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Virtualisation
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(17/03/2008 14:59:06)
BMC s'offre les outils d'automatisation de BladeLogic pour 800 M$
BMC a proposé environ 800 M$ pour racheter BladeLogic, éditeur d'outils d'automatisation de la gestion des centres serveurs. Bob Beauchamp, patron de BMC, explique dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr que BMC souhaitait depuis plusieurs mois compléter son offre d'administration avec une solution d'automatisation. Blade Logic a découpé son offre en quatre éléments : Discovery Manager (découverte des constituantes matérielles et logicielles du data center), Compliance Manager (application de règles de conformité et audit), Configuration Manager (mise à jour et reconfiguration des serveurs) et Virtualization Manager (couche d'abstraction pour la gestion de serveurs virtuels ou physiques). Depuis le rachat d'Opsware par HP, qui avait d'ailleurs boosté le cours de Bourse de BladeLogic, ce dernier était l'un des derniers grands éditeurs indépendants sur ce créneau (on peut aussi citer PlateSpin, récemment repris par Novell, pour la partie gestion de la virtualisation). D'ailleurs, après le rachat d'Opsware, les spéculations allaient bon train chez les analystes sur qui rachèterait BladeLogic. Brian Babineau, analyste senior chez Enterprise Strategy Group, expliquait en juillet 2007 à nos confrères d'Infoworld que « BladeLogic pourrait continuer seul un certain temps et, s'il continue ainsi, quasiment fixer son prix ». Stephen Elliot enchérissait : « Si vous cherchez un produit et une base installée vraiment décents, BladeLogic est le seul autre éditeur indépendant sur le marché. » BMC fait une offre à près de 13 fois le CA de BladeLogic En revanche, ces analystes se trompaient sur le nom de l'acquéreur potentiel. Ils citaient Symantec (qui avait racheté Jareva, mais a depuis décidé d'abandonner ce créneau), CA, ou encore EMC. D'autres estimaient qu'IBM n'attendrait peut-être pas les bras croisés que HP le rattrape dans la gestion automatisée des infrastructures. Mais c'est donc finalement BMC qui devrait emporter le morceau : le conseil d'administration de BladeLogic appuie la transaction, qui devrait être finalisée d'ici quelques jours. BladeLogic a affiché en 2007 un chiffre d'affaires de 62,7 M$, réalisant une croissance de 105% (pour un déficit de 174 000 dollars, à comparer aux 8,7 M$ de pertes pour l'année 2006). BMC a enregistré de son côté plus d'un milliard et demi de dollars de chiffre d'affaires en 2007. L'offre de BMC, à 28 dollars l'action (soit un bonus de 18,6% par rapport au cours de clôture de vendredi soir), valorise BladeLogic à environ 800 M$. (...)
(17/03/2008 12:52:50)Passe d'armes entre Microsoft et VMWare sur le coût de la virtualisation
Microsoft considère que le prix est un élément de différentiation sur le marché de la virtualisation. C'est ce qu'a indiqué Barbara Gordon, vice-présidente de l'éditeur pour les ventes aux entreprises sur la zone EMEA, lors d'une interview accordée à notre confrère CIO UK, à l'occasion de la conférence European CIO Summit récemment organisée par l'éditeur. Une pique destinée à VMWare (et à ses tarifs confortables), qui réplique que là n'est pas le problème. « Je constate que les utilisateurs cherchent à réduire leurs coûts et que la virtualisation constitue une approche crédible, juge Barbara Gordon. Mais on peut aussi se demander si elle fournit aujourd'hui une option financièrement intéressante et si elle justifie l'investissement qu'elle implique. » L'hyperviseur de Microsoft sera là dans quelques mois Et Barbara Gordon d'estimer que les solutions actuellement proposées (sous-entendu par VMWare) sont vraiment chères. « Microsoft peut apporter de la valeur à ce marché », assène-t-elle. Interrogée sur le nombre de versions que proposera Hyper V, la vice-présidente a précisé que l'approche sera de proposer des solutions qui s'adapteront à l'environnement. « Nous aurons une offre très large. » L'éditeur de Redmond a livré en décembre dernier la version bêta de son hyperviseur Hyper V. La disponibilité définitive de l'offre interviendra dans le courant de cette année, mais probablement pas avant six mois. Microsoft a d'ailleurs essuyé des critiques sur l'absence d'Hyper V dans son offre Windows Server 2008 lancée en février. On s'attend à ce que l'arrivée d'Hyper V ait principalement un impact sur le coût des licences et du support. [[page]] L'offre sera commercialisée à la fois sous la forme d'un produit indépendant et dans une version intégrée aux différentes éditions de Windows Server 