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(09/06/2006 17:07:58)

Hausse de 7 % du marché des solutions d'intégration et de middleware en 2005

Selon Gartner, le marché mondial des solutions d'intégration et de middleware a progressé de 7,1 % en 2005 à 8,5 Md$. Dans un communiqué, le cabinet souligne que le marché est largement détenu - à 69 % - par les cinq principaux éditeurs de solutions concernées : IBM, BEA, Oracle, Microsoft et Tibco. IBM est toujours en tête avec 37,2 % de parts de marché pour un chiffre d'affaires de plus de 3,1 Md$, contre 2,9 Md$ en 2004. Big Blue est suivi par BEA à 14,5 % pour un chiffre d'affaires de 1,23 Md$. Viennent ensuite Oracle à 8,7 %, Microsoft à 4,7 % et Tibco à 3,7 %. Pour son classement 2005, Gartner précise avoir tenu compte du chiffre d'affaires global sur le marché des solutions d'intégration et de middleware, et pas uniquement de celui généré par les ventes de licence. Le cabinet justifie ce choix par « l'émergence et la popularité croissante des logiciels open-source et par l'apparition de nouveaux modèles de commercialisation, tels que les offres à l'abonnement ou en mode hébergé. » Selon Gartner, le marché devrait continuer sa progression dans les années à venir «car les entreprises ont commencé à migrer leurs anciens systèmes d'information vers des environnements basés sur des architectures orientées service. » (...)

(09/06/2006 17:08:18)

Intel pousse AMD à la guerre des prix

Comme il l'a déjà fait par le passé lorsque AMD a commencé à nuire un peu trop à son emprise sur le marché des processeurs, Intel va casser les prix pour regagner des parts de marché sur son concurrent. A compter du 23 juillet, date de lancement de ses puces Core 2 Duo, Intel va casser les prix de ses actuelles puces Pentium-D, parfois jusqu'à 60%. La firme entend aussi prendre en tenaille la gamme Opteron entre les nouvelles puces Xeon 5000 "Dempsey" et les Xeon 5100 "WoodCrest". Les premiers offriront des performances légèrement inférieures à celles des Opteron bi-coeur, mais à prix cassé (177 $ pour la version à 3 GHz et 316 $ pour la version à 3,2 GHz). Les seconds offriront des performances supérieures à celles des meilleurs Opteron et une consommation énergétique réduite. Leurs prix seront vraisemblablement similaires à ceux des meilleurs Opteron. Les Xeon 5000 devraient ainsi être utilisés entre le mois de juin et le mois d'octobre pour endiguer la percée des Opteron les plus économiques sur le marché en offrant une alternative encore moins chère, tandis que les Xeon 5100 seront utilisés à partir du mois d'août, pour battre l'Opteron sur le terrain des performances. Face à cet assaut, AMD ne disposera pas de réponse technologique avant le premier trimestre 2007 et l'arrivée de sa nouvelle génération de puces. En attendant, il va donc être contraint de riposter sur le terrain des prix. Certaines puces Athlon 64 vont ainsi voir leur prix divisé par deux et AMD devrait aussi être contraint de baisser les prix de certaines puces Opteron. Le second semestre devrait donc être l'occasion pour les clients de faire de sérieuses affaires sur les serveurs bi-processeurs bi-coeur et les PC de bureau. Il n'est pas sûr en revanche, que les actionnaires d'Intel et AMD, apprécient ces "soldes" de la même façon. (...)

(09/06/2006 17:05:02)

