Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 731 à 740.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(08/02/2012 09:17:33)
Exclusive Networks se dote d'une division vidéoconférence
Développer son activité en pénétrant de nouveaux marchés connexes à son métier historique dans la sécurité est un des axes de croissance d'Exclusive Networks. Suivant cette logique, le grossiste à valeur ajoutée annonce la création d'une division visioconférence à la tête de laquelle il a placé Véronique Trad-Savignac. Ancienne responsable de la distribution chez Trend Micro France, elle est en charge de la stratégie commerciale de l'activité ainsi que du développement du nombre et des compétences des revendeurs du VAD dans ce domaine.
Pour l'heure, le catalogue d'Exclusive Networks dans la visioconférence n'est pas très étoffé. Il ne renferme en effet que les produits de Vidyo, un fournisseur de solutions de vidéoconférence multi-partie dont la particularité est de fournir une qualité HD sur tous type de matériel (PC de bureau, tablettes, smartphones) et pas uniquement via des systèmes de salle ou de terminaux de téléprésence. « Vidyo a notamment des accords avec des fabricants de caméras ou encore de systèmes de réduction de souffle auxquels nous avons également accès en vertu de l'accord de distribution que nous venons de signer avec lui en France », explique France Laga, le directeur général d'Exclusive Networks pour la France et l'Afrique. Ce dernier indique en en outre que le VAD a l'intention de référencer progressivement des produits complémentaires à l'offre de Vidyo comme, par exemple, du mobilier qui permet d'intégrer harmonieusement les matériels dédiés à la visioconférence.
Symantec met à jour ses solutions de sauvegarde avec NetBackup 7.5 et Backup Exec 2012
Avec la hausse constante des données à sauvegarder dans les entreprises, les éditeurs spécialisés se sont engagés dans une course folle. Une journée n'a que 24 heures et la fenêtre de sauvegarde n'arrive plus à suivre l'explosion des données. Selon Hervé Lequippe, directeur produit chez Symantec, « plusieurs milliards de zétabytes doivent être sauvegardés tous les jours (...) il faut donc trouver le moyen de travailler plus vite. Pour répondre aux besoins des entreprises, Symantec lance de nouvelles versions de ses produits phares, NetBackup 7.5 pour les grands comptes et Backup Exec 2012 pour les PME.
Premier constat qui a guidé l'évolution de Backup Exec : les utilisateurs trouvent les outils trop complexes. Cette version 2012 inclut une nouvelle interface utilisateur qui peut configurer automatiquement les sauvegardes basées sur les politiques les plus communes et les paramètres les plus utilisés par les clients de Symantec. Et pour suivre l'évolution des parcs informatiques qui combinent machines physiques et virtuelles, Backup Exec sauvegarde les données des VM VMware et Microsoft tout en assurant une restauration granulaire de ces environnements. Pour ce faire, Symantec utilise sa technologie V-Ray - dans la version Backup Exec 2012 V-Ray Edition - qui permet de consulter les données d'une VM afin de restaurer un fichier ou un email. « On ne peut pas bien sauvegarder et protéger ce qu'on ne voit pas », a indiqué Hervé Lequippe lors d'une conférence de presse. Et pour accroitre l'efficacité de la déduplication, des algorithmes spécifiques sont utilisés avec les VM de VMware et de Microsoft. Les administrateurs de sauvegarde peuvent en outre ajouter des machines physiques à l'outil V-Ray pour gérer les deux environnements dans une console unique.
Restauration bare metal
L'éditeur indique également qu'il a intégré la sauvegarde et la restauration bare metal dans Backup Exec 2012 pour permettre de réinstaller un système défaillant sur une machine différente depuis un serveur physique ou une VM VMware ou Hyper-V. « L'approche actuelle de sauvegarde ne fonctionne pas. Le client moyen a plusieurs solutions de sauvegarde différentes. (...) La sauvegarde en soi ne sert à rien, ce qui sert c'est la restauration. Nous voulons améliorer la capacité de restauration en créant un état unifié de la sauvegarde dans Backup Exec avec une approche par serveurs », explique encore l'éditeur. Ce dernier propose ainsi un tableau pour suivre les sauvegardes vers des disques ou des bandes (voir illustration).
