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(15/04/2009 17:34:20)

Troisième vague de licenciements en vue chez Yahoo

Yahoo pourrait annoncer une nouvelle réduction de ses effectifs lors de la publication de ses résultats trimestriels, prévue le 21 avril, selon le Wall Street Journal et le New York Times. En 2008, l'entreprise a supprimé 2400 postes en deux étapes (1000 postes en début d'année puis 1400 en octobre). Fin 2008, Yahoo dénombrait 13 600 salariés et n'excluait pas la possibilité de serrer encore davantage la visse si la situation économique le demandait, ce qui s'avère être le cas avec la baisse des dépenses publicitaires en ligne, principale source de revenus de Yahoo. C'est Carol Bartz, PDG de Yahoo depuis janvier dernier, qui sera chargée de préciser le nombre de postes concernés (le New York Times parle de plusieurs centaines). Elle a essentiellement passé son temps à comprendre les forces et les faiblesses du portail tout en promettant de faire le ménage dans une structure qu'elle estime trop inutilement complexe. Elle a déjà réorganisé l'équipe dirigeante en diminuant le nombre d'interlocuteurs, dans le but d'en simplifier le fonctionnement. Il faudra attendre l'annonce des résultats pour savoir si elle aura la main aussi leste pour trancher dans la masse salariale. (...)

(15/04/2009 11:02:55)

Ebay introduit Skype en bourse, ses fondateurs veulent le racheter

Le site de vente aux enchères Ebay a annoncé hier qu'il comptait introduire Skype en bourse au courant du premier semestre 2010. Ce changement de statut pourrait constituer une première étape vers une vente complète de Skype. Depuis son acquisition en 2005 pour un montant exorbitant (2,6 Md$), le service de téléphonie par Internet a fait perdre 1,4 Md$ à eBay, ce qui a rapidement poussé la société à envisager une revente. Certes, le nombre d'utilisateurs de Skype ne cesse de croître (405 millions contre 53 millions en 2005), mais le service peine à trouver un modèle économique qui tienne la route, eBay n'ayant pas réussi à créer des synergies entre son site de e-commerce, son outil de paiement en ligne (Paypal) et Skype, comme il le souhaitait au moment du rachat. Selon John Donahoe, DG d'eBay, la société « n'est pas parvenue à suivre le rythme imposé par la concurrence et par les besoins des clients. » Il souhaite qu'eBay se concentre désormais sur son coeur de métier, le commerce électronique et le paiement en ligne. Ebay vient d'ailleurs de revendre à trois fonds d'investissement une autre de ses filiales, StumpleUpon, rachetée en juin 2007 pour 75 M$. Selon le New York Times, les fondateurs de Skype, le Suédois Niklas Zennström et le Danois Janus Friis, aimeraient remettre la main sur leur outil de téléphonie par Internet. Ils auraient contacté divers fonds d'investissement afin de réunir un milliard de dollars et faire une proposition à eBay. Difficile de comprendre les motivations des deux fondateurs, Skype étant considéré par eBay comme un véritable boulet. Si eBay se résout à vendre Skype, il est fort probable que les prétendants ne se précipitent pas au portillon, d'autant plus que le site vient de révéler que Joltid, une société fondée par les mêmes Zennström et Friis, avait mis fin à la licence d'une technologie peer-to-peer permettant de faire fonctionner Skype. « Entrepreneurs dans l'âme » comme ils se qualifient eux-mêmes sur leur blog, Niklas Zennström et Janus Friis ont créé Atomico, un groupe de capital-risque qui a investit dans diverses startups (dont le site français de vidéo participative Seesmic) ainsi que Joost, une plateforme de télévision sur Internet qui a du mal à décoller. (...)

(14/04/2009 13:01:52)

Pour Pâques, Twitter a récolté des vers

Les réseaux sociaux ne sont plus à l'abri des attaques. Après Facebook affecté par le ver Koobface, c'est le site de microblogging Twitter qui a été victime d'une série d'attaques virales durant le week-end. Entre samedi matin et lundi, le réseau a subi l'assaut de quatre vers différents. Les deux premiers, lancés samedi, ont été créés « par ennui » par Michael Mooney, un New-Yorkais de 17 ans qui a lancé un site rival de Twitter, StalkDaily. Avouant sa faute sur des sites spécialisés, celui-ci affirme qu'il voulait démontrer les failles de Twitter et faire de la publicité pour son propre site. Depuis, deux nouveaux vers ont attaqué Twitter (l'un dimanche et le dernier lundi matin), sous couvert de nettoyer les comptes infectés par les deux premiers virus. À l'heure actuelle, l'équipe de Twitter assure avoir éliminé toute trace des vers en effaçant plus de 10 000 messages et en supprimant quelque 200 comptes. Le fondateur du phénomène de micro-blogging, Biz Stone, promet sur le blog de la société, « qu'aucun mot de passe, numéro de téléphone ou autre information sensible n'a été compromis lors de ces attaques ». Il a également annoncé que le site va réévaluer et renforcer sa politique de sécurité, tout en partageant les informations découvertes avec les autres réseaux sociaux. D'autre part, Biz Stone compte bien poursuivre les créateurs des vers incriminés. Les utilisateurs de comptes infectés sont invités à changer leur mot de passe Twitter et à effacer toutes les données postées durant le week-end. Et à choisir plus sérieusement à l'avenir leur fil de discussion. Si ces attaques n'étaient que des nuisances, d'autres exploitants des failles similaires pourraient être utilisées pour installer des spywares sur les ordinateurs des usagers. (...)

(07/04/2009 16:12:08)

Facebook et la messagerie instantanée cartonnent en France

En février 2009 la France comptait 35 millions d'internautes (âgés de plus de 15 ans), soit 19% de plus que l'année précédente, selon ComScore World Metrix. Au courant de ce mois les Français ont passé quelque 932 millions d'heures à surfer sur Internet, soit une moyenne mensuelle de 27 heures par utilisateur. La France est le troisième pays européen recensant le plus d'internautes, derrière la Grande-Bretagne et l'Allemagne. En 2008, les internautes se sont principalement tournés vers la messagerie instantanée (14,3%), les sites de divertissement (8,6%), les courriels (8,2%) et les réseaux sociaux (5,7%). Dans cette dernière catégorie, Facebook enregistre une croissance fulgurante : le site créé en 2004 par Mark Zuckerberg compte aujourd'hui près de 13,7 millions de membres en France, contre 2,2 millions un an plus tôt, soit une hausse de 518% ! En d'autres termes, près d'un internaute français sur trois possède un compte Facebook. Le réseau communautaire compte 175 millions de membres dans le monde, dont 70% en dehors des Etats-Unis - berceau de Facebook. Facebook renverse le Français Skyrock sur ses propres terres Seul site à arborer une croissance à trois chiffres, Facebook (disponible en français depuis mars 2008) grille la politesse à Skyrock, son grand rival dans l'Hexagone, qui stagne avec 11 millions d'utilisateurs. Skyrock et ses Skyblogs sont d'ailleurs tout simplement évincés du top 10 des sites les plus consultés par les internautes français alors que Facebook y fait son entrée à la huitième position, derrière l'indéboulonnable Google (28,7 millions d'utilisateurs), les sites de Microsoft (25,4 millions), d'Orange (20,3 millions) de Free/Iliad (16,6 millions) ou encore de Yahoo (15,7 millions). Tous affichent une croissance de fréquentation comprise entre 32 et 35%. Facebook devance les sites du groupe Lagardère (13,6 millions) et de Wikimedia (13,5 millions). Une autre étude, publiée cette fois par Performics, une agence de mesure marketing appartenant au groupe Publicis à l'occasion du salon ad:tech, souligne que 48% des annonceurs ont décidé de placer les médias sociaux comme Facebook, MySpace ou Copains d'avant, au coeur de leur stratégie d'investissement (contre 18% l'an dernier). « 2009 verra le poids grandissant des internautes dans ce que l'on appelle la valeur de recommandation, précise Philippe Torloting, responsable du pôle médias sociaux de Performics. Le poids des amis et le poids des internautes sont à égalité dans la recommandation d'un acte d'achat. » S'ils ont conscience des enjeux des médias sociaux, seuls 44% des annonceurs ayant mis sur pied des campagnes électroniques possèdent des outils dédiés capables d'en mesurer les retours. Toujours selon la même étude, ils les trouvent trop chers (84%) et trop approximatifs (81%). Bref, les internautes ont une longueur d'avance sur les marques, ce qui explique que les réseaux sociaux aient encore du mal à monétiser leur audience, Facebook y compris. (...)

