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Virtualisation
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(29/08/2007 11:32:19)
F5 s'offre un éditeur de virtualisation de fichiers
F5 Networks, spécialiste de l'optimisation et de la sécurisation des applications s'offre Acopia Networks, éditeur de solutions de virtualisation intelligente de fichiers. Montant de l'opération : 210 M$ en numéraire. Le rachat devrait être finalisé à compter du 14 septembre. «Acopia étend la portée de l'Application Delivery Networking pour y inclure l'optimisation au niveau du stockage des données», explique dans un communiqué John McAdam, PDG de F5 Networks. L'équipementier sera alors en mesure d'appliquer ses principes d'optimisation au stockage d'information. Selon Steve Warner, vice-président de Quest Diagnostic, «la technologie de virtualisation intelligente de fichiers d'Acopia permet de créer un espace de nommage global pour automatiser et appliquer les règles de gestion des données sur le réseau». (...)
(28/08/2007 16:03:22)Pano, un poste de travail virtualisé
Décidément Nick Gault aime la virtualisation. Après avoir fondé XenSource, l'entrepreneur s'attaque avec sa société, Pano Logic, au poste de travail. Son concept : un boîtier auquel on connecte des périphériques tels que clavier, souris, écran ou des enceintes 2.1. Cette boîte, baptisée Pano Device, se relie alors via le réseau de l'entreprise à un serveur distant, le Pano Management Server, pour ouvrir une instance virtuelle sous XP ou Vista et lancer les applications habituelles de l'utilisateur. Sans logiciel, le Pano Device ne peut pas subir d'attaques externes, et même l'usage de clés USB - qui pourraient elles-mêmes être infectées - est régi par les droits d'accès définis sur le serveur. De plus, les communications entre le boîtier et son instance virtuelle sont cryptées en AES 128-bits. Ce qui, selon Pano Logic, offrirait des conditions de sécurité optimales, puisque seule la partie serveur reste à protéger. Côté économie, Pano Logic promet que son système - sans maintenance côté utilisateur et n'ayant besoin que de 5 watts pour son alimentation électrique - permet d'économiser jusqu'à 70 % du coût total d'utilisation d'un poste de travail classique. Pour l'instant, l'ensemble Pano ne fonctionne que dans un environnement strictement Windows et utilise VMWare comme solution de virtualisation. Mais Nick Gault laisse déjà entrevoir des possibilités d'évolution vers Linux, XenSource et Citrix. Les produits Pano Logic seront disponibles fin septembre 2007 contre le paiement d'un abonnement mensuel de 20 $ par utilisateur incluant le support technique ou une licence perpétuelle de 300 $ à laquelle il faut ajouter 60 $ par an pour accéder au support technique. (...)
(22/08/2007 17:14:08)La virtualisation rend les systèmes plus vulnérables
La virtualisation exposerait les systèmes d'information à des problèmes de sécurité. Un constat qu'ont réalisé nombre de DSI et chercheurs en informatique en s'apercevant, plus généralement, que le déploiement de nouvelles technologies rendait leur système bien plus vulnérables aux attaques de pirates. Une des origines du problème résiderait paradoxalement dans une des forces de la virtualisation : l'économie de configuration et de ressources et la facilité de déploiement. Certains DSI ont alors constaté que la mise en place de politique de sécurité et de conformité était complexifiée sur les machines virtuelles fonctionnant sur un unique serveur. Si elle réduit le nombre de serveurs physiques, il n'abaisse pas les risques associés aux applications tournant sur les machines virtuelles. Conclusion, « un serveur hébergeant plusieurs machines virtuelles est davantage exposé qu'un unique serveur physique hébergeant un unique système », explique George Gerchow, responsable Stratégie chez l'éditeur américain Configuresoft. Et d'aller plus loin : le risque augmenterait à chaque fois qu'une nouvelle machine virtuelle est créée, surtout lorsqu'on doit la patcher. Pour Lloyd Hession, CSO chez BT Radianz, les risques seraient surtout liés à un problème de contrôle d'accès au réseau. Selon lui, la virtualisation ne prendrait pas suffisamment en compte les politiques d'accès. Lire l'article complet sur Computerworld (...)
(20/08/2007 17:56:37)Le rachat de Xen Source inquiète le monde Open Source
En achetant XenSource pour 500 M$, Citrix obtient une place de choix sur le marché tant convoité de la virtualisation, juste derrière le leader actuel, VMWare. La société a-t-elle pour autant fait une bonne affaire ? Rien n'est moins sure. En effet, si la plateforme de virtualisation Xen peut s'utiliser de façon indépendante, elle est surtout connue pour être intégrée en standard dans des distributions Linux, telle la Suse Linux Entreprise 10 de Novell ou la RHEL5/Fedora 7 de Red Hat. Et cette entrée d'une société commerciale, non originaire du monde libre, au coeur de leur système d'exploitation favori, peut effrayer les développeurs - dont les esprits sont déjà échauffés par le partenariat entre Microsoft et Novell. Pour Georges Weiss, analyste chez Gartner, « la communauté Open Source peut penser que la technologie a été récupérée par un conglomérat de sociétés propriétaires qui utiliserait l'Open Source comme un véhicule pour des récompenses financières. » Poussant alors les « puristes » dans les bras d'autres solutions alternatives comme le KVM (Kernel-based Virtual Machine). « KVM apparaît désormais comme le seul projet non-affilié de la virtualisation. Il ne dépend de personne sinon de ses développeurs, ce que voulait XenSource pour son moteur Xen.» Au contraire pour Tim Walsh, directeur marketing de Virtual Iron, une société qui a basé ses propres produits de virtualisation sur Xen, l'annonce dès jeudi dernier d'une fondation pour assurer le développement Open Source de Xen devrait rassurer les contributeurs. « Avec cet achat, le projet Open Source Xen deviendra plus indépendant et autonome avec un pouvoir de décision accru pour les autres membres de la communauté (ndlr, en dehors de XenSource). Cela devrait apporter de la transparence au projet, ce qui était jusqu'à présent une critique récurrente envers la gestion de XenSource. » (...)
(16/08/2007 13:45:06)Citrix rachète XenSource, acteur de la virtualisation, pour 500 M$
Citrix Systems, spécialiste des technologies d'accès à distance et de déploiement d'applications, vient de mettre la main sur XenSource, un acteur de la virtualisation de serveurs. Le montant de l'opération est estimé à 500 M$. Le marché de la virtualisation de serveurs est pour l'instant largement dominé par Vmware, filiale d'EMC, qui fait en ce moment son entrée en Bourse avec un remarquable succès. En s'adossant à la solidité financière de Citrix, l'offre de XenSource, proposée en Open Source et beaucoup moins coûteuse que celle de VMware, va pouvoir renforcer sa crédibilité sur un secteur en plein développement en raison, notamment, de la montée en puissance des centres de données. Pour affronter VMware sur son marché, Citrix devrait pouvoir tirer parti du partenariat rapproché qu'il entretient avec Microsoft depuis de longues années. XenSource vient tout juste d'annoncer la version 4 de XenEnterprise, son hyperviseur de machines virtuelles. L'offre, qui peut héberger jusqu'à huit serveurs virtuels sur un serveur physique, permet désormais de provisionner de façon groupée les ressources des serveurs et systèmes de stockage. Elle s'est également enrichie de la fonctionnalité Xen Motion pour transférer une application d'un serveur vers un autre, en cours d'exploitation (une option livrée en mai par VMware). Au cours des derniers mois, Citrix a déjà procédé à plusieurs petits rachats dans les domaines de la sécurisation du poste de travail et des outils de test de montée en charge. L'éditeur a également racheté Ardence, éditeur d'une technologie permettant de diffuser des applications en temps réel vers des clients légers. (...)
(16/08/2007 12:46:04)VMWare et la virtualisation séduisent la bourse américaine
La virtualisation fait une entrée fracassante dans le monde réel, du moins celui de la bourse, de New York avec un titre VMWare qui a quasiment doublé en trois jours à 57,71$ (à la clôture de la bourse de New York le 15 août 2007). Lundi 13 août, EMC, spécialiste du stockage, et propriétaire de VMWare rachetée en 2004 pour 635 M$, avait proposé aux investisseurs quelque 33 millions d'actions a 29$ - soit 9% du capital - levant ainsi près d'un milliard de dollars. Une introduction en bourse faisant suite à une ouverture parcimonieuse du capital à d'autres industriels du secteur : Intel et Cisco s'étant respectivement octroyé 2,5% (pour 218,5 M$) et 1,6% (pour 150 M$) du capital de l'éditeur de solutions de virtualisation. Reste que même si le modèle séduit les investisseurs et fait les beaux jours d'EMC, il doit subir la concurrence des éditeurs d'OS - au premier rang desquels Microsoft - qui proposent également des fonctions de virtualisation intégrées à leurs plate-formes. Vista peut, par exemple, être utilisé en environnement virtuel, même si cela concerne les licences les plus chères liées à la Software Assurance. Et les dernières versions du noyau Linux présentent également une technologie de virtualisation développée par une start-up israélienne, Qumranet, appelée KVM (Kernel-based Virtual Machine). Si EMC/VMWare se dit peu concerné par une tendance qu'il juge dépassée, il s'est cependant prémuni tout au long de l'année, se plaignant notamment de l'attitude de Microsoft, accusé une énième fois de tentative d'abus de position dominante, cette fois sur les fonctions de virtualisation... (...)
