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(21/02/2005 18:16:22)

Les marchés des portables et des serveurs ont continué de progresser en 2004

Selon IDC, les marchés des serveurs et des notebooks ont progressé respectivement de 19,5 % et 37,2 %. Sur les serveurs, HP reste leader avec une part de marché de 43,1 %, devant Dell, IBM et NEC CI, ce dernier enregistrant la plus forte progression des ventes sur un an avec 45,6 %. Les deux groupes qui piétinent sont IBM et Fujitsu-Siemens qui perdent respectivement entre 2003 et 2004 1,8 % et 0,4 % de part de marché. Toutefois, si leurs parts de marché déclinent, leurs ventes progressent légèrement. En effet, IBM a écoulé 38 382 machines en 2004 contre 35 260 machines en 2003. Quant à Fujitsu-Siemens, ses ventes ont augmenté de 10,3 %. Sur le marché du notebook, on notera la belle performance d'Acer qui s'offre une croissance de 89,2 % de ses ventes en un an. Quant aux parts de marché, seuls Acer et NEC CI les augmentent en 2004, HP (qui reste le leader avec 20 % de part de marché en 2004), Toshiba et Dell déclinent très légèrement. Enfin, on notera l'absence de Fujitsu-Siemens dans le top 5 du marché du notebook. (...)

(21/02/2005 18:10:26)

Sun et Fujitsu préparent la fusion de leurs gammes de serveurs Sparc

Sun vient de commencer à commercialiser les serveurs Unix de la gamme PrimePower de Fujitsu. Ceci marque le véritable coup d'envoi de l'unification annoncée des gammes Sparc des deux constructeurs. Fujitsu et Sun collaborent à la conception des processeurs Sparc depuis les années 1980. L'an passé, ils ont décidé de développer conjointement une nouvelle gamme de systèmes Sparc baptisée Advanced Product Line (APL). Celle-ci doit remplacer les gammes Fire de Sun et PrimePower de Fujitsu courant 2006. Elle sera basée sur la version VI du processeur Sparc64 utilisé par les serveurs PrimePower de Fujitsu. Dans le cadre de cet accord, Sun et Fujitsu se sont engagés à distribuer tous les deux leurs deux gammes de serveurs Sparc.
Actuellement, Sun commercialise sept modèles de serveurs Fujitsu, du biprocesseur PrimePower 250 au serveur PrimerPower 2500 supportant 128 processeurs.
Parallèlement, Sun vient d'entamer la livraison d'un processeur UltraSparc IV double-coeur cadencé à 1,35 GHz. Celui-ci anime notamment ses serveurs Fire v490 et v890. Cette mise à niveau de la gamme semble là pour aider les clients de Sun à patienter jusqu'à la sortie de l'UltraSparc IV+, annoncée pour la fin de l'année. Ce processeur se distinguera notamment de la génération actuelle d'UltraSparc par l'intégration d'une mémoire cache de second niveau de 2 Mo. En outre, les deux coeurs de l'UltraSparc IV+ seront cadencés à 1,8 GHz. Avec 295 millions de transistors, ce processeur devrait consommer près de 100 W.
Cependant, l'UltraSparc IV+ semble n'être lui-même qu'une offre de transition : Sun prévoit de livrer dès le début 2006 les premiers serveurs basés sur Niagara, un processeur embarquant pas moins de huit coeurs. (...)

(21/02/2005 18:34:02)

