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Virtualisation

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(07/04/2008 15:23:59)

VMware gère aussi le cycle de vie des machines virtuelles

D'après une étude du cabinet d'analyse ESG, les entreprises prévoient d'augmenter leur nombre de machines virtuelles de 173% sur les deux prochaines années. Rien d'étonnant dès lors que VMware, leader sur ce marché, ait jugé nécessaire de sortir un outil pour industrialiser l'administration de ces machines virtuelles. Baptisé Lifecycle Manager, il propose des méthodes et un ensemble de fonctions pour gérer toute la durée de vie d'une instance, de sa création à sa suppression ou son archivage. L'outil est basé sur un moteur de workflow qui automatise les différentes étapes établies par l'entreprise pour gérer les machines (demandes de création, approbations, suivi de l'archivage, etc.). Le paramétrage s'effectue via une interface Web graphique qui permet notamment de sélectionner les machines virtuelles au sein d'un groupe prédéfini et de spécifier et contrôler des ressources déployées pour ce groupe. Lifecycle Manager automatise également la configuration des machines virtuelles en fonction des règles prédéfinies. Afin de simplifier le suivi et le contrôle, il propose un journal Web dans lequel sont consignées toutes les demandes de machines et les approbations. Toutes les ressources allouées à une machine sont automatiquement réintégrées dans un pool lorsque celle-ci est archivée ou supprimée, ce qui devrait simplifier la gestion des moyens disponibles pour la création de nouvelles machines.[[page]] Enfin, Lifecycle Manager peut aussi calculer le coût du matériel situé dans un environnement, option très pratique pour les prestataires de services, par exemple, qui disposent ainsi d'une solution pour refacturer leurs clients. Lifecycle Manager peut même s'interfacer avec les solutions d'administration du marché ou encore les systèmes de gestion pour inclure, dans ce dernier cas, le coût d'une architecture au budget d'un projet par exemple. Disponible en version d'évaluation sur le site de VMware, Lifecycle Manager est commercialisé à partir de 895 dollars par CPU. Une version sans limite de machines, destinée plus particulièrement aux grands comptes, est également prévue, moyennant 20 000 dollars. (...)

(04/04/2008 13:54:52)

VMware loin devant ses concurrents pour les DSI américains

Un sondage conduit par Changewave, fait le point sur la situation sur le marché de la virtualisation des serveurs à fin janvier et de son évolution depuis octobre 2007. Les réponses de 1368 décideurs informatiques américains donnent VMware largement en tête sur ses concurrents. Tant en terme de base installé que de satisfaction des utilisateurs. Entre octobre et janvier, VMware est parvenu à gagner 3% de parts de la base installée pour atteindre 58%. Il est le seul parmi les cinq poids lourds du marché à progresser. Tous les autres -Microsoft, Citrix, IBM, Oracle- baissent ou stagnent. Les deux plus fortes baisses reviennent à Microsoft et Citrix qui perdent respectivement 4 et 6 points. Un tassement que les deux éditeurs doivent pouvoir justifier par l'imminence de l'arrivée de nouvelles versions. 54% d'utilisateurs satisfaits ChangeWave met en avant une autre explication : la grande satisfaction ("very satisfied") exprimée par 54% des utilisateurs de VMware. Seul IBM, avec 51%, évolue au même niveau, mais il ne s'agit pas des mêmes environnements technologiques. Citrix arrive à la suite, mais loin derrière (32%), suivi par Oracle (25%). C'est Microsoft qui ferme la marche avec seulement 20% de clients très satisfaits. [[page]]A la suite de cet état des lieux, ChangeWave s'est penché sur les perspectives d'avenir. Parmi les 10% de décideurs qui prévoyaient d'acheter des produits de virtualisation dans les trois mois, 76% choisiront VMware. C'est 5 points de mieux qu'en octobre. L'ensemble des concurrents perd un point à l'exception de Microsoft qui en gagne 13. Notons que les décideurs peuvent s'équiper auprès de plusieurs fournisseurs. Un contexte général qui se dégrade ChangeWave analyse en deux temps l'ensemble des opinions collectées. Il constate ainsi que VMware continue de gagner des parts de marché. Mais cet engouement intervient dans un contexte général qui se dégrade. L'institut note un net renversement de la tendance des perspectives d'investissement en logiciel des entreprises américaines. Pour la première fois depuis avril 2006, celles qui prévoient d'investir moins au cours des trois prochains mois (22%) sont plus nombreuses que celles qui prévoient d'investir plus (16%). Si la sécurité et le décisionnel sont parmi les plus affectés, la virtualisation s'en sort bien avec des prévisions d'achat stables par rapport à octobre. (...)