L'éditeur a également annoncé Backup Exec 2010 Small Business Edition, à destination des petites entreprises avec un à trois serveurs équipés des solutions Microsoft (Exchange, Sharepoint, Active Directory ou Hyper-V) pour configurer et exécuter des sauvegardes en trois étapes. Backup Exec Small Business Edition offre une interface de gestion simplifiée qui apporte la sauvegarde et la restauration de données dans une seule console et, ce, avec une seule licence.
Stockage cloud pour les TPE
Symantec Backup s'ouvre au cloud avec une offre à destination des clients, de type TPE, qui ne disposent pas de compétences informatiques. Les données collectées sur les PC des clients européens sont chiffrées en AES 256 bits et transférées en SSL vers un datacenter à Amsterdam. La tarification, dégressive, a été calculée par bloc de 10 Go (57,96 euros par an). Il n'y a pas encore d'offre équivalente pour les PME mais Symantec y travaille. Le marché européen est beaucoup plus fragmenté qu'aux États-Unis où un accord a déjà été signé avec Doyenz DR pour proposer aux utilisateurs de Backup Exec 2012 la possibilité d'utiliser un service de récupération rapide en ligne, pour les environnements VMware uniquement, en cas de catastrophe.
Enfin, une appliance Exec 3600, livrée avec 5,5 To de stockage disque utilisable, est proposée pour sauvegarder un nombre illimité de serveurs et d'applications, dans les environnements physiques ou virtuels.
La mise à jour Backup Exec 2012 est disponible à travers les canaux traditionnels de distribution, ainsi que dans un équipement pré-configuré et en tant que service SaaS. Pour les tarifs, Symantec annonce un 860 euros pour la version standard et 7 900 euros en volumétrie pour 1 Téra de données
[[page]]
Seconde annonce chez Symantec, l'arrivée de NetBackup 7.5. Comme Backup Exec 2012, cette solution intègre la fonctionnalité V-Ray et une autre baptisée Virtual Machine Intelligente Policy (VIP) qui détecte et sauvegarde automatiquement des machines virtuelles déplacées, clonées ou nouvellement créées, en utilisant la déduplication pour réduire la quantité de données stockées. Encore une fois, les serveurs physiques peuvent être ajoutés à des sauvegardes de machines virtuelles.
Symantec dévoile aussi une fonction appelée NetBackup 7.5 Accelerator pour réduire la durée des sauvegardes en utilisant des instantanés au lieu de sauvegardes complètes. « Nous conservons la trace des fichiers et des blocs qui ont changé au sein de ces fichiers. Ainsi, lorsque nous faisons une sauvegarde, nous savons exactement quels blocs sont sauvegardés et où ils sont», nous a expliqué Daniel de Prezzo, responsable avant-vente chez Symantec. « Le serveur ne transfère que les nouvelles données vers le datacenter ». La fonction NetBackup Accelerator fonctionne donc en sauvegardant uniquement les modifications de fichiers. Ces changements sont également soumis à un algorithme de déduplication pour continuer à réduire le trafic sur le réseau. Lorsque l'Accelerator est utilisé pour récupérer des données, il génère un indice qui lui permet de restaurer rapidement des documents ou des fichiers individuels.
Une API pour les constructeurs de baies de disque
NetBackup 7.5 inaugure également l'outil Replication Director qui peut aujourd'hui être intégré aux fonctions SnapVault et SnapMirror de NetApp. Avec cette fonction et une API OpenStorage dédiée, Symantec supporte toute l'intelligence de la baie. Cette API a été développée pour que les principaux fournisseurs de baies de stockage (EMC, HP, HDS ou encore Dell) puissent se connecter à NetBackup 7.5. Développée à l'origine avec NetApp, cette API est pour l'instant une exclusivité du dit constructeur. Elle sera disponible à l'automne prochain pour les autres fournisseurs de baies de stockage avec la mise à jour de NetBackup attendue pour la sortie de Windows 8.
Le stockage cloud n'est bien sûr pas oublié avec des accords passés avec ATT, Amazon et RackSpace qui apportent une protection supplémentaire. Deux modèles sont proposés : un plan de secours dans le cloud avec S3 par exemple à partir de 0,13 cent par Go ou une sauvegarde locale avec réplication dans le cloud.
Symantec NetBackup 7.5, comme Backup Exec 2012, sera disponible à l'achat en mars 2012 à travers le réseau de distributeurs autorisés à valeur ajoutée, les intégrateurs systèmes et en direct. Pour les prix, il faut compter 3 à 4 000 dollars pour le Starter Pack (une licence avec une dizaine d'agents et deux lecteurs) et une dizaine de milliers d'euros en volumétrie pour un Téra.
