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(24/02/2005 18:50:56)
IBM conserve son rang sur le marché EMEA des serveurs
Selon Gartner, IBM est parvenu à conserver la tête du marché des serveurs en 2004 pour la région Europe, Moyen-Orient, Afrique (EMEA), avec 32,9 % de parts de marché et près de 5,2 Md$ de chiffre d'affaires. Néanmoins, le constructeur est talonné par HP dont la part de marché a progressé de près de 11 % par rapport à 2003 à 31,3 %. Les autres constructeurs se placent loin derrière avec Sun à 10,8 %, Fujitsu-Siemens à 8,2 % et Dell à 7,3 %. Le chiffre d'affaires de ce dernier sur ce marché a cependant progressé de 25,6 % en 2004 à 1,155 Md$.
En volume, IBM se fait devancer par HP qui s'est octroyé 37,7 % du marché à 765 200 unités vendues, 18,3 % de mieux qu'en 2003. IBM n'a atteint que 17,5 % de parts de marché à 355 000 unités, soit tout de même 24,7 % de mieux qu'en 2003. Dell semble avoir profité de la forte demande pour des serveurs d'entrée de gamme relevée par Gartner ; le constructeur a livré 318 000 serveurs dans la région EMEA en 2004, soit 31,5 % de mieux qu'un an plus tôt.
Au total, plus de deux millions de serveurs ont été vendus dans la région EMEA en 2004, soit 20,6 % de mieux qu'en 2003, pour un chiffre d'affaires de 15,7 Md$. (...)
Tiscali décidera du sort de sa filiale française à la mi-mars
Tiscali réunira son conseil d'administration à la mi-mars pour décider du sort de sa filiale française LibertySurf (qui opère sous la marque Tiscali en France). C'est ce qu'un porte-parole de la société a déclaré à notre confrère Dow Jones Newswire. Les rumeurs de cession de Tiscali en France vont bon train. La filiale du FAI sarde intéresserait notamment T-Online (pour doper sa filiale Club-Internet), mais aussi Telecom Italia, Bouygues Telecom, Cegetel, Bouygues et Neuf Telecom. Tiscali doit rembourser un prêt obligataire de 250 M¤ en juillet alors que ses caisses sont quasi vides. La vente de ses activités hexagonales pourrait lui permettre de récolter environ 200 M¤.
Dans l'attente de savoir à quelle sauce ils seront mangés, les salariés ont décidé de prendre les devants. Déjà échaudés par la fusion Tiscli Libertysurf, les quatre syndicats de l'entreprise (CFDT, CFTC, CGC et FO) ont appelé à une grève générale reconductible à partir de jeudi 24 février. Un premier mouvement le 27 janvier avait réuni près de 200 des 380 salariés du FAI. L'objectif est de contraindre la direction à des négociations sociales afin d'obtenir des garanties pour les salariés en cas de mise en place d'un éventuel plan social. (...)
Grève générale chez l'hébergeur Amen suite au rachat par Claranet
Rien ne va plus depuis huit jours chez l'hébergeur Amen, dont le personnel est entré en grève peu de temps après l'acquisition de sa maison mère, Via.Networks, par Claranet.
Selon des salariés de l'hébergeur Web, le directeur technique a été mis à pied jeudi 14 avril, et les fondateurs de la société, limogés le lendemain pour s'être inquiétés des répercussions de la fusion. L'appel à la grève est actuellement suivi par 100 % des effectifs anglais et espagnols et par 90 % du service client en France. Les responsables systèmes et réseaux, ainsi que les directions opérationnelles, sont également en grève.
Depuis le 17 avril, les salariés d'Amen n'ont obtenu aucune garantie de la part de Claranet, qui les renvoie pour l'instant à Via.Networks, qui a orchestré les licenciements récents. (...)
Foundry ajoute le load balancing WAN à ses commutateurs intelligents
Foundry Networks propose un module logiciel pour ses commutateurs ServerIronXL destinés à simplifier la configuration des liens WAN mais aussi la gestion du fail over et de la Qos. Selon Foundry, son logiciel TrafficWorks Link Load Balancer permet de simplifier la connexion d'un commutateur routeur à plusieurs FAI ou opérateurs WAN et facilite également la gestion de la bande passante sur de multiples liens WAN. Pour Foundry, TrafficWorks Link Load Balancer est une alternative à l'utilisation Border Gateway Protocol version 4 (BGP-4) sur les routeurs WAN situés en amont du commutateur et il procure des avantages par rapport au protocole de routage comme l'optimisation de la bande passante, le suivi de la QoS.
