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(11/04/2006 18:09:29)
Départ de Renault : Jean-Pierre Corniou ne dément pas
Suite à notre article d'hier annonçant sa disgrâce chez Renault, Jean-Pierre Corniou, le DSI du constructeur automobile, préfère ne pas commenter la rumeur. Même s'il ajoute : « voici 16 ans que je suis DSI (dont 6 chez Renault, ndlr), j'ai envie de consacrer plus de temps à la recherche et à l'innovation ». Un hobby que le très médiatique président du Cigref entretient déjà sur son blog (http://jeanpierrecorniou.typepad.com. Une façon de laisser entendre que son départ est déjà plus ou moins programmé. Selon nos informations, la DSI du constructeur serait de fait passée sous le contrôle de Jean-Louis Ricaud, DGA, qualité et ingénierie depuis le début janvier. Depuis plusieurs mois déjà, le départ de Jean-Pierre Corniou de la DSI de Renault alimente les conversations. Une séparation qui aurait deux causes, selon les observateurs : l'arrivée de Carlos Ghosn à la tête de Renault et les difficultés que rencontre le groupe avec son infogérance. La DSI de Renault n'obtiendrait pas les résultats attendus du contrat "par silos" de 586,5 M€ signé début 2005 pour 5 ans. Les trois sous-traitants retenus sont HP pour les postes de travail, CSC pour les infrastructures et Atos-Origin pour la partie applicative. Selon nos informations, confirmées par un article de nos confrères des Echos de ce matin, HP aurait connu de gros flottements. Flottements aujourd'hui résolus, selon les dires du constructeur. De son côté, Atos-Origin aurait sous-estimé l'importance du chantier de rationalisation du parc applicatif. Ce volet fait, selon les Echos, l'objet d'un plan de retour à la performance normale, qui doit trouver son aboutissement fin avril. Interrogé sur ces difficultés, Jean-Pierre Corniou rétorque : « on est dans la vie normale de ce type de contrats. L'infogérance, ce n'est pas ce qu'on croit : c'est très difficile. D'abord parce qu'on externalise bien que ce qu'on connaît. Or, au début du contrat, on ne sait pas très précisément ce qu'on attend du prestataire. » Les flottements résulteraient donc d'une incontournable phase de rodage, selon le président du Cigref. « Croire qu'avec l'infogérance, on va se débarasser d'un sujet - l'informatique -, c'est commettre une lourde erreur, reprend Jean-Pierre Corniou. Il faut que l'entreprise et ses prestataires s'apprivoisent, donc créent des liens. Et, après la négociation du contrat, ces liens n'existent pas encore. » Selon le DSI, les contrats signés en 2005 ne reposent pas uniquement sur un espoir de réduction des coûts informatiques, mais aussi sur des métriques de performances précises. Atos-Origin serait ainsi soumis à environ 1 000 jalons par an. Interrogé à la mi-mars sur le déroulement du contrat Renault, Bernard Bourigeaud, président du directoire d'Atos-Origin, avait expliqué au Monde Informatique que ses équipes ne rencontraient pas de « difficultés particulières ». Tout en reconnaissant : « c'est un contrat original. Et, comme dans tout contrat nouveau, il reste des éléments qui doivent se mettre en place. » Bref, tout va bien... mais ça pourrait aller mieux. (...)
(11/04/2006 17:59:43)Gestion des compétences: un Toefl de l'informatique? Prononcez-vous
Etes-vous pour ou contre un système d'évaluation des compétences informatiques pour les non informaticiens? Ceux qui ont des réflexions à ce sujet sont invitées à s'exprimer sur le site de son initiateur l'association Top Dev. Chrystel Coassin, président de TopDev a ouvert le débat hier, au cours d'une conférence donnée au ministère de la recherche avec des représentants du Cigref, du Syntec, de la Commission des titres de l'ingénieur (Cti) et des écoles d'ingénieurs.
Il a présenté son projet, la création d'un outil baptisé IS Able qui a pour ambition de servir de « Toefl » de l'informatique, du nom du célèbre questionnaire d'anglais qui permet d'estimer son niveau de langue. Son objet serait de mesurer la capacité d'un ingénieur généraliste à appréhender les problématiques des outils des systèmes d'information et à intégrer des équipes projet où ils seront en interface avec des experts techniques. Il a été pensé en priorité pour des jeunes diplômés afin de mettre en avant leurs compétences. Mais « il intéresse également des entreprises pour accroître le savoir-faire de leurs salariés », explique Chrystel Coassin. Dans cette optique, ce dernier et ses partenaires ont défini quatre axes de connaissances qui pourraient être évalués avec IS Able: la culture des outils informatiques présents sur le marché, la capacité à avoir un rôle de maîtrise d'ouvrage pour le développement d'outils, la connaissance du fonctionnement d'une base de données, la conscience des possibilités permises par l'algorithmique et la programmation.