(...)(07/02/2012 17:34:47)Tech.days 2012 : focus sur les développeurs, Azure sans limite pour start-up BizSpark+
C'est aux développeurs que Microsoft France a souhaité prioritairement s'adresser ce matin en ouvrant ses Tech.days 2012, pour trois jours du 7 au 9 février, au Palais des Congrès de Paris (Porte Maillot). La conférence plénière leur était consacrée. « Toutes les entreprises deviennent des entreprises de logiciels », a souligné Jean Ferré, directeur de la division Développeurs, Plateforme et Ecosystème (DPE), de la filiale française, en faisant référence à un article publié par Forbes. « Les développeurs se trouvent de ce fait placés au centre de leur stratégie. Ils font notamment le lien entre la R&D et la propriété intellectuelle ». Ce sont des métiers qui sont au coeur de la préoccupation de Microsoft depuis la genèse de l'entreprise, a poursuivi le directeur de la division DPE. Régulièrement sondés, ils ont fait remonter deux points de progression pour l'éditeur : la complexité dans l'interface, qui a conduit Microsoft à une forte démarche de simplification via MSDN et TechNet, et la clarification des objectifs d'interopérabilité de l'éditeur, énoncés en 2008 par Steve Ballmer. « Nous avons fait beaucoup de chemin depuis, nous sommes au board du W3C et HTML5 est un langage auquel nous avons fait toute sa place sur la plateforme Microsoft. » Jean Ferré rappelle que le cloud Azure accueille aussi les développeurs Java ou PHP [ou encore Ruby] et les applications réalisées avec le CMS Drupal.
Projet Roslyn, pour ouvrir les compilateurs C# et VB
A sa suite, Eric Mittelette, responsable de l'équipe relation technique avec les développeurs, a annoncé la création d'une association www.fierdetredeveloppeur.org destinée à valoriser le métier en France (cf son blog). Lui-même figure parmi les quatorze membres fondateurs de l'organisation, les autres venant notamment de Facebook, SoftFluent, Zenika, Ilog/IBM, NDepend, C2i, Ormeti ou Afrnlabs. On y trouve aussi Patrice Prut, PDG de PC Soft, l'éditeur de WinDev.
Pendant trois jours, les participants des Tech.days ont le choix entre plus de trois cents sessions techniques, de tous niveaux. Un certain nombre d'entre elles sont consacrées à Windows 8, la prochaine version du système d'exploitation, actuellement en preview pour les développeurs et qui sera bientôt livrée dans sa version bêta.
Pendant la conférence d'ouverture, les équipes techniques de Microsoft ont évoqué d'autres technologies, solutions et fonctions, disponibles ou à venir. Par exemple, la plateforme de gestion du cycle de vie des applications, Team Foundation Server 11, dont la CTP a été livrée en septembre dernier, et qui permet à des équipes réparties de travailler autour du même référentiel et de savoir ce que font les développeurs à un instant T. « Nous avons travaillé sur un portail résolument orienté équipe », explique l'un des collaborateurs de Microsoft. Les autres démonstrations ont abordé le projet Roslyn (également en CTP), qui ouvre la boîte noire des compilateurs C# et Visual Basic pour permettre d'analyser le code et d'en produire. Ou encore la version 4.5 du framework de développement .Net et les nouveautés sur C++, devenu « moderne » avec Visual Studio 11, et la possibilité d'avoir des variables automatiques ou d'exécuter des algorithmes parallèles. La norme C++11 visait déjà à le rendre isofonctionnel avec les autres langages connus.
Autant de sujets à creuser avec délectation pour l'auditoire. En fin d'après-midi, ce mardi, la session intitulée par Microsoft France « Coding for fun » avait déjà enregistré trois fois plus d'inscriptions que de places. (.../...) 
Les développeurs au coeur de la stratégie d'entreprise (cliquer ici pour agrandir l'image)[[page]]La conférence plénière a également abordé les capacités de montée en charge de la base de données dans le cloud Azure, en recourant à SQL Azure Federations, « à mi-chemin entre le monde SQL classique et le NoSQL ». La démonstration prend le cas d'un site de vente en ligne et montre comment diviser une base physique en deux, de façon à gagner en capacité de stockage et de traitement.