Avec Windows Compute Cluster Server, Microsoft s'attaque au marché du calcul

A la veille de sa conférence technique Tech Ed 2006, qui s'ouvre à Boston dimanche 11 juin, Microsoft a annoncé qu'il vient de terminer le développement de la version HPC de Windows, Windows Compute Cluster Server 2003. Avec cette nouvelle mouture de son OS serveur, Microsoft a pour ambition de venir concurrencer les grands éditeurs Unix et Linux sur le marché des clusters de calcul. Comme l'explique Eric Nataf, le Responsable Infrastructure Windows Server chez Microsoft France, "le marché du calcul est historiquement un marché Unix qui a évolué vers Linux. Aujourd'hui, c'est un marché à 90 % Linux et sur lequel Microsoft a une présence confidentielle". Pour Microsoft, le marché du HPC est toutefois un marché d'importance, car les ventes de serveurs y sont en croissance et évoluent plus vite que le marché général. C'est de plus un marché en cours d'évolution et sur lequel la demande pour des offres de "clusters départementaux" à quelques dizaines ou centaines de noeuds explose. C'est ce marché d'entreprises que Microsoft entend séduire avec Windows Compute Cluster, plus que celui des grands clusters scientifiques. Pour cela Microsoft use des arguments habituels, à savoir l'intégration de Windows Compute Cluster dans l'infrastructure général de l'entreprise, notamment au travers d'Active Directory, et la réutilisation des compétences internes en matière d'administration. Il met aussi en avant l'ergonomie et la simplicité de déploiement, ainsi que les outils d'administration fournis, notamment un ordonnanceur développé en interne. Microsoft annonce aussi le support de sa solution par de nombreux éditeurs et par la plupart des grands constructeurs de serveurs x86 64bit, qui devraient, pour la plupart, fournir des clusters prêts à l'emploi sous Windows. Pour la petite histoire, Windows Compute Cluster embarque une implémentation de l'interface MPI-CH2 qui s'appuie sur une base libre licenciée auprès des Argon national Labs sous licence BSD. Il ne dispose pour l'instant pas d'un système de gestion de fichiers parallèle, ce qui pour les applications visées ne devrait pas être un problème, mais qui l'empêchera certainement de s'implanter dans l'univers des très grands clusters. Le logiciel devrait être disponible à partir du mois d'août au prix de 469 $ par noeud (jusqu'à quatre processeurs). Ce prix inclut l'OS et la fourniture des utilitaires et interfaces de gestions de cluster. Une version d'évaluation du logiciel est téléchargeable sur le site de l'éditeur. (...)

(09/06/2006 17:06:28)

Le correctif pour Word enfin disponible le 13 juin

Microsoft confirme que la rustine qui doit combler la faille dans Word -béante depuis le 22 mai- sera distribuée dans le "Patch Tuesday" du 13 juin. Elle sera accompagnée de onze autres correctifs, dont neuf pour Windows (une "critique"), une pour Exchange ("Important") et une seconde pour Office. Microsoft prévoit notamment de livrer le programme censé définitivement appliquer les modifications de comportements ActiveX à IE. Et annuler les effets du "compatiblity patch" de façon permanente. (...)

(09/06/2006 17:07:17)

Idealx signe un accord avec Steria Benelux autour d'OpenTrust

L'éditeur open source Idealx poursuit sa stratégie d'internationalisation et signe un accord avec Steria Benelux autour d'OpenTrust, sa solution-phare de confiance et de dématérialisation. Selon les termes du partenariat, Steria délivrera des prestations d'intégration et de support autour d'OpenTrust. Un accord "classique" entre un éditeur et une SSII, mais aux yeux d'Olivier Guilbert, PDG d'Idealx, cela prend le goût d'une véritable avancée. D'abord en confirmant le statut d'éditeur d'Idealx, dans l'écosystème client, intégrateur, éditeur. Puis, en lui offrant un second "référencement" - la société a déjà scellé un partenariat avec Atos. -, pour OpenTrust, en tant que solution d'échanges sécurisés de référence, chez un "grand intégrateur leader", spécialisé sur les marchés du secteur public, de la sécurité et de l'identité. En outre, Steria Benelux participe au vaste projet de carte d'identité et de passeport électronique en Belgique. Un projet qui devrait intégrer OpenTrust, nous confirme Idealx. se démultiplier à l'international Dernier point mis en avant par Idealx: la poursuite d'une politique d'internationalisation, entamée avec le rachat de la SSLL belge Arafox en octobre 2006, qui lui donnait déjà "un pied à terre" à l'étranger. "Avant d'entamer une internationalisation de plus grande ampleur, il faut se frotter au marché. Pour valider notre modèle.", affirme Olivier Guilbert. Et d'ajouter que d'autres partenariats, technologiques et avec des intégrateurs, devraient se dessiner avant la fin juillet. (...)

