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Virtualisation
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(26/02/2008 12:02:46)
Novell entre dans la gestion de la virtualisation en rachetant PlateSpin
L'administration de systèmes hétérogènes est un axe stratégique pour Novell, surtout à l'heure où la tendance est à la virtualisation. Si on en doutait encore, l'éditeur de la suite d'administration ZENworks vient d'en donner la preuve, en rachetant PlateSpin pour 205 M$, alors que cet éditeur n'a réalisé qu'une vingtaine de millions de dollars de chiffre d'affaires en 2007. L'offre de PlateSpin repose sur deux produits, PowerRecon, qui établit une sorte d'inventaire des applications et des serveurs d'un datacenter, et mesure la consommation des ressources ; et PowerConvert, qui permet de distribuer les charges applicatives sur des serveurs physiques ou virtuels. Ces fonctions d'administration de serveurs virtualisés visent à rendre les datacenters plus dynamiques : il s'agit d'optimiser les ressources matérielles dévolues à des charges applicatives en fonction de l'évolution de ces dernières, au cours de la journée, de la semaine, du mois... Citrix a théorisé la chose avec son concept de 'delivery center', mais il est clair que l'administration est désormais le cheval de bataille des autres acteurs de la virtualisation et du grid, comme VMWare, Microsoft ou Platform Computing. En s'offrant un acteur agnostique (la transaction devrait être finalisée fin avril), Novell gagne une place stratégique dans cette arène. (...)
(26/02/2008 10:15:02)Windows Server 2008 pourrait faire basculer les entreprises vers le 64 bits
Le lancement d'une nouvelle famille de serveurs Windows cette semaine va déclencher un vaste mouvement d'adoption des versions 64 bits de Windows Server, estiment les analystes. Steve Ballmer, le directeur général de Microsoft, va lancer mercredi des mises à jour majeures de ses produits, le système d'exploitation Windows Server 2008 - dont la sortie est prévue pour la semaine prochaine - et la base de données SQL Server 2008, attendue pour le troisième trimestre, après des retards. Le besoin de puissance pour la virtualisation Comme leurs versions précédentes, ces nouveaux produits seront fournis à la fois en versions 32 bits et 64 bits. Mais plusieurs facteurs font cette fois-ci que plus de clients devraient choisir les versions 64 bits. On citera la disponibilité des serveurs x86 avec des jeux d'instructions 64 bits et la tendance à la consolidation et à la virtualisation. Le basculement aura lieu graduellement étant donné que la plupart des entreprises ne devraient pas déployer ces produits à grande échelle avant 2009. Mais cela marquera une étape de maturité significative pour les produits serveurs de Microsoft arrivant après les Unix 64 bits de Sun, IBM ou de HP dans les centres informatiques. Tirer le meilleur parti des serveurs 64 bits « Cela va faire pencher la balance vers plus de déploiements en 64 bits », relève John Enck, vice-président et analyste chez Gartner. L'évolution sera amenée par le désir des clients de tirer le meilleur parti de leurs serveurs 64 bits, « ce qui signifie utiliser un système d'exploitation 64 bits ». [[page]]De plus, Microsoft a déclaré qu'il s'agirait de la dernière grande mise à jour de Windows Server proposée à la fois en 32 et 64 bits. Assumer les futures applications A l'ère de la virtualisation, « N'importe qui effectuant un déploiement serait fou de ne pas au moins considérer quand et où, un système d'exploitation 64 bits fera l'affaire », déclare quant à lui Al Gillen, vice-président d'IDC. « Il s'agit de se donner les moyens d'assumer les futures applications sur vos serveurs avant qu'ils ne soient retirés dans cinq ans ». IDC est même un fervent partisan de Windows Server 64 bits, appelant le manque d'enthousiasme des entreprises l'« une des plus grandes opportunités ratées ». A la fin de 2007, IDC estime qu'à peine 10% des clients Windows Server utilisaient la version 64 bits de Windows Server 2003. Fin 2010, cette valeur devrait atteindre 50%, grâce à Windows Server 2008. En 2010, 75% des licences vendues devraient être des versions 64 bits de Windows. (...)
