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(11/07/2011 10:28:08)

Le gouvernement souhaite lui aussi un tarif social pour Internet

Eric Besson et Frédéric Lefebvre, respectivement Ministre de l'économie numérique et Secrétaire d'Etat à la consommation, ont annoncé qu'ils vont organiser une rencontre avec les opérateurs le 13 septembre prochain afin de mettre en place d'ici la fin de l'année un tarif social pour l'Internet.

Cette annonce fait suite à l'avis de l'Autorité de la concurrence, qui a indiqué plus tôt dans la journée les conditions dans lesquelles la mise en place d'un tarif social de l'Internet peut être compatible avec le droit de la concurrence.

Les fournisseurs d'accès Internet (FAI) seront donc invités à discuter dès la rentrée des modalités et des tarifs à appliquer pour ce tarif social, attendu avant la fin de l'année. Eric Besson et Frédéric Lefebvre soulignent conjointement que " 21 millions de Français sont abonnés à Internet haut-débit. 91 % des chercheurs d'emploi ont aujourd'hui recours à Internet pour leurs démarches. L'exclusion numérique est désormais source d'exclusion tout court. C'est pourquoi le gouvernement va mettre en place dès cet automne un tarif social de l'Internet". (...)

(08/07/2011 15:41:19)

L'Autorité de la concurrence favorable à un tarif social sur le triple play

Dans son communiqué officiel, l'Autorité de la concurrence explique que « les mécanismes sociaux à destination des plus fragiles peuvent toujours être rendus compatibles avec le droit de la concurrence. L'intervention des pouvoirs publics est légitime, dès lors qu'elle vise à corriger une défaillance du marché et à remplir un objectif d'intérêt général. »

Cependant, elle constate dans le même temps que tout ceci n'est pas possible « en l'état actuel des directives communautaires du « paquet » télécom ». Elle suggère donc que le gouvernement « étende l'éligibilité de la réduction sociale, actuellement réservée aux offres fournissant uniquement le service téléphonique, aux offres multiservices haut débit incluant ce service aux côtés de l'accès à Internet. Sous réserve de l'appréciation de la Commission européenne, une telle extension paraît compatible avec le cadre communautaire. »

Mis en place afin de lutter contre la fracture numérique, le service universel en téléphonie offre une réduction de l'abonnement téléphonique aux ménages en difficulté, sous condition de ressources.

(...)

(07/07/2011 09:54:08)

Les dépenses liées aux mobiles en baisse depuis 2006, selon l'ARCEP

L'ARCEP a mis au point ce nouvel outil afin de pouvoir mesurer les évolutions de prix du marché mobile en France auprès des clients d'Orange France, SFR et Bouygues Telecom. La méthodologie retenue ne permet toutefois que de calculer une dépense minimale théorique (en fonction de la consommation), et non la dépense réelle des clients.

Pour le régulateur, cette tendance à la baisse masque cependant des évolutions contrastées. Les utilisateurs de gros forfaits ont bénéficié de baisses des prix supérieures à la moyenne alors que les plus petits consommateurs ont vu les prix diminuer dans de bien moindres proportions. Seules les cartes prépayées voient leur prix augmenter (+1% par an en moyenne). Ceci s'explique surtout par la réduction de la durée de validité de certaines de ces cartes.

Cette baisse moyenne, l'ARCEP l'attribue surtout à deux phénomènes : l'apparition de forfaits illimités lors de certaines plages horaires et la répartition temporelle avec le bénéfice des appels moins chers le soir et le week-end.

L'Autorité précise qu'elle n'a pas tenu compte de la consommation des données, l'accès à Internet et aux services en ligne étant encore faibles sur la période 2006/2009 (de 4 à 8% des revenus mobiles).

Un prochain indice devrait être publié avant la fin de l'année, incluant les chiffres de 2010 (...)

(06/07/2011 16:32:51)

Business One : une offre hébergée pour les partenaires SAP

La suite Business One est exclusivement distribuée par ces partenaires, certains ayant déjà hébergé la suite et commercialisé une offre à des utilisateurs finaux en appliquant eux-mêmes leurs conditions de souscription. « Mais ces partenaires devaient auparavant acheter des licences Business One à SAP, pour les revendre à leurs clients à des tarifs variables, » a déclaré la porte-parole de l'éditeur, Astrid Poelchen. « Désormais, les partenaires seront en mesure de louer des licences à la firme allemande sur une base mensuelle, et de les proposer ensuite à des conditions équivalentes à leurs clients, » a t-elle ajouté. « C'est un vrai modèle pay-as-you-go. »

Certes, « les partenaires pourraient continuer à acheter des licences, mais les nouvelles modalités devraient leur faire faire des économies, » a ajouté Astrid Poelchen. « Avec le prochain système, les partenaires pourront également proposer des tarifs d'abonnement plus attrayant pour les clients, » a-t-elle déclaré. « Le fait que l'opération soit soutenue par SAP peut également contribuer à mieux informer les clients sur les options de souscription, ce qu'un partenaire individuel aurait plus de mal à faire seul, » a t-elle affirmé. Le futur mode d'hébergement sera déployé en plusieurs phases cette année. Mais il est d'ores et déjà disponible en Chine, en France, en Allemagne, en Inde, en Italie, en Asie du Sud-Est, en Espagne et au Royaume-Uni. D'autres pays, y compris les États-Unis, seront ajoutés à cette liste un peu plus tard.

Une visibilité tarifaire appréciée


Selon l'analyste Ray Wang, CEO de Constellation Research, SAP a pris la bonne décision. « Des abonnements tarifés, c'est ce que recherchent les petites entreprises, et c'est ce que le marché recherche en général », a déclaré l'analyste. Dans un communiqué publié mardi, SAP a annoncé qu'un certain nombre de « solutions de démarrage » pour Business One étaient disponibles. Les forfaits sont proposés à tarif fixe comprenant «  la gestion financière de base, la gestion des ventes et des achats, la gestion des relations clients et les bases de données d'inventaire, des fonctions de gestion courantes utilisées dans les petites entreprises, » a déclaré SAP.

Ces solutions sont également disponibles sous forme d'implémentations pour cinq utilisateurs maximum. « Elles peuvent être opérationnelles en trois jours maximum, en fonction de la complexité de la tâche, » a affirmé SAP. Selon l'éditeur, les clients qui démarrent avec une solution au forfait peuvent passer à l'édition standard de Business One quand ils le souhaitent, sans avoir à reconfigurer l'application. Avec les forfaits de départ, SAP cherche notamment à capter des clients qui utilisent QuickBooks, ou d'autres logiciels de comptabilité, mais ont besoin de plus de fonctionnalités à mesure que la taille de leur entreprise augmente.

(...)

(06/07/2011 09:53:50)

L'Autorité de la concurrence se penche sur le e-commerce

L'Autorité de la concurrence vient de s'autosaisir du dossier de la vente en ligne. Celle-ci prend une importance telle que le sujet ne pouvait échapper plus longtemps à une étude de l'Autorité. Le secteur pèse en effet 31 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010, en hausse de 24%, et concernait, toujours en 2010, 27,3 millions d'e-acheteurs.

L'Autorité va rendre un avis sur l'état de la concurrence dans le e-commerce. Elle se propose d'émettre éventuellement des recommandations en cas de dysfonctionnements avérés. Dans son étude, l'Autorité se propose d'étudier plus particulièrement trois points.

Dans un premier temps, l'impact de cette vente en ligne sur les circuits traditionnels de distribution (écarts de prix, pression concurrentielle...).Ensuite, l'Autorité va s'intéresser aux comportements qu'adoptent distributeurs et fabricants devant l'arrivée de ce nouveau mode de distribution (en clair, aux limitations éventuelles, par des pratiques anti-concurrentielles, de l'impact du e-commerce).

Enfin, l'étude passera en revue les intermédiaires du e-commerce : acteurs du paiement électronique, entreprises de livraison, comparateurs de prix. Des acteurs qui participent à leur niveau à la formation des prix.

(...)

(01/07/2011 10:00:35)

Paypal voit la disparition du portefeuille en 2015 aux Etats-Unis

« Les consommateurs délaissent de plus en plus les méthodes traditionnelles de paiement, comme les espèces et les chèques, au profit de moyens plus modernes qui peuvent être employés n'importe quand et n'importe où », indique le président de PayPal Scott Thompson dans un billet publié sur le blog de la société.

« Nous pensons que d'ici 2015, les paiement numériques seront acceptés partout aux Etats-Unis, chez l'épicier du coin comme chez Walmart. Nous n'aurons plus besoin de nous balader avec un portefeuille », ajoute-t-il.

Un test sous forme de pub

L'entreprise est tellement sûre de ce qu'elle avance qu'elle a demandé à cinq de ses employés résidant dans la région de San Francisco d'utiliser uniquement des paiements numériques pour tous leurs achats, dans le cadre d'un pseudo-concours (c'est-à-dire une vraie stratégie de marketing viral).

Pendant le discours d'ouverture du colloque GSMA Mobile Money Summit à Singapour, le directeur du département innovations mobiles de Visa, Bill Gajda, a présenté le projet de Visa visant à convertir les appareils mobiles en « véritables portefeuilles numériques ». Il a ajouté : « nous sommes à l'aube de la prochaine génération d'argent mobile en version 2.0 ».

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(30/06/2011 15:46:43)

Les tarifs des appels mobiles en Europe en baisse

Le marché unique des appels mobiles se construit patiemment sur le plan tarifaire. Pour les appels émis, les prix passent de 39 à 35 cents/min à partir du 1er juillet, et de 15 à 11 cents/min pour les appels reçus. Il s'agit de prix de détail maximum, hors TVA. Quant aux données, le plafond des prix de gros des services de données en itinérance passera de 80 cents/Mo à 50 cents/Mo.

L'objectif présenté dans la stratégie numérique pour l'Europe est de tendre vers une différence nulle entre les tarifs nationaux et ceux en itinérance d'ici à 2015. Il y a quelques jours, l'association UFC-Que Choisir s'était émue de ces tarifs qu'elle juge encore excessifs.

(...)

(28/06/2011 15:18:31)

Oracle révèle le prix des Fusion Applications, sans date de sortie

Les Fusion Applications combinent les meilleures fonctions des divers ERP (Enterprise Resource Planning) et CRM (Customer Relationship Management) d'Oracle pour créer une suite disponible sur site ou dans le cloud.

La liste publiée indique les prix des modules Fusion pour les finances, l'approvisionnement, le management de portefeuille de projets (PPM pour Project Portfolio Management), les ressources humaines (HCM pour Human Capital Management), la logistique (SCM pour Supply Chain Management), la relation client (CRM pour Customer Relationship Management), les relations partenaires (PRM pour Partner Relationship Management) et la gouvernance, les risques et la conformité aux réglementation (GRC pour Governance, Risk and Compliance). Dans de nombreux cas, il semble que les Fusion Applications sont vendues au même prix que les modules correspondants à d'autres suites ERP d'Oracle. Par exemple, le prix de la licence utilisateur pour Fusion Financials et E-Business Suite Financials est de 4 595 dollars. Mais le prix de licence de Fusion CRM Base est affiché à 4 910 dollars par utilisateur, contre 3 750 dollars pour une licence Siebel CRM Base.

Des fonctionnalités de BI payantes


Par ailleurs, Oracle a fortement insisté sur le fait que les Fusion Applications disposeraient de fonctionnalités BI (business intelligence) omniprésentes pour accompagner de manière permanente l'expérience utilisateur. Mais il semblerait que ces fonctions doivent être achetées séparément. Plusieurs applications de la liste, qualifiées de « business intelligence transactionnelle », sont tarifées 2 000 dollars par licence et par utilisateur. De plus, il est difficile de comparer l'ensemble des tarifs, étant donné que certains modules utilisés pour les Fusion Applications ont changé de noms, et que d'autres proposent des fonctionnalités entièrement nouvelles.

Se pose également la question de savoir si cette liste de prix est vraiment significative, compte tenu des très fortes remises généralement accordées au moment de la négociation des contrats. Selon Ray Wang, analyste et PDG de Constellation Research, tempère ces affirmations « les clients ne doivent pas compter obtenir de bons prix sur les Fusion Applications. Actuellement, les prix sont plutôt à la hausse. »

Des incertitudes tarifaires

Selon plusieurs utilisateurs, Oracle a fait savoir à ses clients actuels, que les prix seraient établis en fonction des solutions déjà acquises lors de la mise à jour vers Fusion Applications. « La vraie question est de savoir quels droits de licence les clients pourront conserver au moment de la migration, » a déclaré l'analyste. « Plusieurs scénarios sont possibles, » a t-il ajouté. «  Les nouveaux clients vont négocier avec Oracle comme ils se feraient pour tout nouveau contrat. Les clients ayant déjà certains modules voudront connaitre le montant de la remise à laquelle ils pourront prétendre pour mettre leurs droits de licence à niveau et quelles fonctionnalités sont incluses. Les clients de la Full-suite d'Oracle voudront déterminer quelles fonctionnalités équivalentes bénéficient d'un upgrade. » On ne sait pas non plus combien de clients existants Oracle parviendra à migrer vers les Fusion Applications. Selon Larry Ellison, le PDG d'Oracle, les utilisateurs de E-Business Suite, de PeopleSoft et de JD Edwards peuvent passer à Fusion quant ils le souhaitent. Toutefois, ce point de vue doit être replacé dans son contexte puisque Oracle va continuer à percevoir de la part des clients qui conserveront leurs solutions, des frais d'abonnements très conséquents pour la maintenance annuelle de leurs systèmes.

Plus récemment, le PDG d'Oracle a déclaré qu'il s'attendait assez vite à de grosses ventes de Fusion Applications. « Nous pensons que la vente de ces dernières sera génératrice de revenu pour l'entreprise cette année, l'année prochaine et l'année suivante. Cela va nous permettre de prendre une part importante du marché SAP, mais aussi à nos amis et rivaux Salesforce.com, » a t-il déclaré la semaine dernière, lors de la conférence au cours de laquelle ont été communiqués les résultats financiers du quatrième trimestre. (...)

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