2008. VMware devra ajuster sa tarification, selon Gartner Pour le cabinet d'études Gartner, le chef de file de la virtualisation, VMware, a opéré sur ce marché sans rencontrer de concurrents pendant six ans. « Nous prévoyons que Microsoft s'octroie une part de marché très significative dans les entreprises de taille moyenne, puisque VMware est déjà très implanté dans les grandes entreprises. La concurrence est une bonne chose et l'arrivée de Microsoft va forcer VMware à ajuster sa tarification pour rester compétitif. » Interrogé sur ces assertions par CIO, Martin Niemer, responsable marketing senior chez VMware, ne voit aucun signe qui permettrait de penser « que les clients ne comprennent pas les enjeux de la virtualisation ». Pour lui, même si l'hyperviseur était fourni gratuitement, ce qui, rappelle-t-il « ne sera pas le cas de Microsoft Hyper V », le problème réside dans le nombre de machines virtuelles qu'il est possible de faire tourner sur un même serveur. « Si vous ne pouvez pas en faire fonctionner autant que vous voulez et que cela vous oblige à installer deux serveurs, indique Martin Niemer, cela multiplie votre coût par deux. C'est là que se situera la décision et cela dépend de ce que veulent faire les utilisateurs. » Il juge que l'intérêt de VMware est d'offrir une palette de solutions répondant à différentes situations. (...)
(13/03/2008 16:00:08)Virtualisation du poste client : Microsoft achète Kidaro
Microsoft annonce avoir mis la main sur la société israélienne Kidaro, spécialiste de la virtualisation des postes clients depuis 2004. Si l'éditeur garde secret le montant de la transaction, il s'épanche sur le rôle stratégique que Kidaro va jouer au sein du Desktop Optimization Pack*, cette boîte à outils de gestion du parc micros constituée à coup de rachats par Microsoft pour redonner un peu d'intérêt à la Software Assurance, son contrat spécial grands comptes. Moyennant un supplément de cotisation, Kidaro servira à faciliter le déploiement, l'utilisation et la gestion de postes clients virtualisés Virtual PC 2007. La plateforme Kidaro comprend un outil de cryptage, un pare-feu et des outils de reporting. La restriction à une catégorie limitée de clients de l'accès à Kidaro confirme la frilosité de Microsoft en matière de virtualisation. On vient d'ailleurs d'apprendre que la décision de Microsoft d'autoriser dans son contrat d'usage la virtualisation sur l'ensemble des versions de Vista devait moins à une "ouverture" d'ordre stratégique qu'à la crainte d'une procédure pour abus de position dominante du plus mauvais effet... En revanche, la limitation de Kidaro aux clients de la Software Assurance a de quoi réjouir Citrix. Tant que Microsoft maintiendra cette politique, il aura les coudées franches pour proposer ses outils de virtualisation du poste client sans craindre la concurrence du Géant. * Le Desktop Optimization Pack se compose d'Application Virtualization, de Ms Asset Inventory Service, de Ms Advanced Group Policy Management, de Ms Diagnostics and Recovery Tools et de Ms System Center Desktop Error Monitoring. (...)
(13/03/2008 10:44:23)La virtualisation moins en vogue que la consolidation, constate Forrester
Face à la virtualisation, toutes les applications ne sont pas également éligibles. C'est ce qui ressort d'un sondage conduit par Forrester Research auprès d'une soixantaine de responsables d'infrastructure américains en août dernier. Les applications qui arrivent en tête pour passer en environnement virtualisé sont les tâches de back-office, les serveurs de fichiers et de sites web. Viennent ensuite les portails, les logiciels de sécurité et les bases de données. Enfin, ce sont les serveurs de courriels et les serveurs d'e-commerce qui suscitent le plus de réticence. On notera, à propos des serveurs de courriels, qu'il s'agit d'outils comme Microsoft Exchange dont la réputation de voracité en terme de ressources a toujours été légendaire, et que celle-ci croît encore de version de version. Par ailleurs, Forrester Research insiste sur le fait qu'il ne faut pas confondre consolidation et virtualisation. Ainsi, les DSI peuvent trouver des gisements d'économie en centralisant sur quelques serveurs des instances de la même application disséminée jusque-là dans toute l'entreprise. 70% des responsables interrogés prévoient d'ailleurs de consolider leurs serveurs mail, mais seulement 20% considèrent la virtualisation pour ce type d'applicatif. On retrouve une répartition d'ordre similaire entre ceux qui s'orientent vers une politique active de consolidation (70%) et ceux qui incluent la virtualisation dans cette démarche (28%). (...)
(05/03/2008 17:24:06)Bull met VMware dans des configurations prêtes à l'emploi
Bull aborde de façon originale la virtualisation en proposant des configurations prêtes à l'usage, composées de deux serveurs préinstallés avec l'hyperviseur ESX 3.5 de VMware et un sous-système de stockage partagé. Ce dernier détail technique permet à Bull de qualifier de cluster ses Novascale VMBox. Ces configurations s'adressent à toutes les entreprises en quête d'optimisation de leur centre serveur. Elles auraient déjà convaincu des CHU (centres hospitaliers universitaires) et des collectivités locales, entités traditionnellement clientes de Bull. Dans un souci de continuité, Bull a fait le choix de serveurs en rack 2U et non de serveurs-lames. Philippe Thibult, responsable marketing produit de la ligne des serveurs Novascale, souligne la démarche d'intégration qui est celle de Bull. Sous une même enseigne, on peut trouver à la fois des systèmes entièrement préconfigurés, une capacité d'audit ("indispensable avant de lancer un projet de virtualisation", précise Philippe Thibult) et également des compétences pour réaliser la migration. (...)
(03/03/2008 18:16:49)Neterion et NextIO prônent de la virtualisation des entrées-sorties
C'est la ruée sur la virtualisation des entrées-sorties des serveurs. Deux sociétés, Neterion et NextIO, proposent à leur tour des solutions pour faire sauter le goulet des entrées-sorties qui étrangle les performances des systèmes virtualisés. Neterion, qui revendique être le premier à avoir un produit qui exploite Single Root IOV, une spécification de l'interface PCI Express 2.0, affirme que ses adaptateurs Ethernet 10 Gbits de la série X3100 mettent à disposition 17 entrées-sorties indépendantes capables de supporter une QoS pour améliorer encore les performances. Cette autoroute ouvre la possibilité de porter sur des VM des applications comme Microsoft Exchange, des SGBD comme SQL et, bien sûr des ERP comme celui de SAP. Jusqu'à maintenant, l'installation de ce type d'applicatifs dans des VM se heurtait au problème des entrées-sorties sous-dimensionnées. Neterion affirme que l'utilisation de ses adapteurs, qu'il appelle des VNIC (Virtualized Netword Interface Card), soulage la charge de l'hyperviseur. VMware propose toutefois cette approche avec NPIV (n-Port I/O virtualization). Chez NextIO, c'est l'interfaçage avec les sous-systèmes de stockage qui est visé. Soutenu par Dell et Fujitsu, NextIO travaille à la mise au point d'un switch de virtualisation sur un port. L'approche de NextIO ressemble à celle de Xsigo et de 3 Leaf Systems. (...)