Les autres présentations de la matinée ont donné des exemples de développement avec le SDK Mango pour les terminaux mobiles et couvert les interfaces homme-machine et les questions de conception et de design des logiciels en insistant sur la nouvelle interface Metro. Microsoft incite à créer des applications pour la Marketplace Windows Phone (55 000 à 60 000 applications à ce jour). L'éditeur est conscient de sa faible part sur ce marché qui « ne peut que croître », soulignait-on ce matin avec philosophie.
SDK Kinect pour PC et un an d'Azure gratuit pour les start-up
Pour clore la conférence, Jean Ferré a rappelé la disponibilité du kit de développement Kinect pour PC qui va permettre de développer des applications exploitant le capteur de mouvement de Microsoft comme interface. « Un toolkit du SDK Kinect pour PC a été développé par des développeurs de la division DPE France », a indiqué son directeur. La filiale veut aussi renforcer l'intérêt autour du runtime Azure proposé aux abonnés MSDN. « Nous nous sommes rendus compte que beaucoup ne l'utilisaient pas », a reconnu Jean Ferré. « Nous allons donc proposer aux abonnés MSDN des portions de code développées par DPE ». Un code à s'approprier et à transformer.
Enfin, pour les start-up éligibles au programme de soutien BizSpark+, Microsoft va désormais proposer un accès gratuit à Azure pendant un an et à demi-tarif la deuxième année. Contrairement à l'offre d'essai gratuite d'Azure de 90 jours, proposée à tous et limitée à une instance, ce programme réservé aux membres de BizSpark+ donnera droit à un accès illimité dans Azure, sous réserve que les jeunes entreprises soient accompagnées dans leurs déploiements dans le cloud public par les deux partenaires du programme accrédités par Microsoft : Euratechnologies et Dojo.
Le bouton démarrer pourrait disparaître sous Windows 8
Plusieurs sites (The Verge, PC Beta) croient savoir que le prochain système d'exploitation de Microsoft pourrait être privé de son célèbre bouton « démarrer », présent depuis Windows 95. Attendu à l'automne 2012, Windows 8 doit prochainement être disponible au téléchargement en version bêta.
Les sites se basent sur des fuites, relatives aux prochaines versions mises à disposition des développeurs, pour avancer sa théorie. Cette disparition n'affecterait pour autant pas le traditionnel menu démarrer, qui continuera d'apparaître en cliquant à l'extrémité gauche de la barre des tâches ou en tapant simplement sur la touche Windows du clavier.
UFC-Que Choisir épingle les fausses offres illimitées des opérateurs
« Que l'on parle d'appels ou de SMS, l'illimité n'existe pas ! », attaque d'emblée l'UFC-Que Choisir, dans un communiqué publié mardi 7 février. A La Poste, par exemple, l'illimité plafonne à 200 heures d'appel. Pire encore, chez Numéricable, en souscrivant un forfait similaire, les utilisateurs ne peuvent appeler que 14 heures.
Autre limite : les opérateurs imposent un nombre maximum de destinataires par mois sur les SMS, entre 99 et 250. Free et SFR vont plus loin en se donnant le droit d'intervenir de "manière discrétionnaire" sur l'abonnement du consommateur lorsqu'ils jugent, par exemple, qu'une utilisation "inappropriée" est effective.
Un ultimatum avant une action judiciaire
L'UFC-Que Choisir souhaite aussi sensibiliser les Français et les pouvoirs publics quant aux clauses abusives figurant dans les conditions générales d'abonnement. Verrouillage des téléphones vendus nus au moment de la souscription, impossibilité de faire jouer la portabilité du numéro, documents obligatoires non communiqués...autant de points noirs à assainir, faute de quoi, l'association consumériste menace de saisir la justice pour les faire supprimer. Les opérateurs ont trois semaines pour agir.
En attendant un geste de la part des opérateurs mobiles, l'association met à la disposition des consommateurs, sur son site internet, des tableaux comparatifs des différentes offres des opérateurs, ainsi que les clauses incriminées.
Dynamics CRM s'entoure d'app mobiles pour iOS et Android
Microsoft se prépare à livrer une série d'applications mobiles natives pour son logiciel Dynamics CRM, à destination des terminaux BlackBerry, Windows Phone 7, iOS et Android 2.2. Ces applications, dont la sortie est prévue pour le second trimestre, soit en même temps que la mise à jour du CRM de Microsoft, seront également supportées par de nombreux navigateurs Internet existants, en particulier Internet Explorer, Chrome, Firefox et Safari, tournant sur Mac, iPad et sur PC sous Windows.
