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(08/02/2012 15:20:41)
Amazon Web Services baisse les tarifs du stockage sur S3
Les utilisateurs de l'offre de stockage, S3, d'Amazon Web Services vont voir leur facture allégée. Ce service est facturé mensuellement en fonction de la quantité de données stockées. Pour la zone américaine (sauf sur le datacenter de Californie du Nord), européenne et pour Singapour, le tarif demandé passe de 0,14 dollars par Go par mois à 0,125 dollars par Go/mois pour le premier To stocké. Le prix change aussi jusqu'à 49 To de données, le prix au Giga passe de 0,125 dollars à 0,110 dollars par Go/mois. Le stockage de 450 To et 500 To profite également d'une baisse des prix.
Coûts annexes et 762 milliards d'objets stockés sur S3
Cette réduction des coûts est effective depuis le 1er février. On notera qu'au prix du stockage, il faut aussi intégrer les tarifs des demandes et celui du transfert des données. Cette annonce est aussi une réponse à l'étude menée par le Gartner qui indiquait qu'utiliser des outils de BI dans le cloud pouvait se révéler plus cher qu'une solution sur site au bout de 5 ans. Elle intervient aussi alors qu'Amazon a indiqué la semaine dernière que son offre S3 avait stocké 762 milliards d'objets en 2011 contre 262 milliards en 2010.
« L'IT aide les salariés handicapés à s'intégrer dans l'entreprise », Marie Pascale Martin, Sogeti
Lemondeinformatique : Quel est votre rôle au sein de Sogeti ?
Marie Pascal Martin: Aujourd'hui, ma fonction englobe un nombre varié de domaines touchant aux Ressources Humaines comme le recrutement, les relations avec les universités et écoles et la Diversité. Notre politique sur la diversité s'appui sur des actions de partenariat destinées à rendre visible l'engagement en faveur de la non discrimination tel que l'intégration des personnes handicapées, l'égalité homme/femme, la place des seniors, mais aussi la perception du monde de l'entreprise auprès des étudiants
Quel est votre focus sur l'emploi des personnes handicapées ?
Il s'agit d'une action prioritaire pour nous avec plusieurs orientations : la formation, le recrutement, le maintien de l'emploi, et la sous-traitance auprès du milieu protégé et adapté pour créer des emplois indirects.. Sur le premier point, nous misons beaucoup sur l'alternance qui se révèle une action très efficace pour intégrer les personnes handicapés dans l'entreprise. Nous avons aussi des actions dans le recrutement, sur le groupe Cap Gemini (Sogeti étant une filiale) nous avons un plan d'embauche jusqu'à 2012 de 180 personnes. Nous étions à 110 personnes handicapées recrutées à la fin de l'année 2011.
Est-ce difficile de recruter des personnes handicapées et quels sont les principaux freins ?
Si on peut s'attendre à ce que les freins soient de l'ordre du diplôme, car peu de personnes handicapées sont diplômés BAC + 4, (rappelons que la population handicapée représente 4% de la population active) les principaux freins restent internes à l'entreprise. Il est nécessaire d'avoir un effort important dans sensibilisation des équipes en interne pour montrer l'apport des personnes handicapées dans une entreprise. Nous réalisons cet effort à travers des vidéos de sensibilisation au monde des aveugles par exemple ( JCPMY / j'en crois pas mes yeux) ). Par ailleurs, nous avons adhéré à la norme « Handi Accueillante » montrant aux personnes handicapées que nous sommes une entreprise sensibilisée.
Que représente pour vous le défi H ?
Il s'agit d'abord d'un formidable travail d'équipe qui apporte des solutions technologiques pour améliorer l'accueil de la personne handicapée dans l'entreprise. Les étudiants des différentes écoles se sont fortement impliqués dans ces projets et apprennent les besoins d'une entreprise comme la nôtre. De l'autre côté, les coachs, issus de Sogeti, sont très engagés auprès des équipes pour leur apporter leur expertise sur les plans technologie et de management de projet.
Quels sont les premiers retours des coachs ?
Ils sont très impliqués sur les différents projets. On aurait pu craindre au départ une disponibilité limitée de leur part en raison d'agenda professionnel déjà très chargé. Ils réalisent des points d'étapes une fois par mois avec les différentes équipes. Leur retour est très positif sur l'état d'esprit et le travail des étudiants. Les coachs sont d'ailleurs sollicités en interne pour connaître des avancées des différents projets. (...)
Chute continue des ventes de PC en Europe à la fin 2011 selon Gartner
Il s'est vendu en Europe 16,3 millions d'ordinateurs individuels au quatrième trimestre 2011 (-16% par rapport à la même période en 2010), selon les données communiquées par Gartner. Dans un marché européen morose, la France ne fait pas exception, avec seulement 2,8 millions d'unités écoulées (-11,8%) sur les trois derniers mois de l'année.
Cela fait désormais six trimestres consécutifs que les ventes d'ordinateurs sont à la baisse en France. Selon les analystes de Gartner, c'est avant tout la situation économique précaire qui en freine l'achat dans l'Hexagone depuis 2010, et même les fêtes de fin d'année n'ont pas bouleversé la tendance. La part de marché des ordinateurs portables s'établit à 68%.
Seuls Asus et Apple ont vu leurs ventes progresser d'octobre à décembre 2011, avec respectivement 405 000 (+17,4%) et 226.000 (+15,3%) unités vendues. HP demeure en tête, avec 696 000 nouveaux ordinateurs écoulés, devant Asus. Acer n'est plus que troisième de ce classement au quatrième trimestre 2011 (397 000, -45,5%), devant Dell (316 000, -13,2%) et Apple. Sur l'ensemble de l'année, la tendance est la même. Il s'est écoulé en Europe 58,5 millions de PC en 2011 (-16%), dont 10,4 millions en France (-12%).
Le navigateur Chrome de Google s'invite en bêta sur Android
Alors que son navigateur cumule désormais 18,2% des visites de sites web en Europe (source : AT Internet), Google annonce la mise à disposition de Chrome sur l'Android Market. Cette version bêta est pour le moment réservée aux possesseurs de terminaux équipés d'Android 4.0 (Ice Cream Sandwich). Il rejoint ainsi Firefox et Opera parmi les navigateurs compatibles Android.
Avec cette annonce, Google veut unifier la navigation sur PC et sur mobile, avec notamment un effort particulier sur la synchronisation entre les différents terminaux. Avec la fonctionnalité place shifting, les onglets ouverts sur un PC le seront également sur son terminal mobile, prolongeant ainsi l'expérience utilisateur. L'interface a été revue et la navigation a été améliorée (notamment le passage d'un onglet à l'autre). A noter aussi, que le navigateur est optimisé pour HTML5.
Acer attaque le recrutement de Gianfranco Lanci chez Lenovo
Acer a poursuivi son ancien patron, Gianfranco Lanci, devant les tribunaux italiens pour violation d'une clause de non-concurrence, a indiqué hier le groupe, dans un communiqué. En mars 2011, Gianfranco Lanci avait démissionné de ses fonctions de CEO, suite à des désaccords avec le conseil d'administration sur la stratégie de l'entreprise. Il y a un mois, il a retrouvé un poste de consultant chez Lenovo où il sera chargé du développement des opérations européennes.
Gianfranco Lanci est arrivé de Texas Instruments chez Acer en 1997 lorsque ce dernier a racheté l'ordinateur portable TravelMate du constructeur américain. Il a été nommé président du groupe taïwanais en 2005 et PDG en 2008, en conservant son titre de président. Au cours troisième trimestre 2009, Acer avait réussi à dépasser Dell et était devenu le second fabricant de PC au niveau mondial, en grande partie grâce à ses ventes de netbooks.
Lenovo, 5ème dans la zone EMEA
Mais les recettes d'Acer ont baissé lorsque que les livraisons de netbooks ont chuté et que le phénomène tablettes a pris de l'ampleur. Certains analystes ont estimé que la démission de Gianfranco Lanci révélait les divergences en matière de stratégie portant sur le renforcement dans les terminaux mobiles.
Les rapports entre Lenovo et Acer ont souvent été tendus, notamment en matière d'acquisitions. Le constructeur chinois a vu dans le passé ses projets d'expansion en Europe bloqués par Acer qui a racheté en 2007 Gateway et Packard Bell en 2008.
Le constructeur espère que l'expérience passée de Gianfranco Lanci l'aidera à accroître ses ventes, en particulier en Europe occidentale. Selon IDC, les livraisons de PC dans la zone EMEA ont diminué de 6,5 % au cours du quatrième trimestre 2011.
Lenovo n'a pu être joint pour commenter l'action en justice lancée par Acer contre son ex dirigeant.
(...)
Google Chrome approche les 20% de parts de marché
Google Chrome cumule 18,2% des visites de sites web en moyenne en Europe au mois de décembre 2011, tandis que Safari passe pour la première fois la barre symbolique des 10%, selon les données publiées le mardi 7 février par AT Internet. En France aussi, Google Chrome renforce sa troisième place, derrière Internet Explorer et Firefox, avec 19,7% de parts de marché (+8,2pts en un an). Au mois de décembre 2011, Internet Explorer a encore drainé 40,9% (-8,3pts) du total des visites sondées, devant Firefox (26,9%, -2,9pts) et Chrome. Suivent Safari (10,8%, +3,1pts) et Opera (2,3%, -0,1pt).
La hiérarchie est la même en France, avec des chiffres qui diffèrent peu de la moyenne européenne : Internet Explorer (38,7%) demeure en tête, devant Firefox (28,9%), Chrome (19,7%), Safari (11%) et Opera (0,6%).
Etude réalisée du 1er au 31 décembre 2011 sur la répartition moyenne, par navigateurs, des visites enregistrées pour un périmètre de 14.455 sites web, sur 23 pays européens.
(...)(08/02/2012 09:17:10)Orange devient la marque unique de FT pour la téléphonie fixe et mobile
France Telecom fait évoluer ses forfaits de téléphonie fixe, et va proposer à partir du jeudi 9 février trois offres mixtes (fixe et mobile) sous la marque Orange. Il s'agit d'une nouvelle gamme sans engagement, où les clients peuvent choisir leur temps d'appel, fixes et mobiles confondus : deux heures (19,90€/mois), quatre heures (25,90€) ou illimité (39,90€).
Le service donne accès à l'ensemble des lignes fixes et mobiles de France métropolitaine, ainsi que vers les fixes de plus de 100 destinations à l'internationa, et inclut les services de transfert et de signal d'appel et de présentation du nom.
Les clients qui le souhaitent pourront souscrire à l'une de ces offres par téléphone (1014 ou 3000) ou sur le site d'Orange. A compter du 1er mars 2012, les clients recevront donc une facture fixe signée Orange.
(...)(08/02/2012 09:17:27)Avaloq ouvre un centre de développement aux Philippines avec Sofgen
«Bien que les développements principaux de notre système bancaire Avaloq resteront basé à Zurich et à Edimbourg, nous pouvons désormais également compter sur le soutien des équipes basées aux Philippines, pour toutes les tâches de développement standard que sont les tests de construction, l'entretien des adaptateurs et les services de certification», a précisé Francisco Fernandez, CEO d'Avaloq dans le communiqué.
Le centre de développement Avaloq en Asie a été construit en 2009 pour faire face aux besoins d'assistance importants dus à un nombre croissant d'utilisateurs dans la région Asie-Pacifique.
ICTjournal.ch (...)(08/02/2012 09:16:36)Les réseaux sociaux d'entreprises face aux défis de l'intégration
Selon l'étude publiée le 31 janvier dernier par le cabinet français spécialiste du domaine, Lecko, anciennement Useo, le marché national des solutions de services logiciels (SaaS) de RSE (Réseaux Sociaux d'Entreprise) a franchi en 2011 la barre des 9 millions d'euros, soit un bond de 60% par rapport à l'année précédente. « Le marché hexagonal n'a rien de comparable en volume avec le marché américain, mais ses caractéristiques sont assez proches », analyse Arnaud Rayrolle, PDG de Lecko. Outre-Atlantique, les estimations pour ce marché vont d'un peu moins d'un milliard de dollars dès l'année prochaine pour le cabinet Gartner, à près de 6 milliards de dollars en 2016 selon Forrester.
Et ce sont les grandes entreprises qui mènent la danse. « L'enjeu principal de l'adoption en entreprise de ces technologies issues de l'internet grand public, c'est de développer l'intelligence collective en facilitant les échanges directs entre les collaborateurs, sans intermédiaire », poursuit Arnaud Rayrolle. Et de citer l'exemple du groupe Atos Origin, auquel son PDG, l'ancien ministre Thierry Breton, a fixé il y a quelques mois l'objectif d'éradiquer l'email comme moyen d'échange d'informations à l'intérieur de l'entreprise, afin de réduire les coûts de stockage et le temps perdu à consulter la messagerie. En 2011, l'un des principaux acteurs français du marché RSE, Bluekiwi, explique avoir enregistré dix fois plus d'appels d'offres de grands comptes que l'année précédente.
Les RSE pour suivre le rythme d'évolution des savoirs
Le déclencheur est cependant moins à chercher dans ces motifs économiques que dans l'évolution profonde qu'a connue l'économie du savoir en quelques années. « Les réseaux sociaux grands publics ont fait la démonstration que tout type de contenu numérique peut devenir un objet social réutilisable. Et c'est précisément ce qui intéresse les entreprises pour capturer en temps réel l'intelligence collective en réunissant plus rapidement les bonnes personnes au bon moment autour des bons contenus », analyse Antoine Perdaens, PDG de Knowledge Plaza, autre fournisseur français de RSE.
Cette attente des entreprises n'est pas nouvelle. Elle a commencé avec les Wiki et les forums il y a plus d'une dizaine d'années et s'est poursuivie avec les intranets collaboratifs. Les plateformes de messagerie d'entreprise, et notamment Lotus Notes, se sont également inscrites très tôt dans cette logique. Mais la plupart de ces outils avaient un point commun : la capture de l'information ou des échanges se soldait par une charge de travail supplémentaire pour les collaborateurs de l'entreprise. « Ce qui a changé au fil des années, c'est la vitesse à laquelle évoluent l'état de l'art et la réglementation. Cela concerne toutes les industries, et cela exige d'autres moyens », enchérit Arnaud Rayrolle.
