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(13/10/2008 17:24:41)

La crise économique ajourne la présentation du plan Numérique 2012

Crise économique oblige, la présentation du Plan de développement de l'économie numérique, dit plan Numérique 2012, attendra. Le secrétariat d'Etat éponyme et l'Elysée, qui devaient dévoiler, aujourd'hui, le contenu de ce plan, ont annoncé que l'événement est reporté à la semaine prochaine. « En raison de la mise en oeuvre des conclusions du Sommet des Etats de la zone euro, le discours de M. le président de la République prévu ce matin sur le plan de développement de l'économie numérique est reporté à la semaine prochaine », explique le Château. Le plan Numérique 2012 vise à faire de la France « une très grande puissance numérique, à l'égal des économies les plus dynamiques de notre planète ». Lemondeinformatique.fr ne manquera pas de vous tenir informés des grandes lignes du plan concocté par Eric Besson dès que son contenu sera communiqué. (...)

(13/10/2008 17:16:15)

Marc Godin, vice-président serveurs chez Lenovo, commente la sortie de l'offre pour PME

Lors du dernier salon Interop en septembre dernier, Lenovo a lancé ses premiers serveurs hors de Chine. Basés sur le design des System X d'IBM, ces cinq serveurs en tour et en rack sont destinés avant tout aux PME et PMI, avec une offre de logiciels et de services associés et une solution d'entrée de gamme à 700 euros. Marc Godin, vice-président en charge de la partie serveur chez Lenovo, explique à la rédaction les raisons de cette nouvelle diversification. (...)

(13/10/2008 17:12:36)

Atos Worldline lance une solution pour développer des applications mobiles

Atos Origin propose Worldline Padda, une solution industrielle pour concevoir des applications mobiles. Elle s'adresse aux acteurs de l'industrie, des médias, de la grande distribution ainsi qu'aux banques. Elle est basée sur une infrastructure fonctionnant en mode client-serveur et sera hébergée chez Atos Worldline. Les applications mobiles sont développées du côté serveur avec une approche de type Web qui permet de personnaliser les applications (nouvelles fonctionnalités, design, ajout de logos, graphiques zoomables...). Worldline Padda permet de développer un annuaire d'entreprise, une consultation de messages vocaux et de mails, un paiement par mobile... Un système de cache permet à l'application mobile de ne télécharger que les éléments nouveaux et dont la personne a besoin. Testé et certifié sur plus d'une centaine de terminaux mobiles [[page]]Worldline Padda sera d'abord lancé en France puis en Belgique et en Allemagne. Il a été testé et certifié sur plus d'une centaine de terminaux mobiles. Cette solution a été conçue par Worldline, une filiale d'Atos spécialisée dans le traitement des transactions électroniques de grands volumes ainsi que les services de paiement. Atos a d'ailleurs récemment rejeté une offre de rachat de Worldline par le fonds Candover, qui en proposait 1,6 Md$. Malgré cette somme rondelette, la SSII française a préféré garder dans son giron une filiale qu'elle estime rentable et qui lui permet de réaliser 11% de son chiffre d'affaires (soit 654 M€ en 2007). (...)

(13/10/2008 17:06:13)