(13/08/2007 16:13:16)Virtualisation : XenSource veut rattraper l'offre de VMware
Avec la version 4 de son logiciel de virtualisation tout juste livrée, XenSource apporte des fonctionnalités qui lui permettent de mieux rivaliser avec l'offre de VMware, filiale d'EMC et chef de file incontesté des solutions de virtualisation de serveurs. Pour un prix moindre. La licence pour XenEnterprise v.4 revient à 2 499 dollars auxquels s'ajoutent 500 dollars par mois pour le support technique (incluant les mises à jour). Alors que la version comparable chez VMware, Virtual Infrastructure 3, revient à 5 750 dollars par licence pour un serveur bi-processeur avec un support mensuel de 1 200 dollars. Néanmoins, le prix n'est pas le premier critère de ce type de solutions. Les entreprises qui décident d'acquérir un hyperviseur de machines virtuelles pour leur centre de données privilégient la performance, la haute disponibilité et les fonction d'équilibrage de charge, rappelle John Humphreys, analyste senior pour IDC. Toutefois, si XenSource, acteur de l'Open Source, prouve que son hyperviseur est à la fois fiable, stable, efficace et moins cher, il peut gagner des parts de marché. Provisionnage groupé et transfert d'applications L'hyperviseur 64-bit XenEnterprise peut héberger jusqu'à huit serveurs virtuels sur un serveur physique. Dans sa version 4, l'outil XenResourcePools permet de provisionner de façon groupée les ressources des serveurs et des systèmes de stockage. Cette version dispose aussi d'une nouvelle interface d'administration. Autre nouveauté, Xen Motion permet de transférer une application d'un serveur vers un autre en cours d'exploitation. L'offre de VMware dispose depuis mai dernier d'une fonctionnalité similaire, VMotion. Enfin, Chris Wolf, analyste chez Burton Group, estime que XenSource a réussi un bon coup en s'associant à Symantec afin d'inclure dans XenEnterprise 4 le logiciel Veritas Storage Foundation pour gérer les sauvegardes et les restaurations. Symantec apporte ainsi son support pour ces fonctions dans le cadre de sa plateforme Net Backup. (...)
(30/07/2007 15:46:49)Trois semaines après Intel, Cisco investit dans VMWare
150 millions de dollars, c'est la somme que Cisco s'apprête à débourser pour investir dans VMWare, spécialiste de la virtualisation logicielle. Au terme de cette opération, l'équipementier réseau devrait s'emparer de 1,6% du capital de la filiale d'EMC. Côté administratif, l'arrivée d'un membre de Cisco au sein du conseil de direction de VMWare est à l'étude. Au début du mois, Intel injectait pour sa part 218,5 M$ chez ce même éditeur (ce qui correspond à 2,8 % du capital). VMWare profite ainsi d'argent frais pour poursuivre ses développement sur un marché hautement concurrentiel, tandis que Cisco et Intel s'assurent une présence dans une technologie promise à un bel avenir. VMWare avait été racheté 635 M$ par EMC en 2004, et le constructeur a introduit en Bourse un dixième du capital. (...)
(03/07/2007 14:33:34)Dell met du VMWare dans ses prochains serveurs
Dell aurait-il cédé aux sirènes de la virtualisation ? C'est ce que portent à croire différents témoignages de clients privilégiés du fabricant texan. Aux dires de ceux-ci, la prochaine ligne de serveurs de Dell, baptisée VESO, disposera en natif d'outils de virtualisation, fournis par VMWare. Attendue pour l'automne, cette ligne de produit aura des capacités d'entrées/sorties et de mémoire étendues, des services de migration d'un environnement physique à un environnement virtuel. Et surtout un hyperviseur intégré : l'ESX Lite de VMWare. Si pour l'instant, Dell refuse à confirmer cette information, l'idée semble bien accueillie par les analystes. Pour Gordon Haff, d'Illuminata Group, intégrer la virtualisation dans les serveurs dès le départ est une tendance « incroyablement évidente » pour les constructeurs : « Si les rumeurs sont vraies et que Dell fait du travail correct, comment les autres revendeurs de serveurs X86 pourraient ne pas suivre cet exemple ? » (...)
(25/06/2007 12:59:41)Un Australien travaille à la virtualisation universelle
VMWare, Xen, KVM, UML, les logiciels de virtualisation se multiplient au fur et à mesure que cette technologie se popularise dans les salles de serveurs. Et les problèmes de compatibilité entre eux connaissent également une croissance forte. Pour éliminer une partie de ces problèmes, Paul « Rusty » Russel, un développeur Open Source australien a une solution. Un autre logiciel, baptisé Virtio I/O, qui implémentera une couche virtuelle d'entrées/sorties pour permettre aux pilotes les plus courants d'être utilisés quelle que soit la plateforme de virtualisation mise en place. Si cette solution est élégante, elle est, selon Rusty Russel, plus compliquée à mettre en place qu'il n'y paraît. Et le développeur suggère dans un premier temps de travailler un code commun à intégrer dans les systèmes d'exploitation Linux virtualisés. (...)
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