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(25/08/2011 09:11:17)
Amazon dote son cloud d'un service de cache in-memory
Le service ElastiCache augmente les performances des applications web en leur permettant de récupérer des informations par « un système de cache en mémoire plus rapide que les bases de données sur disques ». Les avantages de ElastiCache sont les mêmes que d'autres services de cloud computing où les utilisateurs n'ont pas à se soucier de l'allocation des infrastructures ou l'installation et la maintenance des logiciels de cache.
Selon Amazon, ce service peut aider à améliorer la latence et le débit pour les réseaux sociaux et les sites de partage de jeux et de médias.
Créer des grappes de noeuds
ElastiCache est basé sur Memcached - un projet Open Source déjà utilisé par des sites comme Wikipedia, Flickr, Twitter et Youtube. L'originalité du service d'Amazon est la possibilité de créer en quelques minutes des clusters (grappes) de cache composés de un ou plusieurs noeuds de cache. Chaque noeud se voit affecter une capacité de RAM entre 1,3 et 68 Go. Amazon permet aux utilisateurs d'exécuter un maximum de 20 noeuds cache.
Le prix du service ElastiCache est de 0,095 et 2,24 dollars par heure. Le prix est calculé en fonction de la taille des noeuds cache utilisés. Le service est actuellement disponible aux États-Unis et sera proposé dans les autres pays dans les mois à venir.
Une rentrée scolaire IT très tactile
Pour les constructeurs d'ordinateurs et leurs partenaires, la question la plus embarrassante de cette rentrée des classes 2011 concerne l'importance du marché de renouvellement, par rapport à celui de la « première acquisition ». En prenant juste deux années de recul, on constate que tous les constructeurs étaient persuadés dès 2008 que la cible des « primo acquéreurs » de matériels micro-informatique était saturée. Et puisque le marché du renouvellement ne suffisait plus à nourrir la croissance du secteur, il fallait que les nouveaux « devices » soient des compléments ou des extensions des configurations traditionnelles, ordinateurs de bureau ou portables.
La première salve, bien pensée, a été lancée par un industriel chinois, Asus, avec les premiers netbooks. Les grands constructeurs, dont HP, ont volontairement tardé à réagir, affirmant notamment que le marché des netbooks ne passerait pas l'année 2010. Ils ont « presque » eu raison, et l'annonce par HP d'une cession de ses activités PC et tablettes ne change pas la donne pour cette période de « back to school », mais conforte la stratégie d'Apple.
Alors que la riposte aux netbooks était attendue du côté de l'entrée de gamme des notebooks, notamment avec des écrans au format 12 pouces, elle est venue des tablettes, longtemps considérées comme une niche uniquement dédiée à certaines professions.
Copies revues
Malgré sa part de marché invraisemblable (environ 80% des ventes en France), Apple et son iPad ne sont pas longtemps restés seuls sur ce marché. Les lancements de produits concurrents se sont multipliés au cours du premier semestre 2011. Pour le « back to school 2011, tous les constructeurs de PC seront présents avec leur tablettes tactile dans les circuits de distribution : Archos, Asus, Dell, Fujitsu, Lenovo, Motorola, Sony, Toshiba... et HP, qui aura attendu les derniers jours d'août pour lancer son TouchPad. « La tablette tactile sera notre priorité pour cette rentrée ainsi que durant les trimestres suivants, d'une part parce que nous lanceront des tablettes de plus petits formats que le 10 pouces ; d'autre part, parce que l'interface tactile va rapidement concerner tous les types de terminaux », explique Antoine Magnan, en charge des produits grand-public chez HP France. (NDLR : ces propos ont été recueillis avant l'annonce d'HP d'arrêter les tablettes et les smartphones sous WebOS)
Un segment de marché très agité
Selon les analyses les plus optimistes - et notamment celle du cabinet PRTM - les ventes mondiales de tablettes tactiles passeront le cap des 200 millions d'unités en 2014, soit près de 12 fois plus qu'en 2010. C'est largement suffisant pour que les industriels de l'informatique se ruent vers ce nouveau segment de marché.
Parmi les nombreuses annonces qui ont eu lieu durant la trêve estivale, on peut notamment retenir les suivantes :
- Samsung, avec sa Galaxy Tab, sera absent pour cette rentrée des classes 2011, Apple ayant réussi à retarder la vente de la tablette en Europe en entamant une procédure judiciaire,
- Google a annoncé le rachat de Motorola Mobility le 15 août 2011 pour 12,5 milliards de dollars, confirmant son nouveau positionnement dans le hardware,
- Les acteurs de la téléphonie mobile, dont le constructeur chinois HTC le premier, se positionnent sur le segment des tablettes tactiles, ce qui conduit les opérateurs à investir également le marché (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free) via plus de 3 000 points de vente,
- Le marché des accessoires pour tablettes offre clairement de nouvelles opportunités en termes de marges commerciales (housses, supports, chargeurs, connectique, etc.). (...)
