Flux RSS

Virtualisation

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

557 documents trouvés, affichage des résultats 471 à 480.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(11/09/2007 18:15:52)

VMWorld 2007 : La virtualisation passe dans le monde réel

En 2008, la ruée sur la virtualisation sera bien réelle. Jamais la manifestation VMWorld n'aura été l'occasion d'autant d'annonces et d'une telle portée. En ce temps de Web 2.0, il est remarquable de réussir à attirer près de 15 000 personnes pour une manifestation professionnelle aussi ciblée. Même à San Francisco. VMWare, leader d'un marché promis à s'étendre à tout l'écosystème x64, vit ses derniers mois paisibles après une introduction en bourse délirante qui valorise l'entreprise à plus de 20 Md$ et place à son conseil d'administration, outre EMC, Intel et Cisco. A compter de début 2008, tous les fournisseurs vont tenter de glisser leurs produits dans la 'top list' de ceux qui vont accompagner la bascule des serveurs x64 vers la virtualisation de leurs systèmes d'exploitation (Windows et Linux) et de leurs applications. Avec la virtualisation, on optimise la ressource système, dans la mesure où les serveurs deviennent 'virtuels', non liés à une machine physique. Cela permet d'accroître la performance globale en réalisant de conséquentes économies en matière d'équipements. On parle d'une réduction des équipements dans un rapport de un à quatre. Revers de la médaille : toutes les tâches quotidiennes deviennent plus complexes : - Les problèmes d'administration se posent avec encore plus d'acuité. La souplesse des environnements virtuels a pour corollaire la nécessité d'un monitoring plus fin et d'outils de sauvegarde, de récupération et de reprise plus performants. - Les environnements virtuels ont leurs propres failles de sécurité. - La virtualisation concerne aussi les entrées-sorties et le stockage. Ce serait même là où l'on pourrait réaliser le plus d'économies et d'optimisations - en particulier en matière de SAN. Mais ces domaines sont encore moins matures que celui de la virtualisation des serveurs. VMWorld 2007 est la dernière manifestation avant le passage dans le monde réel de la virtualisation des systèmes x64. L'an prochain, Microsoft aura commercialisé depuis plusieurs mois son propre hyperviseur et Citrix aura eu le temps d'intégrer celui de Xen à ses offres. Pour ne parler que d'eux. Rappelons tout de même que tous les grands systèmes d'exploitation qui ne sont pas nés dans le monde des architectures x86 disposent de fonctionnalités de virtualisation depuis belle lurette (z/OS, i/OS, Solaris, HP-UX et tous les Unix et aussi OpenVMS). (...)

(11/09/2007 10:34:42)

L'embarqué, nouvel eldorado de la virtualisation

A quelques heures de l'ouverture de VMWorld 2007, les éditeurs et constructeurs polissent leur stratégie autour de la virtualisation. Avec à l'esprit une sérieuse problématique qui doit sceller l'avenir d'une technologie très en vogue : Ne pas freiner les ventes de serveurs. Pour éviter cela - et lutter contre la concurrence des éditeurs d'OS (Microsoft et certains distributeurs commerciaux de Linux) qui incluent des capacités de virtualisation dans leurs produits, les spécialistes de la virtualisation vont encore plus bas et veulent lier leurs outils au matériel. Après XenSource et son XenSource Express OEM, c'est au tour de VMWare de franchir le pas, avec ESX Server 3i, un hyperviseur ultraléger installé sur une mémoire flash au coeur du serveur et capable d'assurer le déploiement d'une flotte de machines virtuelles « en quelques minutes », suivant la société. L'usage en est très simple. Martin Niemer, responsable produit senior de VMWare, explique : « vous allumer le serveur, et l'hyperviseur se lance automatiquement. Vous avez juste besoin d'entrer un nom d'utilisateur et un mot de passe, et même cette étape peut être automatisée. » Cette solution est déjà utilisée par IBM, pour son System x3950 attendu pour la fin de l'année. HP et Dell devraient également l'intégrer dans leurs gammes. Et Rackable Systems s'appuie lui sur VMWare Infrastructure 3 pour proposer à ses clients une gamme de serveurs x86 en rack déjà prêts pour la virtualisation. Ils sont disponibles immédiatement mais Rackable n'a pas communiqué de prix public. Pour Gordon Haff, analyste d'Illuminata, ce mouvement vers l'embarqué est logique. « Avec la virtualisation, où vous pouvez faire tourner n'importe quel système d'exploitation par dessus, il semble plus logique d'en faire une couche effective juste au dessus du serveur. Dans ce cas, pourquoi ne pas la commercialiser avec le serveur ? » (...)

