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Virtualisation

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(08/02/2008 17:02:01)

Microsoft attend 10 000 personnes à ses TechDays

Les TechDays organisés par Microsoft France à Paris de lundi à mercredi prochains s'annoncent encore plus imposants que ceux de 2007. Avec plus de 15 000 inscrits ce vendredi, les organisateurs attendent plus de 10 000 visiteurs uniques sur les trois jours, en se référant au succès de l'an dernier. Marc Jalabert, responsable de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France, cite ainsi les statistiques de la première édition : « 8 000 visiteurs uniques pour 13 000 inscrits ». Le nombre de sessions passe à près de 300, dont près de la moitié seront animées par des experts travaillant pour des laboratoires ou des partenaires de Microsoft. Cette deuxième édition de l'événement, qui fait jeu égal avec les conférences européennes - payantes et en anglais - reste gratuite pour les visiteurs. Selon Marc Jalabert, le financement vient pour la moitié environ des partenaires, dont le nombre a été augmenté. Il y en a une centaine cette année, à tel point que l'événement tient désormais salon sur deux étages du Palais des congrès de la Porte Maillot. Parmi les partenaires, on note la présence de « coopétiteurs » comme Sun, IBM ou EMC, et dans l'Open Source celle de Talend, récemment admis dans le laboratoire Open Source de Microsoft, mais pas celle de JBoss, pourtant lié à Microsoft par un accord spécifique - dont on voit décidément mal la concrétisation sur le terrain. Fait étonnant pour un événement parisien, d'autant que toutes les sessions seront disponibles en vidéo, « 35 à 40% des inscrits viennent de province », précise Marc Jalabert. Toutefois, même si la tournée en province des DevDays n'existe plus, Marc Jalabert promet qu'il y aura « des sessions TechNet et MSDN avec des partenaires dans cinq ou six grandes villes ». (...)

(30/01/2008 17:58:09)

IBM porte les applications Linux sur ses serveurs Unix

IBM vient de compléter son hyperviseur Power VM (anciennement Advanced Power Virtualisation) dédié à ses processeurs Power en y ajoutant une fonction pour faire tourner n'importe quelle application Linux sur ses systèmes Unix. Grâce à cette fonction, dite Lx86, si l'hyperviseur PowerVM est installé sur le serveur, dès qu'il détecte une application Linux, il crée automatiquement une machine virtuelle Linux et lance l'application. Pour Scott Handy, vice-président Marketing et Stratégies des Systèmes Power chez IBM, « Lx86 est une façon de dire : Quoique vous ayez, cela tourne ! » Ce sera, selon lui, un argument mettant en avant une consolidation des serveurs Linux et Unix en entreprise. Cette fonction Lx86 sera incluse dans toutes les éditions de Power VM. Y compris Power VM Express, destinée au marché des PME. Celle-ci permettra de créer jusqu'à trois partitions différentes sur un même serveur, et donnera à l'utilisateur un contrôle complet des cycles d'utilisation des processeurs pour une meilleure gestion de la performance. Elle devrait être commercialisée d'ici quelques semaines à partir de 40 $ par coeur. (...)

(28/01/2008 15:07:22)

Citrix clôt 2007 en beauté

Citrix finit en beauté une excellente année. Poussée par l'engouement autour des technologies de virtualisation - qu'il s'agisse de celle des serveurs ou de celle du poste client, Citrix a été une des sociétés phares de 2007. A la suite de son rachat de Xen Source et de l'intégration de Xen, la technologie de virtualisation Open Source des serveurs, à son offre, la société vient de s'offrir le luxe de devenir le principal partenaire de Microsoft dans le cadre de sa contre-offensive pour tenter de supplanter VMware comme référence de la virtualisation. (...)