Les commutateurs ServerIronXL de Foundry sont traditionnellement utilisés dans les datacenters et dans les coeurs de LAN. Un ServerIronXL équipé du Link Load Balancer peut toutefois être déployé derrière un routeur et prendre en charge la gestion du trafic, tout en assurant des fonctions de sécurités telles que la protection contre les attaques DDOS. Autant de fonctions qui font du constructeur un concurrent potentiel pour les spécialistes du genre comme Allot, Packeteer ou Peribit Networks. Le logiciel TrafficWorks Link Load Balancer est gratuit pour les clients ServerIronXL disposant de contrats de maintenance. Le commutateur de Foundry est vendu à partir de 9 000 $. (...)
AMD : pour Dell c'est toujours non !
Le PDG de Dell, Kevin Rollins, a déclaré hier lors d'une conférence organisée à Phoenix par Goldman Sachs que le constructeur n'a pas l'intention d'utiliser les puces d'AMD dans ses serveurs.
Marié à Intel depuis de longues années, Dell avait laissé entendre qu'il pourrait utiliser les puces d'AMD du fait de multiples dérapages d'Intel en 2004. Rollins s'est toutefois dit rassuré par les derniers progrès d'Intel et a expliqué la position du constructeur vis-à-vis d'AMD. A propos de l'achat de puces Opteron, il a déclaré : « Durant un certains temps, cela a paru être un oui... Aujourd'hui il semble que ce soit non ».
Dell est l'un des derniers grands fournisseurs de serveurs à snober l'architecture Opteron d'AMD, alors que les puces du fondeur sont utilisées par HP, IBM et Sun. Grâce à ses liens étroits avec Intel, le constructeur texan, s'est fait une spécialité de proposer rapidement les dernières technologies à ses clients. Cette fidélité pourrait lui jouer quelques tours au second semestre lorsque ses concurrents disposeront de puces serveurs Opteron bicoeurs tandis qu'Intel ne pourra proposer que des Xeon monocoeurs. (...)
Le Liban va devoir verser 266 M$ à France Télécom
Le différend entre France Télécom et le gouvernement libanais à propos de Cellis (FTML), l'opérateur mobile libanais, dont le Français avait la concession devrait finalement trouver un terme. Le Tribunal arbitral de l'ONU saisi en 2002 par les deux parties en vertu de la convention franco-libanaise d'encouragement et de protection réciproque des investissements et des règles arbitrales vient en effet de faire droit aux demandes de France Télécom et a fixé à 266 M$ le montant qui devrait être versé à l'opérateur.
En 2001, le contrat BOT (Build, Operate and Transfer) de FTML (France Télécom Mobiles Liban) a été résilié par anticipation et le gouvernement libanais a lancé un appel d'offres international pour l'exploitation de ses réseaux de téléphonie mobile. Orange n'ayant pas été retenu suite à cet appel d'offres, le gouvernement libanais aurait dû indemniser France Télécom. En fait, après des tractations houleuses, il a été jusqu'à demander 300 M$ à l'opérateur, en l'accusant notamment d'avoir dépassé son quota d'abonnés.
Outre les 266 M$ attribués à l'opérateur, le Tribunal arbitral a estimé que FTML n'était pas redevable des 300 millions de dollars réclamés à ce titre. Reste maintenant à savoir si le Liban, endetté de plus de 30 Md$, pourra s'acquitter de cette somme, ou si une solution de « compromis » pourra être trouvée entre France Télécom et les autorités libanaises. France Télécom est notamment présent dans la région de sa filiale égyptienne Mobinil et de ses filiales jordaniennes Jordan Télécom et Mobilecom. Un rapport du Sénat estime à 270 M¤ les sommes investies par l'opérateur historique au Liban. (...)
Microsoft dévoile les prix et caractéristiques et de SQL Server 2005
Microsoft a formellement dévoilé ce jeudi les caractéristiques et les prix (en dollars) des différentes mouture de SQL Server 2005, la dernière version du serveur de bases de données relationnelles de la firme, attendue pour le dernier trimestre 2005.