(03/04/2008 16:21:21)

VMware préfère la bataille technologique à la bataille des prix

Positionné de façon très hégémonique sur le marché de la virtualisation, VMware continue de défendre bec et ongle son avance technologique. Pour preuve les arguments avancés en faveur de l'hyperviseur ESX sur son blog par Reza Malekzadeh, directeur marketing produit de VMware à l'international. ESX serait capable d'optimiser la gestion de la mémoire vive, contrairement à ce que peuvent faire XenServer 4 et la bêta d'Hyper-V. Ce qu'il appelle "surdimensionnement de la mémoire" repose sur deux technologies de gestion de la mémoire. La première permet à plusieurs machines virtuelles de partager des contenus similaires en RAM et donc d'économiser de l'espace mémoire. "Sans baisse notable de performances", précise Reza Malekzadeh. La seconde consiste, lorsqu'une machine virtuelle est inactive, à forcer le transfert de son empreinte mémoire sur disque. L'espace libéré profite alors aux autres. Du coup, à configuration égale, VMware permet le chargement de 14 à 40 machines virtuelles suivant la charge applicative attendue. XenServer et Hyper-V bêta, qui ne savent pas gérer le surdimensionnement mémoire, plafonnent à 7 machines virtuelles. Ramené au nombre de machines virtuelles exploitable par système, l'hyperviseur de VMware reste donc moins cher. La concurrence contrainte à jouer sur les tarifs Citrix et Microsoft se sont engagés de leur coté dans une course-poursuite après le leader incontesté. Leur argument maître ? Le prix. Fidèle à son habitude lorsqu'il rentre sur un marché, Microsoft pratiquera la stratégie de la terre brûlée. De toute évidence, Hyper-V sera gratuit pour le plus grand nombre. De quoi couper l'herbe sous le pied de la concurrence. De son côté, Citrix insiste aussi sur la modicité de ses tarifs. Un sujet sur lequel Vmware, longtemps intraitable, se fait désormais lui-aussi beaucoup plus conciliant. Mais ce n'est que contraint et forcé que l'éditeur continuera de baisser ses tarifs. Il tient à continuer de démontrer qu'il dispose d'une longueur d'avance technologique sur ses rivaux. (...)

(02/04/2008 18:56:18)

Les serveurs System i et System p d'IBM deviennent les Power System

IBM fond ses gammes serveurs System i et System p en une seule et même famille dénommée Power. En clair, les successeurs des AS/400 rejoignent les serveurs Aix au sein d'une même gamme. Tous partageront désormais la même architecture de processeur bi-coeur Power6 et hébergeront au choix Aix, Linux ou i. Cette dernière dénomination minimaliste, sensée rendre compte de la simplicité du système d'exploitation, désigne la toute nouvelle version de l'OS des System i, ex AS/400 ("i" est aussi appelé i5OS). Pour utiliser conjointement un ou plusieurs des trois systèmes d'exploitation, plus besoin de partitionnement physique ni de partition mère avec les Power System. C'est désormais l'hyperviseur de virtualisation PowerVM qui s'occupe de tout. Il peut gérer jusqu'à 160 partitions virtuelles et se charge du partitionnement du stockage. Des serveurs préconfigurés pour rassurer les PME IBM présente deux premières machines Power d'entrée de gamme (Power System 520 et 550) et un serveur lame (JS12) basés sur le Power6. Il complètera son catalogue dès la semaine prochaine. Mais pour ne pas trop perturber la clientèle historique de l'AS/400, en particulier les PME, le géant proposera des ensembles préconfigurés pour chaque système d'exploitation (processeur, mémoire, disque dur, OS). De leur coté, les partenaires IBM auparavant spécialisés sur l'une ou l'autre des deux anciennes plateformes, seront bien entendu désormais incités à proposer l'ensemble des machines. IBM exigera d'eux des certifications idoines très poussées. Ils devront être titulaires d'une certification associée au matériel et d'une autre pour l'un des trois OS proposés. Les ISV, eux, seront associés à des business partners pour pouvoir se concentrer sur le développement applicatif. La fusion des deux gammes devraient théoriquement leur faciliter la tache. (...)

