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(06/04/2007 16:20:20)

Verisign prévoit d'augmenter les tarifs des .com et .net

Verisign a annoncé hier jeudi 5 avril qu'il envisageait d'augmenter les prix d'enregistrement des .com et .net dès octobre, dans le but d'améliorer son infrastructure. Ces hausses tarifaires sont les premières que Verisign, société qui à la charge de gérer les extensions .com et .net, est autorisé à appliquer aux registrars (organismes accrédités pour l'enregistrement des noms de domaine), à travers l'accord qui le lie à l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers) jusqu'en 2012. Un accord passé en février 2006 qui, à l'époque, avait occasionné une levée de bouclier chez les registrars et chez certains membres du congrès américains. Une des clauses de l'accord doit notamment limiter à 7% par an la hausse des prix des extensions. Selon Verisign, le prix d'un .com passera de 6$ à 6,42$ - le maximum autorisé par l'accord avec l'Icann. Celui d'un .net, de 3,50$ à 3,85$ (+10%). Fin 2006, le nombre de .com et de .net s'élevait à 65 millions et augmentait de plus de 2 millions chaque mois, selon les chiffres de Verisign. (...)

(30/03/2007 17:54:40)

Red Hat dit conserver la clientèle de Yahoo! malgré Oracle Unbreakable Linux

C'est la parole de Matthew Szulik, PDG de Red Hat, contre celle de Larry Ellison, le patron d'Oracle. Non, affirme le premier, Yahoo! ne l'a pas quitté pour le second, qui propose depuis peu une offre alléchante de support aux utilisateurs de Linux Red Hat. C'est à l'occasion de la présentation de résultats guère encourageants (des bénéfices au quatrième trimestre de 20,5 M$ contre 27,3 M$ pour la même période l'année précédente) que Matthew Szulik a tenu à apporter ce démenti aux affirmations d'Oracle, qui citait il y a quelques jours des noms prestigieux de clients pour son offre de support Linux « incassable ». « J'ai parlé avec Yahoo! hier et ils ont rapidement dit qu'ils ont eu et continuent d'avoir une relation très réussie avec Red Hat », a insisté Matthew Szulik lors d'une conférence de presse téléphonique. Il a même laissé entendre que le groupe de médias Web pourrait augmenter son utilisation de Linux Red Hat. Yahoo! a de son côté publié un communiqué, indiquant qu'il utilise à la fois des produits Red Hat et Oracle dans son infrastructure. (...)

(23/03/2007 14:15:51)

Roaming : les députés européens moins exigeants que la Commission

Les membres de la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs du Parlement européen ont adopté un texte fixant les tarifs du roaming (itinérance d'un réseau à l'autre) entre opérateurs mobiles. Le coût d'un appel passé depuis l'étranger, que ce soit vers le pays d'origine ou à l'intérieur du pays visité, ne devrait plus dépasser 0,5 € la minute hors taxe tandis que le montant facturé pour un appel reçu ne franchirait plus la barre des 25 centimes. Ces tarifs sont en phase avec ce qu'avait laissé entendre la commissaire européenne Viviane Reding la semaine dernière à Hanovre à l'occasion du Cebit. Toutefois, ces mesures ne s'appliqueraient automatiquement qu'aux nouveaux clients. Les autres devront en faire la demande pour en bénéficier. On est donc loin du projet de réglementation initial qui plafonnait pour tous les clients les appels de l'étranger vers le pays d'origine à 0,49 €, les appels à l'intérieur du pays visité à 0,33 € et les appels reçus à 0,16 €. C'est ce qui explique que le texte amendé n'a bénéficié que d'une très courte majorité (22 voix contre 21), le rapporteur du projet, le socialiste maltais Joseph Muscat, votant même contre. Il n'est donc pas exclu que les eurodéputés, qui devront se prononcer sur ce sujet le 10 mai, n'adoptent pas le texte en l'état. On attend aussi avec intérêt l'avis de la Commission de l'industrie qui va se prononcer sur le projet le 12 avril. Le Bureau européen des unions de consommateurs, qui regroupe 18 associations dont l'UFC-Que Choisir, déplore que l'Europe s'apprête « à laisser la majorité des consommateurs européens sans protection et à la merci des opérateurs télécoms ». L'association française, très active sur le sujet, a de son côté publié un communiqué de presse. « Si personne ne conteste la légitimité des opérateurs à faire des gains importants, comment justifier qu'un règlement européen les autorise à pratiquer des marges de 357% », peut-on y lire. Rappelons que la France, par la voix du ministre délégué à l'Industrie François Loos, s'est prononcée contre une baisse drastique des tarifs, adoptant ainsi le point de vue de la GSM Association, qui regroupe l'ensemble des opérateurs mondiaux ainsi que les équipementiers. Cette dernière n'a pas hésité à accuser la Commission européenne de violer les principes de proportionnalité, de subsidiarité et de non-discrimination et de ne pas avoir réalisé d'étude d'impact. (...)

(21/03/2007 17:09:52)

Ellison : Unbreakable Linux va bien

"Notre programme de support de Red Hat Entreprise Linux connaît un très bon départ", a déclaré Larry Ellison, à l'occasion d'une conférence entre analystes financiers. Ellison a inauguré son offre Unbreakable Linux 2.0 en octobre à l'occasion d'OpenWorld à San Francisco et, depuis, s'était refusé à commenter sa progression ainsi que le nombre d'utilisateurs intéressés. Unbreakable Linux propose une version recompilée de l'OS de Red Hat ainsi qu'une offre de support associée pour un prix inférieur à celui proposé par Red Hat. "Et ce n'est qu'un début. Nous n'allons pas bâtir un marché Linux du jour au lendemain, mais [assurément, ndlr], nous y parviendrons. Nous sommes déterminés à offrir le meilleur support au monde ", martèle-t-il. Puis d'avancer quelques exemples. Yahoo, présent à OpenWorld, a déjà basculé et pris Oracle comme fournisseur de support pour Red Hat. Et de citer aussi Dell et HP, présents au travers d'enregistrements vidéos, qui pourraient redistribuer l'offre d'Oracle. Sans citer d'autres grands comptes, Ellison souligne que certains contrats de supports Linux signés par Oracle avoisineraient les 500 000$. (...)

(15/03/2007 10:19:22)

Etude : les pratiques commerciales sur Internet vues par la DGCCRF

La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) vient de publier deux enquêtes, l'une concernant les pratiques commerciales de l'hôtellerie en ligne, l'autre les comparateurs de prix. La DGCCRF précise que de nombreux problèmes sont rapportés par les consommateurs dans le domaine de l'hôtellerie mais qu'ils ne sont pas "spécifiques à la vente en ligne". En revanche ils sont "aggravés par ce canal (...) l'internaute ne gardant pas toujours une trace de l'offre correspondant à l'achat qu'il a effectué en ligne, il éprouve de réelles difficultés à démontrer qu'il a été victime de publicité mensongère, faute de brochures ou autres documents dont bénéficient les consommateurs qui se rendent en magasin". Sur 266 sites Internet contrôlés, la moitié a fait l'objet de rappel de réglementation. Parmi les problèmes récurrents accentués par l'utilisation d'Internet, on note le classement de l'hôtel (14 hôtels annonçaient un nombre d'étoiles supérieur à leur classement officiel), et un écart entre les prestations annoncées et les prestations réellement délivrées. Certains problèmes sont "spécifiquement liés à l'utilisation d'Internet" : l'information sur les disponibilité, des grilles tarifaires insuffisamment claires, et des conditions de vente mal définies. Les comparateurs de prix L'enquête sur les comparateurs de prix avait pour objectif de "vérifier la transparence de l'offre apportée par ces sites aux cyberconsommateurs". La DGCCRF précise en effet que "50 % des consommateurs consultent un site comparateur" avant d'effectuer un achat en ligne. Sur douze sites contrôlés, onze ont fait l'objet de rappels de réglementation. Ainsi, il ressort que "le panel des sites référencés est souvent présenté à tort comme exhaustif", "les conditions de vente sont parfois incomplètes sur le volet tarifaire, avec une imprécision sur les modalités de référencement et de rémunération des sites marchands" et que "les règles de facturation ne sont pas toujours respectées". La DGCCRF précise que l'imprécision des informations relatives au prix n'est pas forcément due au site comparateur : elle provient du "manque d'homogénéité des informations transmises par les sites marchand (prix TTC incluant ou non les frais de port, de livraison, de garantie complémentaire)...". Ainsi ces deux enquêtes sur les pratiques commerciales sur Internet révèlent de vrais dysfonctionnements. Dans les deux cas, la DGCCRF déclare qu'elle maintiendra sa vigilance. (...)

(13/03/2007 15:19:30)

Bill Gates reste le plus riche, devant Ellison, Ballmer ou Dell

Bill Gates est abonné à la place d'homme le plus riche de la planète. Pour la 14e année consécutive, le magazine Forbes vient en effet de le placer au zénith de son palmarès des milliardaires, qui sont 946 cette année. Le fondateur de Microsoft totalise ainsi un pécule qui atteint 56 Md$. Il devance Warren Buffet de 4 Md$, lequel a versé 37 Md$ à la fondation caritative orchestrée par Bill et Melinda Gates. Le Mexicain Carlos Slim Helu, qui a fait fortune dans les télécoms, se classe troisième, avec 49 Md$. Au chapitre des acteurs de l'industrie IT, Larry Ellison, le patron d'Oracle, décroche la 11e position avec 21,5 Md$. Il est suivi par Paul Allen, le cofondateur de Microsoft, qui affiche 18 Md$. Toujours dans la galaxie Microsoft, Steve Ballmer, l'actuel PDG du groupe, se place 24e et enregistre une fortune de 15 Md$. Signe du succès rencontré par l'industrie indienne, et notamment par l'externalisation de services IT, le patron de Wipro, Azim Premji, décroche la 21e place avec 17,1 Md$. Concluons cet inventaire à la Prévert en citant Michael Dell, Hasso Plattner (SAP) et Steve Jobs, respectivement classés 30e, 119e et 132e. Parallèlement à cet envoûtant classement, on apprend que Samuel Palmisano, le patron d'IBM, a reçu un salaire de 1,75 M$ en 2006, ainsi qu'un bonus de 5 M$, 3,3 M$ de stock option et 7,8 M$ d'actions. Au total, Sam Palmisano aurait touché, selon l'agence AP, 18,8 M$ au terme d'une excellente année pour IBM. A titre de comparaison, il aurait fallu plus de cinq siècles au rédacteur de ces lignes pour engranger la même somme. (...)

(01/03/2007 15:16:33)

L'offre middleware de Sun unifie ses consoles d'administration

Sun vient de présenter la version 5 de son offre middleware d'entreprise, Java Enterprise System (JES). Ensemble consolidé de produits testés et compatibles entre eux, JES agrège des produits d'origine distincte, qui disposaient chacun, jusqu'alors, d'une interface d'administration particulière. « Désormais, explique Alexis Moussine-Pouchkine, architecte Java chez Sun France, l'infrastructure d'administration est totalement unifiée, il n'y a plus besoin d'avoir de multiples comptes administrateurs. » La suite de base comporte notamment le serveur Web, qui fait l'objet d'une nouvelle version, le serveur d'applications, l'annuaire, le portail, le bus de messages et le service d'authentification. Fidèle à sa politique tarifaire par employé et par an, Sun propose cette suite pour 100$. Elle peut être complétée de la suite de gestion d'identités, qui fédère les outils liés à l'authentification et à la réservation des ressources, pour 50$ de plus. De même, l'offre pour les SOA (architectures orientées services) héritée de SeeBeyond, Java Caps (pour Composite application platform suite) peut être ajoutée pour 50$. Acquises seules, les suites sont bien plus chères : 75$ pour la gestion des identités, 100$ pour Java Caps. Le contrat d'abonnement a été légèrement révisé : les services de support diffèrent en fonction du nombre d'employés. Selon les paliers, les clients peuvent avoir droit à davantage de consulting ou de formation. Dans tous les cas, il faut compter 10$ de plus, toujours par employé et par an, pour bénéficier d'un support premium, c'est-à-dire 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. A l'heure actuelle, indique Alexis Moussine-Pouchkine, 1000 clients ont souscrit à ce principe du contrat d'abonnement, dont 600 pour la suite complète. « En France, ce modèle économique fait que nous avons pour clients tous les fournisseurs de services de type Cegetel, Neuf, Orange... » Parmi les derniers clients figurent l'Apec, le Sénat et Voyages-sncf.com. JES 5 est disponible sur les variantes x64 et Sparc du système d'exploitation, ainsi que sur HP-UX, mais il faut noter que côté Linux, seul Red Hat est supporté. Concernant Windows, la compatibilité n'est complètement assurée que sur la version 32bit. « Mais nous voyons davantage Windows comme une plate-forme de développement », souligne Alexis Moussine-Pouchkine. (...)

(05/02/2007 16:40:58)

Intel aurait arrosé Dell pour rester son fournisseur exclusif

Jusqu'où peut-on aller pour décrocher un marché ? Selon l'action de groupe en cours contre Dell, jusqu'à verser un milliard de dollars de marges arrière par an. Ce serait la somme reçue par le constructeur texan pour conserver Intel comme fournisseur exclusif de processeurs x86, au détriment d'AMD. La plainte a été déposée par l'avocat William Lerach, of Lerach Coughlin Stoia Geller Rudman & Robbins LL, pour le compte des actionnaires de Dell. Elle vise plus spécifiquement les manipulations comptables effectuées par le constructeur et son comptable, PriceWaterhouseCoopers, pour camoufler ces pots-de-vin et gonfler ainsi la valeur des actions de Dell. Certains dirigeants de Dell auraient profité de cette hausse injustifiée pour vendre leurs parts et faire une plus-value de 3,3 milliards de dollars. Ces accusations font suite à d'autres procédures en cours aux Etats-Unis et au Japon où AMD accuse Intel de verser des pots-de-vin aux constructeurs, parmi lesquels Dell, pour l'évincer de leurs produits. Les enquêtes en cours ne devraient pas être jugée avant 2009. Toutefois, sur cette affaire en particulier, Chuck Malloy porte-parole d'Intel, dénie toute implication de sa société : « A première vue, certaines des allégations concernant Intel ont pu être inventées. Bien qu'elle reprennent des accusations portées dans d'autres affaires en cours, il n'y a pas de nouvelles plaintes. Intel rejette toutes les prétentions du plaignant et s'attelle d'ores et déjà à sa défense». La société en aura besoin. Avant de s'attaquer à Dell et Intel, William Lerach était déjà responsable des actions de groupe contre Enron et WorldCom. (...)

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