SQL Server 2005, que Microsoft avait à l'origine promis pour 2004, sera disponible en 4 versions. La mouture d'entrée de gamme, SQL Server Express remplace la version développeur antérieure (MSDE) et sera gratuite. Les trois autres moutures - workgroup, standard et entreprise - voient leur prix augmenter de 25% par rapport à SQL Server 2000, une hausse justifiée par l'ajout de fonctionnalités jusque-là absentes du produit, comme le partitionnement ou la gestion des miroirs. SQL Server 2005 Entreprise Edition sera par exemple vendu 24 999 $ par processeur ou 13 499 $ par serveur pour 25 utilisateurs (à comparer à des prix de 19 999 et 11 099 $ précédemment.
Parmi les nouveautés, Microsoft a ajouté à son catalogue la version Workgroup Edition, destinée aux agences de grands comptes et aux PME. Cette mouture est limitée à 2 processeurs physiques et à 3 Go de mémoire vive. Elle est aussi dépourvue des fonctions de reporting et des outils Olap et BI intégrés aux versions Standard et Entreprise.
SQL Server 2005 Workgroup Edition aura pour mission de contrer Oracle Standard Edition One. Son prix sera de 3 899 $ par processeur ou 739 $ pour une licence serveur et cinq licences utilisateurs.
SQL Server 2005 Standard Edition reste limité aux serveurs avec 4 processeurs physiques mais Microsoft a levé la limitation sur la mémoire maximum, ce qui permet au produit de tirer parti au mieux des capacités des processeurs 64 bit. Standard Edition supporte le mirroring de base ainsi que de nouveaux services d'intégration. Il sera vendu 5 999 $ par processeur, ou 2 799 $ par serveur avec10 licences, soit environ 20 % plus cher que SQL Server 2000.
Malgré les hausses tarifaires, SQL Server reste sensiblement moins cher que DB2 et Oracle 10g à fonctions équivalentes. Comme l'explique Philippe Rodriguez, de Microsoft France, la version Entreprise Edition comprend toutes les fonctions que ses concurrents proposent en option. Les versions de base de DB2 et Oracle 10g sont déjà plus chères que le SGBD de Microsoft et elles deviennent 3 à 5 fois plus coûteuses avec les options de clustering, de BI et de partitionnement. Cet avantage prix est toutefois partiellement gommé lorsque les utilisateurs utilisent Linux en lieu et place de Windows, le seul OS supporté par SQL Server. (...)
Open Source : levée de bouclier contre la politique de brevet de l'Oasis
Les principaux leaders de l'Open Source et du logiciel libre, notamment Red Hat et Apache, accompagnés de Richard Stallman - fondateur de la Free Software Fondation - et d'Eric Raymond, ont appelé au boycott de la nouvelle politique de brevet d'Oasis. Dans une lettre de contestation, les gouroux du logiciel libre demandent de ne pas implémenter les standards brevetés (non-ouverts), et surtout pressent l'Oasis à revoir sa copie. Leur motivation : rejeter la « licence » Rand (*) qui selon eux, discrimine les logiciels Open Source et libres, et surtout menace les standards ouverts - et donc l'interopérabilité des applications.
Selon eux, « accepter de breveter des standards reviendrait à adopter des spécifications qui ne peuvent pas être implémentées dans des logiciels Open Source et libres, qui, eux-mêmes, ne peuvent pas être distribués selon les termes des licences Open Source ».
La lettre est hébergée sur le site www.growlaw.net.
(*) La nouvelle réforme de l'Oasis classe les spécifications selon trois types de fonctionnement : Rand (Reasonable And Non Discriminatory), RF on Rand terms, et RF (Royalty-Free) on Limited Terms. (...)
Routeurs : HP vient chasser sur les terres de Cisco
HP parviendra-t-il à briser le quasi-monopole de Cisco sur le marché des routeurs d'agence et des routeurs pour PME/PMI ? C'est ce sur quoi mise le constructeur malgré les échecs ou semi-échecs rencontrés jusqu'alors par ses concurrents comme Nortel, 3Com ou Enterasys, qui se sont tous plus ou moins cassé les dents dans leurs efforts récents de s'attaquer au marché des routeurs.
Forte de son succès sur le marché des commutateurs Ethernet - HP est numéro 2 européen avec plus de 16 % du marché derrière Cisco et ses 48 % -, la division réseaux d'entreprises d'HP, Procurve, estime qu'elle est prête à relever le défi. Profitant d'une conférence à Stuttgart, elle a dévoilé lundi 21 février les deux premiers modèles d'une gamme de routeurs qui devrait progressivement s'enrichir, vers le haut, comme vers le bas.