(02/04/2008 17:13:59)

Citrix présente XenServer 4.1 avec des tarifs attractifs et la bénédiction de NetApp

Citrix accompagne la disponibilité de XenServer 4.1, d'un intéressant accord sur le stockage avec NetApp et d'un mode de facturation au système plutôt qu'au processeur. La version 4.1 de XenServer intègre une cinquantaine d'améliorations qui portent essentiellement sur les performances. On notera que, dans la version Platinium, promise pour ce mois-ci, XenServer intègrera Provisionning Server. D'après Guillaume Le Tyrant, directeur marketing produit chez Citrix France, Provisionning Server permet d'exécuter une "charge applicative" (qu'il s'agisse d'un couple natif OS-Application ou d'une ou plusieurs VM) à la demande. Cela permettrait ainsi, selon lui, de répondre aux besoins tant des adeptes de la virtualisation que de tous ceux qui utilisent encore des configurations physiques. "Ce qui est encore le cas le plus souvent". Citrix est aussi tout à la joie d'annoncer que la console de XenServer 4.1 intègre la gestion des API de Data OnTap de NetApp. Autrement dit, on peut lancer les outils de NetApp à partir de XenServer pour cloner une machine virtuelle ou pour réaliser un snapshot. Ces fonctionnalités semblent bien proches de celles dont on dispose avec SnapManager for Virtual Infrastructure, fruit d'un accord signé par NetApp et VMware. Citrix joue la tarification au serveur Enfin, Citrix joue l'effet d'annonce avec une tarification non plus au processeur, comme le font VMware et Microsoft, mais au serveur. Selon l'éditeur, cela dispenserait du casse-tête de gestion des licences et permettrait de réaliser des économies, la facture devenant indépendante du nombre de machines virtuelles créées. Les prix affichés par Citrix pour la version d'entrée de gamme de XenServer 4.1 commencent à 600$ par an et par serveur et à 900$ pour une licence perpétuelle. Toutefois, Citrix précise que ces tarifs s'appliquent uniquement pour les OS 64 bits installés sur des serveurs dotés de quatre processeurs au plus. (...)

(02/04/2008 12:01:26)

Pour HP, le client léger se virtualise

HP va regrouper toute son activité « Remote Client » au sein d'une même entité, DSO (Desktop Solution Organization). « Jusqu'ici tout était éparpillé en plusieurs parties, matérielles comme logicielles, explique Eric Jeanmougin, directeur Station de travail pour HP EMEA. En regroupant toutes les équipes R&D, marketing et ventes, nous mettons en place un écosystème complet pour répondre aux besoins en terme de virtualisation du poste client. » Derrière ce terme de virtualisation, HP regroupe en fait quatre techniques utilisant un client léger comme poste utilisateur. Une connexion classique via Terminal Server pour commencer, un accès à un PC virtuel sur un serveur classique, un accès à un PC lame ou un accès à une station de travail lame installé à distance dans la salle de serveur. « Le choix se fait à la carte en fonction des besoins, » affirme Eric Jeanmougin. Pour l'occasion, HP confirme la disponibilité mondiale des trois clients légers, dont un au format ordinateur portable, présentés en janvier dernier et fruits de son acquisition de Neoware en 2007. (...)