« Ces applications mobiles natives seront mises à jour au même moment que le CRM, mais les caractéristiques et les fonctions pourront varier en fonction de la plate-forme et des fonctionnalités disponibles, » a déclaré Craig Dewar, directeur de Dynamics CRM (Consumer Relationship Management). « Nous ferons le maximum pour chaque plate-forme, sans se limiter au plus petit dénominateur commun, » a-t-il ajouté. « L'utilisateur a choisi tel terminal, à nous de lui offrir le meilleur possible. Nous chercherons donc à en optimiser l'usage pour chaque terminal. »
Des fonctions supplémentaires
Les nouvelles fonctionnalités CRM mobiles comprennent par ailleurs une composante serveur hébergée pour la gestion et la sécurité, en particulier la possibilité d'effacer des données sensibles à distance dans le cas où le terminal est susceptible d'être compromis. « Les administrateurs IT pourront aussi « rendre mobiles » toutes les personnalisations de leur CRM sans avoir à les recoder, » a déclaré le directeur de Dynamics CRM. Chaque application native pourra être utilisée hors ligne et permettra une synchronisation des données avec les systèmes en ligne, comme l'explicite le communiqué de l'éditeur. Le service mobile de Microsoft coûte 30 dollars par utilisateur et par mois, et chaque abonnement autorise jusqu'à trois terminaux. Ce système de tarification ne prend typiquement en compte que l'utilisateur, sans surcoût pour le service et les outils hébergés sur le serveur.
Au même moment, Salesforce.com, le plus proche concurrent de Microsoft sur le marché du CRM en mode SaaS, offre gratuitement une application Lite mobile. Celui-ci offre par ailleurs aux abonnés de sa solution Unlimited Edition, la version complète sans surcoût. Mais les clients des éditions Professional et Enterprise doivent payer 50 dollars par utilisateur et par mois pour en profiter.
Le HTML 5 supporté avec Windows 8
Alors que d'autres vendeurs de CRM, Salesforce.com compris, se sont rapidement mis au HTML5 pour mobile dans l'espoir de décliner leurs applications riches sur de multiples plateformes sans avoir à les réécrire, Microsoft a délibérément choisi une autre option. « Nous suivons de très près le HTML5, et nous y travaillons, » a déclaré Craig Dewar. « C'est une technologie de développement très importante. Mais notre objectif est de fournir pour l'instant la meilleure expérience possible en mode natif sur les terminaux existants. » Mais, comme il l'a précisé, « Microsoft devrait probablement s'engager davantage envers le HTML5, après la sortie de Windows 8, lequel offrira un support suffisant pour ce langage. »
L'Activity Feeds est une autre fonctionnalité prévue avec la future mise à jour programmée du CRM de Microsoft. Celle-ci se retrouvera aussi bien dans la version on-premise et que celle on-line. Activity Feeds délivrera aux utilisateurs un flux d'informations à jour provenant du système CRM à l'image de ces flux qu'ils connaissent bien dans Twitter ou Facebook. Microsoft prévoit également d'ajouter de nouvelles capacités de BI (Business Intelligence) dans la version sur site, basées sur la technologie de visualisation Power View de SQL Server 2012. « Nous avons prévu d'ajouter ces fonctionnalités plus tard dans la version en ligne, » a précisé Craig Dewar.
(...)(07/02/2012 14:57:09)Les Anonymous publient le code source de pcAnywhere (MAJ)
Le groupe de hackers Anonymous a revendiqué hier la publication du code source du logiciel pcAnywhere de Symantec sur le site The Pirate Bay. Le fichier pèse 1,27 Go. Symantec n'a pas confirmé que les pirates avaient bien publié le code source de son produit. « C'est arrivé si rapidement que nous sommes encore dans le processus d'analyse et nous ne pourrons nous prononcer que demain matin », a déclaré un porte-parole de Symantec à notre confrère d'IDG NS, John Ribeiro.
Cette publication sur The Pirate Bay intervient quelques heures après la présentation de plusieurs échanges de mails sur le site Pastebin montrant une négociation entre un certain Sam Thomas, censé être un employé de Symantec, mais utilisant un adresse Gmail et une personne dénommée Yamatough, sur le paiement d'une somme pour ne pas publier le code source. Le nom du pirate, déjà utilisé sur Twitter, est lié au groupe de hackers "les seigneurs de Dharmaraja", qui affirmait détenir le code source de produits Symantec.