(22/02/2008 16:42:12)La virtualisation chamboule aussi les pratiques de sauvegarde
Face un serveur physique qui fait tourner une petite dizaine de serveurs virtuels, les approches traditionnelles de sauvegarde montrent leurs limites. La démarche qui consiste à réaliser une sauvegarde pour un serveur ne fonctionne plus lorsqu'une machine héberge plusieurs environnements qui peuvent différer du tout au tout. En milieu virtuel encore en phase de maturation, on en est aussi à la phase de tâtonnement sur les sauvegardes. Selon le Gartner Group, trois approches valent la peine que l'on s'y intéresse. La plus fréquente est d'installer un agent par machine virtuelle (VM) et de s'appuyer ensuite sur l'arsenal traditionnel utilisé pour les sauvegardes. La deuxième consiste à utiliser des images des VM prises au quotidien ou des snapshots (instantanés) des volumes. La troisième fait appel à une fonctionnalité intégrée à VMware, VCB (VMware consolidated backup), qui procède à des sauvegardes par incrément régulier. La méthode par agent se heurte à des limites de volume et de licences. Réaliser une sauvegarde complète par VM implique la gestion de volumes énormes et réclame souvent une licence logicielle par VM. De plus, cette méthode manque de souplesse. Elle prive les administrateurs de granularité dans leur démarche. Mirroring intelligent en poupe Pour l'avenir, ce sont les politiques de mirroring intelligent qui semblent avoir le vent en poupe. L'idée consiste à établir un miroir des VM et à y appliquer des algorithmes de déduplication afin de gagner de l'espace. C'est ainsi que procède la DSI en charge d'un laboratoire de recherche biologique d'UCLA. Elle utilise pour ce faire SnapShot et SnapMirror de Network Appliance. Il reste aussi la solution de mettre en place des outils de sauvegarde permanents. Cette pratique, rare en environnement Windows, tant par manque d'utilité pratique que pour des raisons de limitations techniques de Windows Server, bénéficie d'un regain d'intérêt dès lors que l'on envisage de travailler sur une configuration qui fait tourner l'ensemble des applications d'un site. Il convient alors de se tourner vers des outils comme vRanger de Vizioncore ou esXpress de PDH Technologies. Quel que soit le choix ou le panachage choisi, le Gartner Group souligne bien que la virtualisation ajoute aussi, dans le cas de la sauvegarde, une dose de complexité supplémentaire. (...)
(22/02/2008 15:17:15)Virtualisation : Stratus commence avec VMware
Stratus, spécialiste des systèmes à tolérance de pannes, annonce qu'il a développé un driver pour supporter l'hyperviseur ESX de VMware. Cette société, qui a choisi le créneau de la tolérance de pannes avec des systèmes à base de composants standards (Xen, Linux, Windows Server), supportait déjà GSX. Agnostique, Stratus travaille au développement de drivers à tolérance de pannes pour d'autres hyperviseur, dont Hyper-V de Microsoft et Virtuozzo de Parallel. (...)
(21/02/2008 20:17:03)Alcatel Lucent ouvre les portes de son datacenter ultra-sécurisé de Marcoussis
Alcatel Lucent compte commercialiser des ressources systèmes dans son centre serveur haut de gamme de Marcoussis. Ce projet fait partie des retombées positives d'un plan sur trois ans pour consolider l'ensemble des serveurs du groupe. D'ici à 2009, Alcatel Lucent compte ramener à six ses centres serveurs de par le monde - contre 25 avant la fusion - et faire disparaître 125 salles serveurs (moins de 100 machines) elles aussi disséminées un peu partout. A cette concentration géographique s'ajoute une réduction du nombre de systèmes. D'environ 10 000, ils ne seront plus que 6 000 à 7 000 au final. Parmi les six centres serveurs, dont trois se trouveront en Asie, figurent deux centres dit Tier 4, ou classe 4 (voir encadré), autrement dit haut de gamme, dont la conception permet d'assurer un taux de disponibilité de 99,995%. L'un se trouve à Chicago et l'autre, le plus moderne, en région parisienne, à Marcoussis. Ce site se compose de deux immeubles de 2000 m² chacun avec, à une distance de trois kilomètres, un site miroir. Le tout est, bien sûr, doté d'équipements réseau maison Omniswitch et c'est HP qui a été choisi comme partenaire privilégié pour participer à la conception de l'ensemble. Alcatel Lucent concentre à Marcoussis sur 850 serveurs ses applications critiques comme celles concernant la finance et son PGI central qui rayonne sur l'ensemble du groupe. Toutefois, il ne compte utiliser pour ses besoins propres qu'un des deux immeubles construits suivant un cahier des charges très exigeant. La rareté de ce type d'équipement en Europe laisse espérer une forte demande pour héberger les ressources d'autres entreprises. Il est d'ailleurs d'ores et déjà prévu d'étendre le site et son miroir. En attendant, Alcatel Lucent affirme que le haut niveau de technicité de son centre lui permettra de réduire de 25% son TCO (total cost of ownership, coût total de possession) d'ici à fin 2008 par rapport à un contexte caractérisé par la dissémination de ses serveurs. (...)