(02/04/2008 11:25:59)

HP propose un outil de calcul du bénéfice de la virtualisation du poste client

Pour convaincre ses utilisateurs de virtualiser leurs postes clients, HP s'est doté d'un nouveau module, baptisé Client Virtualization ROI Calculator. Intégré à la suite HP Remote Client Solution, celui-ci calcule le retour sur investissement et les économies réalisées en virtualisant le poste de travail, ou plutôt, en les remplaçant par des clients légers. La mesure tient compte de l'implantation des produits, des besoins en refroidissement, de l'occupation d'espace et des frais de support techniques, mais aussi de l'augmentation éventuelle de productivité des utilisateurs. Réservé pour l'instant aux commerciaux de HP, ce Client Virtualization ROI Calculator sera disponible pour les partenaires et les intégrateurs HP avant juin. une version allégée pourra être téléchargée par tous à partir du site d'HP avant la fin de l'année. (...)

(01/04/2008 12:18:11)

NetApp consacre son show à la virtualisation

Lors du NetApp Innovation Day qui a eu lieu au CNIT de la Défense le 27 mars, le spécialiste du stockage et de la gestion de document a réuni 1000 clients, prospects, intégrateurs et éditeurs partenaires autour d'une même thématique : la virtualisation. Pourquoi la virtualisation du stockage peut être écologique et économique ? Comment organiser le stockage pour répondre aux besoins d'un environnement serveur virtualisé ? Quels sont les pièges à éviter et les changements à effectuer dans son organisation ? Autant de questions concrètes qui on été abordées en conférence ou en atelier. Dans un entretien accordé au Monde Informatique, Marc Montiel, directeur NetApp France et Bruno Picard, directeur technique, exposent les solutions de virtualisation de NetApp et l'avenir de cette technique dans le stockage. (...)

(28/03/2008 17:45:59)

Bios : Phoenix achète BeInSync, spécialiste de la synchronisation

Phoenix Technologies, numéro un mondial des Bios (Basic input output system, qui fait l'interface entre la machine et le système d'exploitation) pour systèmes x86, annonce l'achat de BeInSync pour un montant estimé à 25 M$. Cette société israélienne est spécialiste de la synchronisation de fichiers en pair à pair. Phoenix Technologies, dont les Bios (Phoenix, Award, First.) sont enfouis dans la plupart des cartes mères des grands de la micro-informatique et des serveurs, inscrit cette acquisition dans son projet de plateforme "PC 3.0" dont l'élément essentiel est l'hyperviseur HyperCore qui a été présenté en octobre 2007. Cet hyperviseur a pour caractéristique d'être ultraléger et ajouté au Bios. Il permet déjà de faire fonctionner Hyperspace, un environnement applicatif indépendant de Windows. Au premier regard, la technologie de BeInSync se destine naturellement à la synchronisation des fichiers de données. Les utilisateurs pourraient disposer d'un référentiel pour sauvegarder leurs données, les synchroniser et y accéder dès lors qu'ils disposeraient d'un accès Internet. Une intégration attendue entre BeInSync et Hypercore L'autre éventualité, qui n'est pas exclusive de l'autre, serait la conjonction de la technologie de BeInSync et de l'hyperviseur Hypercore. Dans cette perspective, Phoenix pourrait alors proposer une approche originale à la gestion des machines virtuelles dans le cadre d'un environnement VDI (Virtual desktop infrastructure, infrastructure de poste de travail virtualisé). Une certitude, Phoenix compte bien proposer son développement à tous ses clients, autrement dit au ban et à l'arrière-ban du monde X86/64. Une offre qui ne pourra qu'avoir l'aval d'Intel. Début 1996, Intel est rentré au capital de Phoenix Technologies à hauteur de 6% pour un montant de 10,8 M$. Phoenix a racheté ces 6% à Intel début 2001, mais les deux sociétés sont restées très proches et collaborent étroitement. Notons que FolderShare (acheté par Microsoft en 2005) et Sharpcast sont considérés comme des concurrents de BeInSync. (...)

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