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, « The social network », qui a obtenu 6 nominations pour la prochaine cérémonie des oscars.
La bureautique dans les nuages
Après le show bien rôdé, place aux annonces. La première est la disponibilité au deuxième semestre 2011 de la suite bureautique Lotus Symphony (reposant sur une base du logiciel Open Source Open Office) en mode cloud. Cette version hébergée se décline en traitement de texte, tableur et outil de présentation. Elle sera accessible aux utilisateurs de Lotus Live et entre en concurrence directe avec les offres d'Oracle, Microsoft et Google. On retrouve ainsi des fonctionnalités comme le partage et la modification de document en temps réel et en simultané. Jeff Schick, vice-président Social Software d'IBM a indiqué que la suite en version cloud serait payante, comme une option au sein de la plateforme en ligne LotusLive. Aucune précision n'a été cependant apportée sur le montant de cette option, mais le prix devrait être suffisamment agressif pour être compétitif. IBM souhaite qu'une majorité de ces clients migrent vers cette solution. Une version « technical preview » est déjà disponible pour les développeurs pour travailler sur l'intégration et l'enrichissement des fonctionnalités.
Renforcer le dialogue avec les applications d'entreprises
Pour améliorer les offres collaboratives, l'accent a été mis à Lotusphere sur une plus grande intégration entre les services proposés par IBM et les applications d'entreprises. La semaine dernière, Big Blue avait ainsi annoncé des passerelles entre LotusLive et SugarCRM et Ariba, pour accompagner le développement du « social commerce », capable de dialoguer entre les revendeurs et les partenaires commerciaux. Pour accélérer ce processus d'intégration et d'adoption au sein de l'entreprise, IBM propose un ensemble d'outils basés sur des API qui se chargent d'agréger le contenu des différentes applications et de le délivrer au sein d'un framework rénové. Jeff Schick admet s'être inspiré de Facebook pour proposer le système « streaming activity ». Sur la même interface, le collaborateur dispose de sa messagerie et de son flux d'informations provenant des applications mis en mode collaboratif (Twitter, Facebook, mais également des ERP comme SAP). « Cela évite de basculer d'une application à une autre, le collaborateur peut interagir directement sur l'information », précise le responsable. Ce framework, qui peut se définir comme une extension de la solution Lotus Connections, s'adapte à l'ensemble des postes clients, y compris les smartphones ou les tablettes. Il s'agit aussi de la première étape du projet Vulcan, présenté lors de l'édition précédente de Lotusphere.
Le co-CEO du constructeur canadien RIM, Jim Balsillie, a tenu à présenter la disponibilité de ce framework sur la tablette maison, le Playbook. Les autres constructeurs ou éditeurs ne sont pas oubliés. La disponibilité sur iPhone et iPad, ainsi que l'interopérabilité avec Android et Symbian est également assurée pour l'application Lotus Live Notes Traveler.
Illustration : Séance de questions/réponses, de gauche à droite, Jim Balsillie, co-CEO de RIM, Alistair Rennie, General Manager de Lotus Software et Collaboration Solutions, Jeff Schick, Vice-Président de Social Computing Software, Kevin Canaugh, Vice-Président Messaging et Collaboration Software, et Larry Bowden, Vice-Président de l'activité Portail et Web Experience Software.
Crédit Photo: D.R. (...)
Internet et mobile, un tarif social qui mécontente
Dans un communiqué, l'UFC tacle la proposition des membres du gouvernement pour un forfait mobile de 30 minutes et 30 SMS à 10 euros par mois. Elle estime que ce type d'offres existe déjà chez les opérateurs mobiles virtuels (MVNO) et que ces forfaits manquent de souplesse.