(28/02/2008 16:12:17)Microsoft lance officiellement sa famille de serveurs 2008
Habitué aux lancements de produits tonitruants, Microsoft n'a pas dérogé à la règle en rassemblant développeurs et administrateurs systèmes pour un grand show à Los Angeles, à l'occasion du lancement de SQL Server 2008, Visual Studio 2008 et Windows Server 2008. Mais Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a bien pris soin de mettre en avant non pas ces produits eux-mêmes, mais leurs utilisateurs, qu'il a appelés « le coeur et l'âme de l'industrie informatique ». Le show était d'ailleurs sous-titrés « heroes happen here », et des vidéos un tantinet larmoyantes ont émaillé le lancement, afin de montrer comment des utilisateurs pouvaient devenir des héros en recourant aux technologies Microsoft. Côté produit, il faut préciser que ce lancement simultané est surtout symbolique : il s'agit de montrer que Microsoft franchit une étape dans l'informatique d'entreprise. Car ce lancement a aussi quelque chose de fictif, dans la mesure où seul l'atelier de développement Visual Studio est véritablement disponible. Il manque en effet à Windows Server une pièce essentielle, à l'heure où la virtualisation constitue un argument de poids, justement, dans la décision de déployer un système d'exploitation serveur : l'hyperviseur Hyper-V n'arrivera que dans quelques mois. Steve Ballmer lui-même a insisté sur l'importance de cet élément, en expliquant que Microsoft s'engageait à « démocratiser la virtualisation ». Pour le CEO de Microsoft, la virtualisation devrait pouvoir être adoptée « par 90 à 100% des serveurs, et non 5 à 7% comme actuellement ». Quant à l'évolution de la base de données, on ne l'attend que cet automne. Les détails des produits eux-mêmes ayant été largement dévoilés, les démonstrations sur scène étaient presque superflues. Surtout pour le public français, qui a eu droit à un lancement en avant-première lors des TechDays. Dans un entretien vidéo exclusif avec LeMondeInformatique.fr, Steve Ballmer estime que les ventes de Windows Server 2008 pourraient dépasser celles de Windows Server 2003 d'ici un an ou deux. (...)
(26/02/2008 17:35:55)VMworld 2008 : VMware complète sa caisse à outils d'administration
VMware enrichit de quatre logiciels sa batterie d'outils d'administration pour centres serveurs. L'annonce a eu lieu en ouverture de la manifestation VMworld Europe qui se déroule du 26 au 28 février à Cannes. Les trois outils se nomment Lab Manager, Lifecycle Manager, Stage Manager, et Site Recovery Manager. Lab Manager s'adresse aux développeurs et leur permet de réaliser le provisioning (réservation de ressources) des machines virtuelles en environnement 'multi-tier'. L'outil permet d'assurer ensuite le suivi des paramétrages. Stage Manager prend en charge les tâches d'administration, en particulier celles de test et d'intégration avant la mise en service. Lifecycle Manager automatise les tâches d'entretien et de mise à jour des VM jusqu'à leur suppression. Enfin, Site Recovery Manager, comme son nom l'indique, assure la centralisation et l'automatisation des plans de reprise d'activité. Attendu, ce train d'annonces vise à apporter aux adeptes de la virtualisation les outils indispensables pour éviter l'anarchie qui guette les centres serveurs envahis par des machines virtuelles et, partant, difficiles à administrer. VMware fait même miroiter l'idée que la virtualisation, dans le cas des PRA (plan de reprise d'activité), réduit les pré-requis nécessaires à ce genre d'opérations. Dispensé grâce à elle de la nécessite de disposer de configurations quasi-identiques, la virtualisation permettrait même de mettre les PRA les plus exigeants à portée des PME. (...)
(26/02/2008 17:14:06)VMworld 2008 : VMware peaufine la virtualisation du poste de travail
« Le bureau virtuel est le futur de la virtualisation. » Diane Greene, PDG de VMware, à l'occasion de VMworld 2008 à Cannes, annonce clairement la couleur. La virtualisation du poste de travail est bien un créneau sur lequel la société avance. Et elle compte bien développer ses offres existantes, Virtual Desktop infrastructure (VDI) et ACE sur ce marché très prometteur. IDC estime que le marché de la virtualisation du desktop devrait dépasser le milliard de dollars d'ici à 2011. Si Diane Greene juge cette analyse « agressive », la société poursuit ses expérimentations sur le segment. VMworld 2008 a ainsi été témoin de la démonstration en avant-première de deux technologies sur lesquelles VMware travaille. Côté utilisateur d'abord, Offline VDI permet de travailler sur son environnement de travail virtualisé depuis un serveur distant, en mode déconnecté. Une fois reconnecté, la machine virtuelle est copiée sur le serveur, assurant la synchronisation de l'ensemble. Côté administrateur, Scalable Virtual Image permet la configuration et le déploiement de plusieurs images de machines virtuelles à partir d'un master central. « Cela permet de gérer tout les desktops virtualisés à partir d'une unique image. De plus, il réduit les besoins en stockage », ajoute Jerry Chen, directeur d'Enterprise Desktop chez VMware. Dans la foulée, VMware a annoncé intégrer les technologies de Thinstall, société rachetée en début d'année et qui permet d'exécuter en toute sécurité une application sans installation, technologie devenue pour l'occasion Application Virtualization Technology. « La combinaison de toutes ces offres desktop constitue le futur du VDI, explique Jerry Chen. Les pays émergents peuvent par exemple être une cible ». (...)