Capgemini s'allie à Linagora

Capgemini France et Linagora viennent de signer un partenariat dont l'objectif est d'offrir à leurs clients un support technique commun. L'accord est parti d'un constat : les deux sociétés de services estiment que les grandes entreprises et les administrations publiques hésitent encore à migrer vers le logiciel libre par manque d'informations sur ce que peut leur apporter l'Open Source et sur la maintenance du système. Dans ce partenariat, Capgemini apporte déjà son expérience en termes de maintenance applicative et d'infrastructures. Quant la SSLL Linagora, elle s'appuie sur son offre de tierce maintenance appliquée aux logiciels libres (TM2L) qu'elle développe depuis près de cinq années. Le principe pour la cellule d'une TM2L dédiée à un projet est d'assurer la correction des erreurs qui pourraient survenir, l'adaptation de la solution maintenue vis-à-vis de nouveaux outils et aussi l'évolution de la solution (demande d'évolution, mise à disposition des nouvelles briques logicielles par les différentes communautés du logiciel libre). Rappelons que la collaboration de Linagora et de Capgemini a été initialisée en 2003 par un premier partenariat pour un projet de mise en oeuvre d'annuaire OpenLDAP pour le compte d'un grand ministère. (...)

(21/02/2005 18:38:09)

Gartner : pas de politique de sécurité cohérente chez Microsoft

Lors de la conférence RSA de San Francisco, Microsoft a mis la sécurité au centre de son discours. Pour le cabinet d'études Gartner et son analyste Neil MacDonald, la politique sécuritaire de Microsoft manque de cohérence et pourrait même se retrouver au centre d'un conflit d'intérêt. En effet, lors de la conférence, Bill Gates a annoncé la sortie bêta de la nouvelle version - plus sécurisée - d'Internet Explorer, IE 7.0, pour la mi-2005. Neil MacDonald regrette qu'IE 7.0 soit sur la même base que la version précédente - avec toutes ses vulnérabilités - plutôt qu'une refonte complète de l'architecture. En outre, l'analyste reproche sévèrement au géant américain son double langage : d'un côté Microsoft se dit concerné par le manque de sécurité mais, de l'autre, il n'effectue aucun changement en profondeur et se dit prêt à vendre des produits annexes pour la protection de l'utilisateur. Plus dur, l'analyste explique que l'on pourrait facilement accuser l'Américain de fabriquer des virus en vue de vendre directement des solutions. Microsoft semble vouloir en effet concurrencer les entreprises spécialisées, telles que McAfee, Symantec ou Computer Associates. Enfin, ce nouvel IE 7.0 ne sera pas disponible pour les utilisateurs de Windows 2000 ce qui fait dire à Gartner que Microsoft pourrait, par ce biais, poursser les utilisateurs à mettre la main à la poche pour se mettre à jour s'ils désirent plus de sécurité. Les conclusions du cabinet d'études sont sévères et prudentes : les entreprises ont tout intérêt à garder leur acquis et ne tester IE 7 qu'en 2006. Pire, il conseille aux entreprises ayant des besoins de plates-formes de sécurité hétérogènes d'aller voir ailleurs. (...)

(18/02/2005 18:29:12)

IBM va investir 100 M$ dans la promotion de Workplace

A peine un mois après l'annonce de Workplace 2.5 lors de Lotusphere Orlando, IBM a profité de Linuxworld pour annoncer qu'il va accroître de 100 M$ son budget de promotion de ses solutions de collaboration et de communication Workplace. L'argent sera notamment investi pour encourager les partenaires et développeurs indépendants à investir dans Workplace mais aussi pour former les partenaires et promouvoir la technologie au coeur des technology centers de Big Blue.
Workplace est présenté par Big Blue comme le successeur à terme de sa ligne Domino/Notes. Ce portail collaboratif est basé sur une infrastructure J2EE et s'appuie aussi sur un client riche Java. IBM estime que 125 partenaires travaillent aujourd'hui autour de Workplace et a livré le logiciel à plus de 1400 clients (environ 2 millions d'utilisateurs). (...)

(18/02/2005 18:53:29)

Résultats 2004 supérieurs aux prévisions pour Sagem

Le chiffre d'affaires annuel de Sagem a augmenté de 12,3 % en 2004 pour atteindre 3,57 Md¤. Avec un résultat d'exploitation en hausse de 22,1 % à 205 M¤ et un résultat net de 134,2 M¤ (+ 27 %), le groupe affiche des résultats supérieurs aux objectifs.
Les marges réalisées dans le secteur de la défense et la sécurité dépassent celles de la branche communications. C'est en revanche dans cette dernière catégorie que la croissance a été la plus forte (+ 14,9 % du CA à 2,4 Md¤, la part du secteur défense dans le CA augmentant de 7,2 % à 1,16 Md¤).
Ces chiffres consolident la septième place mondiale du groupe sur le marché des téléphones portables. (...)