(09/06/2006 17:05:36)

Le principe de la Neutralité d'Internet rejeté aux Etats-Unis

Aux Etats-Unis, La Chambre des Représentants (House of Representatives), vient de voter contre un amendement à un projet de loi sur les télécommunications, censé encadrer le concept de la sacro-sainte neutralité d'Internet. Un uppercut à l'estomac des diffuseurs de contenu, notamment Google, Microsoft et eBay, qui avaient organisé leur propre résistance, depuis le début de la semaine. Concrètement, l'amendement visait à inclure dans la loi fédérale un cadre légal pour empêcher les fournisseurs d'infrastructure de pratiquer une qualité de service à deux vitesses, en fonction du diffuseur de contenu. Le projet de loi, baptisé COPE (Communications Opportunity, Promotion and Enhencement) Act, soutenu majoritairement par les Républicains, et approuvé en avril, autorise les opérateurs à bloquer ou moduler la qualité de leur service. L'initiative d'amender ce projet de loi est survenue il y plusieurs mois, lorsque AT&T et Bellsouth, deux opérateurs américains, ont déclaré travailler à un nouveau modèle économique, pour financer leur prochaine génération de réseau. Leur idée : monnayer la vitesse des débits. Les diffuseurs payent pour obtenir des débits pus rapides. A l'inverse, ceux qui ne payent pas, voit leur bande passante se réduire. "Intolérable" pour les sociétés Internet, à l'image de Google et Yahoo, qui développent des services en ligne de vidéo et de VoIP, gourmands en bande passante et débits ultra-rapides. Même son de cloche chez Tim Berners-Lee, qui lors de son discours d'inauguration du WWW 2006, s'est déclaré en faveur d'une séparation claire de contenu, de son mode d'accès. (...)

(09/06/2006 17:06:46)

Témoignage : « le plus handicapant, c'est l'ignorance de l'entourage »