(10/09/2007 11:54:56)

VMWare lance ESX Server 3i, hyperviseur embarqué

VMWare, champion de la virtualisation, se lance dans l'hyperviseur préchargé. Les constructeurs devraient avoir embarqué en mémoire flash cette version 3i d' ESX Server sur leurs serveurs d'ici le quatrième trimestre. Par rapport à ESX Server 3, ESX Server 3i a subi une impressionnante cure d'amaigrissement. Le volume de code est passé de 2 Go à ... 32 Mo. VMWare a recréé un noyau hyperviseur sur lequel viennent se greffer toutes les fonctionnalités d' Infrastructure 3, sa suite d'outils d'administration. L'arrivée de cette version 3i préfigure probablement un nettoyage de l'offre de VMWare qui compte pas moins de trois hyperviseurs différents (VMWare Serveur, ESX 3 et 3i). Même si l'annonce de VMWare suit celle de XenSource, il convient de souligner que c'est bien le second qui court après le premier. Aujourd'hui, la ligne ESX Server fait figure de référence en matière d'hyperviseur. (...)

(07/09/2007 16:15:01)

Un serveur dédié à la virtualisation chez IBM

La nouvelle architecture des System X d'IBM est entièrement dédiée à la virtualisation. Elle comprend notamment le nouveau chipset X4, conçu pour accueillir les processeurs quadri-coeurs Tigerton d'Intel, ainsi qu'un hyperviseur embarqué, semblable à celui annoncé jeudi 6 septembre par XenSource. Celui-ci est préchargé sur une mémoire flash de 4 Go et relié au chipset par une interface USB interne. Le premier modèle équipé de ce nouvel X4 sera le System x3950 M2, un serveur 4U doté de 32 fentes pour mémoire DIMM, capables de supporter chacune jusqu'à 8 Go, et sera capable de faire tourner jusqu'à 800 machines virtuelles en simultané. Il devrait être commercialisé avant la fin de l'année 2007. (...)

(07/09/2007 15:59:55)

EMC dope VMWare avec une technologie de backup

Après avoir acheté Avamar Technologies en 2006, EMC en étend aujourd'hui la gamme en s'attaquant à un domaine nouveau pour la dé-duplication de donnée : la virtualisation. Avec Avamar Virtual Edition pour VMWare (une autre filiale d'EMC) et Avamar Data Storage Systems, la groupe donne la possibilité aux utilisateurs de sauvegarder leurs données ou de les répliquer d'une machine virtuelle à l'autre ou d'une machine virtuelle vers un disque physique, tout en éliminant les données redondantes. « Notre produit dé-duplique les données à travers plusieurs machines virtuelles, et déplace les données hors de l'espace de stockage », explique Mark Sorenson, vice-président senior en charge des produits de gestion de l'information. « Réduisant ainsi le poids total d'information à sauvegarder.» Avamar Virtual Edition fonctionne avec n'importe quel support de stockage, NAS ou SAN. Il suffit juste que la machine virtuelle puisse y accéder. L'Avamar Data Storage Systems est une solution complète basée sur des serveurs Dell 2950. Le premier modèle, avec un simple noeud, a une capacité de stockage d'un tera-octet et coûte 50 000 $. Le deuxième qui peut aller de 4 à 16 noeuds est dédié aux salles de serveurs des très grosses entreprises. Le premier prix est à 150 000 $. Avamar Virtual edition sera disponible à partir de novembre pour 17 000 $ par tera-octet dé-dupliqué par poste. (...)