(20/02/2008 10:06:55)Pour IDC, l'informatique verte est d'abord une réalité économique
Dans une étude réalisée en janvier, et co-financée par Sun, IDC estime que l'informatique verte va s'imposer en entreprise non pas par conscience écologique (seuls 23,6 % des utilisateurs considèrent que c'est une obligation morale de considérer la composante écologique d'une décision IT), mais par simple réalisme économique. En effet, selon le cabinet d'études, les entreprises françaises auront 2 millions de serveurs en 2010 en production, soit une augmentation de 700 % du parc en 15 ans. Or à l'heure actuelle, ces serveurs sont sous-utilisés (à 10 % de leurs capacités en moyenne), coûtent autant en refroidissement qu'en utilisation pure et huit fois plus en maintenance qu'à l'achat. Il faut dire qu'avec un âge moyen de 12 ans, les salles de serveurs françaises coûtent chères à entretenir (environ 7000 € du mètre carré par an et 13 % du budget part dans l'électricité). C'est ce coût selon IDC qui force les entreprises à adopter des stratégies « vertes » comme la consolidation physique des serveurs, les processeurs multi-coeurs ou la virtualisation. 36 % des entreprises utilisent désormais la virtualisation dans leurs salles de serveurs et en moyenne 7 % du parc installé est virtualisé, dont 69 % des serveurs achetés lors des 12 derniers mois. (...)
(13/02/2008 15:47:54)NetApp sauvegarde instantanément les VM sous VMware
Avec SnapManager pour la Virtual Infrastructure de VMware, NetApp assure que ses utilisateurs pourront réaliser des "snapshots", sauvegarder et restaurer les machines virtuelles sous ESX. Par ailleurs, toutes les autres versions de SnapManager (pour Exchange, SQL, Oracle etc) sont désormais capables de fonctionner en environnement hypervisé. Network Appliance annonce par ailleurs une mise à jour de son OS OnTap 7G qui améliore les possibilités de déduplication et de provisionnement sur l'ensemble de ses lignes R200 et FAS. La disponibilité générale de ces annonces se situe vers le mois d'avril. (...)
(13/02/2008 14:15:12)Sun rachète VirtualBox, le "dernier hyperviseur OpenSource"
Innotek, éditeur allemand de VirtualBox, technologie de virtualisation sur architecture x86, est en phase de rachat par Sun. Innotek, qui revendiquait jusque-là le titre de "dernière solution de virtualisation Open Source de niveau professionnelle", venait juste d'annoncer la version bêta de VirtualBox pour OpenSolaris. Toutefois, les développeurs d'Innotek gardaient secret le code d'éléments clés pour une utilisation en entreprise : l'affichage à distance d'une VM, la gestion d'un port USB et d'un accès ISCSI virtuel. VirtualBox aurait été téléchargé 4 millions de fois. L'hyperviseur de VirtualBox fait partie de ceux qui tournent au-dessus d'un système d'exploitation. En l'occurrence, il s'agit de Windows, de Linux, de Mac OS X et d'OpenSolaris. L'hyperviseur peut accueillir tous les Windows (de 3.x à Vista, en passant par NT 4.0 et 2000) et d'autres OS tels Linux (2.4 et 2.6), OpenBSD, OS/2 et Netware. Sun présente ce rachat comme devant renforcer la position de son offre xVM sur les postes clients. Le rachat de l'Allemand Innotek par Sun fait suite à ceux de l'Anglais Propero et du Suisse Dunes Technologies par VMware l'an dernier. Les développeurs européens contribuent ainsi à leur manière au développement de la virtualisation. (...)
