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(26/06/2007 17:34:09)

Un quart des investissements d'Oseo va aux projets TIC

En 2006, 5091 projets innovants ont reçu une subvention de l'Etat et des régions par l'intermédiaire d'Oseo, pour un montant total de 270 M€ en croissance de 21% sur l'année précédente. Dans cette progression, les technologies de l'information, qui accaparent 26% des aides, prennent largement leur part avec une hausse de 23% des montants alloués. Mais, précise le bilan sectoriel présenté le 22 juin par Oseo, tous les secteurs en profitent: de la mécanique au secteur santé, de l'agro-alimentaire au transport... du fait du caractère diffusant des innovations fondées sur l'apport de l'informatique et des réseaux. Seul le domaine de l'énergie fait plus fort cette année, avec 85% de projets en plus en 2006 (203 projets au total pour un montant de 16,4 M€ en hausse de 10%) par rapport à 2005. Par sous-secteur, le multimédia (plateformes, outils, projets intégrant la dimension usages), domaine caractérisé par une prolifération de très petites entreprises, 92% des projets aidés émanent de structures de moins de 20 salariés. Et l'analyse d'Oseo constate une relative stabilité (5% de son apport) avec 15% des projets (151 au total) portés par des entreprises de plus de dix ans d'existence. Dont 40% des projets pour la région Ile-de-France (le pôle Cap Digital aidant). Avec un axe 3C et réalité virtuelle qui s'affirme et la poursuite de l'innovation dans la reconnaissance et synthèse de paroles, sons, images et formes, les technologies de compression/décompression et les systèmes auteurs de création de contenu. Pour les e-services (8% de l'aide Oseo, 28% des projets en Ile-de-France), 57% des projets sont portés par des entreprises de plus de trois ans d'âge. Et c'est la déclinaison des services sur divers canaux (mobile, PDA, etc) qui a primé l'année dernière durant laquelle l'aide au projet est en moyenne de 152 000 €. Des spécificités régionales Pour les technologies logicielles, les aides en hausse de 23% couvrent 373 projets. Au sein des pôles de compétitivité, 78 projets labellisés ont bénéficié d'un apport Oseo. Avec des spécificités régionales mises en évidence, dont la montée en puissance très nette de la région Rhône-Alpes (cluster de l'édition logicielle), mais aussi du Languedoc-Roussillon, des Pays-de-la-Loire et du Nord-Pas-de-Calais. L'Oseo note au passage que le capital-risque a consacré dès 2006 l'internet mobile et le web 2.0. « Alors que le web 2.0 a battu les recors auprès des investisseurs américains avec 455 millions de dollars investis, les leaders français commencent à émerger en fin d'année 2006 et cette tendance devrait largement s'amplifier » commente le rapport sectoriel d'Oseo. Il est noté aussi une progression remarquable des projets de logiciels embarqués (6% des projets de ce sous-secteur en 2005, contre 19% des projets en 2006). Pour les télécoms, le montant total des aides allouées a progressé de 6,7% sur un périmètre plus resserré (-4% en nombre de projets), et sur les régions déjà fortement « imprégnées » d'innovation logicielle et télécom : Ile-de-France et Paca (à elles deux, 35% des contrats signés et 42% des aides), mais aussi Bretagne, Rhône-Alpes, Languedoc-Roussillon, Aquitaine et Bourgogne. Effet de levier L'agence d'accompagnement de l'innovation souligne par ailleurs le fort effet d'entraînement constaté autour de ce financement (subvention, cofinancement bancaire, garantie). Pour chaque euro de fonds public confié à Oseo qui permet d'accorder 2,2 € d'aides aux entreprises, et qui amène celles-ci à enclencher une dépense de 7 € en R&D, ce sont en définitive 20 € d'investissements induits qui interviennent. En 2006, les programmes d'innovation soutenus représentent près de 860 M€ investis et 2,5 Md€ d'investissements induits pour les prochaines années. Selon la direction de l'agence, le rythme de croissance de cet effort (de l'ordre de 20%) devrait se poursuivre en 2007 avec un objectif de 1,1 Md€ apportés à des projets innovants. Au sein et hors de la dynamique des pôles de compétitivité. (...)

(26/06/2007 17:28:54)

Sword délaisse l'Inde pour se concentrer sur la France

La SSII lyonnaise Sword a décidé de réduire les effectifs et les activités de sa filiale indienne, créée il y a à peine quatre ans. Les raisons de ce retour en arrière sont simples : « un directeur technique nous coûte 300 euros par jour en France, contre 216 euros en Inde. Cet écart est insuffisant pour justifier la délocalisation de nos salariés, d'autant plus que les coûts de management entraînés par l'éloignement de nos équipes est rédhibitoire », explique Jacques Mottard, PDG de Sword. La SSII prévoie l'embauche de 150 ingénieurs au sein de son siège lyonnais, ainsi que la création d'un centre de recherche et de développement en Grande-Bretagne. La filiale indienne restera, pour sa part, dédiée à des tâches répétitives et à faible valeur ajoutée, comme le contrôle à distance pour les compagnies d'assurance. Les effectifs seront progressivement réduits dans les mois à venir. Ce revirement d'orientation est à l'opposé de la stratégie adoptée par la plupart des autres grandes SSII, comme Atos Origin ou Cap Gemini, qui délocalisent volontiers vers les pays à moindre coût. Cap Gemini a, par exemple, récemment doublé ses effectifs en Inde (13.000 salariés à ce jour), grâce au rachat de diverses SSII de taille moyenne. Sword, spécialisée dans la GED (gestion électronique des documents) a réalisé un chiffre d'affaires de 142 millions d'euros en 2006, et prévoie 190 millions pour cette année. (...)

(26/06/2007 16:39:15)

Les estimations de ventes de PC revue à la hausse pour 2007

Les ventes de PC devraient progresser de 11,2% en 2007, selon l'estimation d'iSuppli. Le cabinet réévalue de 0,5 point ainsi sa précédente prévision et anticipe des ventes qui atteindront 264 millions de machines pour l'ensemble de l'année. C'est le succès des ordinateurs portables qui a conduit iSuppli à revoir à la hausse son estimation. La demande pour ce segment a été particulièrement soutenue au cours du premier trimestre : les ventes ont progressé de 23% par rapport à la même période de l'année précédente, à 21,8 millions d'unités. Si on pouvait craindre un report des décisions d'achat au T1 en raison du lancement de la plateforme Santa Rosa d'Intel, prévue pour le trimestre suivant, il n'en a rien été. Pour l'ensemble de l'année, iSuppli estime que les portables représenteront 40% des ventes. Toujours sur le terrain des portables, Apple voit ses parts de marché progresser aux Etats-Unis. Selon les chiffres communiqués par NPD, les "laptops" marqués d'une pomme ont représenté 14,3% des ventes au mois de mai, contre 12,5% le mois précédent. Une avancée qui classe le groupe de Cupertino au quatrième rang des constructeurs, derrière HP, Toshiba et Gateway. En considérant les ordinateurs de bureaux et les portables, Apple s'arroge 13% du marché et progresse de 1,4 point en un mois. (...)

(26/06/2007 16:27:51)

Une entreprise sur deux est incapable de garantir la protection des données personnelles

Alors que la quantité d'informations stockées sous forme numérique atteint des records, on atteint aussi des sommets en matière d'insécurité : près d'un informaticien sur deux (42%) considère que sa propre entreprise ne fait que peu de chose pour réduire les risques de vols ou de pertes de données confidentielles. Les résultats de l'enquête conduite auprès de 1000 spécialistes de la sécurité informatique en entreprise par le Ponemon Institute vont même encore plus loin. 45% d'entre eux reconnaissent qu'ils seraient dans l'impossibilité d'identifier, et donc d'avertir, les utilisateurs ou les clients dont les données personnelles auraient été volées. Le plus désastreux dans ce constat, c'est qu'il semble devoir perdurer. De l'aveu même de Peter Finnigan, un consultant britannique spécialisé sur la sécurité des SGBD et ceux d'Oracle en particulier, même si les directions de systèmes d'information ont fait quelques progrès ces dernières années, elles sont encore très loin d'avoir une culture sécurité suffisante pour déployer leurs bases de données dans de bonnes conditions. "On ne prend pas soin de sécuriser les données sensibles et personnelles", constate-t-il avant d'ajouter : " On en est plus à sécuriser les équipements que les données elles-mêmes." Il y a une dizaine de jours, l'exposition des données personnelles de 17 000 personnes salariées ou ayant été salariées de Pfizer vient confirmer la pertinence des résultats de l'enquête de Ponemon. (...)

(26/06/2007 16:18:16)

L'optimisation des processus et procédés au coeur de nouveaux cursus bac+5

Qu'il s'agisse de procédés industriels ou de processus dans le développement de services, la familiarité avec l'apport de la modélisation et de la simulation ainsi qu'avec les technologies correspondantes, est une des compétences majeures attendues des futurs cadres. Deux cursus nouvellement proposés à la rentrée 2007 dans les écoles d'ingénieurs en tiennent compte, avec le soutien actif d'entreprises partenaires. Sur le volet industriel et pour la formation d'ingénieurs de production ou ingénieurs R&D, le lancement du master en « conception, modélisation et optimisation des procédés » implique quatre écoles de premier rang du groupement ParisTech. A savoir : Polytechnique, Mines Paris, Agro Paris et l'ENSTA (Techniques avancées). Pendant deux ans, les élèves-ingénieurs ayant choisi cette voie se prépareront à la conception de procédés selon une approche système, au passage à l'industrialisation de ces procédés, et à leur gestion et optimisation sur des critères de faisabilité, d'intérêt économique et d'impact environnemental. Les industriels associés à cette démarche - de Total à Pernod-Ricard, en passant par Alstom, Bel, EdF ou l'IFP- évoquent les débouchés prioritaires de cette formation (énergie, agro-industriel, chimie fine, etc). Dans le domaine des services, le mastère spécialisé (un an de formation) « ingénierie pour les e-services » lancé en octobre par l'Isen (ingénieurs en électronique, informatique, réseaux) sur son campus de Brest fait la place à l'analyse des systèmes d'information, en coulisses du développement de e-services, ainsi qu'à l'ingénierie des applications web, les aspects réseaux et sécurité et la conduite de projet dans ce contexte. Avec, cette fois, le partenariat actif d'IBM et de Bouygues Télécom. (...)

(26/06/2007 16:05:29)

Sun se relance dans la course au supercalculateur

Lors de l'ISC (International Supercomputer Conference) qui se déroule actuellement à Dresde en Allemagne, Sun a annoncé son nouveau supercalculateur : le système Constellation. Contrairement aux autres systèmes - tel le Blue Gene d'IBM -, celui-ci se base sur des composants entièrement standard. « Nous avons essayé de prendre tous les éléments que les clients utilisaient pour avoir un cluster haute-performance, et de les assembler dans un produit que vous pouvez acheter en l'état », explique Michael McNerneau, directeur des ventes serveurs lames chez Sun. Le résultat est une grappe de 48 serveurs lames sous Linux ou OpenSolaris, ayant une puissance de calcul maximale de 1,7 petaflops. Le seul élément propriétaire de l'ensemble est le switch - baptisé Magnum - doté de 3456 ports d'entrées/sorties avec une bande passante de 110 téraoctets par seconde. Pour son stockage, Constellation s'appuiera sur deux serveurs Sun Fire X450 dotés de processeurs AMD Opteron Barcelona et 16 G0 de mémoire, le tout pour un espace de stockage de 48 T0. Côté logiciels, Sun fournit OpenSolaris mais également un ensemble de logiciels de gestion de la charge de travail, comprenant Sun Studio 12 et Sun HPC Cluster. Le premier modèle de Constellation en production devrait être installé d'ici le 15 octobre prochain au TACC (Texas Advance Computing Center) de l'université du Texas. A condition qu'AMD puisse livrer ses processeurs Barcelona à temps. Il ferait alors une entrée directe dans le peloton de tête des 500 supercalculateurs les plus puissants. En effet, ce premier modèle disposera d'une puissance de calcul de 420 teraflops, loin devant le Blue Gene / L en production au Lawrence Livermore Lab et ses 280 teraflops. En attendant la prochaine génération de Blue Gene annoncée par IBM. (...)

(26/06/2007 14:00:51)

Microsoft propose une mise à jour du micro-code des processeurs Intel

On apprend incidemment que Microsoft a mis en ligne le 22 juin dernier, une mise à jour pour modifier le micro-code qui anime les processeurs Intel. Cette mise à jour permet "d'améliorer la fiabilité des systèmes qui tournent sur processeurs Intel." Elle concerne Windows Server 2003 et Vista 32 et 64 bit ainsi que Windows XP 32 bit. Microsoft est très laconique sur le détail de cette mise à jour ainsi que sur ses motivations. La mise à jour concernerait en priorité les processeurs Xeon, les Core 2 Duo E4000/E6000, Core 2 Quad Q6600, Core 2 Xtreme X6800, XC6700 et XC6800. Pour les ordinateurs portables, le Core 2 Duo T5000 et T7000 sont aussi visés. Vérifier si une mise à jour du bios de la carte mère est recommandée. (...)

(26/06/2007 12:58:19)

Dailymotion et Matignon s'échangent du personnel

Dailymotion, le site français de partage de vidéos, et les ors des ministères semblent entretenir des relations privilégiées. En témoigne la récente nomination de Séverin Naudet, le directeur des contenus et de la communication du site concurrent de Youtube, comme conseiller technique au cabinet du Premier ministre où il sera chargé des relations avec la presse. L'éphémère cadre de Dailymotion - il n'y sera resté qu'à peine un an - a, à plusieurs reprises par le passé, exercé des fonctions au sein de ministères. Entre 2003 et 2004 il était ainsi chargé des relations presse d'Hervé Gaymard, alors ministre de l'Agriculture. Jusqu'en 2006, il était conseiller de Renaud Donnedieu de Vabre, le ci-devant ministre de la Culture, en charge des industries culturelles. Pour le remplacer, Dailymotion accueillera Martin Rogard, également issu du cénacle ministériel. Il dirigeait jusqu'alors le pôle multimédia au département information et communication du ministère de la Culture. (...)

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