(28/01/2008 10:59:29)

Virtualisation : Quest prend le contrôle de Vizioncore

Quest, bien connu des administrateurs systèmes, a mis la main sur le reste du capital de Vizioncore, spécialiste des PRA en environnement virtuel avec vRanger Pro et, de manière plus générale, de l'administration des infrastructures virtualisées avec, entre autres produits, vCharter qui permet de scruter ce qui se passe au sein même d'une machine virtuelle. Quest détenait une participation dans Vizioncore depuis 2005 et contrôlait la majorité de son capital depuis l'été dernier. Cette acquisition s'inscrit dans une vaste opération de croissance externe. L'an dernier, Quest avait mis la main sur Invirtus, qui s'intéresse à l'optimisation, à la conversion et à l'automatisation des MV (machines virtuelles), ainsi que sur Provision Networks qui est centré sur les clients virtuels et la gestion des postes clients. Quest se dote de toute évidence d'une logithèque spéciale pour la virtualisation. La responsabilité de cette activité a été confiée à Matt Dircks. Quant à Scott Herold, il a été nommé architecte en chef de cette activité. Scott Herold a co-publié un ouvrage sur VMwareESX Server. Pragmatique, Quest s'étoffe pour répondre à la demande de l'écosystème VMware, mais n'en garde pas moins un oeil sur celui qui se constitue autour de Microsoft. L'éditeur est d'ailleurs très actif sur les outils d'administration pour les infrastructures Microsoft et il fut parmi les premiers, il y a presque un an, à supporter son VHD (Virtual Hard Disk, des machines virtuelles préconfigurées). (...)

(23/01/2008 16:34:54)

Nevervail assure la continuité de service pour VMware

Nerverfail a lancé hier le premier plug-in pour VMware Virtual Center, la console d'administration des machines virtuelles VMware, pour assurer la continuité de service. En effet, en utilisant deux outils de Virtual Center - VMotion pour transférer à chaud des machines virtuelles entre serveurs physiques et VMware DRS pour allouer des ressources dynamiques entre machine virtuelle - la seule faille du système reste le Virtual Center lui-même. Avec ce plug-in, en cas de panne, Neverfail transfère tout le contenu de Virtual Center sur un serveur secondaire pour maintenir l'activité jusqu'à la fin de l'alerte sur le serveur principal. (...)

(23/01/2008 10:26:48)

Microsoft signe un accord clé avec Citrix

Faute d'avoir un hyperviseur à proposer, Microsoft peaufine ses positions en vue de l'affrontement qui se profile avec VMware. Le train d'annonces du jour part dans tous les azimuts. Du rachat d'une jeune pousse spécialiste de la virtualisation du poste client à un accord d'interopérabilité poussée entre Microsoft et Citrix en passant par des ajustements de licence et de tarifs. - Un accord d'interopérabilité renforcée avec Citrix fait de ce dernier le pivot de la stratégie de reconquête de Microsoft. L'idée est d'utiliser l'offre de virtualisation de Citrix - qui intègre désormais Xen - et d'en tirer des synergies pour imposer Windows Server 2008 et ses outils périphériques (l'hyperviseur Hyper-V et la suite d'administration System Center). Citrix travaille aussi à la possibilité de faire passer une machine virtuelle de son hyperviseur Xen à Hyper-V, celui que Microsoft promet de livrer dans six mois. Dans l'autre sens, une prochaine version de System Center Virtual Machine Manager (SCVMM) administrera Xen. Un peu comme si Microsoft se créait sa propre hétérogénéité pour mieux l'administrer. - L'achat de Calista Technologies. Cette jeune pousse détiendrait une technologie graphique qui permettrait la mise en place de postes clients virtuels en environnement multimédia. Regarder une vidéo ou écouter du son à partir d'un client léger est encore aujourd'hui difficile sous Windows TS. - Microsoft consent à toutes les versions de Vista le droit de fonctionner en environnement virtuel. Auparavant, cette possibilité était réservée à la version Enterprise de Vista que seuls les abonnés à l'onéreuse Software Assurance pouvaient acquérir. - Le prix de "Windows Vista Enterprise Centralized Desktop" tombe à 23$ contre 78$ auparavant, voire de plus de 100$ il y a un an. Cette licence permet de faire tourner Vista sur un serveur. Chez Forrester, on estime que VMware ne sera pas menacé par la montée en puissance de Microsoft dans le domaine de la virtualisation avant deux ans. On peut d'ailleurs interpréter les annonces du jour de Microsoft de deux façons opposées. D'un côté, l'éditeur continue de tâtonner pour trouver la meilleure riposte à VMware, de l'autre, il s'attache surtout à occuper le terrain marketing, en occupant la scène médiatique. Microsoft a pris la peine de diffuser par mail sa "vision et sa stratégie pour accélérer l'adoption de la virtualisation" à 300 000 personnes. La dernière fois que Microsoft a supplanté un numéro un sur un marché remonte à 1997, lorsqu'Internet Explorer avait doublé Netscape Navigator. (...)