(07/09/2007 15:23:00)

Microsoft veut administrer la virtualisation de bout en bout

L'annonce par Microsoft de l'ajout à ses outils d'administration System Center de Virtual Machine Manager 2007 (alias SCVMM) lui permet de revendiquer une administration complète des projets de virtualisation sous Virtual Server 2005 R2, la petite extension virtualisation de Windows Server 2005. SCVMM sera commercialisé à compter d'octobre prochain dans la suite System Center Server Management. Outre SCVMM, cette suite se compose d'Operations Manager 2007 (OM 2007), de Configuration Manager 2007 (CM 2007) et de Data Protection Manager 2007 (DPM 2007). Selon Microsoft, l'ensemble permet tout d'abord d'évaluer les possibilités de virtualisation à partir des métriques collectées via OM 2007, ensuite d'assurer la configuration des environnements virtuels avec CM 2007 et, enfin, de sauvegarder ces environnements avec DPM 2007. Dans cet ensemble, SCVMM assure le monitoring. Aux Etats-Unis, le tarif pour la suite System Center Server Management est de 1300 $ par serveur. Selon Genevière Koehler, en charge de System Center pour la France, Microsoft proposera à partir de janvier aux PME une version autonome de SCVMM limitée à 5 serveurs. Selon Alain Le Hégarat, chef de produit Windows Serveur, il est possible d'installer 50 à 60 instances virtuelles sur 5 machines. Véritable produit d'appel pour les PME, ce SCVMM for Workgroup se vendra 500$ aux Etats-Unis. Quant à "Carmine", la version de SCVVMM qui supportera Windows Server 2008 et son hyperviseur Viridian, elle entrera en phase bêta prochainement et devrait être disponible peu de temps après l'annonce de ces deux produits. A noter que Microsoft promet que Carmine pourra aussi intégrer le support des logiciels de virtualisation de VMware et de Xen/XenSource. (...)

(06/09/2007 15:51:53)

XenSource Express OEM ou la virtualisation en standard sur les serveurs

XenSource réussit une belle opération de promotion en annonçant une version OEM de XenExpress, son hyperviseur gratuit d'entrée de gamme. Destiné à être préchargé sur des serveurs x64, il préfigure, selon notre confrère anglais Timothy Prickett Morgan, un spécialiste du domaine, l'avenir des hyperviseurs : une fonctionnalité préinstallée sur les machines un peu à la manière d'un Bios. XenExpress supporte les formats des machines virtuelles tant de VMware que de Microsoft. Il sera compatible avec la version 2008 de Windows Server et reconnaît les extensions dédiées à la virtualisation des processeurs d'Intel (VT) et d'AMD (AMD-V). XenExpress permet de gérer quatre environnements virtuels sur une machine biprocesseur dotée de 1 à 4 Go de mémoire vive. Cette version peut être mise à jour vers des versions plus musclées et payantes : XenServer et XenEnterprise. XenExpress OEM est une façon intelligente de résister à la suprématie de VMware sur le marché et de se placer en anticipation de l'arrivée de Viridian, l'outil de virtualisation de Microsoft. Rappelons que XenSource, bras commercial de la communauté libre Xen, est en phase de rachat par Citrix pour 500 M$ tandis que la capitalisation boursière de VMware atteint toujours des niveaux hallucinants (24 Md$), sans commune mesure avec la réalité de l'activité de l'entreprise. Y compris dans un avenir prévisible. Tous les acteurs de la virtualisation, dont XenSource, profitent de la tenue de VMworld 2007, la grand-messe du leader du marché, pour annoncer leurs nouveautés. Microsoft ne devrait d'ailleurs pas être en reste. (...)

(06/09/2007 14:44:51)

Une association US publie un guide pour une virtualisation sécurisée

Le CIS (Center for Internet Security), une association indépendante basée à Hershey (Pennsylvanie), vient de publier une série de guides de bonnes pratiques sur comment adapter ses politiques de sécurité à la virtualisation. Une problématique de plus en plus présente à l'esprit des DSI qui doivent désormais faire face à de nouvelles failles, ouvertes par la seule virtualisation. Jusqu'à présent, les sociétés devaient se fier à leurs fournisseurs pour assurer la sécurité de leur parc virtualisé. Ces guides se compose principalement de pas-à-pas. Le premier d'entre eux est un document généraliste de trente pages sur la sécurisation des machines virtuelles. D'ici à la fin du mois, le CIS en publiera un autre consacré à l'ESX Server de VMWare. Ces guides ont été réalisés avec l'aide de sociétés privées indépendantes de tout éditeur, celle du département américain pour la sécurité du territoire et enfin celle du NIST (National Institute of Standards and Technology). (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >