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(16/12/2010 11:59:23)
Free échange augmentation tarifaire contre hausse de croissance
(Source EuroTMT) Après avoir expliqué depuis 2002 et le lancement de son premier forfait DSL que son tarif de 29,99 euros était immuable malgré l'enrichissement progressif de son offre, Free vient de faire sa « révolution » et a annoncé une hausse de 5,99 euros par mois du prix de son forfait triple-play.
Cette hausse ne s'applique toutefois que dans un seul cas : si l'abonné choisit la formule du dégroupage total. S'il est en dégroupage partiel ou non dégroupé, les tarifs n'augmentent pas. Selon l'opérateur, 88 % de ses abonnés sont en dégroupage partiel ou total. Pour justifier ce coup de pouce, supérieur à celui pratiqué par ses concurrents (SFR a augmenté le prix de son forfait de 5 euros pour sa nouvelle box « Evolution »), Xavier Niel, le fondateur et principal actionnaire d'Iliad, a indiqué qu'il venait compenser le coût du dégroupage total. Selon Thomas Reynaud, le directeur financier d'Iliad, les coûts globaux liés au dégroupage total d'une ligne s'élèvent en effet à 12 euros par abonné et par mois (contre 4 euros pour le dégroupage partiel). Cette explication est un peu courte. Iliad devait déjà supporter ces coûts, et cela ne l'empêchait pas d'enregistrer d'excellentes performances financières (une marge d'Ebitda de 38,6 % à fin juin 2010, digne des opérateurs mobiles français).
Des justifications autres
Pourtant, Free aurait eu d'autres arguments à avancer pour justifier cette hausse de son tarif. A commencer par l'intégration - réellement nouvelle dans le paysage - de tous les appels fixe vers mobile en France métropolitaine dans son forfait ! Sans attendre l'ouverture commerciale de son réseau mobile, Free avait besoin de réagir face au succès des forfaits quadruple-play lancés par ses concurrents (à commencer par Bouygues Telecom). Il a donc décidé de rendre gratuit les appels vers les mobiles (quel que soit l'opérateur du destinataire).
Cette initiative sur les mobiles a été rendue possible par la baisse significative du tarif de la terminaison d'appel mobile et elle va, sans doute, constituer un fort argument commercial en faveur de Free. Interrogé en marge de la présentation de la nouvelle offre, Thomas Reynaud n'a toutefois pas voulu répondre à la question sur les appels fixes domestiques qui sont actuellement exclus du forfait et pour lesquels le FAI a reçu une mise en demeure de l'Arcep.
Innover pour séduire
Reste que cette box Internet et son nouveau décodeur TV, dessinés par la star du design Philippe Starck, intègrent de réelles innovations. C'est surtout au niveau du décodeur qu'elles sont plus spectaculaires : il est doté d'un nouveau processeur fourni par Intel (Atom), ce qui lui permet notamment de proposer un navigateur Internet et un lecteur Blu-ray 3D (compatibles avec les autres technologies vidéo et audio), ainsi qu'une télécommande simplifiée.
Autre plus : le décodeur comprend une plateforme de jeux vidéo permettant de jouer en ligne sur les jeux proposés par Gameloft. Reste maintenant le plus dur : convaincre la base d'abonnés de s'équiper avec la nouvelle offre (dont le coût de production est de 300 euros selon Thomas Reynaud) et relancer commercialement le FAI, qui souhaite remonter sa part de marché trimestrielle entre 20 et 25 %. Sur les neuf premiers mois de l'année, elle est tombée à 18 % (11,1 % au dernier trimestre).
Freebox V6 : de la révolution à la réévaluation
La démonstration a été bien rôdée et Xavier Niel, un peu nerveux au début de sa présentation, a su capter l'attention des centaines de journalistes présents. Cette réunion a été l'occasion pour le fondateur d'Iliad de présenter la Freebox V6, qu'il qualifie de révolutionnaire. Intervenant quelques semaines après la présentation de celle de SFR-Neuf. Xavier Niel n'hésite pas à tacler ses concurrents et à comparer les deux box. « Après trois ans de réflexion et de travail, nous proposons un équipement utile pour les 5 à 10 prochaines années » souligne le dirigeant. L'objectif est aussi de donner un nouvel élan au recrutement d'abonnés, qui marque le pas depuis quelques trimestres. Le premier changement réside dans le design de la box pour laquelle Iliad a fait appel au designer Philippe Starck. Combinant des matériaux durs pour protéger les composants et une matière molle sur la surface, la box comprend des phrases dont « les mots inscrits font appel aux mathématiques, à la physique quantique, etc... » aux utilisateurs de découvrir leur signification.
Comme précédemment, la Freebox se dédouble en une dédiée à l'accès à Internet et comprenant des fonctions NAS avec un disque dur de 250 Go. L'intégration d'une prise ADSL et fibre donnera aux abonnés la possibilité de choisir et de basculer sur l'une ou l'autre des options du haut débit. Les puristes de l'informatique seront heureux de trouver 4 ports Gigabit Ethernet. Une autre box est dédiée au monde du multimédia intégrant une rénovation de l'interface utilisateur, des services jeux (via une gamepad), un lecteur blu-ray . Si on ajoute à cela l'intégration des appels vers les mobiles tous opérateurs confondus à partir du mois de janvier 2011, vous obtenez une offre unique sur le marché et très séduisantes. L'opération séduction a donc atteint son but.
Une opération de réévaluation tarifaire qui frise les 40 euros
La « boîte de Pandore », comme le précise Philippe Starck a un coût et Xavier Niel était attendu sur la répercussion de la hausse de la TVA. La réponse est intervenue en deux temps. La première est de dire, on ne change rien, le forfait est toujours de 29,99 euros par mois. Un petit astérisque rappelle néanmoins que ce prix ne prend pas en compte la modification du mix de TVA (5,5% et 19,6%). Il faudra donc compter sur deux ou trois euros de plus quand la modification de l'assiette de la fiscalité sera effective. Deuxième couche de la réévaluation tarifaire, une option de mise à disposition de la boucle locale dédiée à 5,99 euros par mois. Autrement dit, Free n'entend plus financer seul le dégroupage total et choisit donc la voie de la participation financière de l'abonné.
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Xavier Niel anticipe les critiques en disant « chez France Telecom, une ligne téléphonique coûte 16 euros par mois ». En sachant que la base d'abonnés Free est constitué à près de 90% en dégroupage total, l'optionnel va vite se transformer en obligation pour ceux séduits par la Freebox V6 à moins d'être les heureux bénéficiaires de l'offre fibre optique de l'opérateur. Au total, pour les nouveaux abonnés, le prix sera de 29,99 euros + 5,99 euros pour le dégroupage total par mois. Pour les anciens abonnés, la migration coûtera 29,99 euros. Le prix de la Freebox est initialement de 120 euros, avec une décôte de 30 euros par année d'ancienneté. Les 5,99 euros pour le dégroupage total sont aussi à inclure dans le forfait, soit 35,98 euros. Un moyen également d'augmenter mécaniquement l'ARPU.
Une cannibalisation des usages
A bien y regarder, la Freebox V6 entend se mêler de beaucoup de chose dans la maison. Avec la Freebox player, par exemple, Xavier Niel souhaite « se débarrasser des multiples équipements qui se trouvent sous la télévision ». Un moyen à la fois d'écarter les constructeurs de lecteurs Blu-ray en phase de maturité, mais également cela apporte une réponse à la télévision connectée sur Internet, version Cube de Canal +, mais aussi Google et Apple TV. Free entend garder la main sur le contenu et rester le hub de facturation. Autre concurrence affichée, le jeu, la télécommande de Free intègre des fonctionnalités gyroscopique et un accéléromètre. On peut légitimement penser à des capacités similaires à une Wiimote dans un proche avenir, même si la présence d'une gamepad est fournie de série.
Au final, Free a réussi à étonner dans un domaine où le marché atteint une certaine maturité. La séduction est là, il n'en demeure pas moins que l'offre est nettement plus chère que la version initiale, mais au bout de 10 ans, il est peut-être aussi temps de financer aussi une partie de l'innovation.
La Commission européenne en route pour un tarif mobile unique
(Source EuroTMT) Le règlement actuel se termine en juin 2012 et la commission européenne doit proposer un nouveau texte d'ici à la fin du premier semestre 2011. Mais l'objectif de la commissaire européenne est déjà largement connu. Elle entend faire disparaître la différence entre les tarifs domestiques et les tarifs d'itinérance intra-européenne en 2015.
Neelie Kroes l'a d'ailleurs rappelé, mercredi, en jugeant que « l'existence de disparités excessives entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance n'est pas acceptable dans un véritable marché unique européen ». Un point de vue justifié par le rapport réalisé sur le roaming par le BEREC, le club des régulateurs télécoms européens, rendu public lui-aussi mercredi.
Pour rappel, le plafond tarifaire pour les appels émis en roaming est de 0,39 € par minute depuis le 1er juillet dernier. Or, le prix d'une communication mobile domestique varie entre 0,032 € (en Lituanie) et 0,174 € (aux Pays-Bas). Et la moyenne européenne est de 0,097 €. Une différence que les seuls coûts attribuables au roaming ne peuvent pas expliquer. En revanche, la situation semble meilleure pour le tarif du SMS en roaming, dont le plafond a été fixé à 0,11 €, proche du tarif domestique européen le plus élevé.
Le discours et la méthode
Reste le plus dur à faire : savoir comment s'y prendre pour réduire l'écart entre les tarifs domestiques et les tarifs en itinérance. Car, à lire le rapport du BEREC, il existe différentes solutions pour réduire l'écart, sans qu'aucune ne paraisse totalement satisfaisante. Une chose semble sûre : la politique d'imposer un plafond tarifaire aux tarifs de détail a eu pour seul effet de baisser effectivement les tarifs du roaming, mais n'a pas permis de créer de concurrence sur ce marché.
Une situation qui peut certainement s'expliquer par le fait que les abonnés « grand public » voyagent assez peu et ne considèrent pas ce sujet comme une priorité, alors que les professionnels « gros consommateurs » de roaming ont eux la capacité de négocier des tarifs bien plus favorables avec leur opérateur.
Comme le rappelle la commission, les tarifs effectifs demeurent en effet très proches des plafonds. Si les revenus tirés du roaming constituent une faible partie des revenus des opérateurs mobiles européens (en moyenne 4,2 % en 2009 selon le rapport du BEREC), ils dégagent des marges élevées que les opérateurs ne sont certainement pas prêts de sacrifier, alors que leur rentabilité est déjà sous pression en raison de la baisse d'autres tarifs réglementés tels que la terminaison d'appel mobile.
La TVA sur les livres numériques passe à 5,5%
Le Sénat avait adopté dans le cadre du débat sur le projet de loi de finances 2011, l'amendement portant le taux de TVA sur le livre numérique à 5,5% au lieu de 19,6%, allant ainsi contre l'avis du gouvernement. Selon le communiqué, "appliquer le même taux réduit de 5,5% dans les deux cas (livre numérique et papier, ndlr) éviterait une distorsion de concurrence".
D'autre part, le ministre du Budget François Baroin a aussi indiqué que le gouvernement avait confié une mission à l'ancien ministre Jacques Toubon. Ce dernier, en tant qu'"ambassadeur itinérant" devra "mener les concertations au niveau européen afin d'aboutir à une uniformisation" concernant le livre numérique.
L'ebookstore de Google entre en piste
"Grâce à ce service, les lecteurs peuvent découvrir et acheter des livres soit directement depuis l'eBookstore Google, soit via l'un des libraires indépendants, partenaire de Google. Quel que soit le moyen utilisé pour acheter les livres, ils sont tous stockés dans la bibliothèque en ligne du lecteur", précise le communiqué. Avec cette plateforme de vente de livres numériques, Google vient ainsi concurrencer la bibliothèque Kindle d'Amazon.
Ce service permet aux internautes d'acheter des livres auprès de la librairie de Google ainsi qu'à d'autres vendeurs en ligne. Les ouvrages seraient alors accessibles sur de nombreux supports informatiques comme les ordinateurs, les tablettes ou les téléphones. L'éditeur indique avoir numérisé plus de 15 millions de livres. Le projet de la firme de Mountain View est encore confronté à des obstacles juridiques dans les autres pays.
(...)(30/11/2010 15:02:48)
La presse française s'allie pour contrer Google
En juillet dernier, les éditeurs français de journaux avaient déjà exprimé leur volonté de créer un moteur de recherche d'actualités, afin de proposer aux internautes français et francophones une alternative à l'agrégateur d'articles de Google. Les journaux reprochaient notamment à Google News (ou "Google Actualités" en France) d'utiliser leurs contenus sans contrepartie financière.
Lundi, huit grands titres (Les Echos, L'Equipe, Le Figaro, Libération, Le Parisien, L'Express, Le Nouvel Observateur et Le Point) sont passés en l'acte en lançant le groupement d'intérêt économique E-Press Premium. Objectif fixé : lancer, début 2011, un kiosque numérique où ces éditeurs pourront commercialiser leurs contenus, sous des formes variées (achat d'un article, d'un numéro, ou via un abonnement).
Un opérateur pour diffuser
Pour se lancer dans l'aventure, E-Press Premium a noué un partenariat avec Orange. Il s'agira d'intégrer les articles gratuits des sites des journaux sur le portail d'actualités de l'opérateur, mais aussi d'intégrer Read and Go, le kiosque numérique payant d'Orange. Les trois magazines sont déjà présents sur ce site, et les cinq quotidiens le rejoindront d'ici la fin de l'année. Enfin, le moteur de recherche d'Orange sera intégré sur les sites de ces huit journaux afin de référencer leurs contenus et optimiser leur présence en ligne. En quittant Google Actualités, les grands titres de la presse française courent le risque de perdre une partie du trafic Web que leur assure Google, moteur de recherche le plus consulté de France.
Lancé en 2002, Google News est un agrégateur d'articles d'information provenant de différentes sources sur Internet, notamment les versions en ligne des grands quotidiens. Pour chaque article trouvé, ce service renvoie à chaque fois l'internaute vers le site source.
TomorrowNow : SAP condamné à verser 1,3 milliard de dollars à Oracle
Cette somme est un coup dur pour l'éditeur allemand, qui avait estimé la réparation du préjudice à 40 millions de dollars. Oracle a souligné que cette condamnation est « la plus élevée jamais accordé pour le piratage de logiciels. » Les dernières plaidoiries ont été présentées lundi après-midi, de sorte que le jury a pris moins d'une journée pour prendre sa décision. Il ne s'agit pas du montant maximal demandé par la firme de Redwood, mais elle représente toujours plus que la proposition de SAP. Lors de son témoignage, il y a deux semaines, le PDG d'Oracle Larry Ellison avait réclamé 4 milliards de dollars. En fin de compte, la sanction s'approche de la somme suggérée par l'avocat d'Oracle soit 1,7 milliard de dollars.
« Nous sommes, bien sûr, déçu par ce verdict et nous sommes attentifs à toutes les options disponibles, y compris un procès en appel » a déclaré dans un communiqué la firme de Walldorf. Le verdict intervient après un procès de 11 jours qui a captivé la Silicon Valley. Il a mis en scène les des deux plus grands fournisseurs de progiciels. Des dirigeants comme Larry Ellison, Safra Catz le co-président d'Oracle et Bill McDermott co-CEO de SAP sont venus à la barre des témoins.
Un revers financier et une réputation ternie
La bataille ne semble donc pas être entièrement perdue, cependant, car SAP peut encore faire appel. Cette procédure pourrait prendre beaucoup de temps. « Ce sera malheureusement un long processus, mais nous continuons d'espérer que le litige puisse se résoudre rapidement et de manière appropriée »souligne l'éditeur allemand.
Le jury disposait d'une grande latitude sur le montant de la sanction. Il aurait été convaincu par l'argument d'Oracle sur le coût d'une « licence hypothétique » qu'aurait dû payer SAP pour les logiciels volés. La société allemande avait déposé quelques recours avant que le verdict n'ait été rendu. Une des requêtes demandait au juge, dans le cas d'une décision élevée du jury, d'examiner si les dommages sont justes et appropriées. On ne sait pas si le juge Phyllis Hamilton avait prévu d'étudier ces propositions.
Un observateur a déclaré que le verdict est plus un revers financier pour SAP. « Le plus gros des dommages se traduira probablement sur le marché, où Oracle propose Fusion Apps et des mises à jour de ses applications, et SAP a peu à offrir, et une réputation encore un peu plus ternie », a déclaré l'analyste Rebecca Wettemann, vice-présidente de Nucleus Research. Elle conclut que « SAP a aujourd'hui douloureusement appris que le vol est une mauvaise chose et que même les grands éditeurs de logiciels peuvent être punis pour cela ».
Les opérateurs mobiles misent sur la Galaxy Tab de Samsung
(Source EuroTMT) Il est vrai que, contrairement à Apple, Samsung mise sur les opérateurs pour la commercialisation de sa tablette multimédia. Alors que l'iPad n'est pas disponible chez les opérateurs, qui ne la subventionnent donc pas, SFR et France Télécom, les deux premiers à avoir annoncé leurs forfaits pour la Galaxy Tab, vont subventionner cette dernière massivement.
Selon SFR, le montant unitaire de la subvention opérateur s'élève à quelque 300 €. Ce qui explique un prix de vente quasiment identique pour France Télécom et SFR : 299 € pour le premier, 299,90 € pour le second. Cette aide à l'achat, proposée par les opérateurs mobiles à l'image de ce qui se fait dans les terminaux mobiles, explique d'ailleurs pourquoi la tablette de Samsung est souvent présentée comme un « iPad killer. »
C'est aussi la raison qui pourrait amener Apple, comme le parient déjà certains spécialistes, à modifier sa politique commerciale pour autoriser les opérateurs mobiles à vendre, en subventionnant, son nouveau gadget. Il faut dire que les prix de vente sont très élevés (à partir de 499 € pour le premier modèle uniquement Wifi) et peuvent constituer un frein à l'achat.
De la 3G, des services sur Samsung
D'autant plus que les forfaits 3G+ proposés par les opérateurs tricolores pour la Galaxy Tab sont bien plus généreux que ceux mis en place pour l'iPad. Les opérateurs mobiles préfèrent en effet que les acquéreurs de la tablette siglée par Apple se connectent en Wifi. Pour la tablette de Samsung, les deux opérateurs proposent un forfait permettant de consommer 1 Go par mois. SFR va plus loin avec un deuxième forfait « illimité », le débit étant toutefois réduit à partir d'une consommation supérieure à 3 Go par mois. Si SFR mise surtout sur le niveau de consommation de l'abonné, France Télécom a, pour sa part, décidé de se différencier par les services en proposant pour son principal forfait une gamme de services enrichis avec un bouquet de 60 chaînes télé, Deezer et le kiosque en ligne.
De son côté, SFR repose l'essentiel de ses services sur ceux de Google, dont le système d'exploitation Androïd équipe la Galaxy Tab. Ces services sont enrichis de quelques fonctionnalités supplémentaires comme les jeux, le kiosque en ligne et la VOD. D'autre part, France Télécom propose aussi un forfait comprenant 2 heures de communication, alors que ce service constitue soit une option, soit un achat à l'acte chez SFR. Si les opérateurs misent donc beaucoup sur la Galaxy Tab, son positionnement demeure, néanmoins, très différent de l'iPad, en raison de la différence de taille significative de l'écran : 7 pouces pour le produit de Samsung, près de 10 pouces pour la tablette d'Apple.
Si l'iPad est moins facilement transportable, son écran rend la navigation sur Internet et la lecture très facile et en fait un concurrent très sérieux pour les netbooks, contrairement à la Galaxy Tab, plutôt fait pour être un terminal de jeux ou de vidéo. (...)
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