(06/04/2009 17:20:19)

Twitter veut garder son indépendance face à Google

Non, Twitter n'est pas sur le point d'être racheté par Google, contrairement aux rumeurs qui ont circulé la semaine dernière. Inondé par les mails interrogatifs, Biz Stone, co-fondateur du site de micro-blogging, est sorti du silence vendredi dernier afin de mettre les points sur les i. Dans un billet de cinq phrases à peine (mais plus de 140 caractères, contrairement au principe des 'tweets') il précise que le but de Twitter est de construire une société « rentable » mais aussi « indépendante ». A propos d'éventuelles transactions avec Google il indique qu'il n'y a « rien de surprenant à ce que Twitter engage régulièrement des discussions avec d'autres sociétés sur des sujets variés », sans apporter davantage de détails sur les thèmes abordés. Biz Stone n'exclut donc pas formellement une collaboration ou un partenariat entre les deux sociétés. Rumeurs ou pas, Twitter attire les convoitises. Au mois de septembre dernier Twitter avait déjà refusé une offre de rachat de Facebook, qui en proposait pourtant 500 M$. Créé en 2006, Twitter permet aux utilisateurs de poster des messages de moins de 140 caractères. Parfois dénués d'intérêt pour la communauté, ces messages peuvent se transformer en pépites pour l'actualité. Le site regorge en effet d'informations concrètes et exploitables, comme ont pu le montrer les événements qui se sont déroulés à Bombay en décembre 2008. Des utilisateurs de Twitter avaient alors publié des milliers de messages sur le site, depuis leur téléphone portable, permettant ainsi aux internautes de suivre les événements quasiment en temps réel, voire même d'aider les secours à porter assistance aux victimes. Pour Google, dont le moteur de recherche est capable d'indexer des informations datant de quelques minutes, Twitter apporterait une dimension en temps réel à ses requêtes. D'après Greg Sterling, analyste chez Sterling Market Intelligence, « cette capacité à capturer le flux des tweets devrait constituer un important développement des médias sociaux ». Pour Karsten Weide, analyste chez IDC, Twitter pourrait en outre apporter à Google du trafic supplémentaire. Selon lui, le micro-blogging est en passe de devenir un nouveau canal de communication en ligne, au même titre que le mail ou la messagerie instantanée. Ne pas reproduire l'erreur de Google avec Youtube Néanmoins, les analystes ne s'attendent pas à l'annonce d'un rachat dans les semaines à venir. Pour le géant du Web, il n'y a pas urgence. D'une part « Twitter n'est pas un Google-killer », comme l'indique Greg Sterling et, d'autre part, les deux sociétés ont d'autres chats à fouetter, à savoir affronter la crise. Google, toujours bénéficiaire, se voit contraint de réduire les coûts et même de fermer certaines de ses activités, à l'instar de Jaiku, un site spécialisé dans les messages instantanés en provenance de mobiles - exactement comme Twitter. Quant à Twitter, bien que populaire, il est toujours à la recherche d'un modèle économique lui permettant de générer des recettes. Racheter Twitter en ce moment reviendrait donc, toujours selon les analystes, à reproduire l'erreur commise par Google lors de l'acquisition de YouTube, en octobre 2006, pour un montant de 1,65 Md$. Si le site de partage de vidéos rencontre un franc succès auprès des internautes, il n'a toujours pas trouvé le moyen de monétiser son audience. Biz Stone a également profité de son billet pour indiquer que Twitter était en plein développement et recrutait une quinzaine de personnes pour accompagner son évolution. Tous les postes à pourvoir sont basés à San Francisco. Twitter emploie actuellement trente personnes. (...)

(31/03/2009 17:51:35)

BlueKiwi lance une version PME de son logiciel de réseaux sociaux professionnels

Déjà exploitée par une trentaine de grandes entreprises, la plateforme de réseaux sociaux professionnels de l'éditeur français blueKiwi Software bénéficie maintenant d'une tarification adaptée aux PME. Dans cette déclinaison, baptisée blueKiwi Pro Edition et réservée aux entreprises de moins de 500 personnes, le logiciel est exclusivement proposé en ligne, en mode SaaS (software as a service). L'outil permet aux utilisateurs de créer des groupes thématiques au sein desquels les collaborateurs inscrits et des intervenants extérieurs invités (partenaires, clients...) pourront s'échanger des informations. Pour constituer ces groupes, les utilisateurs ont à leur disposition tous les outils du Web 2.0 : blogs, wikis, forums, mots-clés, tags, flux RSS... Un moteur d'indexation et de recherche et un annuaire de profils facilitent l'identification des savoirs et des expertises. Un nombre d'invités illimités « Dans les PME, un des usages innovants du réseau social, c'est qu'il s'ouvre davantage aux partenaires que dans les grands groupes », souligne Arnaud Poujardieu, DG France de blueKiwi Software, en rappelant que la valeur du réseau est proportionnelle à sa fréquentation. Or, l'un des intérêts de l'offre pour PME est de proposer un nombre d'invités illimités, sans surcoût. Il est possible de construire des réseaux en conviant plusieurs centaines de personnes dans les groupes qui ont été créés. La tarification de blueKiwi Pro Edition s'établit suivant quatre formules packagées qui peuvent se combiner entre elles en fonction du nombre d'utilisateurs dans la PME, ce qui permet d'ajuster au mieux le coût d'abonnement au service. Pour dix utilisateurs dans l'entreprise pouvant créer et gérer des groupes, mais avec un nombre illimité d'invités à ces groupes, le tarif de la formule Basic démarre à 2 290 euros par an. Elle permet de créer 10 groupes et de stocker 5 Go de données (avec 50 Go de données échangées par an). Une version 2009 ouverte aux widgets Dans sa version 2009 mise à disposition en début d'année, la plateforme bluekiwi s'est ouverte aux widgets. Ces derniers permettent d'alimenter les groupes avec des flux d'informations puisés dans blueKiwi, dans le système d'information de l'entreprise ou récupérés sur Internet. L'éditeur a travaillé sur la facilité d'utilisation de son logiciel et ajouté une fonction permettant de mesurer le taux de fréquentation de la plateforme. « L'outil mesure le nombre de personnes actives, le nombre de billets et de commentaires sur une période donnée », explique Arnaud Poujardieu. Un outil qui a notamment permis de constater que la version 2009 avait fait progresser l'utilisation du logiciel chez les clients existants. En trois semaines, depuis le lancement de l'offre blueKiwi Pro Edition, huit PME de différentes tailles (10, 50, 100 personnes) ont déjà pris pied sur la plateforme. Parmi elles, le cabinet de recrutement Altaïde (10 personnes), spécialisé sur les start-up et les profils Web 2.0, en fait une utilisation originale. Ses groupes de collaboration sont ouverts à ses clients, chacun bénéficiant d'un espace protégé pour le suivi de ses dossiers. [mise à jour] Par ailleurs, sur le salon Web 2.0 Expo (San Francisco, 31 mars/3 avril), BlueKiwi vient de présenter une interface pour accéder à la plateforme de collaboration depuis un terminal mobile (Blackberry, iPhone ou smartphone sous Windows mobile). L'éditeur a également annoncé un kit de développement de widgets. (...)

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