(26/02/2008 16:08:57)VMworld 2008 : ouverture sur un air d'administration et d'embarqué
C'est dans le mythique auditorium Louis Lumière du palais des Festivals de Cannes, le Saint des Saints du cinéma français, que Diane Greene, PDG de VMware, a inauguré sa première conférence utilisateur sur le sol européen. Devant un parterre de plus de 4500 personnes, la PDG du n°1 de la virtualisation, qui a le vent en poupe, a accueilli à bras ouverts la centaine de partenaires stratégiques et technologiques qui occupent les stands, un peu plus bas dans l'enceinte. Il faut dire que l'éditeur au milliard de dollars a vu les choses en grand. En témoigne la Croisette qui pendant les trois jours de la manifestation s'habille aux couleurs de VMWorld 2008, fanions au vent. C'est ainsi tout un écosystème, ici européen, qu'a tenu à remercier Diane Greene au premier jour de la conférence, sans toutefois multiplier les annonces tonitruantes, qui avaient rythmé l'édition américaine, en septembre dernier. Au programme, l'annonce évidente, mais très attendue, de solutions de gestion automatisée et d'administration qui contrôleront l'ensemble du cycle de vie de la virtualisation. Quatre produits sont prévus : Site Recovery Manager, Lifecycle Manager, Lab Manager et enfin Stage Manager. Ainsi « nous couvrons l'intégralité du spectre du cycle de vie, du développement à la mise en production », a confié ensuite aux journalistes Karthik Rau, directeur marketing de VMware. Lab Manager couvrira la gestion des phases de tests et de développement jusqu'à la phase de mise en production en provisionnant des environnements de test. Stage Manager assure les phases entre la pré-production et la production pour faciliter le déploiement. LifeCycle Manager supervise le cycle de vie des machines virtuelles - et éviter leur multiplication et leur éparpillement. Enfin, Site Recovery Manager doit faciliter la récupération de système. [[page]] Après avoir rappelé que la jeune société, après dix ans d'existence, rime actuellement avec croissance fulgurante - « la longue route pour devenir un acteur majeur » nuance-t-elle toutefois -, Diane Green a sollicité l'aide de ses partenaires pour aborder la question, parfois cinglante, des performances et de la stabilité d'ESX Server. « Trois labs sont ouverts pour l'occasion à VMworld 2008 », indique-t-elle, histoire de rassurer. Et preuve à l'appui. Après l'exposé de BT sur le concept du datacenter virtuel pour démontrer la fiabilité du produit, c'est IBM, un des partenaires platinum de l'éditeur, qui est venu présenter « un record de performance » et pousser dans ses retranchements le concept de virtualisation d'applications : faire tourner un serveur Exchange sur huit machines virtuelles dédiées chacune à 2000 utilisateurs. Une prouesse selon le constructeur. L'hyperviseur embarqué en point d'orgue Au coeur du discours d'inauguration, trois annonces OEM autour de ESX Server 3i, l'hyperviseur embarqué, sont apparues. IBM, HP, puis Dell ont séparément décidé d'intégrer 3i par défaut dans certaines gammes de leur serveurs. Big Blue inaugure BlaceCenter Vmware ESX 3i, une lame optimisée pour la virtualisation, et présente le concept d'Instant virtualisation. Grosso modo, « on crée un marchine virtuelle, on configure et on déploie ». HP lance de son côté 3i for HP ProLiant. Le directeur marketing de Dell, en forme, est venu présenter l'intégration de l'hyperviseur embarqué à toute la gamme PowerEdge. « VMware everywhere », scande le slogan du Texan. Couplé à l'intégration en natif sur ses serveurs, Dell lance un service en ligne de téléchargement de VMware (VMwareNow) qui porte, selon lui, la virtualisation à un clic. « On télécharge, on installe et ça marche. » Une facilité d'accès couplée à une simplicité de configuration - du moins sur le papier -, qui pourrait pousser la virtualisation entre les mains des PME. Le thème de la sécurité devrait être abordé au deuxième jour de la conférence. (...)
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