Dell fait évoluer ses baies de stockage EqualLogic
Dell a présenté les séries PS4100 PS6100 qui succèdent aux baies SAN ISCSI PS4000 et PS6000. Le constructeur indique que ces baies EqualLogic offrent un doublement de la densité de stockage grâce notamment à l'intégration de disques 2,5 pouces et de SSD. A noter que le premier prix pour ces systèmes de stockage passe sous la barre des 10 000 dollars. Les PS4100 et PS6100 sont au prix respectivement de 9 499 dollars et 30 699 dollars.
Travis Vigil, directeur exécutif du stockage chez Dell a déclaré que les deux plate-formes offriront une amélioration du débit E/S pouvant aller jusqu'à 67%. Il a confirmé que les baies sont capables de gérer des disques 2,5 pouces en SAS et SATA, ainsi que les SSD. Les baies de stockage présentées gèrent les disques SATA en 7200 rpm (tours par minute), mais aussi les disques SAS en 10 000 rpm et 15 000 rpm et les SSD jusqu'à 400Go.
La PS4100 est disponible en configuration 2U et peut intégrer jusqu'à 21,6 To avec des disques 2,5 pouces et 36 To en 3,5 pouces. La baie PS6100 est livrée soit dans un boîtier 2U comprenant à la fois des supports 2,5 et 3,5 pouces, soit dans une configuration 4U qui permet d'atteindre une capacité maximale de 72 To. Un rack complet de 42U de PS6100 peut contenir jusqu'à 1,2 Po de données.
Une plus grande intégration avec VSphere 5
Les deux séries PS sont livrés avec un la version 5.1 du firmware Dell EqualLogic, qui peut améliorer sensiblement les performances des baies souligne Travis Vigil. Ce microcode permet aussi au datacenter de migrer vers Ethernet par rapport aux liens Fiber Channel traditionnels. Par ailleurs, la mise à jour est compatible avec la prochaine arrivée de VSphere 5 de VMware.
Le constructeur et l'éditeur ont travaillé sur l'intégration plus étroite d'APIs de stockage, vSphere for Storage Awareness (visibilité de l'environnement de stockage) , Storage Distributed Ressource Scheduler (allocation dynamique des ressources de stockage) et vCenter Recovery Manager 5 (restauration automatique après sinistre).
Illustration: Dell EqualLogic P6100
Crédit Photo: D.R
(...)
Gouvernement et opérateurs rectifient le tir sur l'Internet illimité fixe
Un petit vent de panique a soufflé ce week-end quand le site owni.fr a publié un document émanant de la FFT (Fédération Française des Télécoms) regroupant plusieurs opérateurs télécoms et qui proposait de « plafonner » l'accès illimité à l'Internet fixe. Ce document de travail était une réponse à une consultation menée par l'ARCEP sur la neutralité des réseaux. Une fois publié, beaucoup de monde s'est inquiété de ce plafonnement de l'Internet fixe, sur quels critères, quel est le niveau de téléchargement à partir duquel la détérioration du débit sera mise en place, y a-t-il un risque de blocage ?
La FFT explique cette réflexion par le risque de congestion des réseaux. Cette analyse rappelle celle liée à la data mobile où les opérateurs s'interrogent sur le plafonnement de l'illimité pour l'Internet mobile. Plusieurs opérateurs dans des pays comme les Etats-Unis, l'Allemagne ont déjà sauté le pas et proposent maintenant des forfaits en fonction de la consommation.
Pas touche à l'Internet fixe, mais plus de transparence sur la notion d'illimitée
Eric Besson, ministre en charge de l'économie numérique est intervenu dans un communiqué pour rejeter cette idée de plafonnement de l'Internet fixe. « Le gouvernement n'envisage aucune restriction de l'accès à Internet et travaille bien au contraire au développement du très haut débit fixe et mobile sur l'ensemble du territoire et pour l'ensemble des Français » et d'ajouter qu'il « travaille à encadrer l'utilisation du terme « illimité » par les opérateurs afin de protéger les consommateurs contre certains abus ».
La FFT a aussi rectifié le tir par la voix de son directeur général, Yves le Moël qui a indiqué à l'AFP « Il n'est pas question de la fin de l'Internet illimité sur les lignes fixes » et de conclure « cette affaire n'est pas à l'ordre du jour ». Dans un entretien au Figaro, le dirigeant a expliqué que le document de travail ne concernait que les gros consommateurs d'Internet (en résumé ceux qui téléchargent beaucoup) et que les opérateurs réfléchissent à une modulation des offres pour ces clients-là.