Syntec Informatique regrette le manque de SSII et d'éditeurs de taille moyenne

En 2003, le cabinet d'études Gartner prévoyait une forte concentration des SSII pour les deux années suivantes. La moitié d'entre elles devait connaître les délices d'un rachat. La prédiction ne s'est pas vérifiée. En France, le secteur des logiciels et services nargue les analystes en résistant à la vague internationale de concentration, comme le montre la dernière étude publiée par le Syntec Informatique. Chaque année depuis dix ans, en moyenne, 89 opérations de rachats sont menées dans les logiciels et services en France. Elles portent sur des entreprises d'un chiffre d'affaires (CA) de 16 millions d'euros (ME) en moyenne. Au total, toujours par an et en moyenne, ces opérations de concentration se montent à 1,4 milliard d'euros. Plus qu'à ces chiffres généraux, les enseignements de l'étude tiennent à l'analyse par métier et par taille d'entreprise. Par métier d'abord, une conclusion s'impose : les éditeurs se concentrent de plus en plus, alors que les SSII restent toujours rétives au mouvement. Chez les éditeurs, le nombre d'opérations menées a doublé ces deux dernières années pour atteindre 43 opérations en 2007. En valeur, la tendance est un peu faussée avec le « big deal » du rachat de Business Objects par SAP l'an dernier. En réalité, le mouvement est dû essentiellement à de petits éditeurs français non cotés qui rachètent d'autres petits éditeurs non cotés. Les SSII se concentrent moins que les éditeurs Concernant les SSII, la tendance à la concentration est encore plus faible, et elle concerne là aussi essentiellement de petites entreprises. La majorité des concentrations se fait dans les SSII de moins de 7,5 ME de CA annuel. Sur l'ensemble de la période considérée, 71% des opérations de concentration, dans les SSII, se font dans celles de moins de 7,5 ME de CA. [[page]] Pour bien saisir la différence entre SSII et éditeurs, l'étude montre ainsi que les SSII concentrent 61% des opérations de rachat réalisées au cours de la décennie alors que les éditeurs n'en mènent que 32%. Mais en valeur, les éditeurs font 55% des « deals » alors que les SSII tombent à 38%. Le troisième secteur membre du Syntec Informatique, celui du conseil en technologie représente 7% des opérations en nombre et 7% aussi en valeur. Voilà pour le constat. Il reste à comprendre. Prudent, le Syntec Informatique a simplement identifié des freins et des moteurs à cette concentration. Sur le premier point, le secteur est très disséminé du fait de la facilité à créer une entreprise, à s'installer sur une niche de marché, à agir en sous-traitance de grandes SSII. Ce dernier marché dit de « second niveau » permet aux SSII régionales de contourner les politiques de déréférencements menés par les grands comptes à l'encontre des petits acteurs. En sens inverse, il note quatre points qui favorisent la concentration : la pression sur les prix, le recours à l'offshore, l'arrivée de nouveaux acteurs (SSII étrangères, opérateurs de télécoms), la recherche d'économies d'échelle qui tendraient à renforcer des acteurs de plus grande taille. Forte natalité des petites SSII On assiste donc, selon Romain Hugot, président de la Commission Economie-Marché du Syntec Informatique, à une consolidation du marché plutôt qu'à une concentration. A l'évidence, le syndicat le regrette. Le secteur n'arrive pas à créer des acteurs de taille moyenne capables d'affronter la concurrence. En matière de logiciels et services, la France est la terre bénite des petits éditeurs et des petites SSII. Le secteur reste d'ailleurs très nataliste souligne l'étude. Il est facile de créer son entreprise, mais 80% des sociétés créées restent inférieures à dix salariés et ont du mal à se développer. Le syndicat compte sur les pouvoirs publics pour aider la profession à monter en régime. Avant les présidentielles elle avait élaboré un Livre Blanc. Aujourd'hui, elle table sur le Plan numérique de Nicolas Sarkozy, dont l'annonce a été repoussée d'une semaine, pour aider à constituer des entreprises de taille moyenne en France, ce qu'on appelle des entreprises de « mid market ». (...)

(13/10/2008 17:01:17)

Plutôt que de licencier, les entreprises IT transforment leurs employés en touche-à-tout