Ces axes ne sont pas figés. Top Dev prévoit de les enrichir ou de les modifier grâce aux réactions que ce projet va susciter, celles de ses promoteurs et de ses détracteurs. Les premiers, comme par exemple l'un des professeurs de l'Insa Rouen présent à la conférence, voient dans ce dispositif un outil de reconnaissance et de promotion pour les ingénieurs dans l'entreprise. "Il est intéressant qu'un salarié ait les moyens de s'auto-évaluer de manière indépendante pour connaître son niveau, par exemple si il souhaite devenir chef de projet", souligne aussi Frederic Lau, chargé de mission au Cigref. Claude Durand, directeur stratégie et innovation au sein de la SSII Osiatis salue de son côté l'idée d'un outil qui valide la bonne appréhension du rôle de la maîtrise d'ouvrage. Il n'y voit pas une aide au recrutement, mais plutôt à la gestion de compétences, « à condition d'avoir des référentiels métiers communs et transverses à la profession", note-t-il. Il précise à ce sujet qu'il serait d'ailleurs question de créer un référentiel commun entre le Syntec et le Cigref, pour commencer.
Les détracteurs d'IS Able quant à eux sont sceptiques sur la pertinence d'un simple questionnaire pour évaluer les compétences informatique. Ils insistent aussi sur la nécessité de se mettre d'abord d'accord sur un langage commun entre les informaticiens et les opérationnels pour le bâtir puisque le but et de faciliter les échanges entre ces populations. Des représentants d'écoles ont aussi rappelé qu'il était difficile de savoir où commence et où s'arrête les connaissances des systèmes d'information ? Autrement dit comment bien délimiter le périmètre du test. Ce à quoi Chrystel Coassin répond qu'il possède toute l'expérience nécessaire pour répondre à cette question...
IS Able ne verra pas le jour avant 2007. En attendant, ce projet a le mérite de fédérer les acteurs de la formation et de l'accueil de compétences informatiques. Peu d'outils existent s sur le marché français pour leur évaluation. Le distributeur Apsit vient de s'y lancer. Il commercialise la plate-forme de tests de l'américain IKM TechChek destinée à mesurer les compétences d'informaticiens sur des domaines techniques pointus. (...)
Recensement : une majorité de développeurs parmi les chômeurs
L'expertise permet d'éviter le chômage davantage qu'un profil généraliste, mais sans doute pas le niveau de diplôme. Tel est l'un des enseignements que l'on peut tirer des informations recueillies par le Syntec informatique sur les métiers exercés par les informaticiens au chômage. Plus des deux tiers (69,2%) des 37 323 demandeurs d'emploi du secteur recensés au 31 décembre 2005 sont en effet des « ingénieurs d'études » (au sens du répertoire des métiers de l'Anpe), c'est-à-dire essentiellement des développeurs, des informaticiens qui participent au développement et à la maintenance des applications (à 69,7%) et leurs encadrants (43,3%). Les « experts » représentent moins d'un tiers des demandeurs d'emploi (30,8%). Parmi eux, la majorité (53,3%) sont des techniciens supérieurs en réseaux informatiques, télécoms et gestion de ressources informatiques. Les autres sont des informaticiens (46,69%) exerçant les métiers d'architecte réseaux, d'ingénieurs de base de données, d'architectes systèmes, etc. Près de la moitié des ces emplois correspondent par ailleurs à des postes de niveau bac + 4 ou bac + 5. Il n'y a pas de corrélation entre le niveau de diplôme et le taux de chômage observé.