(18/02/2005 18:51:15)

Qwest pourrait surenchérir sur Verizon pour le rachat de MCI

Malgré l'annonce lundi du mariage entre Verizon et MCI (ex-Worldcom) pour la somme de 6,7 Md$, L'opérateur de télécommunications locales américain Qwest Communications n'a pas renoncé à mettre la main sur MCI.
Qwest qui discutait depuis des mois avec MCI entend vraisemblablement faire monter les enchères pour mettre la main sur les activités longue distance et entreprises de MCI, des activités complémentaires de ses services locaux et DSL.
Le secteur américain des communications connaît une vague de concentration sans précédent depuis la dérégulation d'AT&T au milieu des années 1980. Cette vague a récemment connu une pointe avec l'annonce par SBC Communications du rachat de son ex-maison mère, AT&T, pour 16 Md$. Dans la plupart des cas, l'objectif est de créer un opérateur intégré capable de proposer des services fixes, mobiles et Internet à ses clients. Une stratégie qui rappelle celles des géants européens comme Deutsche Telekom ou France Télécom. (...)

(18/02/2005 18:32:53)

IBM revoit la tarification de SVC et améliore ses baies SAN de milieu de gamme

IBM a annoncé jeudi une refonte de la tarification de son logiciel de virtualisation de stockage SAN Volume Controller (SVC) ainsi que des améliorations sur ses baies de stockage de milieu de gamme en termes de performance et de capacité.
SVC sera désormais facturé au mégaoctet géré afin de rendre la technologie plus accessible aux clients PME/PMI (45 000 $ pour la version de base tout de même). Selon Charlie Andrews, le directeur de la division TotalStorage Solutions d'IBM, le nouveau modèle tarifaire a l'avantage d'être plus granulaire pour les clients.
Andrews a également indiqué que SVC 2.1 supporte désormais les baies Storedge de la série 9900. Parallèlement, il a aussi indiqué que le SAN File System, le logiciel de virtualisation de stockage en mode fichier de Big Blue, supporte désormais les technologies de clustering de Microsoft.
Côté matériel, IBM propose désormais ses baies TotalStorage DS4000 avec des disques Fibre Channel à 10 000 et 15 000 tr/mn d'une capacité de 146 Go. Cela permet de doubler la capacité maximale actuelle mais aussi de doper les performances. La baie est désormais capable de stocker 67 To.
Signalons enfin qu'IBM a aussi ajouté le support des lecteurs LTO 3 à ses bibliothèques de sauvegarde TotalStorage 3584 and TotalStorage 3592. (...)

(27/02/2006 12:35:02)

Informatica se réaffirme comme un acteur de l'intégration de données

Reconnu pour son outil de transformation de données, l'ETL PowerCenter, Informatica souhaite repositionner son offre sur le marché plus large de l'intégration de données, qui inclut des fonctions comme la synchronisation, la migration, l'agrégation ou encore la gestion des méta-données. Par le passé, la société avait mis en avant son outil analytique PowerAnalyzer, laissant présager des ambitions sur le créneau décisionnel. L'éditeur clarifie aujourd'hui sa stratégie, annonçant une édition avancée de PowerCenter et deux autres versions majeures pour les automnes 2005 et 2006. Sont notamment prévus un système de gestion des versions, le support des services Web et des modèles de données virtuels pour accéder dynamiquement aux sources. La société réalise par ailleurs un chiffre d'affaires de 219,5 M$ pour 2004, affichant malgré tout une perte nette de 111,5 M$ due selon ses responsables à des provisions pour risques et charges. (...)