Alors que des suppressions d'emplois informatiques sont à prévoir dans les établissements bancaires qui siégeaient à Wall Street, les entreprises de la IT pourraient, elles, attendre avant de couper dans leurs effectifs. Selon nos confrères de Network world, ces sociétés préféreraient réduire leurs coûts en incitant leurs équipes à combler certains manques dans leurs compétences, et à intervenir sur des missions qui dépassent le cadre habituel de leurs fonctions. « Comme les entreprises du secteur cherchent à contrôler leurs coûts, elles s'attendent à ce que les informaticiens deviennent des touche-à-tout, déclare John Estes, vice président du cabinet Robert Half Technology.» Les observateurs de l'industrie, pour leur part, considèrent que le ralentissement économique pourrait être l'occasion pour le secteur informatique de prouver sa valeur économique. Ainsi, la Computer Technology Industry Association (CompTIA) ne manque pas de relever une augmentation du nombre de formations certifiées. Signe que les professionnels IT se sentent obligés de mettre à jour les compétences de leur personnels pour rester compétitifs. Ils n'hésiteraient pas à envoyer leurs troupes en formation afin qu'elles puissent assumer des responsabilités supplémentaires. Les salariés doivent mettre leurs connaissances à jour [[page]]« Historiquement, les certifications sont à la hausse lorsque l'économie montre des signes de faiblesse, explique Kyle Gingrich, directeur des produits et des services, le développement des compétences à la CompTIA. ce qui en clair rime avec moins d'emplois et plus de concurrence sur le marché. Les employés qui passent de nouvelles certifications prouvent qu'ils veulent apprendre davantage pour soutenir leur entreprise». Robert Half Technology insiste sur le fait que les salariés qui se sentent en danger doivent impérativement mettre leurs connaissances à jour. Un spécialiste de SQL par exemple devra faire être formé à SQL 2008 et anticiper sur les compétences qui pourraient être recherchées dans les mois à venir, considère le cabinet. Un développeur .Net devra apprendre développer sous Ajax, par exemple, tandis qu'un ingénieur réseau devra, lui, mettre son nez dans la mobilité. (...)

(13/10/2008 16:44:03)

Hausse de la maintenance SAP : Forrester suggère des parades

Alors même que SAP vient de supprimer le choix entre ses contrats de maintenance Basic et Premium pour ne proposer qu'un contrat annuel unique à 22% (du prix des licences achetées), il ressort d'une étude publiée par Ray Wang, vice-président de Forrester, que de nombreux clients de l'éditeur s'interrogeaient déjà sur ce que leur apportait leur contrat de base à 17%. Parmi les 200 clients interrogés par le cabinet d'étude, 80% décrivent en effet une utilisation minimale de ce contrat Basic. Le client moyen contacte SAP moins de six fois par an, ce qui revient pour lui à souscrire une assurance très complète mais rarement mise à contribution. Les entreprises se plaignent aussi à Forrester du temps qu'il faut à SAP pour prendre en compte leurs demandes de nouvelles fonctionnalités. « Les clients pensent que la contribution versée à SAP pour la maintenance doit servir à combler les manques fonctionnels de l'offre, indique le rapport de Ray Wang. Pourtant, on trouve pléthore d'exemples de fonctionnalités clés ayant été réclamées deux à quatre ans plus tôt par de nombreux clients -d'un même secteur d'activité ou de secteurs différents- qui n'ont pas été livrées dans SAP R/3 4.7, pas plus que dans SAP ERP 6.0. » Selon Forrester, les entreprises aimeraient savoir dans quelles proportions leur contribution annuelle est réellement réinvestie dans le développement. Faire baisser le prix des licences, évaluer la concurrence [[page]] Pour contrebalancer la hausse du coût de la maintenance, les clients devraient chercher à obtenir des réductions supplémentaires sur le prix des licences, estime Forrester. Une autre tactique pourrait consister à mettre sur pied une stratégie de « contention » de SAP incluant une surveillance de ce que font les autres éditeurs. Le cabinet indique qu'une partie des entreprises qu'il a interrogées avait, par exemple, commencé à évaluer les solutions de gestion de la relation client (CRM) d'Oracle/Siebel ou de Salesforce.com. Les clients peuvent aussi s'enquérir des solutions de support externes. Rimini Street, par exemple, créé par le fondateur de ToMorrow Now (qui a causé et cause encore tant de tracas à SAP), avait annoncé son intention d'offrir une alternative de maintenance moins coûteuse autour des applications SAP. Mais celle-ci n'est pas encore disponible et ne devrait de toute façon concerner que les applications R/3. Sur tous ces points, le rapport de Forrester contredit donc quelque peu l'argument avancé par SAP qui établit que, même si les clients répugnent à voir leur facture augmenter, ils savent reconnaître la valeur d'un nouveau service. En France, l'USF, club des utilisateurs francophones de SAP, devrait communiquer, dans les jours ou semaines qui viennent, les résultats de l'enquête menée auprès de ses adhérents sur la hausse du tarif de maintenance. L'USF tient sa convention annuelle à Tours mercredi prochain 15 octobre, en présence de Léo Apotheker, fondateur de la filiale française et désormais co-PDG de SAP. (...)