Quels sont les aménagements prévus dans votre cursus à l'Insa pour tenir compte de votre handicap? Je me suis inscrit à l'Insa car c'était alors l'une des seules écoles d'ingénieurs qui ait une mission handicap. Cela me permet d'avoir un interlocuteur privilégié et de mettre en place quelques aménagements effectivement. Contrairement à certains malentendants, je ne peux pas prendre de notes en écoutant le professeur puisque je lis intégralement sur les lèvres. Je bénéficie donc de « preneurs de note » (des élèves volontaires rémunérés par l'Urapeda, Union régionale des associations de parents d'enfants déficients auditifs) qui se relaient suivant les matières. Ainsi je peux me concentrer sur le prof. Je profite aussi (environ 4 heures par semaine, ce qui est trop peu) d'une personne extérieure qui vient me « traduire » les cours, dans un code phonétique (ce qui n'a rien à voir avec la Langue des Signes qui est une langue étrangère avec sa grammaire etc.), nommé la Langue française parlée complétée (ou LPC). Le soutien le plus efficace est celui que je trouve auprès des professeurs lors d'entretiens individuels. En 30 minutes environ, je peux faire le point sur 6 heures de cours en amphithéâtre. J'ai aussi un professeur à l'Insa qui assume un rôle de tuteur afin de faire le relais entre l'école, l'association qui me suit, l'Urapeda et moi. Il m'est essentiel ! Il m'a enfin été proposé de faire ma troisième année en deux ans, ce que je souhaitais aussi pour avoir le temps de me familiariser avec cet environnement et de « sensibiliser » l'équipe pédagogique. Ces aménagements sont pris en charge par l'Agefiph via l'Urapeda Rhône-Alpes. Dans quelles sociétés et dans quelles fonctions avez-vous effectué des stages? J'ai fait mon premier stage informatique (donc à l'issue de ma première année cycle ingénieur informaticien) au sein du service R&D d'EDF à Clamart (92). J'ai programmé en Java un petit programme qui, à partir d'un fichier de sous-titres génère un fichier exploitable par une tête de synthèse. Ainsi, même s'ils ne savent pas encore lire, les enfants sourds (utilisant la LPC qui est un code phonétique, je le rappelle) peuvent regarder des DVD avec une tête de synthèse incrustée sur l'écran codant la LPC. Ce stage s'est très bien passé. Des collègues m'ont avoué que le fait d'avoir travaillé avec moi avait bouleversé leur perception du handicap. Par ailleurs, EDF souhaitait me reprendre pour cet été. Actuellement, je suis en stage dans une société d'ingénierie dans les transports urbains (SEMALY) à Lyon ; je développe l'Interface Homme Machine d'un logiciel de simulation de trafic ferroviaire. Vous dites que la perception du handicap de vos collègues a changé ? Oui car souvent les gens ont une perception misérabiliste du handicap. Ils s'imaginent que les handicapés doivent avoir une vie triste. Or, pour mes collègues, le fait de m'avoir vu travailler, rire et communiquer avec eux comme n'importe qui, leur a permis de réaliser que cette vision est fausse. Y-a-t-il eu des aménagements dans ces sociétés pour vous accueillir? Très peu, à part le fait que mon tuteur ait pris en charge mon téléphone. Je ne suis pas bien exigeant en matière d'aménagements. C'est pourquoi je trouve cela dommage que les gens aient peur d'embaucher des personnes handicapées. Souvent c'est ne pas sorcier. Quels sont vos souhaits sur le plan professionnel? Ya-t-il des métiers incompatibles avec votre handicap ? C'est encore difficile à dire de façon précise. Je sais que j'aimerais travailler sur des projets de façon globale et non pas me spécialiser sur une seule tâche comme la programmation. Je ne veux pas faire de l'informatique pour faire de l'informatique, mais que cela soit au service d'un besoin du quotidien, comme dans mon ma stage à la Semaly par exemple. J'ai déjà des contacts prometteurs avec de nombreuses entreprises intéressées par mon profil. Quant aux métiers qui seraient incompatibles avec le handicap, je pense surtout à ceux où il y a beaucoup de communication immédiate comme pour les ingénieurs commerciaux. C'est pourquoi je me vois plutôt travailler sur des projets à long terme, où il y a moins de communication "urgente". Par ailleurs, pour les postes internationaux, je dois pouvoir m'entraîner à la lecture labiale (comme j'ai dû le faire en français), même si je suis à l'aise à l'écrit en anglais et en allemand. Qu'attendez vous de l'entreprise qui va vous accueillir ? Ce qui me gène le plus en général, ce n'est pas mon handicap en lui-même mais les personnes qui m'entourent. Celles-ci m'handicapent par leur ignorance, leur maladresse, leur inconscience, etc. Concrètement, j'attends de l'entreprise qui m'accueillera qu'elle sensibilise le personnel sur l'attitude à avoir : parler en face en articulant sans exagérer et en reformulant au lieu de répéter bêtement etc, entrer dans mon champ de vision pour me solliciter, etc. En fait, il ne s'agit que de faire preuve de bon sens! Il faut aussi aménager le poste de travail, prévoir un collègue qui se charge du téléphone, échanger par email, prévoir un vibreur pour m'appeler en cas d'urgence, des alarmes (flashs lumineux à poser dans les pièces, etc.). Il faudra enfin « discipliner » les différents intervenants en réunion de façon qu'ils s'expriment chacun leur tour afin que je puisse suivre (puisque je ne peux lire sur les lèvres que d'une personne à la fois !). Le nombre d'handicapés dans l'enseignement supérieur est peu élevé. A votre avis, que manque-t-il dans les écoles et dans les entreprises pour encourager les handicapés à faire des études longues? Il faudrait que chaque établissement ait une mission handicap avec un interlocuteur désigné et un budget prévu. C'est le minimum, or c'est encore rarement le cas actuellement...Ensuite, il faut mettre en place une « vraie » politique d'intégration d'étudiants handicapés. Le « bidouillage » en temps réel ne marche pas ! Nous en sommes encore à la préhistoire en matière d'intégration des personnes handicapées dans les études supérieures, même si des progrès ont été faits ces dernières années. Quoi qu'il en soit, il ne faut jamais oublier que la persévérance finit toujours par payer. Ca, au moins, on ne peut nous l'enlever. (...)

(09/06/2006 12:53:59)

EDS se paye l'indien Mphasis, spécialiste de l'externalisation

EDS vient d'acquérir, pour environ 380 M$, 83 millions d'actions de l'indien Mphasis BFL, un spécialiste de l'externalisation. L'opération permet à l'acquéreur de détenir la majorité du capital de sa cible. Même si Mphasis conservera son statut d'entreprise indépendante, EDS pourra disposer de ses 11 000 salariés, ce qui devrait porter le total des collaborateurs des deux entités à près de 20 000 à la fin de l'année. A l'image d'IBM, de Capgemini ou autre Accenture, EDS multiplie ses efforts pour accroître sa présence dans le Sous-continent et y développer une plateforme offshore à moindre coût. L'opération devrait permettre à EDS d'étoffer ses compétences dans le secteur des projets à court terme pour le développement d'applications, particulièrement dans les projets dont le montant n'excède pas 25 M$. Le groupe s'appuiera pour cela sur les activités d'externalisation du processus métier et de centre d'appel mises en place par Mphasis BFL. (...)

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