(12/02/2008 17:55:35)Citrix adopte la Xen attitude
Après plus d'une décennie passée dans l'ombre de Microsoft à évoluer sur le marché de l'affichage distant, Citrix fait une apparition remarquée sous le soleil resplendissant de la virtualisation. Fort du rachat de la technologie Xen en août dernier, l'éditeur commercialise une logithèque entièrement revue à la sauce VM (virtual machine). A sa décharge, il est aujourd'hui un des rares à pouvoir revendiquer le mot de virtualisation en commettant le moins d'abus de langage. C'est ainsi que Presentation Server devient Xen App et prend désormais en charge la "virtualisation" des applications, que celle des serveurs est assurée par XenServer 4.1 et que XenDesktop assure la virtualisation complète des postes de travail. En clé de voûte marketing au nouveau Citrix, on trouve le concept de "delivery center". Dans l'esprit de ses promoteurs, ce terme, qui remplace celui de "data center" permet d'insister sur les capacités de pilotage dynamique qu'ils revendiquent avec l'outil Workflow Studio. Un gestionnaire de processus qui permet de déclencher des actions (déplacement d'une VM, par exemple) en fonction de certains événements (modification de la charge, etc.). Sur le papier, Citrix est aujourd'hui l'acteur le mieux placé sur les différents aspects de la virtualisation.[[page]] Il affiche un spectre plus large que celui de VMware. S'ajoute à cette exhaustivité, son étroite collaboration avec Microsoft. Ce dernier, en position de challenger, utilise Citrix comme propulseur. Celui-ci oeuvre à pouvoir commercialiser son offre avec, indifféremment, son hyperviseur Xen ou Hyper-V, celui de Microsoft. Les deux hyperviseurs supporteront le même format (VHD, Virtual Hard Disk) et pourront être administrés par les outils de Citrix. De là à se demander si Microsoft, qui se perd en amabilités sur Citrix, ne va pas commercialiser sous son nom une partie de l'offre Citrix, il n'y a qu'un pas. On notera d'ailleurs que Citrix a calé l'agenda de ses annonces sur celui de Microsoft : l'éditeur a attendu l'annonce de Windows Server 2008, faite aujourd'hui par Microsoft France sur les TechDays avec une quinzaine de jours d'avance sur le reste du monde, pour effectuer sa propre annonce. (...)
(11/02/2008 18:25:53)TechDays : Microsoft France expose sa stratégie de virtualisation
Sous l'intitulé alléchant « le futur de la virtualisation », Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft France, a en fait donné un cours magistral d'une heure sur la virtualisation. Les TechDays, qui se tiennent à Paris jusqu'à mercredi soir, sont l'occasion de s'informer sur les nouvelles technologies de Microsoft. En l'occurrence, Bernard Ourghanlian a largement exposé les concepts de l'hyperviseur de Microsoft Hyper-V et de l'outil de virtualisation d'applications Softgrid, racheté en 2006. En évitant soigneusement de préciser les réalisations de la concurrence en la matière. Pour Bernard Ourghanlian, le futur de la virtualisation, ce sont les datacenters dynamiques. Il partage en cela la même vision que Citrix, qui doit annoncer demain sa stratégie de gestion dynamique des datacenters, suite à l'intégration des technologies Xen. Par gestion dynamique, on entend, comme l'a cité en exemple Bernard Ourghanlian, la capacité de réallouer les capacités de machines, la nuit, en déployant dessus des machines virtuelles. Ce qui se pratique déjà, a-t-il omis de préciser, chez d'autres : Platform Computing l'a déjà mis en oeuvre, en s'appuyant d'ailleurs sur la technologie Xen. De même, lorsque Bernard Ourghanlian explique que Systems Center peut gérer tout type de virtualisation (du poste client, des applications, des serveurs, etc.), cela rappelle grandement ce que propose Citrix - partenaire privilégié de Microsoft. La virtualisation du poste de travail : oui, mais... Bernard Ourghanlian a également ouvert un chapitre savoureux sur la virtualisation du poste de travail - là non plus sans s'attarder sur ce que font VMWare ou Citrix - dont le principe est d'exécuter le plus possible de logiciels sur un serveur. La virtualisation du poste de travail est un axe de travail intéressant, a expliqué Bernard Ourghanlian, dans la mesure où cela centralise et donc simplifie la gestion du matériel, et où la fiabilité est augmentée, les clients légers étant moins sujets aux avaries. Mais, a-t-il aussitôt précisé, « la réduction du TCO [coût total d'exploitation] n'est pas si évidente que cela », car les serveurs multiprocesseurs coûtent plus cher que les PC, et il faut en outre patcher toutes les machines virtuelles lorsqu'une mise à jour est nécessaire. Chez Microsoft, on ne jette pas comme cela le PC avec l'eau du bain. Sans compter que le protocole RDP n'est pas le plus adapté au multimédia et à des interfaces comme Aero, a encore précisé Bernard Ourghanlian, renvoyant ainsi dans ses 22 mètres la virtualisation des postes de travail, sans évoquer le fait que des protocoles comme ICA sont moins limités. Côté virtualisation des serveurs, Hyper-V est toujours censé sortir environ 180 jours après la sortie de Windows Server 2008. Mais sachant qu'il est déjà en RC1 (release candidate, qui précède la version définitive RTM), on peut déduire, a expliqué Bernard Ourghanlian, que le produit devrait être disponible plus rapidement. (...)
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