(18/01/2008 16:51:17)

Symantec jette l'éponge sur la virtualisation des infrastructures

Symantec s'est discrètement séparé de son entité en charge de la gestion des performances applicatives. En fait, il s'agit de ce qu'étaient devenus des éditeurs Precise et Jareva à la suite de leur rachat par Veritas en 2002, soit trois ans avant que ce dernier ne soit à son tour absorbé par Symantec en 2005. Cette vente à un fond d'investissement montre que Symantec jette l'éponge sur un marché pourtant porteur, celui de la virtualisation. Derrière ce terme, très en vogue au point de perdre un peu d'acuité, on trouve bien les savoir-faire conjugués de Precise et de Jareva qui visaient la surveillance des performances applicatives, la disponibilité matérielle et réseau ainsi que l'automatisation des actions correctives sur l'ensemble du système d'information. Ce qui s'appelait hier "utility computing" se nomme aujourd'hui pour des raisons de mode, virtualisation de l'infrastructure. Veritas avait fait montre de perspicacité en 2002 en reprenant à la fois un spécialiste de la gestion des infrastructures (Precise) et un autre de l'allocation de ressources serveur (Jareva). A l'époque, il ne manquait plus qu'une compétence en matière de virtualisation des serveurs eux-mêmes pour parfaire le tableau stratégique dessiné par Veritas. Mais c'est EMC qui a mis la main sur VMware, Veritas/Symantec devant se contenter d'Ajasent. Ce dernier, spécialiste de la virtualisation sur serveur uniquement Sun, n'est jamais parvenu à étendre sa compétence là où elle importe le plus : sur serveurs x64 sous Windows Server ou Linux. Aujourd'hui, la vente de Precise/Jareva signe l'arrêt officiel d'une tentative de diversification avortée. (...)

(16/01/2008 16:38:04)

VMware achète Thinstall, spécialiste du client ultra-léger

VMware vient de mettre la main sur Thinstall, un éditeur qui a mis au point une façon originale de déporter les applications personnelles. Son produit Virtualization Suite permet de créer un exécutable/runtime d'une application qui tourne sur un poste sans que l'installation d'un client soit nécessaire. C'est un pas plus loin que ce que peut faire, par exemple, SoftGrid (racheté par Microsoft) qui nécessite l'installation d'un client. ThinInstall a porté ses efforts de développements sur les applications bureautiques de Microsoft. Cela a eu au moins l'heur de plaire à VMware. Thinstall travaillait depuis la mi-2006 en partenariat avec Citrix. Ces relations devraient sans doute changer d'esprit suite au rachat par VMware qui cherche de toute évidence à être de plus en plus en concurrence directe avec Citrix au niveau de la virtualisation du poste client. (...)

(15/01/2008 11:26:42)

Une suite pour dégraisser les machines virtuelles

Partant du constat que les administrateurs de salles de serveurs « pistent leurs machines virtuelles en utilisant des feuilles de calcul Excel », John Suit, directeur technique de Fortisphere, a présenté hier une suite de logiciels dédiée à l'administration des machines virtuelles. Baptisée Virtual Essentials, elle se compose de deux parties. La première, Insight, suit et administre les machines virtuelles dès leur création et tout au long de leur cycle de vie. Et ce quel que soit l'hyperviseur employé (VMware, Xen Server, ou Hyper-V). La deuxième, Foresight, s'applique à faire respecter les règles d'administration au coeur de chaque machine virtuelle pour éviter les redondances d'informations inutiles ou, au contraire, s'assurer que toutes figurent à la bonne place. Si aucun prix n'est communiqué officiellement, la suite devrait avoisiner les 10 000 $, maintenance comprise. (...)

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