De vrais routeurs VPN
Les Procurve Secure Router 7102dl et 7203dl ont en commun une capacité de routage à la vitesse du lien sur leurs deux interfaces Ethernet standards à 100sMbit/s et la possibilité d'accueillir deux modules WAN optionnels, pour des interfaces simple ou double E1/T1, ADSL2+ ou Frame Relay. Le 7203dl se distingue de son petit frère par la présence d'un emplacement d'extension supplémentaire prévu pour un module à 8 ports E1. Ce module porte le nombre maximal de ports E1 du 7203dl à 12, en sus des deux ports Ethernet standards.
Les deux routeurs Procurve intègrent en standard un firewall "stateful", la gestion des listes d'accès (ACL) ainsi qu'un module logiciel de lutte contre les intrusions et attaques les plus courantes. Ils peuvent aussi accueillir un module matériel VPN optionnel permettant de les transformer en passerelle d'accès sécurisée. Ainsi équipés les routeurs de la série 7000 peuvent initier une connexion VPN IP sécurisée vers le siège de l'entreprise ou aussi être utilisés pour terminer des tunnels VPN IPSec initiés par des utilisateurs nomades (500 ou 1000 sessions simultanées selon le modèle). HP n'a pas oublié d'inclure à ses routeurs des caractéristiques de gestion de la QoS comme la gestion et le marquage des VLAN (802.1Q), ainsi que les fonctions nécessaires pour le support dans de bonnes conditions des services VoIP. Les routeurs séries 7000 sont ainsi conçus pour supporter des protocoles tels que SIP ou H323.
Des tarifs compétitifs pour des prestations soignées
Comme l'explique Bruno Hareng, en charge de ces produits pour l'Europe, HP n'a pas cherché comme certains de ses concurrents à proposer une copie des produits Cisco à un tarif plus faible. Le constructeur a voulu innover là où il pensait pourvoir apporter une valeur ajoutée, notamment afin de réduire la complexité pour l'utilisateur final. Si l'interface d'administration texte (CLI) est similaire à celle du géant des réseaux, notamment pour ne pas trop troubler les administrateurs réseaux accoutumés au CLI Cisco, elle ne se veut ni identique ni compatible à 100 %. HP a préféré soigné l'interface Web de ses produits ainsi que l'intégration à Procurve Manager, l'outil d'administration maison. La firme met aussi en avant le support des standards (par exemple RIP, RIPv2, OSPF, BGP4, et IGMPv2 pour les protocoles de routage) et la simplicité de déploiement et de maintenance de ses produits. Par exemple, le lecteur de compact flash intégré permet de configurer le routeur au travers d'une image enregistrée sur une simple carte mémoire. Pratique lorsque l'on doit déployer et configurer plusieurs dizaines ou centaines d'équipements à distance. La carte peut aussi être utilisée pour conserver une image de secours de la configuration du routeur en cas de problème. Les routeurs de la série 7000 seront disponibles dès le mois d'avril à partir de 1 273 ¤ pour les 7102dl et à partir de 2 548 ¤ pour le 7203dl. Les deux produits sont garantis à vie et HP s'engage à fournir gratuitement les futures évolutions firmware. (...)
Novell affiche des résultats en hausse de 8,5 %
Les résultats de Novell pour le premier trimestre fiscal 2005 (clos le 31 janvier) font apparaître un chiffre d'affaires de 290 M$, en hausse de 8,5 % par rapport à la même période de l'année précédente. A périmètre comparable, le bénéfice net reste stable à 10 M$. Ce chiffre exclut toutefois les gains réalisés sur l'arrangement légal passé avec Microsoft, qui s'élèvent à 448 M$.
Novell estime à 10 M$ l'impact des effets de change sur le CA.
Les revenus générés par l'activité Open Source continuent de ne représenter qu'une faible part du chiffre d'affaires. Ainsi, 15 M$ seulement du CA proviennent des ventes de SuSE Linux, dont 7 M$ sont issus des licences de SuSE Linux Enterprise Server. Ce produit s'est vendu à 21 000 exemplaires, soit exactement autant qu'au trimestre précédent. (...)
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