« Ce type d'offre doit ouvrir la possibilité de ne pas faire le même effort financier chaque mois, alors que le dispositif proposé -bien que sans engagement- implique un paiement mensuel pour maintenir une continuité de service. De ce point de vue, améliorer le prépayé en déplafonnant les durées de validité des crédits de consommation aurait été plus utile », explique l'UFC, qui souhaite par exemple étendre la validité des formules prépayées à 2 mois au lieu de 10 jours actuellement, tout en proposant des cartes de petit montant à bas prix (15 centimes la minute de communication).
Internet même combat
Autre point de discorde avec les mesures des deux ministres, l'offre de 20 euros concernant l'Internet fixe par le biais d'un subventionnement du fonds universel. Pour être accessible, ce forfait devrait être proposé à 10 euros maximum, indique l'UFC. L'association demande au gouvernement de « revoir sa copie ».
A l'issue d'une réunion avec les opérateurs, Eric Besson et Frédéric Lefebvre ont annoncé jeudi 27 janvier la signature, fin février, d'une convention pour la mise en place d'un tarif social de téléphonie mobile pour les plus démunis, dont les bénéficiaires du RSA.
Un pirate commercialise ses « exploits » sur Internet
Imperva, une société spécialisée dans la sécurisation des données, a découvert un pirate qui prétend vendre des accès à des sites militaires, gouvernementaux et éducatifs à travers le monde. Les prix varient de 499 dollars pour les sites militaires américains à 55 dollars pour un accès au compte administrateur sur le site web de l'Etat du Michigan. La société précise également que le pirate vend des renseignements personnels issus de sites web piratés à 20 $ pour 1000 données. Pour prouver ses dires, le hacker fournit des captures d'écran d'accès aux renseignements personnels et à l'interface d'administration d'une grande université. Il peut aussi «pirater un site web normal » pour 10 $ et propose 3 Mo de données aléatoires issues de comptes piratés pour 65 $.
Pas de méthodes innovantes, mais un opportunisme commercial
Imperva pense que cette personne a réussi à s'introduire sur les sites grâce à une technique d'injection de code. « La mise en vulnérabilité du site des victimes est due probablement à une injection SQL, exploitée de manière automatique, comme le pirate l'a indiqué dans un post sur certains forum de hackers», écrit Rob Rachwald dans un message sur le blog Imperva Securities Data.
Ancien reporter du Washington Post, Brian Krebs pense que les méthodes utilisées restent standards. « J'ai vu quelques-unes des preuves proposées par le pirate, mais je ne crois pas qu'il ait inventé quelque chose », explique-t-il sur son blog KrebsonSecurity. Il note d'ailleurs que les cartes bancaires ne sont pas acceptées par le hacker qui préfère de la monnaie virtuelle via un compte sur Liberty Reserve.
(...)
Vers un tarif social pour l'ADSL et le mobile
Le secrétaire d'Etat à la Consommation Frédéric Lefebvre doit tenir une table ronde, le 27 janvier prochain, invitant les opérateurs à faire des propositions sur un tarif social dans l'Internet fixe pour les foyers les plus modestes, selon le quotidien La Tribune. Ce projet avait déjà été lancé il y a un an par le Premier ministre François Fillon, qui avait évoqué à l'époque des offres triple play à 20 euros par mois pour les plus démunis. Des opérateurs avaient proposés dans le cadre de convention avec les bailleurs sociaux d'appliquer des tarifs bas pour l'accès téléphonique, plus un accès à Internet haut débit (limité à 512 kbits).
Pour rappel, Frédéric Lefebvre avait fait voter en 2008 le principe d'un tarif social dans la téléphonie mobile. Orange, propose par exemple depuis 2009 une offre spéciale à 10 euros par mois pour les bénéficiaires du RSA. Sur ces différentes initiatives, les opérateurs restent circonspects en estimant qu'ils vont de nouveau mettre la main à la poche, après plusieurs vagues successives de taxes, redevances, etc.
(...)(19/01/2011 14:28:44)Plus de téléchargements légaux et gratuits pour les internautes français
Selon le baromètre REC de l'institut GfK, diffusé mercredi 19 janvier en exclusivité par l'AFP, les internautes seraient de plus en plus enclins à télécharger légalement de la musique sur des sites dédiés. 43% des sondés ont utilisé des magasins de musique en ligne, gratuits comme payants, plutôt que des réseaux d'échange ou de partage de fichiers en ligne (41% des personnes interrogées), au 4ème trimestre 2010.
Ces résultats montrent aussi l'importance de la gratuité sur le web. En effet, 74% des personnes interrogées ont consulté ou téléchargé plus de livres gratuits que d'ouvrages payants sur Internet. A contrario, la presse reste encore largement majoritaire au format papier (62 %). Seuls 14% des lecteurs lisent exclusivement la presse numérique.
En ce qui concerne la vidéo, les contenus les plus téléchargés et/ou visionnés sur la Toile sont les séries télé (59%), devant les films (57%). Ce baromètre trimestriel analyse les comportements des Français sur la Toile et propose une vue d'ensemble des marchés de contenus numériques. Il a été établi par Gfk sur la base d'un échantillon de 1 000 personnes âgées de 15 à 65 ans, représentatif de la population française des internautes.
Bosstoboss.fr cible l'achat et la revente de matériel professionnel
Après 6 premiers mois d'activité en tant que plate-forme de mise en relation directe entre vendeurs et acheteurs d'entreprises, Bosstoboss.fr propose aux internautes un nouveau service de vente et de rachat de matériel professionnel. Qu'il s'agisse de se débarrasser d'un surplus de matériel ou de libérer de l'espace, le système permet aux cédants d'accélérer leurs recherches d'acheteurs. Ce service à la disposition des particuliers et des professionnels concerne aussi bien du matériel neuf que d'occasion, quel que soit sa nature : menuiserie, transport, informatique, impression, électricité, agriculture, commerce... Chaque transaction est accompagnée d'un service diagnostic avant-vente et d'un service d'accompagnement tout au long de la transaction.
Bosstoboss.fr a également mis en place l'opération « Première installation ». Les internautes cèdent leur matériel pour 1€ symbolique afin de se débarrasser facilement de tout matériel encombrant tout en soutenant les jeunes entrepreneurs. Toutes les annonces sont diffusées sur le réseau européen de Bosstoboss.fr. L'entreprise est en effet basée au Luxembourg et implantée en France, en Suisse et Belgique. Le site revendique plus de 3 000 visiteurs par jour.
Les tablettes n'échappent pas à la taxe sur la copie privée
Réunie hier, la Commission copie privée, chargée d'établir le barème des taxes s'appliquant aux supports numériques (CD, DVD, cartes mémoires, etc.), a adopté de nouvelles tarifications selon différentes catégories de supports. La taxe sur les mémoires de stockage type disque dur/lecteur MP3 ou autoradios sera par exemple de 1 euro par appareil pour une capacité de 128 Mo, et de 20 euros pour des capacités supérieures à 20 Go.
Egalement concernées, les tablettes tactiles multimédias avec fonction baladeur, dotées d'un système d'exploitation pour terminaux mobiles ou d'un système d'exploitation propre. Il faudra ainsi compter 8 euros pour une tablette dont la mémoire interne est comprise entre 10 et 20 Go, 10 euros entre 20 et 40 Go, et 12 euros pour un modèle de plus de 40 Go.
L'iPad, disponible en trois versions (16, 32 et 64 Go), sera ainsi taxé à hauteur de 8, 10 et 12 euros. Les tablettes fonctionnant sous le système d'exploitation Google Android, comme la Samsung Galaxy Tab, les tablettes d'Archos ou celles de Toshiba, seront également taxées. La taxe devrait prendre effet après publication au Journal Officiel, probablement au 1er février 2011. La redevance pour copie privée compense le droit d'une personne à reproduire un oeuvre pour son usage privé en redistribuer les recettes de la taxe aux ayants droit (auteurs, interprètes, etc.).
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