Une multitude d'offres spécifiques
D'une certaine façon, tous les chemins empruntés jusqu'ici pour mieux collaborer ont mené aux réseaux sociaux d'entreprise, tels qu'ils se dessinent aujourd'hui. Mais pour les entreprises, la difficulté vient précisément de cette multitude de chemins et d'offres. La sélection d'offres étudiées par Lecko pour cette étude 2012 ne recense pas moins de 29 solutions, contre deux en 2006. « Chacune de ces offres à sa raison d'être et répond à une attente spécifique des entreprises », confirme Arnaud Rayrolle.
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A côté de fournisseurs qui se définissent plutôt comme généralistes (BlueKiwi), d'autres se veulent plus proches des processus métiers (Jamespot), tandis que d'autres encore revendiquent leurs compétences d'origine dans le domaine de la gestion documentaire (Knowledge Plaza) ou de la création de blogs (Blogspirit).
Une problématique d'urbanisation
Cette diversité des offres fut jusqu'ici un avantage pour les entreprises, ou plus exactement pour les groupes d'utilisateurs ou de projets qui ont pu ainsi expérimenter de nouvelles façons de collaborer indépendamment de la DSI. « Le mode SaaS (software as a service) permet justement cela », explique Alain Garnier, PDG de Jamespot, l'un des « pur player » français les plus prometteurs selon Lecko, et spécialiste des RSE liés à un projet métier. Du point de vue de l'entreprise dans son ensemble, cette profusion virale de solutions RSE « départementales » finit cependant par faire réapparaître un problème aussi vieux que l'évolution technologique des entreprises, celui de l'urbanisation.
Ce serait même, à en croire les plus gros acteurs, la demande principale des grandes entreprises aujourd'hui. « Chez Renault, illustre Jean-Luc Valente, PDG de BlueKiwi, il y avait à l'origine trois solutions de RSE, l'une à l'initiative de la DSI, une autre liée à une plateforme métier, et une troisième choisie dans le cadre d'un projet ». D'où une contradiction : les expérimentations de RSE au sein de l'entreprise ont conduit à multiplier les solutions et à reproduire l'organisation en silos, alors que c'est précisément ce mode d'organisation qu'il s'agit de remettre en cause.
L'interopérabilité, un enjeu majeur
A cela s'ajoute la diversification des modes d'accès aux réseaux sociaux d'entreprise. « La mobilité est une question centrale pour l'évolution des offres. Il s'agit de permettre aux utilisateurs de participer à l'échange où qu'ils se trouvent, au moment et avec l'outil qui leur convient le mieux », poursuit Arnaud Rayrolle. Cette perspective des usages mobiles, également héritée du mode de consommation des réseaux sociaux grand public, est donc un argument de plus en faveur de l'interopérabilité des solutions. On imagine mal un utilisateur affilié à quatre ou cinq réseaux sociaux d'entreprise différents jongler avec autant d'applications sur sa tablette ou son téléphone mobile. Dans ce domaine, les éditeurs grands ou petits sont tous logés à la même enseigne. « L'interopérabilité des solutions n'est pas encore au rendez-vous, regrette Arnaud Rayrolle. Selon lui, cette question sera l'enjeu principal pour les acteurs de ce marché en 2012 ».
Eurocloud veut évangéliser sur le cloud
Au deuxième semestre 2012, Eurocloud lancera une campagne pluri-média. « Nous allons évangéliser à grande échelle en menant des actions pour sensibiliser 8 000 revendeurs français au cloud computing » nous explique Pierre-José Billotte, président d'Eurocloud. L'association lance un appel d'offres pour désigner une agence de communication, elle présentera ce projet lors de ses Etats Généraux, le 21 mars prochain. « Le cloud bouge, mais n'est pas encore en phase d'expansion, c'est pourquoi nous devons passer la vitesse supérieure ».
En attendant, Eurocloud a lancé un site Internet presidentielle2012.eurocloud.fr pour sensibiliser les candidats aux élections présidentielles à ses thèmes. Il prépare ses Etats Généraux, 7ème du nom etats-generaux.eurocloud.fr. Cette année, ils quittent la Bourse de commerce pour rejoindre la CCI de Paris, avenue de Friedland, un espace plus grand pour accueillir 12 ateliers et non plus 9. « Nous élargissons notre éco-système d'éditeurs et d'intégrateurs et préparons de nouveaux thèmes d'ateliers », souligne Henry-Michel Rozenblum, délégué général. KPMG parlera par exemple de la valorisation des échanges et un atelier traitera du thème : « le SaaS et les flux critiques de l'entreprise seront-ils compatibles » avec le DSI d'un grand groupe comme témoin.
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