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(23/04/2008 14:54:42)

EDS ferme trois sites en région et licencie 80 salariés

La filiale française de la société de services EDS annonce un projet de réorganisation régionale qui se soldera par la fermeture de plusieurs sites en province et par le licenciement de salariés qui y sont rattachés. Les trois centres de la SSII situés à Villeneuve d'Ascq (Nord), Freyming-Merlebach (Moselle) et Lingolsheim (Bas Rhin) cesseront bientôt leur activité, d'où un Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) lié à ces fermetures. Selon la direction de la communication, ce plan ne concernera pas la totalité des postes rattachés à ces trois sites mais un maximum de 80 emplois, soit moins de 3,5% des effectifs de la filiale française. « Les exigences actuelles du marché nous conduisent à mener des plans de productivité importants pour maintenir notre compétitivité, justifie EDS, dans un communiqué. L'un des axes de ces plans réside dans le regroupement de nos centres de production, décision qui fait partie intégrante de la stratégie mondiale du groupe.» Un marché local de l'infogérance devenu trop réduit Historiquement, la présence d'EDS dans ces régions s'explique par la signature de contrats d'infogérance datant du début des années 1990. Or aujourd'hui, EDS estime que la structure du marché local associée à la concurrence déjà établie et à la stratégie du groupe ne justifient plus sa présence dans ces régions sauf pour quelques grands comptes. Pour se donner bonne conscience, la SSII s'engage à mettre en oeuvre des mesures d'accompagnement afin d'aider les salariés concernés à retrouver un emploi : ouvertures de postes en interne, mesures d'aide à la mobilité, formations d'adaptation et primes de mutation. Un espace « Conseil Emploi » avec l'assistance d'un cabinet de consultants spécialisés dans l'accompagnement au reclassement devrait également être mis en place. (...)

(23/04/2008 12:26:06)

Les serveurs iDataplex d'IBM s'attaquent aux grands du Web 2.0

Les grands du Web 2.0 comme Facebook ou Myspace, dont les sites accueillent un trafic très important, font face à de nouveaux problèmes avec leurs datacenters. Il leur faut plus de puissance, plus de flexibilité mais aussi moins de consommation d'énergie et de dissipation de chaleur. IBM a décidé de proposer à ces entreprises des serveurs en rack spécialement conçus pour elles, censés concurrencer les PC en marque blanche que ces sociétés installent pour l'instant en grappe par milliers. Les iDataplex sont des quadri-coeurs Xeon sous Linux au format 1U ou 2U et ils consommeraient 40% de moins d'énergie que des systèmes en rack classiques tout en apportant plus de puissance. IBM joue par exemple sur l'organisation des racks pour optimiser leur ventilation. En effet, si la hauteur des serveurs en rack ne change pas (1U ou 2U), ils sont de plus en plus profonds. Or, comme les systèmes de refroidissement soufflent de l'air de l'arrière vers l'avant des serveurs, plus ceux-ci sont profonds, plus ils ont besoin de ventilateurs puissants et donc gourmands en énergie. Pour pallier le problème, IBM installe tout simplement ses serveurs dans les racks en les faisant pivoter à 90°C horizontalement. Résultat selon le constructeur : 67% d'économie d'énergie ! Un compromis entre économies d'énergie et tolérance aux pannes Un seul rack comprend jusqu'à 84 serveurs iDataPlex, ce qui permet entre autres d'installer une porte arrière de refroidissement à eau qui extrait toute la chaleur émise par le système. Toutes ces machines partagent seulement trois groupes de câbles d'alimentation contre quatre précédemment. Un compromis entre économies d'énergie et tolérance aux pannes revendiqué par IBM. Selon Big Blue, les entreprises du Web 2.0 utilisent toutes des logiciels qui permettent, de toutes façons, de basculer d'un serveur à l'autre en cas de problème. Avec ses nouveaux serveurs, IBM cible aussi des applications complexes d'analyse financière, de traitement de la vidéo et de HPC (calcul haute performance) en général. Ils ne seront vendus qu'aux entreprises les commandant en très grand nombre (de l'ordre du millier). Et le constructeur proposera 22 configurations différentes avec des options pour l'environnement réseau, les commutateurs et le stockage. (...)

(23/04/2008 10:20:03)

eBay pourrait se débarrasser de Skype

L'union eBay-Skype pourrait tourner au divorce d'ici à la fin de l'année. C'est ce qu'a indiqué en substance John Donahoe, président du site de vente à l'encan depuis moins d'un mois, à nos confrères du Financial Times. Les piètres résultats financiers réalisés par la filiale spécialisée dans la ToIP - achetée à prix d'or en 2005 - condamneraient ainsi son avenir au sein du groupe eBay. Le site d'enchères n'a cependant pas arrêté de décision et tente, dans un dernier effort, de réorganiser ses différentes branches pour générer des économies. « Ce que nous testons cette année, ce sont des synergies, explique le patron du groupe. Si elles sont fortes, nous conserverons [Skype] dans notre catalogue. Sinon nous réévaluerons la situation. » De fait, si le nombre d'utilisateurs de Skype ne cesse de croître, les performances financières n'ont jamais été à la hauteur des fols espoirs qu'y avait placés eBay en 2005, dépensant alors 2,6 Md$ pour l'acquisition. En octobre 2007, ce dernier déplorait ainsi une perte de 1,4 Md$ liée à la dépréciation de la valeur de son service de téléphonie. Le mois dernier, Jonathan Christensen, directeur général audio et vidéo de Skype, expliquait que eBay entendait désormais laisser sa filiale se développer de manière plus autonome. Une autonomie qui pourrait finalement se transformer en cession, si le site de ventes aux enchères réalisait que le modèle économique dont il avait rêvé en mettant la main sur Skype n'était qu'illusoire. (...)

(23/04/2008 09:22:29)

Les bons résultats de Yahoo n'émeuvent pas Microsoft

Les bons résultats trimestriels dévoilés aujourd'hui par Yahoo n'influeront en rien sur l'offre faite par Microsoft pour mettre la main sur le géant du Web. C'est Steve Ballmer lui-même qui s'est fendu de cette déclaration, délivrée quatre jours avant que n'expire l'ultimatum lancé par l'éditeur à Yahoo. Ce dernier n'a plus que jusqu'à samedi pour accepter ou refuser les 43,2 Md$ proposés pour rejoindre le géant de Redmond. « Je pense que nous pouvons accélérer notre stratégie en achetant Yahoo et nous paierons une somme acceptable aux yeux de nos actionnaires. Je souhaite à Yahoo le plus grand succès avec ses résultats, mais ils ne modifieront pas la valeur à laquelle nous les estimons », a ainsi déclaré le président de Microsoft à l'occasion du lancement de MSN Maghreb. Les bonnes performances financières réalisées au cours du premier trimestre pourraient pourtant permettre à Yahoo de réclamer plus que les 31 $ par actions offerts par Microsoft. Même si il refuse d'envisager cette éventualité, ce dernier pourrait toutefois bénéficier d'un appui de poids si l'addition finale enflait. Rupert Murdoch, le patron de News Corp, vient en effet de tendre la main à Steve Ballmer, lui proposant son aide pour avaler Yahoo, avec un seul but en tête : dresser une barrière contre l'hégémonie de Google dans la publicité en ligne. (...)

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