(18/02/2005 18:26:42)

Brevet de logiciels : L'Europe pourrait revoir sa copie sous la pression des élus et de la rue

Sous pression, la Commission européenne pourrait bien être conduite à revoir l'ensemble de sa copie en matière de brevetabilité des logiciels. C'est en tout cas le souhait des chefs de groupes du Parlement européen qui ont demandé, à l'unanimité et tous partis confondus, que le processus de création législatif soit repris depuis le début, à commencer par le débat devant l'Assemblée. Une victoire pour les défenseurs du modèle européen - notamment le monde Open Source - face aux grands éditeurs américains.
La Commission à certes le droit de rejeter la demande expresse du Parlement mais dans ce cas elle se préparerait à un bras de fer important après avoir déjà souffert à l'automne.
Alain Lipietz, député européen du parti Vert, estime qu'une telle position serait perçue comme une insulte par les parlementaires.
D'autant plus que quelque 300 opposants à la brevetabilité ont manifesté le 17 février à Bruxelles pour soutenir les efforts du Parlement et surtout s'opposer à l'adoption à cette date de la directive. Mouvement qui a porté ses fruits, l'étude du texte étant repoussée à plus tard.
Sur le front français, la polémique continue d'enfler sur le sujet. Le 15 février dernier, un colloque de sensibilisation à la question avait lieu à l'Assemblée nationale. Thaima Samman, directrice des affaires juridiques et publiques de Microsoft France, y a affronté Jean-François Abramatic, vice-président R&D d'Ilog et ancien président du W3C, et Gérald Sédrati-Dinet, vice-président de la FFII (Foundation for a Free Information Infrastructure). Thaima Samman y a vigoureusement défendu le brevet de logiciels, confondant allègrement la lutte contre celui-ci et la négation de la propriété intellectuelle, malgré les rappels fréquents de Jean-François Abramatic et Gérald Sédrati-Dinet sur leur attachement à celle-ci au travers de droits d'auteur. Pour Thaima Samman, les positions de chacun sur la question du brevet de logiciels est liée à l'importance que l'on donne aux actifs immatériels. Elle a ainsi admis que Microsoft avait dû son succès au mépris d'IBM pour la propriété intellectuelle d système d'exploitation DOS. De même, l'Europe, où les entreprises informatiques sont essentiellement des SSII, est plutôt contre les brevets car "les sociétés de services ne font pas d'argent sur la propriété intellectuelle". Les avocats des SSII et de leurs clients qui mettent longuement au point les clauses relatives à ce point dans les contrats de prestation apprécieront...
Jean-François Abramatic, représentant un éditeur européen, a clairement indiqué que, aux Etats-Unis, Ilog était bien obligé de déposer des brevets pour défendre ses intérêts, puis de se soumettre aux multiples procès de mauvaise foi qui lui coûtent horriblement cher, même s'il gagne systématiquement contre des entreprises qui font aussitôt faillite pour ne pas avoir à payer de dédommagements. « Les brevets aux Etats-Unis, c'est comme une taxe qu'il faut payer » s'est-il ainsi exclamé. Avant de rappeler les mésaventures de Microsoft avec Eolas, et d'expliquer à quel point les brevets bloquaient l'innovation au profit de multinationales, essentiellement américaines.
Pour Thaima Samman, « il est présomptueux de dire que le système américain est moins bon que le système européen alors que l'innovation est aujourd'hui de l'autre côté de l'Atlantique ». Une telle mention a évidemment provoqué des réactions hostiles dans la salle. Jean-François Abramatic a ainsi rappelé que l'administration Carter avait, aux Etats-Unis, tranché en faveur du droit d'auteur (copyright) non pas contre les brevets mais bien contre l'absence de toute protection. La brevetabilité des logiciels n'est ainsi venue que bien plus tard et commence à être remise en cause devant les nombreuses dérives. « Voter une directive européenne copiant un système américain au moment où celui-ci va être modifié et alors que le système européen marche est parfaitement absurde » a-t-il conclu. (...)

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