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Virtualisation
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(25/03/2008 17:46:41)
Marathon renforce la disponibilité des machines virtuelles
Annoncé à l'automne lors du dernier VMWorld, Everun VM, le système pour la continuité de service et la haute disponibilité des machines virtuelles de Marathon Technologies, est désormais disponible en version bêta, et sera commercialisée en avril. Cette application nécessite au moins deux serveurs physiques reliés entre eux et équipés de l'hyperviseur XenServer pour créer les machines virtuelles. Installé au dessus de l'hyperviseur, Everun VM clone les environnements invités à protéger sur les deux serveurs, et les met à jour en permanence de façon simultanée. Pour l'utilisateur final, tout se passe comme s'il n'y avait qu'une machine virtuelle. EverRun VM sera commercialisé seul à partir de 2000 dollars par serveur, et à partir de 4 500 dollars par serveur s'il faut y ajouter l'hyperviseur Xen. (...)
(25/03/2008 10:51:30)Sun veut simplifier la virtualisation du poste de travail
Sun Microsystems a annoncé la disponibilité générale de Virtual Desktop Infrastructure 2.0 (VDI) qui permet de déployer et d'administrer des environnements de travail sur n'importe quel type de client (terminal de client léger, PC, PDA, smartphone, etc.), et ce quelque soit le type de système d'exploitation (Windows, Linux, Mac OS X ou Solaris). Il va même plus loin, en permettant à VDI 2.0 de s'appuyer non seulement sur son hyperviseur maison xVM server, mais également sur celui de son concurrent principal VMWare. Parmi les marchés ciblés avec ce produit, il y a les clients habituels de Sun - secteur public ou organismes financiers - mais également les opérateurs de télécommunications ou de centres d'appels. Sun explique notamment que la possibilité de créer des groupes d'utilisateurs partageant des environnements similaires leur permettrait de diminuer considérablement le nombre de licences dont ils ont besoin. (...)
(25/03/2008 09:18:48)VMWare administre la virtualisation avec le PowerShell de Microsoft
La virtualisation bientôt plus simple à administrer en environnement Microsoft. C'est ce que promet VMWare, avec son VMWare Infrastructure (VI) Toolkit for Windows. Cette boîte à outils permet d'utiliser PowerShell, les commandes en ligne de Windows Server, pour administrer une infrastructure virtuelle à base d'ESX 3.x et de Windows Server 2003. VMWare précise avoir écrit plus d'une centaine de "cmdlets" (scripts) et supporte une communauté pour faciliter le partage. La version finale de VMware Infrastructure (VI) Toolkit pour Windows est promise pour le second semestre de cette année. (...)
(21/03/2008 17:26:25)Brainshare 2008 : Novell décrit une stratégie d'infrastructure modulaire
« L'informatique d'entreprise va changer et il faut que nous y occupions une place centrale », a déclaré Jeff Jaffe, directeur technique de Novell, en ouverture de Brainshare, la conférence utilisateurs de l'éditeur (qui s'est tenue à Salt Lake City, du 16 au 21 mars). Avec un maître mot, pourtant déjà maintes fois utilisé par de nombreux fournisseurs, « l'agilité », qui sera particulièrement déclinée sur la gestion des règles et des identités, au sein de l'offre d'infrastructure de Novell. Devant les quelque 5 500 participants, l'éditeur de Suse Linux a déroulé une nouvelle stratégie, baptisée Fossa, qui permettra aux entreprises de mixer et d'associer des machines physiques et virtuelles, en conjonction avec des outils d'administration (Novell ZENworks), des services de gestion d'identité, des logiciels de collaboration et des systèmes d'exploitation Open Source. Une annonce qui préfigure des améliorations sur son offre Linux, sur ses solutions de virtualisation (rachat de PlateSpin), sur les outils d'orchestration, de gestion des procédures et des identités, de la conformité, etc. Ron Hovsepian, le PDG de Novell, a de son côté mis l'accent sur l'optimisation des outils destinés aux postes de travail et aux serveurs, avec l'objectif de les intégrer dans les plateformes plus étendues développées par IBM et Microsoft. « Nous nous positionnons comme un composant au sein de ces grandes infrastructures d'entreprise, dans lesquelles nous voyons quels manques nous pouvons combler », a-t-il indiqué. [[page]] Optimiser Suse Linux pour la virtualisation Dans le cadre de Fossa, le système d'exploitation Suse Linux Enteprise devrait notamment intégrer les dernières technologies de virtualisation. Novell a également indiqué qu'il comptait s'appuyer de façon importante sur les travaux de la communauté OpenSuse. Toujours aux chapitres Linux et virtualisation, rappelons que Brainshare a été l'occasion d'annoncer le renforcement de la collaboration avec SAP. Suse Linux sera en particulier optimisé pour l'infrastructure de centre de données de l'éditeur de