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(06/05/2009 13:07:15)
LinkedIn souffle sa 6e bougie avec 40 millions de membres
LinkedIn fête aujourd'hui ses six ans avec 40 millions de membres dans le monde, contre 22 millions il y a un an (+82%). En Europe, le réseau social professionnel compte 10 millions d'inscrits dont 800 000 dans l'Hexagone, soit 200 000 de plus qu'en novembre 2008, date à laquelle le site a lancé sa version francophone. LinkedIn a encore du mal à trouver un modèle économique viable. Ce dernier repose sur cinq piliers : les abonnements premiums, la publicité, les espaces entreprises (dont Viadeo, son principal concurrent dans l'Hexagone s'est inspiré en décembre 2008), la publication de sondages et d'offres d'emploi. La société n'est est rentable que depuis deux ans et demi. Elle a dégagé un chiffre d'affaires de 100 M$ en 2008, mais refuse désormais de communiquer sur ses revenus. En un an, le nombre de groupes de discussion créés sur LinkedIn est passé de 50 000 à 300 000. Onze applications ont été développées pour le réseau social, comme Slide Share par la société éponyme, Blog Link qui permet de relier le réseau social à son propre blog, développé par SixApart, ou My Travel par Tripit (pour organiser ses voyages d'affaire) ainsi qu'une application pour l'iPhone. Pour comparaison, Facebook compte 200 millions de membres et 52 000 applications, plus publiques que professionnelles il est vrai, mais LinkedIn et ses onze API font pâle figure face à ce concurrent. (...)
(05/05/2009 17:34:59)Disney achète 27,3% du capital d'Hulu.com
Disney vient d'acquérir 27,3% du capital d'Hulu.com, la plateforme de diffusion de vidéos appartenant à NBC Universal, News Corp et le fonds d'investissement Providence Equity Partners. Disney disposera de trois sièges au sein du conseil d'administration d'Hulu, soit autant que NBC et News Corp. Financé par la publicité, Hulu diffuse gratuitement des vidéos issues de grands acteurs de l'industrie culturelle, mais, à la différence de YouTube ou de Dailymotion, il ne permet pas aux internautes d'en publier eux-mêmes. Une précaution qui lui permet d'éviter les déboires rencontrés par YouTube (propriété de Google), poursuivi en justice par Viacom, l'un des géants des médias américains, pour violation massive et intentionnelle des droits d'auteur. Lors du lancement de la version bêta d'Hulu, en octobre 2007, ABC et CBS avait refusé de rejoindre NBC et News Corp. En mars 2008, le site proposait une centaine de films ainsi que 250 épisodes de séries comme Buffy et les vampires ou les Simpsons. Les internautes pourront désormais visionner des séries diffusées sur la chaîne de télévision ABC (Lost, Desperate Housewives...), des émissions de téléréalité ainsi que des programmes provenant des archives des studios Walt Disney. En termes d'audience, Hulu est encore très loin derrière YouTube - 2,5% de l'ensemble des vidéos visionnées en ligne contre 40,9% pour la filiale de Google - mais sa fréquentation est en forte hausse (+42% en février 2009 par rapport à l'année précédente). Hulu mise avant tout sur le contenu professionnel et non pas amateur, un peu comme l'avait fait Joost, la plateforme de télévision en ligne lancée par les créateurs de Kazaa et de Skype, mais sans succès. Histoire d'allécher un peu plus les internautes, Hulu a annoncé en septembre dernier qu'il comptait diffuser des vidéos sur le Web avant même qu'elles ne passent à la télévision. (...)
(05/05/2009 12:37:37)'Facebook', requête la plus tapée par les Français sur les moteurs de recherche
Avec 38,3 millions de requêtes dans les moteurs de recherche, 'Facebook' est le mot-clé le plus tapé par les internautes français en mars 2009 selon l'institut de mesure d'audience Médiamétrie. Facebook devance largement 'eBay' (13,8 millions de requêtes), 'Orange' (11,5), 'YouTube'(10,2) et 'Pages Jaunes' (10). Twitter pourrait être la prochaine surprise du classement : si le site de micro-blogging n'apparaît pas encore dans le top 30, il enregistre une belle croissance (158%), avec 65 000 requêtes en un mois. Facebook est par ailleurs le neuvième site le plus consulté en France, avec près de 13,7 visiteurs uniques en mars. Comme les mois précédents, l'indétrônable Google arrive en tête des sites les plus fréquentés, avec 29,36 millions visiteurs uniques, loin devant Windows Live/MSN (21 millions), Orange (19,4 millions), Free (16,7 millions) et Yahoo (15,4 millions). Skyrock, longtemps chouchouté par les Français pour ses Skyblogs, arrive seulement en 24e position. En mars 2009, l'Hexagone comptait plus de 33,9 millions internautes (âgés de plus de 11 ans), soit 63,5% de la population française. A lui seul, Facebook dénombre 13,7 millions de membres sur le territoire, soit un internaute français sur trois, contre 2,2 millions un an plus tôt (+518%) et à peine 106 000 en avril 2007. Dans le monde, le site créé en 2004 par Mark Zuckerberg totalise depuis peu 200 millions de membres. Seul hic au tableau, Facebook n'apparaît pas dans le top 50 des sites qui proposent de la publicité et des services. Preuve que si le réseau social a rencontré son public, il est toujours à la recherche d'un modèle économique qui tienne la route. (...)