Une enquête derrière les 50 000 dollars
« Nous allons vous payer 50 000 dollars au total », a déclaré Sam Thomas dans un e-mail au début du mois. Il a cependant voulu avoir l'assurance que le pirate ne publie pas le code source après le paiement, en proposant de payer 2 500 dollars par mois pendant les trois premiers mois. « Si après les trois premiers mois, vous nous avez convaincus de la destruction du code, nous paierons le solde. Nous avons confiance en vous pour que cela soit la fin de cette affaire » précise le mail. Yamatough a rejeté l'offre et a indiqué lundi soir dans un message qu'il laissait 10 minutes à Symantec pour se décider. Sam Thomas a répondu « nous ne pouvons pas prendre une décision en dix minutes, nous avons besoin de plus de temps ».
Symantec a expliqué que l'offre de 50 000 dollars proposée au pirate faisait partie d'une enquête. L'éditeur n'a toutefois pas dévoilé le nom de la société de sécurité privée menant les investigations, estimant que l'enquête est toujours en cours. Dans les messages publiés sur Pastebin, le pirate soupçonnait le FBI d'être derrière cette enquête.
(...)
Mise à jour Lion 10.7.3 difficile pour certains clients d'Apple
Hier, Apple a corrigé 51 vulnérabilités, la plupart jugées critiques, dans les versions 10.7, alias Lion, et 10.6 - plus connu sous le nom de Snow Léopard - de son système d'exploitation Mac OS X. C'est la première mise à jour de sécurité de l'année 2012 et le dernier update de ces systèmes date de la mi-octobre 2011. Après avoir effectué la mise à jour de Lion, certains utilisateurs ont signalé sur le forum du support technique d'Apple que toutes leurs applications plantaient dès leur lancement. Et le fil de discussion s'est rapidement emballé.
Parmi les correctifs, deux concernent une vulnérabilité dans le protocole SSL (Secure Socket Layer) 3.0 et le TLS (Transport Layer Security) 1.0. En septembre dernier, des chercheurs avaient mis au point un outil de piratage du nom de BEAST, pour « Browser Exploit Against SSL/TLS», lequel permet d'intercepter et de déchiffrer des cookies SSL en utilisant le mode d'attaque man-in-the-middle sur des paquets cryptés. Apple avait déjà patché le même bug dans iOS. Microsoft et Mozilla avaient devancé Apple pour appliquer ce patch, tout en relativisant la probabilité de telles attaques.
Des mises à jour attendues
La firme de Cupertino avait aussi pris du retard dans la révocation de certains certificats délivrés par Digicert, une autorité de certification (CA) malaisienne intermédiaire. L'an dernier, des chercheurs avaient constaté que Digicert avait émis 22 certificats insuffisamment cryptés avec des clés de 512 bits et ne comportant pas les extensions de certification et les informations de révocation. Microsoft et Mozilla les avaient révoqués il y a trois mois environ.
Apple a également corrigé six vulnérabilités dans QuickTime, le lecteur multimédia intégré à Mac OS X. Celui-ci pouvait être déclenché par des fichiers image, audio ou vidéo malveillants, comme l'explique Apple dans le document relatif à ces mises à jour. Parmi les 51 failles, 40 sont accompagnées de l'habituelle mention « susceptible d'exécuter du code arbitraire », une façon pour Apple de dire que ces bogues sont critiques et qu'ils pourraient être utilisés par des attaquants pour prendre le contrôle d'un ordinateur Mac dans le cas où leur exploit réussit. Une de ces vulnérabilités pourrait être exploitée dans une attaque « drive-by », laquelle, pour réussir, consiste simplement à tromper l'utilisateur en l'incitant à se connecter à un site malveillant.
Troisième mise à jour majeure pour Lion
Comme d'habitude, la mise à jour de sécurité a supprimé des bugs identifiés dans plusieurs modules du système d'exploitation, notamment des éléments Open Source qu'Apple intègre avec son propre code, et plus précisément des composants Apache, ColorSync, OpenGL, PHP et X11, pour ne citer que ceux-là.