Pour aller plus loin dans l'analyse, des données sociologiques manquent. C'est ce cherche à réunir le Syntec pour connaître l'âge et l'origine professionnelle des 33 452 (chiffres de janvier 2006 Source Dares/Unedic/Anpe) informaticiens demandeurs d'emploi. La question est notamment de savoir s'ils viennent des SSII ou des entreprises utilisatrices. L'objectif est de comprendre le phénomène pour agir dessus en amont. Le chômage demeure en effet à un taux assez élevé, de l'ordre de 7.6% des informaticiens professionnels en France, selon le Munci (mouvement pour une union nationale des consultants en informatique qui s'appuie sur la base de 550 000 informaticiens), malgré la croissance soutenue du secteur de l'informatique et des services en 2005 (+7%) et 2006 (prévisions de + 6 à 8%). (...)
Secure Blue : la solution d'IBM pour intégrer le chiffrement dans les processeurs
IBM vient de développer une nouvelle solution de protection des données par chiffrement qui s'intègre directement au processeur. Baptisée Secure Blue, cette solution pourrait protéger les mobiles, PDA ou ordinateurs portables qui emmènent souvent avec eux des informations importantes et disposent de peu de protection. Secure Blue est capable de supprimer les données si une tentative d'intrusion forcée est détectée. Cette solution de cryptage a également l'avantage d'être peu onéreuse, contrairement à certains logiciels. Actuellement, IBM fait fonctionner Secure Blue sur ses processeurs Power mais se dit prêt à aider les fabricants de semiconducteurs à l'intégrer au sein de leurs productions. Cette protection pourrait également avoir un usage grand public, notamment pour éviter que les DRM ne soient contournés. Secure Blue n'est pas sans rappeler le module TPM (Trusted Platform Module) défini par le Trusted Computing Group en réponse aux exigences de la TCPA (Trusted Computing Platform Alliance), à cela près que TPM n'est pas intégré au processeur mais installé sur la carte mère. (...)
(11/04/2006 18:01:50)Salesforce passe au service à la demande sur mobile
En rachetant Sendia pour 15 M$ en numéraire, Salesforce vient d'acquérir un savoir faire dans des applications à la demande sur appareils nomades. Salesforce va désormais mixer sa plate-forme AppExchange avec la technologie mobile de Sendia afin de proposer des services à la carte sur n'importe quel mobile, PDA ou appareil connectés à Internet. AppExchange Mobile devrait permettre de déployer des solutions métiers tierces sur des supports mobiles. Les utilisateurs de AppExchange pourront accéder rapidement à leurs applications sur n'importe quel appareil nomade, sans développement supplémentaire. AppExchange Mobile est déjà disponible pour 50 $ par utilisateur et par mois. (...)
(11/04/2006 17:58:41)Patrick Starck parie sur une consolidation dans la gestion d'infrastructure
Patrick Starck a récemment quitté la tête d'HP France pour prendre la tête de la région Europe du Sud pour CA. Dans un entretien avec lemondeinformatique.fr, il explique pourquoi il a choisi CA et fait le point sur les grandes orientations de la société dirigée par John Swainson . En arrivant chez CA, vous passez d'un groupe plutôt spécialisé dans le matériel et l'infrastructure à une société qui tire ses revenus du logiciel ? Pourquoi un tel choix ? C'est à la fois la conjonction d'une analyse du marché de l'informatique et d'un désir personnel. Après 11 ans passés chez Compaq et HP je me suis posé la question du challenge pour les 10 prochaines années. J'ai réfléchi aux évolutions du marché de l'IT. Le premier constat que j'ai fait est que sur le marché du logiciel il y a une accélération de la consolidation. Jusqu'alors, elle s'est faite dans 2 ou 3 grands domaines, dont celui de l'applicatif et de l'infrastructure. Dans l'applicatif, il ne reste plus que deux gros acteurs de poids, SAP et Oracle, et des acteurs de niche. La consolidation est aussi faite, sur le marché des SGBD et du middleware. En revanche sur les autres secteurs, rien n'est fait. Dans le domaine de la gestion d'infrastructure, aucun acteur n'a pour l'instant pris une position de consolidation globale. Il y a quelque chose qui va se passer dans ce domaine, qui ne pourra durablement échapper pas à une forme de consolidation et de standardisation. Les entreprises veulent qu'on les aide à mieux comprendre leurs clients, à être plus réactives, à mieux accompagner leurs clients. Bien sûr pour faire cela, les acteurs du domaine applicatif ont une réponse, mais les acteurs du domaine de l'infrastructure ont eux aussi une réponse à apporter. CA a une réponse à apporter sur l'intégralité. Il a l'ambition d'être présent sur tous les points de la gestion d'infrastructure. De la gestion de la sécurité à celle des systèmes, du stockage, en passant par tout ce qui concerne la gouvernance et la gestion des services rendus (business system optimisation) Sur ce segment de la gestion d'infrastructure, CA affiche des faiblesses notamment sur la gestion du stockage ou même sur celles des processus, où il est venu tardivement.... Je ne doute pas que la fédération et la consolidation technologique sont en train de se faire. Nous avons une stratégie d'acquisition. Nous avons vocation à être consolidateur technologique sur ce marché. Aujourd'hui les entreprises achètent encore de larges pièces du puzzle à de multiples sociétés. Notre objectif est de simplifier ce travail. Bien sûr la technologie restera complexe. Mais avec l'intégration, le service rendu et la perception du client se trouvent simplifiés. Une de mes priorités sera de porter ce message à nos clients et de leur expliquer cette vocation de CA. Le mouvement a été initialisé avec l'arrivée de John Swainson. Il y a une opportunité à faire de CA le leader du logiciel d'infrastructure. D'ici cinq ans, il ne devrait plus y avoir que deux ou trois grands acteurs sur ce secteur CA a aujourd'hui un modèle largement direct alors que vous venez d'une société qui s'est largement construite sur un modèle indirect... Vous posez la question de notre accès au marché : il y aune impulsion claire et sans ambiguïté d'orienter la stratégie de vente de CA vers un modèle hybride. Les demandes des clients sont hybrides. Ils veulent acheter en direct chez le constructeur ou l'éditeur mais aussi profiter des compétences d'un tiers intégrateur. Notre offre est modulaire et si un client veut acquérir un de nos modules auprès d'un intégrateur pour l'intégrer avec d'autres modules d'un éditeur tiers, il peut le faire. Pour nous, la stratégie indirecte est stratégique. On ne pourra pas devenir leader du marché sans nos partenaires Un autre constat est que CA vend pour l'instant essentiellement aux grands comptes et peu aux PME. Nos principaux clients sont effectivement les grandes entreprises mais nous avons une ouverture aux sociétés de taille plus petite, et l'on vend même aux particuliers, nos offres de sécurité notamment. Oui mais cet effort est aujourd'hui limité à une poignée de produits ... Aujourd'hui, pour se positionner efficacement sur le marché des PME, il faut le faire avec des produits conçus spécifiquement pour les PME et avec le réseau de distribution adéquat. Les besoins d'une PME sont différents de ceux d'un grand compte : Une PME a un SI assez homogène avec des micros des serveurs et du réseau sous toutes ses formes. La problématique d'un grand groupe est que son SI est multiplates-formes, multi-OS et qu'il doit gérer son historique. Dans les PME, le SI peut être totalement cohérent à un instant donné. Les produits ne peuvent donc pas être les mêmes et les besoins d'intégration sont différents. Votre nouvelle fonction a une dimension internationale alors que jusqu'alors vous avez surtout eu des responsabilités nationales. Etait-ce une des raisons du choix de CA? C'était un choix personnel. Il y a avait un élément qui était l'expérience internationale. Manager des structures internationales était quelque chose qui m'attirait. J'ai aujourd'hui en charge la région Europe du Sud. Ce qui vous donne un rôle de consolidation ... L'organisation par pays de CA ne bouge pas. Nous cherchons à développer des synergies par région en partageant des compétences clés entre cinq ou six pays. Mon rôle n'est pas de créer un étage de consolidation, mais bien d'exploiter au mieux ce que nous pouvons partager. Il nous faut trouver l'équilibre entre ce qui se fait le mieux au niveau des pays et ce qui se doit se faire au niveau de la région. (...)
(11/04/2006 18:00:16)Projet ENERGy: Mandriva surveille en mode distribué les réseaux IP
Mandriva met un pied dans les réseaux VoIP. L'éditeur Linux annonce sa participation dans ENERGy, programme européen ITEA (Information Technology For European Advancement) centré sur le développement d'un outil de surveillance distribuée des réseaux VoIP. L'objectif, explique Ha Quôc Viêt, responsable des projets européens chez Mandriva, est "de traiter les problèmes de congestion liés aux réseaux IP, et d'organiser un système de monitoring". Techniquement, le projet vise au développement et à l'installation de sondes de surveillance, éparpillées sur réseaux IP, et remontant, pour analyse, les informations et données. "La particularité d'ENERGy réside bien sur ce principe de surveillance distribuée," commente Ha Quôc Viêt. Mandriva, moins connu pour son intérêt pour la VoIP que dans Linux, apportera son expertise dans les domaines de la sécurité et de la gestion des réseaux. Et surtout dans le développement des sondes. Une offre commerciale devrait alors aboutir : "dans un premier temps, nous développerons une offre de service de surveillance auprès des grands comptes télécoms, via notre réseaux de partenaires [NDLR- notamment Bull Evidian, Thalès, EADS] ", confie Ha Quôc Viêt. Et dans un second temps, "nous implémenterons les technologies de sécurité dans notre offre Multi-Network Firewall (MNF). Plus tard notre offre desktop, plus grand public, héritera des fonctionnalités de monitoring élaborées lors du projet". Côté financement, Mandriva contribuera au projet ENERGy à hauteur de près de 959 000E et recevra, à échéance, 288 000E de subvention du Ministère de l'Industrie et des Finances. (...)
(11/04/2006 12:50:47)Comverse met la main sur Netcentrex
Netcentrex, l'un des fleurons Français de la VoIP vient de se faire racheter par Comverse pour environ 164 millions de dollars. NetCentrex a réalisé en 2005, 50 millions de dollars de chiffre d'affaires et compte une cinquantaine d'opérateurs majeurs (AOL, France Télécom, Telefonica, Télé2, FastWeb...) comme clients. Suivant les résultats financiers 2006-2007, l'éditeur Israëlien pourrait débourser 16 millions de dollars supplémentaires.. En acquérant un des leaders des systèmes VoIP de nouvelle génération, Comverse, historiquement positionné sur les systèmes de messageries unifiées, souhaite ainsi développer des services multimédia convergents autour de la ToIP. « Nous croyons que la ToIP, la convergence fixe-mobile et les services de communications IMS vont être amenés à croître dans les années à venir, et que Netcentrex est bien positionné pour adresser ces marchés. Les deux compagnies offrent ensemble un large portefeuille de services convergents voix-vidéo-données à destination des fournisseurs de services mobiles, fixes, MVNO et Internet» a estimé Kobi Alexander, CEO de Comverse Technology. L'acquisition devrait être finalisée d'ici juillet 2006. Une réussite française s'envole à l'étranger... (...)
(11/04/2006 12:49:34)Cisco dote ses Catalyst 6500 de fonctions d'accélération web
Cisco vient d'annoncer la disponibilité d'une nouvelle lame d'accélération web pour ses châssis de commutation Catalyst 6500. la lame ACE a pour objectif de positionner le Catalyst en concurrent de dispositifs dédiés signés Juniper ou F5 . Lla lame ACE incorpore des fonctions d'accélération SSL, de proxy web, de répartition de charge et de sécurité (lutte contre les attaque DOS, contre les requêtes HTTP mal formées...). Chaque châssis Catalyst peut accueillir un maximum de quatre cartes ACE chacune capable de traiter un débit maximal de 16 Gbit/s. Chaque lame peut être partitionnée en 250 partitions chacune dédiée, par exemple, à une application, une fonction censée selon Cisco simplifier l'administration. Celle-ci peut se faire par rôle avec jusqu'à 64 rôles par partition active. La lame ACE devrait rendre obsolètes certaines des offres actuelles du constructeur, notamment les modules de commutation de contenu et d'assistance SSL. Elle sera vendue à partir de 40 000 $ pour la version 4Gbit/s, 60000$ pour la version 8 Gbit/s et 100 000 $ pour la version 16 Gbit/s. (...)
(11/04/2006 12:50:11)Nortel envisage d'affiner son recentrage
En parallèle avec ses problèmes comptables, Nortel cherche à recentrer son activité. A l'occasion du salon CTIA de Las Vegas, Mike Zafirovski, P-DG de Nortel, a expliqué son plan d'action. Il se dit prêt à vendre, à faire alliance ou encore à créer des joints Venture sur les produits avec lesquels il ne pourra pas revendiquer au moins 20% de part de marché. Le Président de Nortel explique que trop longtemps la société a cherché à produire de tout pour tout le monde. Dorénavant, Nortel devra se spécialiser un peu plus. Avec l'argent ainsi économisé, Nortel investira sur les secteurs clés et sur des produits innovants mais potentiellement rentables pour l'entreprise. Nortel a déjà entamé cette politique de recentrage. En février dernier, il a laissé son activité de commutateurs pour serveurs LAN à une nouvelle entreprise, Blade Network Technologies. (...)
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