progiciels de gestion. Plus globalement, Fossa semble être un moyen pour Novell de rationaliser l'utilisation conjuguée de ses différentes offres d'infrastructure, de Linux à ZENworks, dans ce qui pourrait être appréhendé comme une seule et même architecture. Toutefois, le développement d'une infrastructure adaptable et flexible n'est par une démarche révolutionnaire. HP, IBM et Microsoft ont oeuvré dans ce sens depuis plusieurs années. Mark Levitt, analyste chez IDC, se demande si ce que Novell veut réaliser avec Fossa est fondamentalement différent de ce que les autres fournisseurs font déjà. « Cela ressemble davantage à une mise au point interne sur la vision stratégique et la feuille de route. Je ne pense pas que Fossa apporte un changement radical. Il s'agit plutôt de valider la direction qui a été choisie. »[[page]] Déployer à la demande Au coeur de Fossa, Novell veut utiliser les capacités de modularité de Linux pour créer ce qu'il appelle des « distributions physiques » (Distros), qui seront en fait des systèmes d'exploitation hôtes tournant sur des serveurs physiques. L'autre composante étant les distributions virtuelles (Virtual Distros), qui intégreront un système d'exploitation « invité », soit Windows, soit Linux, ainsi que le middleware et l'application. Les distributions virtuelles présenteront tous les standards permettant de se raccorder aux solutions d'administration, ainsi qu'aux outils de gestion des identités et de mise en conformité de Novell. Les éditeurs indépendants pourront ainsi coupler leurs applications aux Virtual Distros afin que les entreprises puissent les déployer. Ces Virtual Distros pourront être installées sur un serveur, puis copiées et déployées à la demande, de façon dynamique, en fonction des besoins. (...)
(20/03/2008 16:58:36)Pour la NSA, la virtualisation crée de nouvelles menaces et de nouvelles solutions sécuritaires
Souvent décriée, la NSA (National Security Agency), agence de surveillance américaine, collabore régulièrement avec les industriels pour améliorer la sécurité des produits informatiques, tout en se ménageant un accès discret. Dernier sujet en date : la virtualisation. Sur ce sujet, la NSA a travaillé - entre autres - avec VMWare, IBM, AMD et Trusted Computing Group pour identifier les risques que pose cette technologie et comment y remédier. Pour Don Simard, directeur solutions commerciales à la NSA, le risque majeur concerne la puissance de calcul de certains composants d'un PC : « les cartes graphiques et réseaux ne sont après tout que des ordinateurs miniatures qui voient tout ce qui se passe dans les machines virtuelles. » Elles pourraient donc potentiellement héberger des spywares ou d'autres logiciels malveillants, qui contourneraient ainsi les mesures de sécurité classiques de la machine. Face à ce risque, AMD a introduit dans son protocole AMD-V, un « vecteur d'exclusion » qui indique quelle extension matérielle peut accéder aux machines virtuelles ou non. De même, Intel propose une architecture spécifique pour la virtualisation, Intel VT. Si la virtualisation peut être une menace, elle peut aussi apporter une couche de sécurité supplémentaire, en permettant l'installation d'une couche chargée de la sécurisation de l'ordinateur indépendante du système d'exploitation principal et de ses éventuelles failles. A condition, précise Don Simard, que cette couche ne soit pas elle-même compromise par une conception et une implantation médiocre sur les produits commerciaux. (...)
(20/03/2008 16:56:15)Hyper-V, l'hyperviseur de Microsoft en phase Release Candidate
Hyper-V approche, il est bientôt là. Avec sa Release Candidate, Microsoft confirme sa disponibilité pour le mois d'août prochain. Texte: Hyper-V, l'hyperviseur-tant-attendu-de-Microsoft, vient de parvenir au stade de la Release Candidate sans retard supplémentaire. A ce stade de développement, qui succède aux phases bêta et RC-1, code et fonctionnalités sont figés. Les derniers efforts des développeurs se portent sur le déverminage. Microsoft précise qu'Hyper V sera livrable au mois d'août. Il tournera alors sur la version 64 bits de Windows Server 2008 avec des processeurs Intel ou AMD dotés d'instructions pour la virtualisation. Les systèmes d'exploitation supportés par Hyper-V seront les Windows Server 2008 et 2003 SP2 (x86 1- et 2-way SMP, x64 1-way SMP seulement), Windows Vista SP1 x86, Windows XP SP3 x86 et Novell Suse Enterprise Server 10. Hyper-V ne supporte en OS hôte ni Ws 2000 Server, ni Ws NT. Microsoft en profite aussi pour rappeler que la virtualisation ne fait que commencer au niveau de l'hyperviseur. Son outil d'administration Microsoft System Center, assorti de la prochaine version de System Center Virtual Machine Manager, permettra d'administrer, outre Hyper-V, Virtual Server 2005 R2, VMware ESX et Infrastructure 3. Le support de Xen viendra ultérieurement. (...)
(20/03/2008 16:49:02)IBM ouvre son premier centre 'cloud computing' européen à Dublin
Le 'cloud computing' a beau partir du principe que la puissance informatique peut être accessible à la demande au travers d'Internet, il vaut mieux dans la pratique être relativement proche du client. IBM vient ainsi d'ouvrir son premier centre de 'cloud computing' européen à Dublin. Pour Philippe Bournhonesque, qui dirige le division IBM Software en France, le 'cloud computing', ou informatique dans les nuages, est l'avatar ultime de « l'industrialisation du datacenter ». IBM s'estime le mieux placé pour conduire cette industrialisation, en offrant une plateforme matérielle et logicielle mutualisée ; c'est le programme Blue Cloud, annoncé en novembre dernier. En attendant que les entreprises confient aux opérateurs de 'cloud computing' des applications critiques - d'après Forrester, cela devrait prendre un à deux ans - IBM propose dans son centre dublinois un « Idea Factory for Cloud Computing », service déjà testé avec succès en Chine, offrant aux entreprises un outil de type réseau social pour mettre des idées en commun. IBM dispose déjà de trois centres Blue Cloud aux Etats-Unis et d'un en Chine (avec un second en préparation), et le programme de déploiement est chargé : Brésil, Afrique du Sud, Inde, péninsule arabique, Vietnam et Corée. (...)
(19/03/2008 18:01:50)FalconStor met son offre à jour pour WS Server 2008
Alors que le très attendu Windows Server 2008 - et surtout son hyperviseur Hyper-V, sorti aujourd'hui en version RC (release candidate) - est enfin disponible, FalconStor annonce la certification Windows Server 2008 de l'ensemble de ses produits. Il s'agit par exemple de la plateforme IPStor de NNS (Network Storage Server), qui fournit des espaces de stockage virtuels via Infiniband, iSCSI ou Fibre Channel aux systèmes hôtes (qu'ils soient sous Windows, Linux ou Unix), ainsi que des solutions de protection et de récupération de données Message Recovery pour Microsoft Exchange, Snapshot Agent pour Exchange, SQL Server et Dynapath. Bien que 90% des clients de FalconStor utilisent principalement ESX de VMWare comme outil de virtualisation serveur, la société se veut complètement neutre. Son offre supporte également les hyperviseurs Xen et Virtual Iron, en plus d'Hyper-V. Alexandre Delcayre, directeur architecture stockage pour FalconStor EMEA, reconnaît toutefois : « Pour l'instant, peu de nos clients veulent migrer vers Windows Server 2008. Ils l'évaluent, et s'ils se décident à basculer, ce sera en raison des applications associées, comme SQL Server 2008. Je pense qu'Hyper-V pourra également être un élément déclencheur pour les sociétés qui veulent entamer la virtualisation et la consolidation de leurs infrastructures. » En plus de cette certification, FalconStor s'apprête à sortir mi-avril IPStor 6 avec deux nouvelles fonctionnalités pour s'adapter à l'accroissement des données stockées. Sparse Dissk permet de créer un disque virtuel plus gros que la baie réellement attachée pour faire du « surbooking » temporaire de données, et autorise le support physique et virtuel d'espaces de stockage à partir de 2 téra-octets et jusqu'à 9 exa-octets (soit 9 millions de téra-octets). (...)
(19/03/2008 09:21:06)HP rénove son offre pour des datacenters consolidés
« Les entreprises sont confrontées à l'explosion des données, la mobilité croissante des employés et la nécessité d'accéder aux informations en temps réel » déclare Ann Livermore, vice-présidente exécutive, HP Technology Solutions. « HP aide les DSI à modifier en profondeur la façon dont ils développent, gèrent et exploitent leurs datacenters. » Et pour cela, la société propose un nouveau serveur, deux logiciels et quatre services adaptés. Le serveur, l'HP Proliant DL785 G5, sera un serveur 8 sockets basé sur le processeur quadricoeur Barcelona d'AMD, et supportera jusqu'à 256 Go de mémoire vive. Pour HP, c'est l'outil idéal pour consolider une salle de serveurs grâce à la virtualisation. Côté logiciel, HP lance Insight Dynamics -VSE. S'intégrant à l'outil de gestion de plate-forme HP Insight Manager, il analyse et optimise en temps réel les ressources physiques et virtuelles de la salle de serveur et fonctionne avec les principaux hyperviseurs du moment. Le constructeur a également ajouté des outils d'automatisation dans Operations Orchestrations pour gérer les relations entre postes clients, applications, serveurs et périphériques de stockage. Enfin, côté services, HP propose Adaptative Infrastructure as a Service, qui propose la location d'applications à la demande - comme Microsoft Exchange ou SAP - hébergées dans les data centers d'HP, avec un temps d'adaptation se mesurant en heures et non en jours. Critical Facilities, Datacenter Consolidation et Datacenter Virtualization sont eux des services plus classiques de conseil, de conception et d'administration de salles de serveurs. (...)
(17/03/2008 17:39:16)Bob Beauchamp, CEO de BMC : "même sans rien faire, nous aurions 2 ans d'avance"
L'acquisition de BladeLogic par BMC, pour environ 800 M$, s'inscrit selon Bob Beauchamp, son CEO, dans la droite ligne de la stratégie annoncée l'année dernière. BMC avait en effet indiqué qu'il comptait étoffer son offre de BSM (Business service management) avec des outils d'automatisation. L'idée des logiciels de BladeLogic est de fournir aux entreprises un ensemble d'outils les déchargeant en partie de la gestion de leurs serveurs. Une idée qui coïncide avec celle du BSM, laquelle consiste à mettre en corrélation la production informatique et le service rendu au métier. Dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, Bob Beauchamp, patron de BMC, et Dev Ittycheria, président et CEO de BladeLogic, expliquent les raisons de ce rapprochement. LeMondeInformatique.fr : Cette partie automatisation manquait, jusqu'à présent, dans l'offre de BMC ? Bob Beauchamp : Oui, nous avons Remedy, qui est la plateforme de choix pour la gestion du service informatique, Patrol et nos autres outils qui constituent notre offre de gestion traditionnelle, et maintenant nous amenons de l'automatisation dans l'offre de BMC. LeMondeInformatique.fr : Estimez-vous disposer dorénavant d'une offre BSM complète, ou bien reste-t-il des manques à combler ? Bob Beauchamp : Même sans rien faire, nous aurions encore deux ans d'avance sur la concurrence, et ce n'est pas moi qui le dis, ce sont plusieurs cabinets d'analystes, Forrester, Gartner, IDC. Mais nous n'avons pas l'intention d'en rester là, notre but est de continuer d'avancer, de surprendre les compétiteurs. LeMondeInformatique.fr : Pourquoi avoir décidé cette acquisition maintenant ? Bob Beauchamp : Cela faisait longtemps que nous regardions BladeLogic, en fait depuis que nous avons pris la décision l'année dernière de compléter le BSM en allant vers un nouveau secteur, celui de l'automatisation. BladeLogic était de loin le meilleur. Mais il a fallu être réaliste, et attendre le bon moment. [[page]] LeMondeInformatique.fr : Et pourquoi, du côté de BladeLogic, avez-vous pris la décision d'accepter, alors que, comme le soulignaient les analystes lors du rachat d'Opsware par HP, vous n'aviez finalement que l'embarras du choix ? Dev Ittycheria : Le rachat d'Opsware n'a pas changé fondamentalement notre objectif, qui était de continuer à progresser sur ce marché. Mais quand BMC a fait une proposition, nous l'avons examinée avec le conseil d'administration, puis nous avons pris contact avec ceux qui avaient exprimé un intérêt par le passé et entamé un processus complet d'analyse, qui a conclu que l'offre de BMC était dans notre meilleur intérêt. LeMondeInformatique.fr : Le rachat de Platespin par Novell a-t-il précipité les choses ? Bob Beauchamp : Non, cela n'a eu aucun impact. Dev Ittycheria : PlateSpin intervient sur une niche, la migration de systèmes virtualisés, qui n'est pas un secteur essentiel pour nous ; nous sommes davantage sur la partie gestion de systèmes. LeMondeInformatique.fr : Certains de vos produits sont déjà intégrés, avez-vous dit lors de la conférence de presse. Pouvez-vous détailler dans quelle mesure ? Bob Beauchamp : Il s'agit en fait d'intégrations réalisées de façon naturelle. D'une part, en raison d'une collaboration entre les équipes de BladeLogic et de RealOps, avant que nous ne rachetions ce dernier. Et d'autre part, sur le terrain, lorsque des clients utilisent à la fois BladeLogic et Remedy. LeMondeInformatique.fr : Combien de clients compte BladeLogic, et quel est le pourcentage de clients en commun avec BMC ? Dev Ittycheria : Notre base clients croît rapidement, nous en revendiquons aujourd'hui 275. Mais pour le décompte. Bob Beauchamp : Quoiqu'il en soit, sachant que BMC compte 15 000 clients, cela fait toujours 14 725 opportunités de licences croisées ! (...)
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