(04/05/2009 17:34:14)Google ne serait pas le père de la marque Android
Mais qui est le père d'Android ? Peut-être pas Google. C'est en tout cas ce qu'affirme Eric Specht, un entrepreneur de l'Illinois qui a décidé d'attaquer le géant de Mountain View ainsi que l'Open handset alliance (OHA). Cet organisme fédère près d'une cinquantaine de grosses pointures du secteur IT qui soutiennent l'OS de Google (Samsung, Vodafone, Sony Ericsson, Asus, Samasung, LG...). Fondateur d'Android Data (éditeur de solutions de sécurité pour les sites Web), Eric Specht a obtenu des autorités américaines le droit de se servir de la marque en 2002. Il réclame 94 M$ de dommages et intérêts pour contrefaçon ainsi que l'interdiction pour Google de continuer à exploiter ce nom. Selon Eric Specht, la ressemblance des marques pourrait créer une confusion chez les consommateurs. D'ailleurs lui-même affirme avoir cru jusqu'à présent que l'Android de Google était matériel, et non pas logiciel. D'où, probablement, la lenteur de sa réaction. De son côté, Google a lancé son système d'exploitation pour mobile en octobre 2007. Il l'a baptisé Android suite au rachat très discret en juillet 2005d'une start-up éponyme, spécialisée dans le développement de logiciels pour mobiles. Andy Rubin, directeur de la plateforme mobile de Google, était d'ailleurs le PDG de la start-up. En toute logique, Google a voulu déposer ce nom auprès de l'USPTO (US Patent and trademark office) parallèlement à la commercialisation de sa plateforme. Cinq mois plus tard, le bureau des brevets américain a rejeté sa, Android étant déjà attribué. Selon le magazine Forbes, Google n'a toutefois pas l'intention de se laisser faire. Android Data a en effet mis la clé sous la porte en mai 2004, avant d'être recréé quelques mois plus tard. Selon Google, Eric Specht aurait ainsi perdu la paternité de la marque. (...)
(27/04/2009 18:34:14)Un ancien dirigeant de Facebook prend la tête de MySpace
Après la démission de Chris DeWolfe, fondateur de MySpace, la maison mère - News Corp - a nommé OwenVan Natta nouveau PDG du réseau social. Parmi ses précédents postes (chez Playlist ou encore Amazon.com), c'est surtout son passage chez Facebook qui a séduit ses nouveaux employeurs. Owen Van Natta a en effet participé à la croissance du réseau social et l'a quitté en janvier 2008, peu de temps avant que Facebook dépasse MySpace en nombre d'utilisateurs, et juste avant que son image soit ternie par différents conflits avec ses utilisateurs. Pour autant, avec 130 millions d'utilisateurs contre 200 millions d'utilisateurs pour Facebook, MySpace n'est pas si mal placé que ça. Myspace a par ailleurs réussi là où Facebook et Twitter peinent encore : la monétisation de son audience. En 2008, MySpace a généré 585 M$ en revenus publicitaires, soit trois fois plus que Facebook. (...)
(21/04/2009 15:24:59)NAB Show : Adobe propose du contenu Flash pour les TV
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'écran d'ordinateur n'a pas supplanté celui de la télévision pour la consommation de programmes vidéos. A tel point qu'Adobe, dont le format Flash est déjà utilisé par 80% des vidéos sur le Web (d'après ComScore), vient de proposer une version optimisée de sa technologie pour diffuser du contenu Flash, notamment des vidéos en HD, sur les téléviseurs (et autres appareils électroniques reliés aux TV tels que les lecteurs Blu-ray) connectés à Internet. L'éditeur a annoncé son offre, Adobe Flash Platform for the Digital Home, le premier jour du NAB Show, salon de Las Vegas faisant autorité dans le monde de la télédiffusion. Et Adobe a pris soin de s'entourer de parrains prêts à déployer sa technologie : Atlantic Records, Broadcom, Comcast, Disney Interactive Media Group, Intel, STMicroelectronics, The New York Times Company... La possibilité de jouer du Flash sur les écrans de télévision permettrait de visionner la grande majorité des vidéos du Web - y compris YouTube - dans son salon, ou des émissions actuellement offertes en 'catch-up TV' (télévision de rattrapage) sur le Web. Surtout, cela donnerait aux fabricants de télévision et éditeurs de portails de nouvelles opportunité d'interagir avec un public plus habitué à manipuler sa télécommande qu'à surfer sur le Web. C'est la raison pour laquelle Apple propose son propre système Apple TV, avec un accès direct à son catalogue en ligne iTunes, ou pourquoi Yahoo s'est récemment associé à plusieurs partenaires pour délivrer des widgets sur les téléviseurs. (...)
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