Pendant le week-end, quelques opérateurs comme Numericable (qui ne fait plus partie de la FFT) se sont démarqués des propositions émises en indiquant que leur offre Internet fixe resterait illimitée. Free de son côté s'est déclaré « plus que réservé sur la pertinence d'une telle proposition ».
Twitter intègre les tweets sponsorisés dans le flux d'actualités
Twitter teste différentes options pour mettre en avant les tweets sponsorisés, que d'aucun appelle de la publicité. Au printemps 2010, le site de microblogging avait introduit une fonction payante pour que les tweets des annonceurs apparaissent en premier dans les résultats de recherche de certains mots clés.
Twitter a annoncé sur son blog que les tweets sponsorisés des sociétés suivis par les utilisateurs iront directement dans la TimeLine (flux d'actualités). Ces messages seront estampillés d'une petite icône orange discrète pour mieux les discerner. Ils disparaîtront lorsque le fil d'actualités se mettra à jour.
Twitter va essayer cette fonctionnalité dans les prochaines semaines avec un petit groupe d'entreprises, dont Best Western, Dell, Groupon, HBO et JetBlue.
Un modèle économique en bonne voie
« Dès le début, notre philosophie autour de la publicité a été simple: nous mettons les utilisateurs en premier et nous nous efforçons ensuite de créer des produits qui enrichissent l'expérience Twitter de chacun » explique le site de microblogging.
Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research, a déclaré que Twitter est sur la bonne voie en termes d'augmentation de ses revenus publicitaires. « D'une façon ou d'une autre, ils doivent augmenter la visibilité et le taux de clic. S'ils le font, les sponsors paieront pour cela. Intégrer les tweets sponsorisés dans le haut de la TimeLine va certainement augmenter la probabilité que les utilisateurs les voient » précise le consultant. Il complète en proposant à Twitter de mettre en surbrillance les publicités ciblés et pronostique un intérêt réel de ces messages pour la vente (réduction, coupon, etc) et l'annonce d'évènements. (...)
Réglementation télécom, l'Europe rappelle à l'ordre la France
La France avait jusqu'au 25 mai 2011 pour transposer dans le droit national la nouvelle réglementation européenne en matière de télécommunication. Faute de ne pas l'avoir réalisé dans le délai imparti, la France est mise en demeure depuis mardi 19 juillet par la Commission Européenne. Dans cette réglementation figurent le droit des consommateurs à changer d'opérateur de télécommunications en un seul jour sans devoir changer de numéro de téléphone, le droit à une plus grande clarté sur les services qui leur sont proposés et une meilleure protection des données personnelles en ligne.
Vingt États membres, dont la France, n'ont toujours pas transposé cette réglementation dans le délai imparti (l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la Bulgarie, Chypre, l'Espagne, la France, la Grèce, la Hongrie, l'Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République tchèque, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie). Cependant ils ont fait savoir à la commission européenne qu'ils avaient « entamé le processus législatif » et que certaines mesures avaient été mises en oeuvre ».
La France dispose de deux mois pour répondre à cette mise en demeure. Seuls 7 États membres ont réussi à tenir les délais de transposition : le Danemark, l'Estonie, la Finlande, l'Irlande, Malte, le Royaume-Uni et la Suède. La mise en oeuvre rapide et cohérente de cette réglementation constitue une priorité de la stratégie numérique pour l'Europe.
Crédit photo : HTC (...)
EMC complète son offre de stockage haut de gamme avec VMAXe
Dans la foulée des annonces de sa filiale VMware et sa Cloud Infrastructure Suite, EMC a présenté sa baie de stockage, VMAXe. Elle est destinée aux entreprises ayant une expertise limitée en matière de stockage limitées et des ressources IT restreintes. Cette baie dispose d'un encombrement réduit et comprend des logiciels préinstallés pour une configuration et une gestion rapide. EMC indique que la mise en oeuvre de cet équipement peut se faire en seulement 4 heures et alloué 1 To de capacité en 3 minutes. Cette baie se situe entre l'offre VNX plutôt dédiée aux entreprises intermédiaires et l'offre VMAX très orientée dans le haut de gamme.
La VMAXe propose jusqu'à 64 ports externes en front-end pour la connectivité aux serveurs d'applications. La baie supporte des réplications de données locales ou à distance, sur des systèmes ECM et non EMC, facilitant ainsi les migrations. « La Symmetrix VMAXe est un complément convaincant du portefeuille d'EMC et répond aux exigences d'un nouveau type de clients, surtout ceux dans les marchés émergents (fournisseur d'offres clouds par exemple) qui voient leur besoin en stockage devenir plus important qu'il ne pensait », a déclaré Terri McClure, une analyste au cabinet ESG. Elle ajoute « EMC a pris en considération les exigences du marché en rendant accessible des capacités de stockage haut de gamme, auparavant dédié pour les grands datacenters ».
Une offre complète
La VMAXe, comme son grand prédécesseur (VMAX), est fourni avec des logiciels pour gérer des environnements informatiques virtuels, y compris Symmetrix Management Console and Performance Analyzer, une interface web et des tableaux de bord avec un suivi en temps réel et EMC PowerPath SE, un système automatisé de redirection des I/O en cas d'erreur. La baie est capable aussi d'intégrer des solutions haut de gamme, tels que FAST VP d'EMC (hiérarchisation entièrement automatisé des pools virtuels de stockage), qui priorise les affectations des données et du logiciel de réplication locale TimeFinder.
Enfin, la VMAXe supporte IPv6 avec la connectivité 10 Gigabit Ethernet, ou il peut avoir jusqu'à 64 ports Fibre Channel, 32 ports iSCSI ou des FCoE en 10 Gigabit Ethernet. Elle est équipée de deux processeurs Intel Xeon, cadencés à 2,4 GHz avec 96 Go de RAM. Elle peut accueillir de 24 à 240 disques.
EMC n'a pas communiqué de prix sur cet équipement de stockage
VMware lance une suite pour les infrastructures clouds
La suite inclut plusieurs mises à jours de versions de produits VMware et en particulier vSphere, la plate-forme de virtualisation pour la création d'infrastructures de Cloud, produit phare de l'éditeur ; vCenter Site Recovery Manager, l'outil pour la protection et la migration de site pour les applications virtualisées; vShield, la solution de sécurité orientée virtualisation ; la console de gestion vCloud Director qui permet de créer des clouds privés sécurisés ; vSphere Storage Appliance, un produit qui offre une alternative aux systèmes de stockage partagé. La Cloud Infrastructure Suite comprend également vCenter Operations, livré plus tôt cette année. Selon VMware, le groupe de produits comporte au total plus de 200 modifications, comparé aux versions précédentes.
« Cette offre intégrée va permettre aux entreprises de concevoir une infrastructure à partir de laquelle elles pourront utiliser des services cloud hébergés, » a déclaré Paul Maritz, PDG de VMware, dans un webcast annonçant la sortie du produit. « Permettre aux entreprises de regrouper leurs ressources dans des pools de données plus larges, les faire fonctionner plus efficacement et les lier à une infrastructure externe, voilà un point de départ fondamental pour effectuer une transition vers le cloud computing, » a-t-il fait valoir.
Automatisation, gestion du stockage et appli iPad
VSphere 5 permet d'exécuter des machines virtuelles de très grande taille, capables de gérer 32 processeurs et jusqu'à un téraoctet de mémoire. Le logiciel peut également faire ce que VMware appelle l'automatisation en conformité avec la politique de l'entreprise, autrement dit prendre des décisions pertinentes comme savoir où déployer une VM. Le nouveau produit VMware vSphere Storage Appliance, peut être affecté pour transformer un serveur de stockage situé en interne en pool de stockage commun, ce qui n'impose plus de disposer d'un SAN (storage area network) séparé. « Jusque là, nous préconisions l'installation d'une baie de réplication pour déplacer les données et les machines virtuelles d'un site à l'autre. Désormais, il est possible de réaliser la réplication directement dans le logiciel et d'utiliser le réseau pour effectuer la copie entre deux sites, » a déclaré Steve Herrod, CTO de VMware.
Pour sa part, VMware Site Recovery Manager offre désormais la possibilité de déplacer les charges de travail du site principal vers le site de sauvegarde et de revenir à nouveau sur le site principal. Cette aptitude à réaliser une « restauration automatique est importante, » estime le CTO, parce qu'elle donne la possibilité aux entreprises de déplacer plus facilement les charges de travail entre différents centres de calcul. VCloud Director donne, aux utilisateurs finaux, accès à un portail pour gérer leur charge de travail et choisir les applications qu'ils souhaitent déployer. La nouvelle version de ce logiciel est accessible depuis un iPad.
Une offre modulaire
« Dans un scénario de déploiement classique, une entreprise peut utiliser certains ou même tous ces produits comme base d'une plate-forme Cloud, » a déclaré Jacques Neela, manager marketing produit chez VMware. « vSphere lui-même, gère les machines virtuelles individuelles et vCloud Director fournit aux administrateurs un moyen de virtualiser toutes les ressources physiques, comme les serveurs, les réseaux et les appareils de stockage, en les regroupant dans un seul pool de ressources. vCenter Operations édite des rapports et des statistiques sur l'utilisation tout en réalisant des fonctions de gestion comme le suivi de facturation pour chaque utilisateur. Le framework vSphere peut être utilisé par les vendeurs de logiciels antivirus et antimalware pour scanner les machines virtuelles et repérer les virus.
Le logiciel vSphere Storage Appliance est plutôt destiné aux petites et moyennes entreprises qui n'ont pas les ressources nécessaires pour mettre en place un réseau de stockage séparé, » a détaillé le manager. « S'ils prennent leurs disques partagés et en font un pool commun, les entreprises peuvent profiter de l'équilibrage de charge et d'une haute disponibilité automatique, » a ajouté Neela Jacques. « Notre objectif est d'aider les clients à transformer l'infrastructure physique en une infrastructure virtualisée, et de rendre cette infrastructure beaucoup plus agile, » a t-il encore ajouté. VMware prévoit de livrer l'ensemble de ces produits d'ici la fin septembre. Chaque application sera disponible sous licence individuellement.
WPC : Microsoft étend les fonctionnalités de Intune
« La première version de Windows Intune n'offrait pas toutes les fonctionnalités dont dispose l'ensemble de nos produits traditionnels, et n'était donc pas assez incitatif pour les grandes entreprises, » a déclaré Alex Heaton, directeur de Intune chez Microsoft. « La nouvelle version beta du service Intune, disponible depuis lundi, permet aux administrateurs de distribuer et d'installer des logiciels tiers à travers leurs systèmes, » précise le responsable. La console peut également être verrouillée pour limiter l'accès en lecture seule. Cela permet aux administrateurs juniors, aux partenaires et aux analystes d'accéder à certaines informations sans avoir un niveau de droits étendu pour effectuer des changements. Le service hébergé de Microsoft a été conçu pour les entreprises disposant d'un support informatique limité. Il met à jour Windows 7 sur les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables. Les abonnés au service peuvent également faire évoluer tous leurs ordinateurs de bureau tournant sous Windows XP vers Windows 7, sans frais supplémentaires.
C'est en mars dernier que Microsoft a officiellement lancé son service hébergé Intune, après une période de beta test de un an. Le service donne accès à une console Internet, à partir de laquelle il est possible de gérer l'ensemble des postes de travail d'une entreprise. Via la console, un administrateur peut appliquer les mises à jour de Windows, déployer des correctifs, surveiller les PC, gérer la sécurité, tenir un inventaire des postes de travail et accéder à un PC à distance pour résoudre certains problèmes. C'est depuis ses propres datacenters que Microsoft met ses mises à jour en file d'attente, et gère tous les logiciels en back-end nécessaires pour les tâches d'administration. Alex Heaton n'a pas voulu révéler le nombre d'abonnés au service Intune, indiquant simplement que l'abonné moyen gérait un parc allant jsuqu'à 250 ordinateurs.
La distribution logicielle et une interface utilisateur revue
Une des récentes fonctionnalités concerne la distribution de logiciels. La version actuelle de Intune peut stocker et déployer des correctifs Windows. La nouvelle version peut faire la même chose pour n'importe quel programme Windows compilé en .exe ou .msi. Cela permet aux administrateurs de télécharger un programme une seule fois, et de l'installer sur toutes les machines. « La fonctionnalité s'exécute depuis le Microsoft System Center, même si elle a une interface totalement différente, » a expliqué le directeur de Microsoft. Parmi les autres fonctionnalités, on trouve la possibilité de scanner une machine pour détecter des virus ou des logiciels malveillants sans l'aide manuelle de l'utilisateur - contrairement à la version précédente - plus la capacité de pointer toutes les copies d'un logiciel tiers donné. Ce dernier système peut s'avérer très pratique pour s'assurer de la conformité des licences logicielles. Enfin, l'interface utilisateur a été revue, de façon à la rendre plus intuitive.
La version bêta du service, qui porte le nom de Intune Juillet 2011, pourra être exécutée séparément de la version commerciale. Au final, « toutes ou partie des prochaines fonctionnalités de la version bêta seront reprises dans la version commerciale du service Intune, sans doute d'ici la fin de cette année, » a indiqué Alex Heaton. Les utilisateurs actuels peuvent essayer la version bêta, mais celle-ci ne peut pas être utilisée pour gérer les mêmes ordinateurs que ceux utilisant la version commerciale de Intune.
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