(13/10/2008 15:07:24)

En 2007, la consommation annuelle des datacenters européens a crû de 13%

Entre 2006 et 2007, la consommation d'électricité des datacenters européens a crû de 13% et elle devrait encore enregistrer une hausse de 5% cette année. Dans un communiqué, Giogio Nebuloni, analyste chez IDC, précise que "cette augmentation de la consommation s'explique par celle du nombre de serveurs installés, mais aussi -et surtout - par les besoins de plus en plus importants des machines." Cette voracité est due en particulier aux processeurs multicoeurs et à l'apparition de fonctions matérielles supplémentaires. "Les efforts déployés par les fournisseurs pour intégrer des composants de faible consommation ne suffisent pas à contrebalancer l'augmentation des besoins. Pour la contrecarrer, les entreprises doivent agir au niveau de leur infrastructure en adoptant certaines bonnes pratiques et en faisant un effort de conception pour améliorer la climatisation et la gestion de l'énergie. Une consommation globale de 40 TW/h en2007 [[page]]IDC estime que la consommation électrique des serveurs en Europe en 2007 a atteint 16,3 TW/h pour une facture de 1,6 Md€ (soit le double de la consommation de tout l'éclairage public et de la signalisation routière au Royaume-Uni). Quant aux datacenters pris dans leur ensemble, ils ont absorbé plus de 40 TW/h en 2007, soit 4,4 Md€, et devrait dépasser les 42 TW/h en 2008. Si rien n'est fait, estime Nathaniel Martinez, directeur du programme serveurs d'entreprise pour l'Europe chez IDC, "en 2012, pour chaque euro consacré à l'achat d'un nouveau serveur, il faudra en compter 0,80 € pour alimenter les infrastructures qui les accueillent." Les Anglais sont plus sensibilisés au problème du coût de l'énergie que, par exemple, les Français. Entamée dès 1989, la libéralisation de leur marché s'est traduite par une augmentation du prix de l'électricité de plus de 80% entre 2001 et 2006, selon Nus Consulting. En 2007, les entreprises anglaises ont payé le kWh 0,0836 €. La France, en pleine période transitoire vers une libéralisation de son marché, a bénéficié d'une baisse de 26% du prix "libre" pour les entreprises à 0,064 €/kWh. Cette baisse s'explique par le fait que le prix régulé est encore inférieur (0,0532 €/kWh). (...)

(13/10/2008 14:38:00)

Seesmic licencie la moitié de ses effectifs

Patatras. Un an après sa création et deux prometteuses levées de fonds, d'un montant de 6 M$ chacune, la start-up Seesmic est rattrapée par la tourmente économique. Le site français de partage de contenu et de conversations vidéo va en effet se séparer de la moitié de ses salariés, soit sept personnes. Il y a quelques semaines pourtant, Loïc Le Meur, fondateur du site, affirmait que la crise n'avait pas encore atteint la Silicon Valley (où il s'est expatrié depuis un an). « Elle reste protégée, on ne note pas de ralentissement des levées de fonds », précisait Loïc Le Meur lors du lancement du programme Le Web'08. C'est un tout autre discours qu'il tient aujourd'hui sur son blog, en évoquant dans une vidéo des « temps difficiles et incertains », avant d'annoncer les licenciements. (...)

(13/10/2008 13:57:56)

Shapeways propose l'impression 3D à la demande

Pour 3$/cm2, Shapeways.com met l'impression en 3D à portée de toutes les bourses. Cette société néerlandaise propose en effet aux entreprises qui n'ont pas les moyens d'investir dans un périphérique 3D ou aux particuliers d'imprimer leurs objets, à la demande, et de les expédier ensuite par courrier. Si les particuliers disposent de modèles pour les aider, les entreprises, elles, chargent leurs propres projets 3D. Shapeways supporte en effet les principaux logiciels de conception 3D comme AutoCad 8 ou Maya de Autodesk, et propose des outils de conversion pour les autres. (...)

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