La mise à jour 10.7.3 de Lion, la troisième depuis la sortie de ce système en juillet 2011, apporte également des corrections et des changements qui n'ont pas de rapport avec la sécurité. Par exemple, Apple a pris soin de corriger un bug empêchant le rétablissement de la connexion WiFi après la mise en veille de l'ordinateur et a apporté plusieurs améliorations à l'intégration de son OS avec l'Active Directory de Windows Server, qui supervise l'authentification sur les réseaux d'entreprise. Apple avait déjà corrigé certains bugs en rapport avec la connexion Wi-Fi dans Lion, notamment lors de la première mise à jour de son nouveau système en août dernier. Quant à la mise à jour de Snow Léopard, celle-ci est essentiellement une mise à jour de sécurité identifiée sous la référence 2012-001. Dans le cadre de sa mise à jour de Lion et Snow Léopard, Apple a également fait passer Safari en version 5.1.3.
[[page]]
Cependant, certains possesseurs de Mac n'ont pas du tout apprécié les effets de la mise à jour de Lion sur leurs machines. « Juste après l'update de mon système en 10.7.3, toutes les applications se sont mises à crasher, » a déclaré « albert421 » dans le premier billet ouvrant un interminable fil de discussion sur le forum technique d'Apple. « Toutes les applications, toutes les fenêtres, affichent tout simplement le message d'erreur Cui Cui Cui Cui » (en fait « CUIElement::LoadFromArtFile ») à la place de l'image non chargée. D'autres messages se sont fait l'écho de situations similaires, certains utilisateurs affirmant qu'ils avaient réussi à récupérer leur système en restaurant une sauvegarde Time Machine après avoir démarré sur la partition de récupération de Lion, ou en réinstallant tout simplement Mac OS X. Un des intervenants a suggéré aux utilisateurs en mesure de démarrer leur machine en « safe mode » (touche Maj enfoncée au redémarrage) de télécharger et d'installer la mise à jour Combo, un fichier beaucoup plus lourd.
Mac OS X 10.7.3 et la mise à jour de sécurité référencée 2012-001 de Snow Léopard peuvent être téléchargées sur le site d'Apple ou installées en utilisant la fonction « Mise à jour de logicielles » intégrée à Mac OS X. Apple ne délivre plus de mises à jour pour Mac OS X 10.5, alias Léopard.
Selon Net Applications qui mesure l'affluence des systèmes d'exploitation sur le Web, Lion représente 34%, soit un peu plus d'un tiers, de tous les Mac qui se sont connectés le mois dernier, contre 15% pour Léopard.
(...)(07/02/2012 13:21:45)Oracle/SAP : un nouveau procès dans l'affaire TomorrowNow
Geoffrey M. Howard, avocat d'Oracle, a indiqué que la firme de Redwood ne se satisfaisait pas de la décision de réduire le montant de l'amende infligée à SAP et a donc décidé de saisir le tribunal fédéral de Caroline du Nord pour un nouveau procès. « Nous sommes déçus qu'Oracle laisse passer une nouvelle occasion de résoudre cette affaire », exprime SAP dans un communiqué et d'ajouter, « nous allons continuer à travailler pour aboutir à une fin juste et raisonnable dans cette affaire ».
Le juge Phyllis Hamilton avait, en septembre 2011, considéré que le montant de l'amende, 1,3 milliard de dollars, était excessif. Il avait réduit les dommages à 272 millions de dollars. Pour mémoire, la société de Larry Ellison reprochait à SAP le téléchargement illicite de logiciels et d'éléments utilisés pour le support technique de produits commercialisés par Oracle, TomorrowNow proposant des services de maintenance à moindre coût aux clients d'Oracle. SAP avait reconnu sa responsabilité, mais avait contesté le montant des dommages et intérêts accordé par le jury, les considérant comme « beaucoup trop élevés. » Le juge avait indiqué que si Oracle devait rejeter la réduction du montant de l'amende à 272 millions de dollars, la cour pourrait ordonner un nouveau procès sur le montant des dommages réels.
Geoffrey M.Howard explique dans sa lettre de saisine qu'« accepter la décision du juge reviendrait pour Oracle à renoncer à son droit de faire appel de la décision du tribunal sur les différentes motions et de soulever des points de droit dans le cadre d'un nouveau procès ». Il ajoute « l'objectif d'Oracle est d'obtenir des éclaircissements sur la loi, sa bonne interprétation, ainsi que sur la validité des preuves pour justifier la décision du jury et sur les droits d'Oracle en matière de propriété intellectuelle ».
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |