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Technologies 'vertes'
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(09/02/2009 16:47:47)
Minalogic crée un label Green, pour ses projets destinés à économiser l'énergie
Spécialisé dans les nanotechnologies et le logiciel embarqué, le pôle de compétitivité à vocation mondiale Minalogic crée son label Green (Grenoble efficacité énergétique). Cette distinction est destinée aux projets du pôle qui cherchent à réduire ou à maîtriser la consommation d'énergie. Un rôle dans lequel on retrouve de plus en plus souvent les nanotechnologies aussi bien que les systèmes embarqués dans le secteur du bâtiment, des transports, etc. Le Conseil d'administration de Minalogic attribue le label Green aux projets qui réduisent la consommation énergétique d'au moins 30%. Il en a déjà validé dix, dont la moitié en nanotechnologies et l'autre en logiciels embarqués. Aravis, par exemple, cherche à trouver des solutions architecturales et de conception efficaces et peu consommatrices pour les systèmes embarqués conçus en 32 et 22 nm. A l'origine, c'est le projet Smart Electricity qui a donné l'idée de ce label à Minalogic. Ce tableau électrique « intelligent » gère en temps réel la distribution et la consommation d'énergie dans un bâtiment. Il informe aussi sur cette consommation afin de mieux la maîtriser. (...)
(06/02/2009 15:04:50)Deux entreprises sur trois ont des projets de Green IT
A quelque chose malheur est bon. La crise systémique qui affecte la quasi-totalité des entreprises pourrait les inciter à se tourner massivement vers des stratégies plus respectueuses de l'environnement. C'est ce qu'on peut retenir à la lecture de l'étude 'The next wave of Green IT', réalisée par le cabinet Deloitte et l'éditeur CFO research services auprès de cadres issus d'entreprises réalisant plus de 500 M$ de chiffre d'affaires, en Europe, Amérique du Nord et en Chine. Selon le document, deux tiers des entreprises interrogées auront mis en place une politique de Green IT d'ici à la fin de l'année : 32% ont d'ores et déjà déployé un tel plan et 34% prévoient de le faire courant 2009. Et même en dehors du cadre d'un plan stratégique, les entreprises ont très majoritairement commencé à s'intéresser aux problématiques vertes. L'étude indique ainsi que neuf sociétés sur dix ont entrepris de réduire - même de façon modérée - leur impact sur l'environnement. Dans le même ordre d'idée, 60% des entreprises envisagent de consacrer au moins 5% de leur budget aux projets Green IT. Parmi les initiatives citées dans l'étude, figurent notamment la réduction des déchets, l'optimisation de l'efficacité énergétique des datacenters. Au-delà de leur volonté de sauvegarder la planète, les entreprises sont essentiellement motivées par la réduction de leurs coûts, une démarche qui paraît évidente dans le contexte économique ambiant. Cela passe notamment par une diminution de leur consommation d'électricité et, partant, d'une moindre dépendance aux fluctuations des prix de l'énergie. Enfin, s'investir sur des projets Green IT, c'est encore, pour les entreprises, l'occasion de redorer leur blason et de s'offrir à peu de frais une image positive. (...)
(29/01/2009 17:24:41)EMC France nomme son Monsieur Green IT
De plus en plus, le green IT entre concrètement dans la stratégie des grands acteurs de l'IT. Pour preuve, la nomination de responsables du sujet dans leurs maisons mères. Et, bien que plus rarement, la fonction est même relayée dans les filiales françaises qui se voient alors dotées de leur propre M. ou Mme Green. Chez EMC France, c'est Jean-Paul Bembaron, directeur des services et des solutions techniques depuis octobre 2007, qui prend la charge de ce que le constructeur appelle « l'efficient IT », en plus de sa fonction actuelle. Si le constructeur mène à bien sa stratégie durable, c'est l'accompagnement des clients dans leur propre démarche green IT qu'EMC lui confie. « On m'a demandé de réfléchir à cette mission il y a déjà plusieurs mois, raconte Jean-Paul Bembaron, et j'ai commencé par consulter nos clients, nos partenaires, pour savoir ce que le green IT représentait pour eux. Ma conclusion ? La motivation est écologique mais la justification reste économique. » Et pour le nouveau responsable green IT, EMC doit aider ses clients à combiner les deux. Et les aider à s'orienter dans un concept où ils sont souvent perdus. Pour ce faire, Jean-Paul Bembaron va travailler sur de nouvelles offres de services. Au delà des solutions technologiques, déjà en marche si l'on en croit EMC, avec des matériels moins volumineux, moins gourmands, etc., ce sont des prestations de conseil auxquelles Jean-Paul Bembaron souhaite réfléchir. « Nous allons essayer de proposer aux entreprises de définir des règles et des processus et ainsi leur donner une meilleure visibilité sur le green IT. Mais nous devons aussi leur enseigner la façon d'intégrer ce type de changements. » De véritables missions de consulting. Les moyens de justifier économiquement les investissements 'green' « Je suis parti d'un postulat, détaille Jean-Paul Bembaron. Aujourd'hui, les utilisateurs se posent des questions sur les émissions de chaleur des infrastructures, la consommation électrique, l'augmentation du montant des factures, leurs datacenters installés dans des endroits inadaptés, trop petits et trop chers... Par ailleurs, pour ce qui est de notre activité [le stockage], la quantité de données est de plus en plus importante et bon nombre ne sont pas utilisées, beaucoup sont redondantes. Rien n'est optimisé... » EMC veut réfléchir avec ses clients sur une meilleure gestion des gros volumes avec, en sus, une consommation énergétique et un impact environnemental moindres. Par ailleurs, EMC a déjà des offres de service green IT au niveau international. Mais la France, comme les autres pays, présente certaines différences qui imposent un travail local. Alors que, par exemple, l'Ouest américain souffre de la pénurie et du prix élevé de son courant électrique, l'Hexagone reste préservé - pour l'instant. En France, réduire la consommation énergétique des infrastructures informatiques ne signifie pas encore systématiquement diminuer la facture d'électricité, en particulier dans l'esprit de responsables informatiques à qui ces frais n'incombent pas. (...)
(26/01/2009 17:37:47)AMD livre la version à haute efficacité énergétique de son Opteron Shanghai
Fort du lancement réussi, en novembre dernier, de son Opteron Shanghai fondu en 45 nm, AMD livre, dans les délais promis, les versions HE (Highly Efficient) et SE (Special Edition). Avec une consommation moyenne (ACP, Average CPU Power) annoncée de 55 Watts, les cinq versions estampillées "Highly Efficient" sont dites 27% moins gourmandes que les versions précédentes par AMD. Ces puces quadricoeurs pour serveurs adaptent en effet leur consommation en fonction de leur charge de travail. Et en mode inactif (idle), elles consommeraient « jusqu'à 20% de moins que des systèmes comparables de la concurrence », dit AMD, qui cite un test réalisé par ses soins comparant son Opteron HE avec les Xeon quadricoeurs d'Intel. Les puces HE sont proposées à des cadences allant de 2,1 à 2,3 GHz. Les versions SE, dont la fréquence monte à 2,8 GHz, affichent un ACP de 105 Watts. Elles sont destinées aux serveurs orientés hautes performances. (...)
(26/01/2009 16:31:33)La SNIA propose une spécification pour la consommation énergétique du stockage
La plupart des études estiment que le stockage contribue pour près d'un tiers à la consommation électrique d'un datacenter. Une bonne raison pour les acteurs de ce marché de s'attaquer à la question. Ainsi, la Storage networking industry association (SNIA), qui regroupe la plupart d'entre eux, vient de rendre publique la première version de sa spécification pour une mesure de la consommation énergétique des infrastructures de stockage du marché. Publiée dans le cadre de sa Green storage initiative (GSI), la première mouture de la Green storage power measurement specification (Spécification pour la mesure de la consommation électrique du stockage vert) propose, entre autres, une taxonomie pour classer les offres de stockage en fonction de la cible qu'elles visent et un guide de mesure des périphériques en mode veille. La taxonomie de la Green storage power measurement specification a pour objectif de comparer la consommation électrique d'offres de stockage qui soient effectivement comparables. Ainsi, sont-elles organisées en fonction des caractéristiques de leur consommation énergétique, mais pour un certain type d'applications aux besoins desquelles elles sont censées répondre. Les cinq catégories d'utilisation identifiées par la SNIA vont du stockage à la maison ou dans une petite entreprise jusqu'aux environnements complexes des très grands comptes. Chacune de ces catégories d'applications est identifiée par les niveaux requis pour la protection des données, la redondance, le service, le temps d'accès aux données ainsi que par la consommation énergétique. Les systèmes sont eux aussi répartis dans cinq classes: le stockage en ligne, les bibliothèques média amovibles, les bibliothèques média non amovibles, les appliances et les switches. La spécification de la SNIA, qui peut être téléchargée, consultée et commentée, reste néanmoins un document de travail, comme tient à le préciser l'association. En 2009, la GSI compte élargir sa spécification à la consommation des matériels en mode actif, à l'efficacité énergétique des alimentations des systèmes de stockage et surtout à la promotion et la publication complète des mesures de chaque fournisseur du marché. (...)
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